• Voilà la seconde suite de la liste des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Chef Ashikawa

    Volume 1

    Ashikawa est l'un des membres du Mirai, un croiseur du début du 21ème siècle doté d'un système aegis, et dont le nom n'est cependant pas encore révélé dans ce tome. Il semble qu'il soit chargé du sonar du navire. Le Mirai quitte le port de Yokosuka en juin, en compagnie d'autres navires japonais, afin de se rendre à Pearl Harbor et y faire une opération commune avec l’armée américaine. Cependant, durant la traversée, de curieux phénomènes météorologiques ont lieu, et le croiseur se trouve soudainement projeté en 1942, en pleine guerre du Pacifique, juste avant la bataille de Midway. L’équipage assiste incrédule à celle-ci puis le commandant du navire, le capitaine Saburô Umezu, décide de faire demi-tour. Sur le chemin, ils croisent la route d'un zéro endommagé sur le point de couler. Le commandant en second, le capitaine Yôsuke Kadomatsu sauve alors le passager de cet appareil, un officier de la marine impériale. Celui-ci s’échappe de l'infirmerie et se présente comme étant le capitaine Takumi Kusaka. Kadomatsu est alors obligé de lui révéler la vérité sur le Mirai. Mais soudain, les radars signalent l'approche de 2 torpilles dans leur direction. Le commandant en second ordonne à tout le monde de se mettre à son poste et le chef canonnier, le capitaine Masayuki Kikuchi, demande à Ashikawa pourquoi les torpilles sont si proches et aussi pourquoi le sonar ne les a pas repéré plus tôt. Ashikawa répond qu'ils sont dans une zone où les parasites sont nombreux et du coup, les réflecteurs de son ont été perturbés. Ils manquent en fait de données sur la température, les courants et la densité de l'eau de la zone. Mais pour Kikuchi c'est surtout d'entraînement qu'ils manquent. C'est la dernière apparition d'Ashikawa dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 1, dans le chapitre intitulé "Sillage 7 : Attaque éclair".
    • Statut au volume 4 : Vivant.

    Volume 6

    Le Mirai parvient à échapper au sous-marin mais plus tard, alors que l'umitori, l'un des 2 hélicoptères, a été envoyé en reconnaissance du côté de Yokosuka, il est attaqué par 2 zéros. Le pilote, le lieutenant Satake, parvient à s'en débarrasser sans faire de victimes, mais le sous-lieutenant Mori décède dans l'action. Par la suite, Kadomatsu et Kusaka se rendent à Singapour pour trouver du ravitaillement, mais ils sont repérés par le lieutenant Kazuma Tsuda, un ancien subalterne de Kusaka. Obligés de se dévoiler à la flotte combinée, les membres du Mirai acceptent de changer le cours de l'histoire en tentant d'empêcher la terrible bataille qui doit avoir lieu à Guadalcanal. Kusaka, parti avec l'umitori et Satake, est censé convaincre la flotte combinée de se retirer de l'île, mais il agit autrement et tente de massacrer la division de marines américains qui ont débarqué à Guadalcanal. Le croiseur s'oppose au Yamato, et l'amiral Yamamoto accepte finalement de laisser l'île et invite même les membres du Mirai à Truk. Après un dîner en privé avec Umezu, Yamamoto suggère même que le croiseur retourne à Yokosuka. Le navire est alors escorté par un sous-marin, avec à son bord un capitaine de la marin impériale. Cependant, durant le trajet, quand un appareil de reconnaissance approche, il prétend par message que c'est un avion japonais. Kadomatsu veut vérifier cette information et va avec Yanagi à bord du sous-marin. Hors, celui-ci plonge et l'appareil se révèle américain. Ensuite, une escadrille apparaît sur les radars. Le Mirai veut quitter la zone mais le sous-marin refait surface de manière lente. Le commandant du croiseur ordonne alors à Ashikawa de communiquer avec le pinger, et celui-ci s'exécute. Mais le sous-marin continue, et Ashikawa doit envoyer le message à nouveau. Pourtant, il constate que le sous-marin est maintenant à 50 mètres de la surface. Soudain, Ashikawa voit que le navire a stoppé son émersion à 10 mètres sous la surface. Le Mirai doit donc faire face à l'escadrille américaine. Celle-ci est décimée, mais un appareil parvient néanmoins à faire un piqué et à entrer en collision avec le croiseur, causant des dégâts et plusieurs décès. Ensuite, Kikuchi suggère de couler le porte-avions Wasp d'où venait l'escadrille, et après l'accord d'Umezu, le Mirai lance un tomahawk qui coule effectivement le Wasp en quelques minutes. Après cela, Ashikawa entend le bruit d'une évacuation d'eau, indiquant que le sous-marin refait surface. On ne voit plus Ashikawa par la suite dans ce tome.

    Volume 8

    Le sous-marin japonais rend le capitaine Kadomatsu, ainsi que Yanagi, et le Mirai peut continuer sa route vers Yokosuka sans problème. Sur place, le croiseur doit subir quelques réparations et reçoit un ravitaillement. Ensuite, le commandant en second se rend en Mandchourie où il va tenter de contrer les plans de Kusaka, qui est là-bas. Pendant ce temps, les capitaines Umezu, Kikuchi et Oguri participent à une réunion en présence de Yamamoto et d'autres grands noms de la marine impériale. Après celle-ci, le commandant du Mirai annonce à l'équipage qu'ils vont faire des exercices dans la baie de Sagami, et que Kadomatsu, qui va bien, va les y rejoindre. Durant un exercice, Ashikawa simule la détection d'un sous-marin à 1.500 mètres du croiseur. Sur ordre d'Umezu, il prépare les torpilles courte portée. Ashikawa n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 8 : Vivant.

    Toï

    Volume 2

    Cet homme est le capitaine du Tôshinmaru, un navire civil japonais, appartenant à la société de transport maritime, dans leur office de Shônan (nom de Singapour durant la guerre du Pacifique). Durant l’été 1942, un officier de la marine impériale et un homme l'accompagnant ont fait une demande pour qu'un navire de transport soit chargé de ravitaillement dans un délai très court, et c'est le Tôshinmaru qui est choisi par la société. Cependant, un autre officier de la marine vient déclarer que les papiers officiels des 2 autres hommes sont des faux, et qu'il est possible qu'une bombe soit installée dans l'un de leurs tanker. L'officier décide cependant de laisser croire aux 2 hommes que tout se passe bien jusqu’à ce qu'ils soient en mer. Une fois le chargement en cours, le capitaine Toï, ainsi que ses 2 adjoints, viennent se présenter aux 2 hommes. Toï se dit fier de pouvoir servir son pays grâce à eux. Comme le chargement se passe bien, il pense partir à l'heure prévue. Ils feront route vers les îles Anambas en évitant les manoeuvres des sous-marins et arriver à 10 heures du matin à destination. Un des adjoints demande si les 2 hommes ont des questions, mais ils répondent par la négative. Ensuite, comme ils ont encore des préparatifs, Toï et ses adjoints prennent congé des 2 hommes. On ne voit plus Toï par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Sillage 20 : Le Tôshinmaru".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Major Kawamoto

    Volume 3

    Il s'agit d'un soldat de la marine impériale qui participe durant l’été 1942 à une opération secrète sous les ordres du lieutenant Kazuma Tsuda. Ils doivent retrouver la trace d'un croiseur inconnu et du capitaine Takumi Kusaka. Ils finissent par retrouver ce dernier, qui fait charger du ravitaillement dans un navire de transport civil, le Tôshinmaru, à Shônan (le nom de Singapour durant la guerre du pacifique) pour transporter le tout vers ce navire inconnu qui se trouve dans les îles Anambas. Acculé, Kusaka révèle que le croiseur est un navire du début du 21ème siècle, et que l'homme qui l'accompagne, Yôsuke Kadomatsu, en est le commandant en second. Celui-ci déclare qu'il doit envoyer un message codé pour éviter que son navire, le Mirai, ne coule le Tôshinmaru, ainsi que tous ceux qui voudraient se saisir du croiseur. Tsuda accepte, et le Tôshinmaru arrive à proximité du navire inconnu. Le lieutenant demande l'opinion de Kawamoto, qui dit ne pas y comprendre grand-chose, reconnaître un navire de guerre et avoir trouvé cette histoire de navire du futur complètement grotesque avant de le voir. Ensuite, Kawamoto ordonne à ses hommes de lancer les cordages pour effectuer un abordage. Celui-ci se fait sans incident, et un peu plus tard, Kadomatsu autorise Tsuda à monter à bord du croiseur. Il n'autorise cependant pas le port d'arme, ce qui surprend le major, qui trouve cela trop dangereux et est prêt à passer en force. Pourtant, le lieutenant accepte et le ravitaillement se déroule parfaitement. Le soir même, alors que Kawamoto se détend dans une cabine avec quelques hommes, le matelot Shimizu entre avec 2 membres du Mirai. Ceux-ci se présentent comme étant le lieutenant Satake et le capitaine Kôhei Oguri. Ce dernier, originaire d'Hakata, est venu avec une bouteille de bourbon pour remercier les soldats de la marine impériale pour le ravitaillement. Le major ordonne qu'on lui apporte un verre et tous se servent. Oguri avoue qu'il vient bien du futur, mais personne ne sait pourquoi et comment ils sont là. Les soldats demandent alors ce que va devenir le Japon. Le capitaine révèle que le pays va devenir prospère, grâce à une forte croissance économique. Kawamoto demande alors si l'île d'Hondo va s'en sortir et Oguri le questionne sur sa région d'origine, ce à quoi le major répond Hiroshima. Le capitaine marque alors une pause, et le major comprend qu'il va se passer quelque chose à Hiroshima. Watanabe se propose cependant de chanter. Kawamoto est d'accord, mais ne veut pas de chant militaire. Le soldat entame une chanson qui rappelle au major sa femme, et aussi de rester en vie pour elle. Un peu plus tard, Kawamoto et Oguri vont sur le pont, et le premier dit au second qu'il sait que le Japon va connaître des jours de plus en plus durs. Comme il peut lire sur le visage du capitaine, il ne voudrait pas être sous ses ordres, mais accepte d’être son ami. Oguri veut parler d'Hiroshima, mais Kawamoto sait que l'histoire a déjà commencé à changer. Ensuite, le capitaine suggère un bras de fer, et le major accepte car il est invaincu dans la marine. Le lendemain, avec le départ du croiseur, le Mirai, les 2 hommes se saluent. Un peu plus tard, alors qu'il est au commandement de Natsushima, Kawamoto avertit les navires de la marine que l'autogire qui se dirige vers la flotte combinée, basée à Truk, est un appareil ami transportant le capitaine Kusaka. Après avoir raccroché, il va à l'extérieur où des hommes se demandent pourquoi Kusaka a décidé de se diriger directement vers le Yamato. Pour le Major, c'est une nouvelle page de l'histoire qui s'écrit. C'est la dernière apparition de Kawamoto dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Sillage 23 : Négociations".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.

    Volume 7

    Le capitaine Kusaka a bien révélé l'existence du Mirai à l'état-major de la flotte combinée, mais il ne les a pas convaincu de renoncer à Guadalcanal. Au contraire, il a planifié avec eux de massacrer les nombreux marines américains qui venaient de débarquer sur l'île. Le croiseur s'y est opposé et a donc intercepté les obus du Yamato. Yamamoto a donc dû renoncer à l'assaut, et après une discussion avec le commandant du Mirai, le capitaine Saburô Umezu, il l'invite à revenir à Yokosuka. Cependant, durant le trajet, le croiseur est attaqué par une escadrille américaine, et le Mirai est même obligé de riposter en coulant le porte-avion Wasp. Le major Kawamoto, quant à lui, est rattaché au quartier général de Yokosuka. Donc, lorsque le croiseur est en cale sèche pour des réparations et du ravitaillement, Kawamoto en profite pour rendre visite à son ami le capitaine Oguri. Celui-ci est avec le capitaine Masayuki Kikuchi, et dit manquer la chanson "Kimikoishi". Mais le major est aussi là pour informer les 2 capitaines que l'état de siège a été décrété en Mandchourie, là où se trouve le capitaine Kadomatsu, et malgré le fait que l'armée de terre fait tout pour le cacher. Devant la tête surprise d'Oguri et de Kikuchi, Kawamoto comprend que cet événement n'a pas eu lieu dans leur histoire. Et tous pensent que c'est Kusaka qui est derrière ce changement. Alors que Kawamoto continue à discuter avec Oguri, Kikuchi s'éclipse. On ne voit plus Kawamoto par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Watanabe

    Volume 3

    Ce soldat de la marine impériale fait partie des hommes qui participent à l'opération visant à retrouver un navire inconnu, sous les ordres du lieutenant Kazuma Tsuda et du major Kawamoto. Ils apprennent que 2 hommes, dont l'un correspond au signalement du capitaine Takumi Kusaka, ont affrété un navire de transport civil pour emmener de nombreux éléments de ravitaillement vers les îles Anambas, là où semble se trouver ce navire mystère. Ce sont alors les hommes de Tsuda et Kawamoto qui remplacent l'équipage. Quand ils arrivent près du navire, Watanabe remarque qu'il n'a qu'un seul canon et qu'il aura donc du mal avec cela sur le front. Mais un autre homme lui dit qu'il a entendu une rumeur comme quoi ce navire ne vient pas de leur époque. Watanabe ne semble pas y croire, mais il voit que le navire pointe son canon dans leur direction, et que son équipage a de curieuses armes. Pourtant, le lieutenant accepte le ravitaillement en échange d'une visite privée du navire. Le soir après le ravitaillement, alors que plusieurs hommes se détendent, dont Watanabe et Kawamoto, le matelot Shimizu arrive avec 2 inconnus. Watanabe se demande qui ils sont, et ceux-ci se présentent comme étant le capitaine Oguri et le lieutenant Satake. Tout le monde les salue, puis Oguri déclare venir les remercier en apportant une bouteille de bourbon. Le major accepte, et tous testent cet alcool que Watanabe ne trouve pas mauvais. Il demande ensuite au capitaine s'ils viennent vraiment de 60 ans dans le futur. Oguri révèle que c'est effectivement la vérité, mais personne ne sait pourquoi ils sont là, ou comment ils se sont retrouvés projetés dans le temps. Il explique ensuite que le Japon va connaître une grande prospérité économique, mais Kawamoto se demande si Hondo va s'en sortir. Le capitaine ne répond pas, mais pour se détendre, Watanabe suggère de chanter. Le major est d'accord, mais il ne veut cependant pas de chants militaires. Watanabe se lance, et le reste de la soirée se passe bien. Le lendemain, les 2 navires se séparent, et Watanabe remarque que le navire du futur peut bouger sur le côté et en arrière. Watanabe n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Sillage 23 : Négociations".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Matelot Shimizu

    Volume 3

    Shimizu est un homme de la marine impériale japonaise qui participe à une opération secrète visant à retrouver un navire inconnu, aperçu juste avant la bataille de Midway en juin 1942. Cette opération est dirigée par le lieutenant Kazuma Tsuda, aidé par le major Kawamoto. Le lieutenant finit par retrouver la trace du croiseur, qui se trouve dans les îles Anambas, et il embarque avec ses hommes sur un navire cargo civil, qui avait été réquisitionné par 2 hommes qui semblent connaître la nature du navire inconnu. Les hommes finissent par apprendre que le croiseur mystère viendrait du futur. Tsuda accepte néanmoins de ravitailler ce navire en échange d'une visite à bord. Le soir, après le ravitaillement, la matelot Shimizu trouve 2 inconnus dans le navire cargo, et il les menace de son arme. Pourtant, ceux-ci sont venus en amis, et Shimizu les conduit auprès de ses collègues, dont Kawamoto. Les 2 hommes se présentent comme étant le capitaine Oguri et le lieutenant Satake. Le premier déclare qu'il est venu les remercier avec une bouteille de bourbon. Le major ordonne alors de lui apporter un verre. Durant la discussion, Oguri admet qu'ils viennent bien du futur, mais ne sait pas pour quelle raison ils ont voyagé dans le temps, ni comment. Les soldats posent des questions sur l'avenir du Japon, et le capitaine répond que le pays deviendra très  prospère économiquement. Mais quand Kawamoto s'interroge sur le sort de l'île d'Hondo, Oguri ne répond pas. Watanabe suggère alors de chanter, et le major lui demande de ne pas faire de chant militaire. Le reste de la soirée se passe dans la bonne humeur et on ne voit plus Shimizu par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Sillage 25 : Echanges".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Capitaine de vaisseau Kameto Kuroshima (PH)

    Volume 3

    Kuroshima fait partie des officiers appartenant à l’état-major de la flotte combinée, basée à Truk en 1942. Il est dans l’état-major depuis octobre 1939 et est surnommé "le génie de la stratégie". Quelques semaines après la défaite de Midway, ils apprennent que le capitaine Takumi Kusaka, un officier du renseignement, a survécu à cette bataille, et se trouve apparemment à bord d'un croiseur venu d'une soixantaine d’année dans le futur, le Mirai. Kusaka se dirige vers Truk à bord d'un autogire appartenant à ce croiseur, et il atterrit sur le Yamato en désobéissant aux ordres qui lui disaient de suivre une escorte. Durant la réunion qui suit l’arrivée de Kusaka, l'un des officier parle d'affront et menace Kusaka de court martiale, mais Kuroshima suggère de ne pas s’énerver. Il évoque alors le fait que le Mirai ne veut pas être rattaché à la marine impériale, et qu'une prise par la force est impossible. Kuroshima se demande donc si l’équipage du croiseur est hostile à l'empire du Japon. Pour le contre-amiral Matome Ugaki, avoir ce navire est eux est très attrayant, mais pour Kusaka, ce n'est pas envisageable pour l'instant. Ugaki se fâche, mais Kusaka explique que les membres du croiseur ont connu la défaite, et que le 15 août 1945, le Japon va accepter une capitulation sans condition. Cette nouvelle surprend tout le monde, mais Kuroshima semble rester calme. Après la réunion, l'amiral Isoroku Yamamoto part avec Kusaka, et les autres officiers interpellent Kuroshima pour ne pas croire ces délires. Mais le capitaine leur répond que même pour un pays avancé comme l'Allemagne, il est impossible de construire un autogire comme celui avec lequel Kusaka est arrivé. Pour Kuroshima, le problème est que Kusaka ne peut plus être tenu au secret et qu'ils sont obligés de discuter avec lui. Ugaki pense que Kusaka n'aurait jamais pu manquer de respect auparavant, et que la connaissance de l'avenir lui aurait donc apporter quelque chose d'important. Kuroshima n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 4

    Finalement, Kusaka informe l’état-major de ce qui est censé se passer à Guadalcanal. Il dit aussi que le Mirai aimerait que la marine impériale se retire de cette île, tout comme les américains, afin de préserver de nombreuses vies. Mais Kusaka a une autre idée pour permettre aux japonais d’éviter la capitulation, en massacrant les 11.000 marines américains qui doivent débarquer à Guadalcanal. Ainsi, la huitième division de Mikawa attaque comme prévu le convoi de ravitaillement avant de se retirer et de laisser les américains débarquer. Ensuite, la flotte combinée se dirige vers l'île avec le Yamato en tête, pour éliminer la première division de marines. Ils envoient donc un message au Mirai pour que leur escouade qui est sur l'île se mette à l'abri. Alors qu'ils préparent les canons, ils attendent une réponse, que Kusaka est certain de recevoir. Dix minutes plus tard, le croiseur déclare ne pas accepter l'offensive de la marine impériale, et ses hommes refusent de se retirer. Kusaka demande alors à Kuroshima combien de temps il faut pour aller sur le pont arrière où se trouve l'autogire du Mirai, et quand il a sa réponse, il quitte la passerelle. Peu après, par un appel interne, il annonce à Yamamoto que le croiseur a l'intention de riposter aux tirs du Yamato, mais pense à un bluff pour sauver des vies et cherche à négocier. Le cuirassé ouvre donc le feu mais juste après, un message du Mirai explique qu'ils ont intercepté tous les obus du Yamato et qu'ils pourraient lancer leurs missiles disposant d'une portée de 450 kilomètres. Kusaka revient sur la passerelle et propose d'annuler l’opération. Kuroshima s’énerve car leur cuirassé est le symbole de la marine impériale, et il cède face à un croiseur. Mais Kusaka explique que le Mirai ne veut pas s'opposer à eux mais juste sauver des vies. Yamamoto est, lui, intéressé par la situation. Ensuite, le commandant du croiseur, le capitaine Saburô Umezu, demande à ce que Kusaka, l'autogire et son pilote réintègrent leur navire, et ils sont prêts à aider à l’évacuation de Guadalcanal par après. L'amiral envoie une réponse comme quoi il accepte, mais qu'il va laisser 2 destroyers en protection. Umezu est d'accord, et Yamamoto confie à Kuroshima le soin de choisir les 2 destroyers et de s'occuper de l’évacuation. C'est la dernière apparition de Kuroshima dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Sillage 28 : Le retour du capitaine de corvette Kusaka".
    • Statut au volume 4 : Vivant.

    Volume 5

    La flotte combinée retourne à Truk et là-bas, Yamamoto, Ugaki et Kuroshima reçoivent la visite du colonel Masanobu Tsuji de l'armée de terre. Celui-ci est venu demander que les 2.000 hommes du colonel Ichiki, qui auraient déjà dû participer aux affrontements à Midway, soient bien envoyés à Guadalcanal avec des destroyers, car la mission confié à la marine et à l'armée de terre est de reprendre cette île. Une fois sur place, les troupes de l'armée de terre extermineront les américains. Le capitaine lui rétorque alors que d'après leurs informations, c'est presque toute une division d'américains qui a débarqué à Guadalcanal, avec des chars et 11.000 hommes. Le massacre devrait donc avoir lieu dans l'autre sens, même avec un bon mental. C'est alors que Tsuji, les larmes aux yeux, se demande si Yamamoto n'a pas perdu la foi en la victoire. Il annonce alors que la reprise de l'île a été décidée aux quartiers généraux impériaux des armées, et que donc, s'opposer à cela revient à une infraction de l'autorité du commandement suprême. Une fois le colonel parti, le contre-amiral s'énerve, mais Kuroshima sait qu'avec Tsuji, il faut être prudent. L'amiral est lui aussi en colère, et sait qu'il lui faut le Mirai. Il ordonne donc à ses 2 hommes de récolter des informations et de préparer une stratégie pour convaincre l'équipage du croiseur de se rattacher à la marine impériale. Plus tard, lors d'une réunion de l'état-major, Kuroshima veut affecter 2 destroyers pour escorter le Mirai jusqu'à Yokosuka, mais Ugaki se fâche et n'est pas d'accord. Pour le capitaine, le croiseur est un invité et le contre-amiral semble oublier la politesse. Mais celui-ci répond que la politesse n'a pas sa place et il ne veut pas répartir les forces de la flotte combinée. Kuroshima veut alors savoir ce qu'il ferait si le Mirai était attaqué, et Ugaki ne s'inquiète pas pour un navire capable de résister à leur flotte entière. C'est alors que le capitaine Eiichirô Taki a une proposition. Il suggère d'envoyer un sous-marin comme escorte, et même de monter à bord lui-même. On ne voit plus Kuroshima par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Contre-amiral Matome Ugaki (PH)

    Volume 3

    Ce contre-amiral fait partie de l’état-major de la marine impériale, durant la guerre du Pacifique, et est sous les ordres de l'amiral Isoroku Yamamoto. En 1942, après la défaite de Midway, la flotte combinée est basée à Truk. C'est alors qu'ils apprennent que le capitaine Takumi Kusaka, officier des communications, a survécu à la bataille, mais en plus, celui-ci a été recueilli par un croiseur venant de 60 ans dans le futur, le Mirai. Kusaka se rend alors à Truk à bord d'un autogire appartenant à ce croiseur, mais il désobéit à l'ordre des escorteurs et atterrit directement sur le Yamato. Durant la réunion qui suit l’arrivée du capitaine, un officier hurle l'affront que Kusaka a fait en ne prévenant personne de cet atterrissage, et le menace de court martiale. Le capitaine Kameto Kuroshima demande alors de garder le calme et reprend le rapport de Kusaka, où celui-ci écrit que le Mirai refuse d’être rattaché à la marine impériale, et qu'une prise par la force n'est pas possible. Ugaki ajoute que la puissance du croiseur est supérieure à celle de leur aviation, et que donc, l'avoir à leurs côtés est très attrayant. Mais pour Kusaka, ce n'est pas envisageable pour le moment. Le contre-amiral se fâche, mais Kusaka explique que les membres du Mirai ont connu la défaite. Il annonce alors que l'empire du Japon va accepter une capitulation sans condition le 15 août 1945, surprenant tout le monde. Après la réunion, alors que Kusaka est dehors avec Yamamoto, certains officiers parlent de balivernes et demandent à Kuroshima de ne pas croire à ces sornettes. Mais Kuroshima sait que l'autogire avec lequel est venu Kusaka ne pourrait même pas être construit par l'Allemagne, très en avance technologiquement. Pour lui, le problème est qu'ils ne peuvent plus tenir Kusaka au silence, et qu'ils devront s'asseoir avec lui pour discuter. Ugaki intervient alors car auparavant, Kusaka n'aurait jamais pu manquer de respect. La connaissance de l'avenir lui aurait donc apporté quelque chose de très important. On ne voit plus Ugaki par la suite dans ce tome.

    Volume 4

    Kusaka révèle à l’état-major que l'empire du Japon va perdre Guadalcanal après une rude bataille. Il leur dévoile aussi des informations qui leur permettraient d’anéantir les 11.000 hommes de la première division de marines américains. Hors, le Mirai veut convaincre japonais et américains de se retirer de Guadalcanal. L’état-major suit alors le plan de Kusaka qui consiste d'abord à laisser la huitième division de Mikawa attaquer un convoi américain avant de se retirer. Ensuite, la flotte combinée, dirigée par le Yamato, se rend près de l'île pour massacrer les marines américains qui ont débarqué, prévenant d'abord l’équipe du croiseur qui se trouve sur place de se déplacer. Kusaka est persuadé qu'ils auront une réponse, alors que le navire se prépare à tirer. Dix minutes plus tard, le Mirai répond effectivement, mais dit ne pas accepter une offensive sur les marines américains, ainsi que n'avoir aucune intention de se retirer. Un soldat signale à Ugaki qu'il reste 10 minutes avant l'attaque, et Kusaka demande à Kuroshima combien de temps il faut pour aller jusqu'au pont arrière. Après avoir eu sa réponse, il quitte la passerelle, et appelle l'amiral Yamamoto un peu plus tard pour dire que le Mirai est prêt à utiliser sa puissance contre le Yamato. Pourtant, Kusaka est de l'avis de tirer malgré tout, car il pense à un bluff. Pour Ugaki, avec leurs canons de 460 mm, les américains n'ont qu'à bien se tenir. Cependant, le croiseur intercepte tous leurs obus. Ugaki est même étonné d'entendre que le Mirai a des missiles d'une portée de 450 kilomètres et ne peut croire que leur cuirassé cède face à un simple croiseur. Kusaka propose alors d'annuler l’opération car les membres du Mirai ne recherchent pas la confrontation. Yamamoto est intéressé par la situation, puis le croiseur envoie un message, demandant à ce que leur soient rendus Kusaka, l'autogire et son pilote, en échange d'une aide pour l’évacuation de Guadalcanal. Pour Ugaki, cela ressemble à des ordres. L'amiral répond en disant qu'il va laisser 2 destroyers. Le commandant du Mirai, le capitaine Saburô Umezu accepte, et Yamamoto confie le soin à Ugaki de donner l'ordre de repli à la flotte. C'est la dernière apparition du contre-amiral dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Sillage 28 : Le retour du capitaine de corvette Kusaka".
    • Statut au volume 4 : Vivant.

    Volume 5

    De retour à Truk, Yamamoto, Ugaki et Kuroshima reçoivent la visite du colonel Masanobu Tsuji de l'armée de terre. Celui-ci vient demander que les 2.000 hommes du colonel Ichiki soient bien envoyés à Guadalcanal car la mission qui a été confiée à la marine et l'armée de terre est de récupérer cette île. Il est persuadé que ses hommes vont exterminer l'armée américaine. Kuroshima lui répond que d'après leurs informations, c'est toute une division américaine qui se trouve là-bas, avec chars et canons, et que donc, le massacre n'aura pas lieu dans le sens souhaité, déclarant que la force mentale ne fait pas tout. Tsuji se demande alors, en pleurant, si Yamamoto n'a pas perdu foi en la victoire. Il annonce donc que la reprise de Guadalcanal a été décidée aux quartiers généraux impériaux des armées, et aller à l'encontre serait une infraction à l'autorité du commandement suprême. Le colonel s'en va ensuite, et Ugaki explose, se demande à quoi Tsuji, qui se prétend un soldat de l'armée impériale, pouvait bien jouer. Pour le capitaine, il faut rester prudent, mais le contre-amiral se rend compte qu'ils doivent envoyer les troupes Ichiki en sachant pertinemment qu'elles vont se faire décimer. Pour l'amiral, ils ont absolument besoin du Mirai, et il ordonne donc de réunir les informations et de trouver une stratégie pour les convaincre de se rallier à la marine impériale. Ugaki et Kuroshima obéissent, et un peu plus tard, le contre-amiral reçoit la visite du capitaine Eiichirô Taki. Celui-ci est allé voir le croiseur du futur, et sait que certains hommes de l'armée de terre l'ont aussi vu, mais n'ont pas envoyé de télégramme aux quartiers généraux impériaux. Par contre, il sait très bien ce qu'il se passera si ce navire arrive à Yokosuka, Yamamoto ayant trop respiré l'air de Truk selon lui. Ugaki ne peut pas le laisser parler de l'amiral ainsi, et se demande sur les ordres de qui agit Taki. Le contre-amiral veut savoir ce que veut le capitaine, et quand celui-ci parle du long chemin jusque Yokosuka, Ugaki comprend que Taki veut couler le Mirai. Pour le contre-amiral, la puissance du Yamato ne suffira pas, mais le capitaine pense plutôt laisser faire les américains. Lors d'une réunion de l'état-major, Ugaki refuse que le croiseur soit escorté par 2 navires. Kuroshima rétorque qu'il s'agit de politesse, mais pour Ugaki, la politesse n'a pas sa place et la marine doit tout faire pour vaincre les américains, et ne peut se permettre de répartir 2 destroyers importants. Kuroshima se demande que faire si le Mirai coule, mais pour Ugaki, ils ne doivent pas s'inquiéter d'un navire capable de résister à toute leur flotte. Taki suggère alors qu'accompagner le croiseur à bord d'un sous-marin. Ugaki n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    General A. Alexander Vandergrift (PH)

    Volume 3

    Il s'agit du commandant de la première division des US Marines. Au début du mois d'août 1942, il se dirige avec ses hommes vers Guadalcanal pour y affronter les japonais. Cependant, à bord du navire, les marines débattent sur les capacités des japonais, tantôt comme des singes, ou des êtres inhumains, meilleurs guerriers au monde. Vandergrift intervient et demande à ses hommes de juste faire ce qu'on leur a appris. Le général les rassure aussi en disant que les japonais sont humains, tout comme eux. Il explique ensuite de ne pas tous les prendre pour des totalitaristes, mais comme des gens qui aiment leur patrie et leur famille. Ils doivent leur montrer le respect et pourtant tous les tuer. Pourtant, Vandergrift sait que personne parmi eux n'a affronté un japonais, mais il ne veut pas montrer sa peur. Son second lui demande s'il n'y a pas un piège des japonais car ils n'ont pas encore été repérés, mais le général n'en sait rien. Il sait juste que les japonais sont en grand nombre pour construire une piste d'aviation, et qu'ils opposeront donc une grande résistance. Fletcher les craint énormément et on leur a demandé de maîtriser le terrain en 72 heures. C'est une mission de fou mais ils doivent avoir un point d'appui là-bas car c'est une position stratégique. Leur division va inscrire son nom dans l'histoire. Un autre jour, arrivés à destination, les américains bombardent Guadalcanal et commencent à débarquer ensuite. Vandergrift observe les mouvements depuis un navire et tout semble se dérouler comme prévu. Il semble juste s’inquiéter de l'absence de riposte de la part des japonais. Il décide alors de débarquer lui aussi sur Red Beach. Son second lui demande d'attendre que la zone soit nettoyée, mais le général lui répond que l'objectif n'est pas le débarquement mais l'occupation du terrain d'aviation. Vandergrift arrive sur la plage et constate aussi que le relief est complexe et que la forêt est dense. C'est la dernière apparition de Vandergrift dans ce tome.

    Volume 4

    Sur le Mc Cauley, Vandergrift apprend que la flotte de protection du sud est entrée en contact avec l'ennemi, composée apparemment de 4 croiseurs lourds et d'environ le même nombre de destroyers. Le général demande alors à voir le contre-amiral Crutchley de la royal navy, et le contre-amiral Turner. Il constate que les japonaise visent leur convoi de ravitaillement. En réunion avec Crutchley et Turner, Vandergrift apprend qu'ils ont perdu 2 croiseurs, et que 2 autres ont du être évacués, alors que la flotte ennemie s'est retirée. Les 2 contre-amiraux se méfient des capacités techniques des japonais. Ayant entendu parlé de torpilles équipées de sonar, Turner préfère ordonner le repli immédiat. Mais pour le général, le danger en tant de guerre peut être de sous-estimer comme de surestimer son adversaire. Il faut savoir analyser avec sang-froid et avoir un ravitaillement suffisant. Pour ses marines, il est hors de question de quitter Guadalcanal, et il veut son ravitaillement, ce que lui confirme Turner. Vandergrift sait que les japonais se sont retirés car ils craignent eux aussi les américains. Plus tard, sur la plage, il reçoit un message qui lui est adressé et qui avertit que leur ravitaillement en nourriture sera attaqué à 3 heures précises par un missile dépassant de loin leur technologie. Cette opération porte le nom de "Sagittarius". Le général parle de bluff mais se demande comment les japonais savent que ce sont ses hommes sur la plage. Il déclenche l’état d'alerte et à 3 heures, il voit une roquette atterrir pile sur la farine, sans exploser, comme guidé par une volonté propre. Il reçoit ensuite un second message lui demandant d'ordonner le retrait de l'île. Alors que ses hommes paniquent, Vandergrift leur ordonne de se taire. Il leur dit que si on les a averti, c'est pour semer le trouble dans leurs rangs, et ordonne des patrouilles pour savoir ce qui a guidé ces roquettes. Mais il se demande s'il s'agit là vraiment d'un acte des japonais alors qu'ils sont en guerre. Soudain, des hommes détectent des parasites plus importants, qui pourraient être une transmission de forte puissance. Dans le même temps, un message de Turner avertit qu'une flotte s'approche au nord-est de Red Beach. Pour son second, les japonais frapperont une fois qu'ils se replieront et seront dans le convoi, devenant des cibles faciles. Mais pour le général, il est temps de trouver son ennemi invisible et de lancer les recherches dans la jungle. Puis ils entendent des tirs de canons, mais aucune victime n'est à déplorer. Vandergrift ne comprend pas ce qu'il se passe avec cette étrange situation, et on ne le voit plus ensuite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Sillage 29 : Conseils".
    • Statut au volume 4 : Vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Deuxième maître Enomoto

    Volume 3

    Enomoto est l'un des membres du Mirai, ce croiseur du début du 21ème siècle qui se retrouve curieusement transporté en pleine guerre du Pacifique, juste avant la bataille de Midway. Après avoir sauvé un officier des communications, le capitaine Takumi Kusaka, le Mirai est repéré par un sous-marin américain mais parvient à s’échapper. Le sous-lieutenant Mori est ensuite tué lors d'une mission d'observation du port de Yokosuka avec l’hélicoptère umitori. Par la suite, le second du croiseur, le capitaine Yôsuke Kadomatsu, part avec Kusaka à Singapour pour pouvoir ravitailler le navire. Cependant, ils sont découverts par le lieutenant Kazuma Tsuda, un ancien subalterne de Kusaka. Quand le navire de ravitaillement arrive près du croiseur, cachés dans les îles Anambas, une négociation s'engage et le Mirai doit révéler son existence à la flotte combinée, basée à Truk. Le commandant du navire, le capitaine Saburô Umezu, décide d'aller à Guadalcanal pour modifier l'histoire en tentant de préserver un maximum de vies sur cette île qui doit bientôt être le lieu d'une terrible bataille. Kusaka, lui, se rend à Truk avec l'umitori et son pilote, le lieutenant Satake, pour tenter de convaincre l’état-major de la marine impériale de se retirer de Guadalcanal. Une fois près de Guadalcanal, le croiseur envoie l’hélicoptère de transport, le SH60J, avec à son bord Kadomatsu, le capitaine Kôhei Oguri, chef navigateur, le chef Yanagi et Enomoto. Ceux-ci vont tenter de forcer l’armée américaine à se retirer de l'île. Une fois sur place, le commandant en second fait l'appel, puis ils vérifient leur position. Ils devront d'abord attendre la fin des bombardements des américains dans un trou qu'ils vont creuser. Kadomatsu ajoute que la priorité est la sécurité des coéquipiers, par rapport à la vie des américains ou même des autres japonais. Une fois dans le trou, et sous les bombes, Enomoto se demande s'ils ont eu raison de faire confiance à Kusaka, car ainsi, ils ne devront pas intervenir. Pour Yanagi, ainsi, la première bataille des îles Salomon n'aura pas lieu. Enomoto se demande alors ce qui se passerait si la flotte de Mikawa ne renonce pas à l'affrontement. Oguri dit que dans ce cas, ils devront renvoyer les 11.000 hommes de la marine impériale présents sur l'île. Le commandant en second ordonne alors de la fermer, mais le chef navigateur répond que s'il ne parle pas, il deviendra fou. On ne voit plus Enomoto ensuite dans ce tome.

    Volume 4

    Après le bombardement des américains, l’équipe va se diriger vers la plage de débarquement, car ils ont entendu les canons de la flotte de Mikawa, conformément à l'histoire, ce qui signifie que Kusaka n'a pas convaincu la marine impériale de renoncer à défendre Guadalcanal. Après un rappel des événements historiques par Yanagi, ils décident de continuer selon le plan en forçant les américains à quitter l'île. Une fois sur la plage, Enomoto utilise l’éclairage laser pour viser les provisions des américains qui se trouvent sur la plage. Au moment prévu, Enomoto allume l'appareil, et le Mirai lance un missile qui touche sans exploser, comme prévu. Les américains commencent à s'agiter, mais le chef canonnier, Masayuki Kikuchi, signale que la flotte combinée, menée par le Yamato, est en route pour Guadalcanal. Kusaka a envoyé un message demandant à l’équipe de quitter la zone, car les navires japonais vont massacrer les marines américains. Kadomatsu se fâche contre Kusaka et fait envoyer une réponse comme quoi il n'accepte pas cette offensive et refuse de se retirer. C'est alors que Kusaka contacte directement le commandant en second grâce à la radio de l'umitori, dans un hangar du Yamato. Il parle d'un nouveau Japon qu'il veut construire, Zipang, qui n'est ni l'empire du Japon, ni le Japon d’après-guerre que connaissent les membres du croiseur, en réussissant une pacification glorieuse sans capitulation du Japon. Mais Kadomatsu refuse cette tricherie qui entraînerait la mort des 11.000 marines américains, et il est prêt à utiliser la puissance du Mirai. Oguri, Enomoto et Yanagi se mettent à l'abri mais le commandant en second, lui, reste à découvert, ayant confiance en Kikuchi. Le croiseur intercepte effectivement tous les obus du cuirassé. Pendant que Kikuchi et Umezu négocient avec la flotte combinée, l’équipe de Kadomatsu rejoint le SH60J qui doit les récupérer. Mais en montant une colline, Yanagi fait une chute et les autres entendent des coups de feu. Ils interviennent et tuent les 8 américains qui patrouillaient. Enomoto en pleure car ils étaient venus les sauver, puis le commandant en second lui demande de soigner Yanagi qui a été blessé. Ils rejoignent l’hélicoptère et Enomoto n'apparaît plus ensuite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Sillage 30 : L'île de Guadalcanal".
    • Statut au volume 4 : Vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Vice-amiral Gunichi Mikawa (PH)

    Volume 4

    Il s'agit du commandant de la huitième division de la marine impériale japonaise, durant la guerre du Pacifique. En août 1942, il se dirige vers l'île de Guadalcanal, que l’état-major lui a demandé d'attaquer brièvement avant de se retirer. Après avoir laissé la direction des navires aux commandants respectifs, la flotte confirme la présence de 3 navires ennemis et les attaque immédiatement. Après avoir tiré les premières torpilles, ils découvrent 5 autres navires et continuent l'offensive. Puis un soldat vient signaler des dégâts dans les salles des cartes marines et dans les appartements de l'amiral, ainsi que plusieurs blessés. Cependant, les appareils de contrôle et l'armement sont intacts. Avec 4 croiseurs coulés et 2 destroyers détruits, l'un des officiers pense qu'ils doivent continuer leur offensive et aller couler le convoi de ravitaillement des américains, même s'ils ne savent pas si l'aviation ennemie est sur place. Mikawa lui répond que l'aviation n'est pas là, car il en a reçu l'information. Pourtant, il a reçu l'ordre de se retirer après cette escarmouche et, après avoir féliciter ses hommes pour le travail accompli, il ordonne le regroupement de la flotte pour rentrer à la base. Pour le vice-amiral, le plan se déroule comme prévu et c'est maintenant à l'amiral Yamamoto d'entrer en action. C'est la dernière apparition de Mikawa dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Sillage 32 : 8e division, chargez !".
    • Statut au volume 4 : Vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    A suivre...

    Cronos


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  • Voilà la suite de la troisième page des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Chef Ashikawa

    Volume 9

    Suite aux exercices, Kadomatsu revient à bord du Mirai avec le bras en bandoulière. Plus tard, l’équipage évoque son souhait d'aller aider les 4.000 hommes qui se trouvent sur les îles de Kiska et d'Attu, dans les Aléoutiennes, qui devraient bientôt être fortement attaqués par l’armée américaine. Umezu donne son accord, et il reçoit l'aval de la marine impériale, qui fournit un navire de transport, et détache un agent de liaison, le capitaine Eiichiro Taki, le même qui avait essayé de faire couler le Mirai en maintenant à bord d'un sous-marin Kadomatsu et Yanagi, forçant ainsi le croiseur à affronter une escadrille américaine. Mais alors qu'ils pensent arriver bien avant les américains, les radars du Mirai détectent une flotte américaine. L’équipage espère qu'ils ne seront pas repérés, grâce à l’épais brouillard qui restreint la visibilité. Puis, quand ils détectent une communication par signaux lumineux grâce à la caméra infrarouge, ils comprennent qu'ils ont probablement été repérés. Le commandant du navire décide de bouger et de se mettre hors de portée, tout en lançant des leurres. C'est alors qu'Ashikawa confirme que 6 coups de canons ont été tirés depuis un navire américain à 30° à bâbord et à 2 km de distance. Le Mirai parvient à esquiver les obus. Ensuite, tout en zigzaguant entre les navires américains, le croiseur, dirigé par Kadomatsu, réussit à neutraliser ses adversaires en tirant à chaque fois quelques coups avec une grande précision. La flotte américaine rompt sa formation, puis tous les bâtiments, à l'exception du vaisseau principal, s'en vont. Mais soudain, tous les écrans du Mirai ont des parasites et les radars sont brouillés. Kikuchi comprend que c'est à cause de solar max, un phénomène naturel magnétique. Pour avoir plus de chances de toucher le navire américain, il suggère donc d'utiliser la méthode Armageddon, en lançant tous les missiles en direction de l'adversaire. Mais il ne peut pas garantir à 100% la sécurité de l’équipage, alors que si le temps s’éclaircit, le navire américain les réduira en miettes. Ashikawa écoute avec stupéfaction cette conversation entre le commandant en second du Mirai et le chef canonnier. C'est la dernière apparition d'Ashikawa dans ce tome.

    Volume 12

    Finalement, Kadomatsu choisit plutôt de rester un homme du 21ème siècle, et d'utiliser toutes les ressources du Mirai et de ses membres pour repérer le bateau américain. Et cette méthode paie puisqu'un avion japonais qui était dans les environs balance une bombe sur le navire américain. Oguri et ses hommes aperçoivent aussitôt les flammes, et le Mirai peut lancer un missile pour couler le bateau américain sans faire trop de victimes. Après avoir sauvé les hommes de Kiska et d'Attu, le capitaine Umezu doit quitter le navire car il a été sérieusement touché à la tête durant la bataille et qu'il doit être soigné à l’hôpital de Yokosuka. Pendant ce temps, le croiseur continue à faire des patrouilles pour camoufler le retrait de la flotte combinée de Truk pour Palau, et pour donc capturer les sous-marins américains, les empêchant ainsi de communiquer le mouvement de la flotte japonaise. L’équipage apprend aussi le décès du lieutenant Tsuda, qui se trouvait apparemment en Europe pour tenter de tuer Hitler. Ensuite, un navire de transport civil, le Chôanmaru, envoie un signal de détresse car il est attaqué par un sous-marin américain, qui a donc échappé à la surveillance du Mirai. Le second du croiseur envoie Satake et l'umitori pour neutraliser le sous-marin qui a fait surface. Puis celui-ci confirme que le Chôanmaru va couler, qu'il y a de nombreux blessés et que beaucoup n'ont pu prendre place dans les canots. Ashikawa transmet la demande d'aide pour le sauvetage à Kadomatsu. C'est la seule fois que l'on voit Ashikawa dans ce tome.

    • Statut au volume 12 : Vivant.

    Volume 13

    Le Mirai part sauver les quelques survivants du Chôanmaru avant de les remettre à la marine impériale. Ensuite, ses membres décident de prendre part à l'opération de retrait de la Nouvelle-Guinée. Cependant, cette opération correspond à la tragédie du détroit de Dampier, et Kadomatsu ne veut pas qu'il y ait de trop nombreux morts, que ce soit d'un côté ou de l'autre. C'est pour cela qu'il suggère à l'état-major de la marine d'attaquer préventivement l'aérodrome de Seven Miles, détruisant ainsi des avions presque vides alors qu'ils sont encore au sol. Tout se passe bien, et après cette attaque, les navires de transport, escortés par des destroyers, peuvent tranquillement quitter la Nouvelle-Guinée avec de nombreux hommes à bord. Le croiseur les suit à bonne distance, et Ashikawa annonce que la flotte se dirige vers le détroit de Dampier avec une formation en cercle et une vitesse inchangée de 13 noeuds, alors qu'ils vont eux-mêmes à 35 noeuds. Soudain, une escadrille de 100 appareils apparaît sur les écrans, probablement américains. Ceux-ci, dont le Mirai ignorait apparemment l'existence et qui n'ont pas été détruits, prennent alors pour cible le croiseur. Kikuchi fait alors lancer 12 missiles qui abattent 12 appareils américains, et Ashikawa suit le combat sur les écrans avec attention, mais en restant silencieux. Ashikawa n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 14

    Le combat continue et comme le CIWS est à court de munitions, Oguri sort avec Yonekura et Yanagi pour aller le recharger. Pour les couvrir, le lieutenant Satake décolle avec l'umitori. Mais après un moment, le chef Ôme signale que les 25 appareils américains rescapés vont lancer une attaque simultanée, ce qui semble effrayer Ashikawa. C'est la seule apparition d'Ashikawa dans ce tome.

    Volume 15

    L'assaut des appareils américains est lancée, alors que le Mirai est protégé par l'umitori. Cependant, sa mitrailleuse s'enraille, et le lieutenant Satake aperçoit des obus qui se dirigent dangereusement vers le croiseur. Il décide alors d'éjecter son copilote, Hayashibara, et de foncer pour intercepter les obus avec l'hélicoptère. L'appareil et son pilote sont détruits, et le CIWS du Mirai est rechargé. Le croiseur se met à riposter, et le reste de l'escadrille américaine finit par battre en retraite. Cependant, la perte de Satake perturbe l'équipage du Mirai, et une fracture commence à se créer entre Kadomatsu, qui veut continuer à préserver le plus de vies possibles, et Kikuchi, qui veut prendre une part plus active à la guerre. Un jour, le chef Ôme entre dans le quartier des maîtres d'équipage, où Ashikawa lit un magazine. Celui-ci déclare qu'il connaît presque par coeur tous les magazines qu'ils ont embarqué lors du départ, il y a presque un an. Ôme le questionne alors sur ce qu'il ferait en tant que canonnier si Kikuchi lui demandait un service, c'est-à-dire de quel côté il se rangerait si le commandant en second et le chef canonnier n'étaient plus d'accord. Ashikawa dit avoir du respect pour Kadomatsu, mais ce que dit Kikuchi a du sens. Il a une boule dans le ventre en pensant aux autres membres du croiseur qui sont morts, et se demande pourquoi ils sont morts. Il veut, tout comme les autres membres de la section, que leur combat ait un sens. Et un militaire doit protéger les autres. Ôme dit alors que jusque là, ils obéissaient aux politiciens, et que maintenant, ils devraient penser par eux-mêmes. Ils laissent les mérites à ceux d'en haut et se contentent de faire ce qu'on leur dit. Ashikawa lui répond alors en lui demandant pourquoi il voulait son avis sur quel parti il prendrait entre Kadomatsu et Kikuchi. Finalement, Ôme se range du côté du chef canonnier lui aussi. Lors d'une réunion secrète visant à prendre le contrôle du Mirai par la force, Ôme demande ce qu'il doit faire si une personne qu'il menace de son arme refuse d'obtempérer. Le lieutenant Kirino lui répond que toute personne qui refuse d'obéir doit être considérer comme ennemie, et que ceux qui ne peuvent pas appuyer sur la gâchette n'ont pas leur place là. Ashikawa écoute en silence, un peu étonné par la réponse. Quelques temps plus tard, Kikuchi essaie une dernière fois de convaincre Kadomatsu, mais il diffuse la conversation à travers tout le croiseur grâce à un micro. Ashikawa écoute attentivement tout en étant un peu nerveux en attendant la réponse du commandant en second. Mais Kadomatsu veut rester un soldat de la force de défense. Kikuchi prend alors le contrôle du navire, mais le lieutenant Tachibana se rebelle, et un coup de feu finit par partir, blessant Noguri. Pour éviter un bain de sang, le commandant en second choisit de quitter le navire avec ceux qui choisissent de l'accompagner, à l'exception d'Oguri qui doit rester à bord. A Palau, au moment du départ, tout l'équipage, dont Ashikawa, sort pour saluer Kadomatsu et les 4 hommes qui le suivent...

    • Statut au volume 16 : Vivant.

    Toï

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 16 : Supposé vivant.

    Major Kawamoto

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.

    Volume 13

    Le Mirai reprend la mer et part pour les Aléoutiennes, pour aller aider les 4.000 hommes qui sont sur place et qui vont bientôt être attaqués par les américains. Mais sur place, ils doivent affronter une flotte américaine, et durant le combat, le capitaine Saburô Umezu, le commandant du navire, est fortement blessé à la tête. Au retour du croiseur à Yokosuka, Umezu doit être emmené à l’hôpital pour y être soigné. Pendant ce temps, Kawamoto est mis sous les ordres du lieutenant Kisaragi, qui est envoyé à Xinjing pour y arrêter Kusaka. Celui-ci revient d'Allemagne à bord d'un A-26 en ayant pris l’identité du lieutenant Tsuda, décédé en Europe et qui, lui, était allé en Allemagne sous une identité de technicien pour tenter de tuer Hitler, ce qui a échoué. Kisaragi se rend à une soirée pour l’équipage de l'A-26 qui a lieu dans l’hôtel Yamato, et après en être sorti, il espionne avec le major pour voir les personnes qui sortent de la soirée. Kawamoto reconnaît Kusaka et demande au lieutenant s'ils doivent agir, mais Kisaragi préfère attendre que Kusaka soit seul. Ils suivent Kusaka jusqu’à son hôtel mais celui-ci s'est déjà enfui. Ils vont donc à la gare de Xinjing et tentent de procéder à son arrestation. Cependant, ils sont bloqués par l’armée de terre, puis soudain, Kusaka décide de se rendre, à la surprise générale. Kisaragi et Kawamoto acceptent d'accompagner Kusaka dans sa région natale, dans la banlieue de Morioka. Là-bas, ils trouvent une tombe qui est celle de Kusaka lui-même. Le major s'interroge sur la famille du capitaine, qui est toujours sur place, et s'il ne devrait pas prévenir ses parents qu'il est en vie. Ils croisent alors un prêtre qui reconnaît Kusaka, et qui lui dit que sa famille va bien. Pendant qu'ils discutent, le major déclare au lieutenant avoir été surpris qu'il ait autorisé cette visite dans la région natale de Kusaka. Kisaragi répond qu'ils auraient été remarqué s'ils étaient restés à Yokosuka. Comme Kawamoto se doute que ce n'est pas la seule raison, il ajoute qu'il a aussi rencontré un membre du Mirai, et que le seul à avoir abandonné la marine après avoir eu connaissance du croiseur, c'est Kusaka. Il espérait donc comprendre en venant là. Puis, Kusaka annonce qu'il ne veut pas que ses parents soient au courant qu'il est en vie. Le soir, en montrant une pièce de 100 yens du futur, Kusaka explique qu'il hait ce Japon qui a perdu son indépendance et sa liberté, ainsi que ceux qui l'acceptent, mais aussi lui-même pour avoir connaissance de ce futur. Plus tard, le groupe prend un avion pour Palau et ils attendent un capitaine nommé à l’état-major de la flotte combinée. Il s'agit d'Eiichiro Taki, que Kusaka connaît. Taki évoque le retrait prochain de la Nouvelle-Guinée, et le fait qu'il présidera la commission d’enquête sur Kusaka. A Palau, Kawamoto conduit Kusaka à sa cellule et vient le chercher quelques jours plus tard pour une audition préalable. Le major constate que Kusaka a nommé des lézards Isoroku, comme l'amiral, et Yôsuke, comme le second du Mirai. Kawamoto comprend que Kusaka a un mental solide. Par la suite, Kawamoto accueille le capitaine Kikuchi, qui vient discuter de l’opération de retrait de Nouvelle-Guinée avec l’état-major. Le soir même, Kikuchi demande au major à pouvoir entrer en contact avec Kusaka. On ne voit plus Kawamoto par la suite dans ce tome.

    Volume 15

    Les négociations entre le Mirai et l'état-major de la marine finissent par aboutir sur une solution. La Marine attaque de manière préventive un aérodrome américain grâce aux informations récoltées par le croiseur, limitant ainsi le nombre de victimes chez les américains. Puis la marine peut tranquillement évacuer les hommes de la Nouvelle-Guinée. Hors, une escadrille américaine, dont les membres du Mirai n'avaient apparemment pas connaissance, est parvenue à échapper à la destruction, et apparaît à proximité du détroit de Dampier. Mais cette escadrille vise spécialement le croiseur et l'attaque. Le combat s'engage et le Mirai finit par gagner, mais en perdant un autogire et son pilote. Les jours passent et on arrive au mois d'avril 1943. L'amiral Yamamoto choisit d'aller à Rabaul pour préparer, en association avec l'armée de terre, le retrait des troupes sur place qui sont maintenant en première ligne. C'est alors que Kawamoto apprend le 25 avril le décès au champ d'honneur de l'amiral. En allant servir le repas de Kusaka, il ne peut cacher son attitude choquée et révèle à l'ancien capitaine que Yamamoto aurait reçu une rafale de tir d'un appareil ennemi durant un bombardement américain. Un autre jour, Kusaka dit se douter que la nouvelle n'est pas encore officielle. Le major confirme car seuls les politiciens concernés et l'état-major militaire sont au courant. Kusaka déclare alors à Kawamoto qu'il est un bon élément, et il donne un message qui doit être remis au capitaine Kikuchi du Mirai. Une autre fois, le Major dit à Kusaka de sortir de sa cellule car il ne sera plus un prisonnier. Kawamoto n'apparaît plus ensuite dans ce tome.

    • Statut au volume 16 : Supposé vivant.

    Watanabe

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 16 : Supposé vivant.

    Matelot Shimizu

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 16 : Supposé vivant.

    Capitaine de vaisseau Kameto Kuroshima (PH)

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Vivant.

    Volume 13

    Lors du chemin de retour du Mirai vers Yokosuka, le capitaine Taki force le croiseur à affronter une escadrille américaine pour le couler et se débarrasser de cet élément perturbateur. Il échoue cependant et le Mirai rentre à Yokosuka pour être ravitaillé et réparé après les dommages subis. Ensuite, l’équipage du croiseur choisit d'aller secourir les 4.000 hommes des îles de Kiska et d'Attu, dans les Aléoutiennes, car ceux-ci devraient être rapidement attaqués en force pour être anéantis. Le Mirai remplit sa mission, mais ses membres sont obligés d'affronter une flotte américaine qui se trouve présente sur place, et le capitaine Umezu est fortement touché à la tête durant le combat. Celui-ci est conduit à l’hôpital de Yokosuka, et cède sa place à son second, le capitaine Yôsuke Kadomatsu. Ensuite, le croiseur se contente de faire des patrouilles pour trouver les sous-marins, et ainsi les neutraliser pour les empêcher de signaler à la marine américaine que la flotte combinée se retire de Truk pour s'installer à Palau. En même temps, Yamamoto fait arrêter Kusaka. Celui-ci a déjà tué l'empereur Puyi de Mandchourie, et puis a convaincu Tsuda d'aller en Allemagne sous une fausse identité pour tenter d'assassiner Hitler. Kusaka s'est rendu lui aussi en Europe pour une raison inconnue, et est reparti par l'A-26 qu'avait emprunté Tsuda, sous l'identité de ce dernier, pour retourner à Xinjing. Après l'arrestation de Kusaka et son transfert à Palau, l'état-major de la marine impériale et le Mirai doivent discuter du retrait de la Nouvelle-Guinée car les membres du croiseur craignent une tragédie dans le détroit de Dampier. Et c'est le chef canonnier du croiseur, le capitaine Masayuki Kikuchi, qui est envoyé pour mener les discussions en vue de modifier le plan de retrait ou de le postposer. Kuroshima est présent durant la réunion, durant laquelle le capitaine Taki rejette directement les propositions de Kikuchi, parlant de plaisanterie. Le chef canonnier fait mine de partir, mais Taki sait très bien que le Mirai souhaite pousser les négociations jusqu'à ce que le résultat leur soit satisfaisant. Les négociations continuent jusque tard dans la nuit, puis Taki suggère d'aller se coucher car les discussions sont au point mort. C'est la dernière apparition de Kuroshima dans ce tome.

    Volume 14

    L'état-major accepte finalement une proposition du Mirai, celle d'attaquer préventivement un aérodrome américain, détruisant ainsi leurs appareils et réduisant considérablement les pertes humaines. Ainsi, le transport des troupes dans le détroit de Dampier peut se dérouler calmement. Pourtant, une escadrille américaine, dont les membres du croiseur n'avaient pas connaissance, ont échappé à la destruction, et prend pour cible le Mirai. Celui-ci parvient à s'en sortir mais perd dans la bataille son autogire offensif. Par la suite, à l'approche du mois d'avril, l'état-major se réunit pour savoir si l'amiral Yamamoto doit se rendre à Rabaul. Mais Kuroshima s'y oppose farouchement car maintenant que Guadalcanal a été évacué, c'est Rabaul qui est en première ligne. Un autre membre de l'état-major pense qu'il ne faut pas s'alarmer car une division se rend sur place, tandis qu'un autre officier s'énerve en énumérant tous les soldats qui sont à Rabaul. pour lui, le déplacement de l'amiral pourra permettre la coordination entre la marine impériale et l'armée de terre. Mais pour Kuroshima, c'est bien pour cela qu'il ne faut pas mettre la vie de Yamamoto en danger. L'autre officier déclare alors que si l'amiral n'y va pas, il perdront la face devant l'empereur. Ugaki intervient alors pour dire de cesser car la décision revient finalement à Yamamoto lui-même. On ne voit plus Kuroshima par la suite dans ce tome.

    Volume 15

    L'amiral prend finalement la décision de quand même aller à Rabaul, et ce, en compagnie du capitaine Taki et du contre-amiral Ugaki. Le 18 avril 1943, une escadrille américaine attaque et bombarde Rabaul, alors que Yamamoto, Taki et Ugaki se sont mis à l'abri dans un bunker. Malheureusement, un soldat américain, dont l'appareil s'est crashé sur l'île, tire et blesse mortellement l'amiral, alors que le reste de l'escadrille est déjà parti. La marine garde l'information secrète durant une semaine, et le 24 avril, l'état-major tient une réunion à bord du Musashi. Kuroshima est présent et annonce que le prochain amiral en chef de la flotte combinée, l'amiral Mineichi Koga va arriver le lendemain. Il ne veut pas que les autres officiers et les soldats apprennent déjà la mort de Yamamoto, et Koga vient officiellement pour une visite d'observation. Ensuite, Kuroshima voit la main d'Ugaki trembler. Il lui dit comprendre ce qu'il ressent, mais ajoute de ne pas agir dans la précipitation, car l'amiral n'est pas du genre à tolérer le suicide. Le contre-amiral le sais bien, et Kuroshima n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 16 : Supposé vivant.

    Contre-amiral Matome Ugaki (PH)

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Vivant.

    Volume 13

    Le capitaine Taki tente effectivement de faire couler le Mirai grâce à une escadrille américaine, mais il échoue. Ensuite, le croiseur arrive à Yokosuka où il est ravitaillé et réparé par la marine impériale, puisqu'il a quand même subit des dégâts. Par la suite, l’équipage du Mirai choisit d'aller sauver les hommes des îles de Kiska et d'Attu, dans les Aléoutiennes, car ceux-ci devraient bientôt être attaqué intensément par la marine américaine. Là-bas, le Mirai doit affronter une flotte américaine pour couvrir le déplacement des hommes des 2 îles. Durant le combat, le capitaine Umezu est sérieusement blessé à la tête, et il doit donc être soigné à l’hôpital de Yokosuka, laissant le commandement du navire à son second, le capitaine Yôsuke Kadomatsu. Après cela, le croiseur continue à faire des patrouilles pour détecter les sous-marins américains qui pourraient communiquer à leur état-major que la flotte combinée se retire de Truk pour établir sa base à Palau. Yamamoto fait aussi capturer Kusaka, qui a tué l'empereur Puyi de Mandchourie, puis qui a envoyé Tsuda en Europe pour tenter de tuer Hitler, ce qui a échoué. Par la suite Kusaka aurait pris l’identité de Tsuda, décédé, pour revenir en Mandchourie avec un A-26, transportant avec lui de l'uranium enrichi. Après l'arrestation de Kusaka et son transfert à Palau, le Mirai cherche à éviter un drame qui doit se dérouler dans le détroit de Dampier, et donc à assurer le transport des troupes de Nouvelle-Guinée. Pour cela, ils envoient le capitaine Masayuki Kikuchi, leur chef canonnier, qui demande à la marine impériale la modification ou le report de l’opération d’évacuation. Ugaki est présent à cette réunion, en compagnie notamment de Kuroshima et de Taki. Ce dernier refuse catégoriquement la demande du Mirai, et Kikuchi s’apprête alors à rompre les négociations. Mais Taki sait bien que Kadomatsu lui a certainement demandé d'insister, et que donc, le chef canonnier ne partira pas comme cela. La discussion continue, mais au bout d'un moment, comme ils sont au point mort, Taki suggère de se revoir le lendemain. Ugaki n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 14

    Finalement, l'état-major de la marine impériale et le Mirai tombent d'accord sur le fait d'attaquer préventivement l'aérodrome de Seven Miles, en évitant au maximum les pertes humaines, grâce à des photos de très bonne qualité récoltées par l'autogire du croiseur. Ainsi, ils pourront effectuer le transport des troupes beaucoup plus tranquillement. Cependant, une escadrille américaine reste cachée et attaque alors le Mirai. Dans la bataille, le croiseur perd son autogire mais parvient à repousser l'offensive en abattant la moitié des appareils adverses. Un peu après ces événements, une réunion de l'état-major a lieu pour savoir si l'amiral Yamamoto doit se rendre ou non à Rabaul. Kuroshima ne veut pas car maintenant que Guadalcanal a été évacué, Rabaul est en première ligne. Mais d'autres membres de l'état-major ne sont pas d'accord car il y a de nombreux hommes à Rabaul et que pour la coordination entre la marine et l'armée de terre, c'est indispensable que l'amiral se rende à Rabaul. Kuroshima ne veut pas mettre la vie de Yamamoto en danger, mais pour un autre membre de l'état-major, ils pourraient perdre la face devant l'empereur si l'amiral n'y va pas. Ugaki intervient alors pour dire qu'il est inutile d'en débattre entre eux et que la décision appartient au final à Yamamoto lui-même. C'est la seule apparition d'Ugaki dans ce tome.

    Volume 15

    Yamamoto décide finalement de quand même aller à Rabaul, en compagnie d'Ugaki et de Taki. Ils arrivent le 16 avril et s'entretiennent avec le général Hitoshi Imamura de la 8e division de l’armée de terre. Celui-ci parle d'une rumeur selon laquelle un navire seul aurait abattu de nombreux appareils ennemis à Dampier. Au lieu ne nier ces dires, l'amiral lui répond que ce navire a une portée de 450 km et qu'il vient du futur. Imamura rigole un peu et admet avoir été indiscret, sachant que Yamamoto ne peut pas tout lui dire, et voulant rapprocher marine et armée de terre. Ugaki reste muet durant la conversation. Le lendemain ont lieu des discussions sur le retrait de Rabaul, auxquelles participent Ugaki. Puis l'amiral va visiter un hôpital, toujours en compagnie de Taki et d'Ugaki, où il montre qu'il peut faire le poirier malgré ses 2 doigts manquants. Le jour suivant, les vigiles annoncent une attaque aérienne des américains. Les 3 officiers partent donc se mettre à l'abri dans un bunker où ils attendent que l'offensive passe. Après le départ des appareils américains, Yamamoto annonce qu'il souhaite constater les dégâts de lui-même. Taki choisit de l'accompagner et Ugaki le suit aussi. Cependant, alors qu'ils marchent près de la carcasse d'un avion américain, un coup de feu retentit et Yamamoto s’écroule. Le contre-amiral emmène l'amiral dans le bunker, tandis que le capitaine maîtrise l'agresseur. Quand celui-ci revient, Ugaki lui annonce que malgré les 4 médecins, Yamamoto est décédé à 9h45. Il ajoute que la nouvelle ne doit pas s’ébruiter pendant une semaine. Le 24 avril, lors d'une réunion sur le Musashi, Kuroshima annonce que le nouvel amiral en chef sera Mineichi Koga et qu'il arrivera le lendemain, officiellement en visite d'observation. Ensuite, il voit que la main d'Ugaki tremble. Il lui dit de ne pas se précipiter et que l'amiral n'est pas du genre à tolérer le suicide. Ugaki lui répond qu'il le sait bien et on ne le voit plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 16 : Supposé vivant.

    Général A. Alexander Vandergrift (PH)

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Vivant.
    • Statut au volume 16 : Supposé vivant.

    Deuxième maître Enomoto

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Vivant.
    • Statut au volume 16 : Supposé vivant.

    Vice-amiral Gunichi Mikawa (PH)

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Vivant.
    • Statut au volume 16 : Supposé vivant.

    A suivre...

    Cronos


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  • Voilà la seconde suite de la troisième page des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Chef Ashikawa

    Volume 17

    Après le départ de Kadomatsu et de ses hommes, Kikuchi annonce au reste de l'équipage qu'ils vont attaquer l'Inde. Ainsi, les désirs d'indépendance de cette région vont s'intensifier et Churchill, occupé en Europe, sera obligé d'appeler Roosevelt à l'aide pour qu'il attire les japonais dans les Mariannes. Par la suite, alors qu'ils se dirigent vers Ceylan avec une flotte assez réduite de la marine impériale, à cause du nouvel amiral en chef, Mineichi Koga, qui craint malgré tout une attaque prochaine dans les Mariannes, les membres du Mirai discutent de ce qu'il va se passer. Ashikawa parle avec Kashiwabara, et tous les 2 craignent que ces attaques surprises ne fassent beaucoup de victimes. Soudain, le chef Ôme signale un écho sur le radar, et tout le monde doit aller au poste de combat. Il ne s'agit que d'une appareil de patrouille mais le chef canonnier décide tout de même de l'abattre. Ensuite, le 17 juillet, la flotte japonaise lance sa première attaque sur l'île de Ceylan. Ashikawa est en poste à côté d'Ôme, et celui-ci signale qu'à 5h20, à 230 miles au sud-ouest de Ceylan, la première vague d'assaut décolle. Kikuchi fait déclencher le brouillage des ondes, et la première vague revient de son attaque avec peu de pertes. La situation est différente pour la seconde vague, et alors que la plupart des appareils retournent vers la flotte, Ôme signale qu'un tenzan est poursuivi par un mosquito anglais et s'éloigne de la flotte. Ôme se demande s'ils ne peuvent pas l'aider. Le chef canonnier est perplexe car la structure du tenzan est métallique, alors que celle du mosquito est en bois. Ils ne peuvent donc pas utiliser leurs missiles à longue portée et doivent se rapprocher pour utiliser leur canon. Ashikawa reste à son poste mais n'intervient pas, alors que les 2 appareils sont en plein combat aérien. Une fois que les 2 avions sont en vue, Ashikawa saisit les données et annonce que le stabilisateur de visée est opérationnel. Ils abattent le mosquito et le tenzan peut enfin rejoindre la flotte. Après cela, la flotte se sépare en 2, Kusaka allant vers Bombay, tandis que Taki va vers Dacca et Chittagong en compagnie du Mirai. Pour pouvoir communiquer malgré le brouillage des ondes, le Mirai envoie Tachibana et Okishima à bord du porte-avion Ryûjô pour mettre en place une radio. Le 24 juillet, à 4 heures du matin, ils font un essai qui se révèle concluant, et Ashikawa semble à l'affut. Le jour suivant, alors que l'ECM est activé, les escadrilles sont à 30 minutes de leurs cibles, et Ashikawa paraît calme. On ne voit plus Ashikawa ensuite dans ce tome.

    Volume 18

    Malheureusement pour la marine impériale et le Mirai, l'armée anglo-indienne a fait décoller ses appareils dès qu'ils ont vu que leurs ondes ont été brouillées. Kikuchi demande à Taki de pouvoir désactiver l'ECM, mais ce dernier refuse car cela donnerait la position de la flotte japonaise à l'armée anglo-indienne. La première vague se fait anéantir, ainsi que la seconde, et le reste de l'escadrille anglo-indienne, qui a malgré tout compris où se trouve la flotte japonaise, se dirige vers elle avec la ferme intention de la détruire. A ce moment, le chef canonnier du croiseur souhaite venir en aide à la flotte japonaise, mais Taki refuse catégoriquement car il ne faut que le Mirai s'expose. Ensuite, Kikuchi souhaite qu'au moins, Tachibana et Okishima soient évacués, mais à ce moment-là, c'est Tachibana qui n'est pas d'accord car cela mettrait encore plus le Ryûjô en danger, et que cela ne serait raisonnable pour sauver seulement 2 vies. La flotte japonaise essaie de se mettre à l'abri sous un squall, mais le Ryûjô est sérieusement touché et ne peut plus y arriver, l'évacuation géénrale est ordonnée, mais Tachibana se retrouve bloqué dans la salle des radios. Il continue à communiquer jusqu'à ce que l'eau envahisse la salle où il se trouve. Alors que le Mirai se dirige vers le lieu du naufrage et qu'il reste 12 appareils de l'armée anglo-indienne, Ashikawa signale que le sonar relève des perturbations. Ces ondes terribles serait le bruit provenant du naufrage du porte-avion. C'est la seule fois qu'apparaît Ashikawa dans ce tome.

    Volume 19

    Le Mirai arrive à proximité du lieu du naufrage du Ryûjô, et malgré le fait que le reste de la flotte ne court plus aucun risque puisque les appareils de l'armée anglo-indienne rentrent vers leur base, Kikuchi décide de les abattre malgré tout. Le croiseur lance alors plusieurs missiles pour abattre plusieurs avions anglo-indiens et achève les autres avec le canon principal. Ashikawa regarde avec stupéfaction les signaux de ces appareils disparaître les uns après les autres, mais sans dire un mot. C'est la seule apparition d'Ashikawa dans ce tome.

    • Statut au volume 20 : Vivant.

    Volume 21

    Après avoir éliminé tous les appareils de l'armée anglo-indienne, le Mirai récupère Okishima et rentre à Palau, la mission étant un succès malgré la perte du Ryûjô. Par la suite, la nouvelle mission du croiseur est de soutenir le retrait des îles Gilbert de la marine impériale, puis de faire croire à l'armée américaine que l'armée japonaise est toujours là, et qu'au contraire, elle renforce sa défense de ces îles. Mais alors que le Mirai lève l'ancre pour se diriger vers les îles Gilbert, Ashikawa repère un bruit d'ébullition droit devant le navire. Il s'agirait d'un sous-marin qui se trouverait à 2.000 mètres devant eux, et qui remonte à la surface. Kashiwabara dit que pourtant, d'après la marine, il n'y aurait aucun sous-marin prévu dans la zone. Une fois en surface, le sous-marin, un igô, envoie un message lumineux, et Ashikawa reste très étonné, ne comprenant pas ce qu'il se passe. Le message dit que le capitaine Kadomatsu et ses hommes souhaitent monter à bord. Cependant, le capitaine Kikuchi refuse car ils sont en mission. hors, le sous-marin met un canot à l'eau, et des passagers montent à bord. Lorsque le spot lumineux éclaire le canot, tous reconnaissent le second du Mirai et ses hommes, ce qui provoque la joie générale, dont celle d'Ashikawa. Juste après, Ashikawa entend le bruit du remplissage des ballasts du sous-marin, ce qui signifie qu'il plonge. Il le signale et annonce que le sous-marin quitte la zone à grande vitesse. Le chef canonnier demande alors combien de temps mettrait le navire le plus proche de cette zone, et le lieutenant Kirino lui répond que le plus proche est un destroyer qui mettrait une heure au minimum. Ashikawa déclare alors que le sous-marin est déjà à 3.500 mètres...

    Volume 22

    Kikuchi finit par accepter d'envoyer le SH60J pour récupérer Kadomatsu et ses hommes. Tout comme beaucoup d'autres, Ashikawa semble content du retour du commandant en second. Par la suite, l'équipage apprend le décès du lieutenant Shinohara, battu à mort par la police spéciale, et qui était parti avec Kadomatsu. Par la suite, le 10 septembre, alors qu'il est avec d'autres membres d'équipage dans la cafétéria, Ashikawa apprend par la radio officielle japonaise la reddition de l'Italie fasciste, tout comme dans leur histoire. On ne voit plus Ashikawa par la suite dans ce tome.

    Volume 24

    Arrivé dans l'atoll de Tarawa, Kadomatsu choisit de descendre à terre avec Kikuchi sur l'île de Betio. Sur place, ils installent des systèmes de surveillance tout la journée. Cependant, le soir venu, ils repèrent des soldats américains qui débarquent après être venus avec un sous-marin. Ses soldats coupant la route de retour de l’équipe composée des 2 capitaines et du maître Enomoto, Oguri envoie le SH60J les récupérer. Mais en voulant faire signe à l'hélicoptère, Enomoto se fait tuer par un soldat américain. Le chef navigateur fait alors monter une équipe en soutien à bord du SH60J, sous les ordres du chef Asô. Le Mirai force les américains à battre en retraite mais malgré cela, la chef canonnier est touché à l'abdomen. Ne pouvant être soigné à bord du croiseur, Kikuchi est transporté par hélicoptère à Palau, pour aller le plus vite possible, avec à son bord Asô, et les lieutenants Momoi et Kirino. Quand le Mirai rejoint lui aussi Palau, tout l’équipage est fait prisonnier par la marine impériale, Kirino leur permettant de monter à bord, celui-ci ayant cru qu'Asô avait tiré volontairement sur le chef canonnier alors qu'il s'agissait d'un accident. Tous les membres du croiseur, Kirino compris, sont placés dans des baraquements sur un petite île, après avoir appris que le capitaine Umezu avait tente d’empêcher Kusaka de construire une bombe atomique à Nankin, mais y a perdu la vie. Sur l'île, ils reçoivent un message caché du lieutenant Kisaragi, un homme sous les ordres de Yonai, et qui est leur allié. Grâce aux livraisons de riz, Kisaragi leur fournit du matériel pour permettre à Kadomatsu et une partie de ses hommes de pouvoir aller sur le Mirai et récupérer encore du matériel. Ils préparent leur évasion sur plusieurs jours, le major Kawamoto, un autre allié, devant leur fournir le carburant pour le croiseur. Kadomatsu a besoin de 35 personnes minimum pour manoeuvrer le Mirai, pour après récupérer le reste de l’équipage. Ashikawa est choisi parmi ces 35 personnes. Comme le croiseur doit être déplacé, ils se mettent en route un peu en urgence, et une fois à bord du Mirai, Ashikawa et Ôme s'installent dans le CIC. Le courant est allumé et les 2 hommes regardent avec inquiétude si il y a encore le carburant réservé aux hélicoptères. Comme c'est le cas, le carburant est transféré, les moteurs allumés, et Ashikawa et Ôme activent l'ECM. Soudain, Ashikawa remarque que les canons de l'Agano, le navire censé escorter le Mirai, pointent dans leur direction. Ils esquivent une salve de tirs, et Ashikawa constate la présence de quelqu'un sur l'aile gauche de l'Agano, qui n'est autre que Kusaka...

    • Statut au volume 24 : Vivant.

    Toï

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 20 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.

    Major Kawamoto

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 20 : Supposé vivant.

    Volume 21

    Toujours en poste à Palau, Kawamoto reçoit un jour un appel du capitaine Oguri. Le major le rejoint à l'extérieur, et le chef navigateur du Mirai a une faveur à lui demander. Oguri voudrait savoir si il y a eu des ordres de patrouilles dans les mers du sud contre des sous-marins. Kawamoto revient un peu plus tard en courant vers son ami. Il n'y aurait aucun sous-marin de la marine impériale en mer de Chine du sud, mais un télégramme datant du 17 août à 12h30, heure de Palau, ordonne bien des patrouilles anti-sous-marines par les navires de surveillance. Ces navires continuerait vers le canal de Bashi, à l'exception de l'un d'eux qui agit librement et n'envoie pas de rapport périodique. Le major demande la signification de ce message au capitaine, mais celui-ci se dit pressé et lui expliquera plus tard. C'est la seule fois que l'on voit Kawamoto dans ce tome.

    Volume 23

    Le lieutenant Kisaragi arrive à Palau et demande à Kawamoto de lui indiquer où se trouve le Mirai. Alors qu'il pleut, le major revient et indique qu’après sa mission dans les îles Gilbert, le croiseur est toujours là-bas et que comme les communications sont bloquées, ils n'ont pas de nouvelles. Il est donc impossible de savoir si le capitaine Kadomatsu, qui avait quitté le Mirai suite à une prise de contrôle du navire par la capitaine Kikuchi, en désaccord avec lui sur la ligne de conduite à adopter dans cette guerre, est de nouveau à bord. D’après les informations qu'il a eu de l’état-major, le Mirai ne devrait revenir à Palau qu’après avoir constaté le débarquement de l’armée américaine dans les îles Gilbert. Kawamoto et Kisaragi apprennent par la suite que suite à un incident dans les îles Gilbert, Kikuchi aurait été blessé. Et afin que Kadomatsu ne reprenne pas le contrôle du navire, Kusaka et Taki ont arrêté et emprisonné tous les membres du croiseur, mettant le navire à l'abri des regards. Kawamoto se rend donc à la ville de Koror pour tenter de savoir où se trouve l’équipage du Mirai. Dans un bar, il retrouve un ami qu'il n'a pas vu depuis 6 mois et qui travaille dans les cuisines. Celui-ci révèle qu'il se lève tous les matins à 3 heures pour faire des boules de riz pour plus de 200 personnes. Il ne sait pas par contre où ces boules sont transportées. Après avoir repéré le bateau qui transporte le riz, le major se renseigne auprès d'un jeune pêcheur autochtone local, qui lui indique où le bateau se rend tous les matins. Kawamoto part en informer Kisaragi, qui se demande pourquoi le major l'aide ainsi. Celui-ci explique qu'il sait qu'il a été rattaché à l’état-major de Palau car il a eu trop de contacts avec le Mirai. Il est donc tenu au secret et n'est plus libre de ses mouvements. Ils se contente de suivre les ordres mais le lieutenant lui rappelle qu'il ne lui donne aucun ordre. Kawamoto raconte alors que lorsqu'il était petit, il y avait une maison où, selon les adultes, le mal habitait. le jeune garçon qu'il était ne devait pas regarder à l’intérieur, ni écouter ce qu'il s'y disait. Quelques jours après une descente de police durant laquelle tous les habitants de la maison ont été arrêtés, Kawamoto regarda par la fenêtre de la maison et découvrit un bonnet de laine tricoté non achevé. Il comprit alors que des humains habitaient là, même s'il n’était pas d'accord avec leur doctrine. Ces gens devaient d'abord être compris en tant qu’êtres humains. Ensuite, le major et le lieutenant tentent de savoir si l’équipage du croiseur est bien sur l'île en mettant un message dans l'une des boulettes, leur demandant d'allumer un soir leurs lumières durant 3 secondes à une heure déterminée pour confirmer leur présence. Et effectivement, pile à l'heure, Kawamoto et Kisaragi comprennent que Kadomatsu et ses hommes sont bien là-bas. Kawamoto n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.

    Watanabe

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 20 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.

    Matelot Shimizu

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 20 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.

    Capitaine de vaisseau Kameto Kuroshima (PH)

    Volume 17

    Suite au décès de l'amiral Yamamoto, le chef canonnier du Mirai, le capitaine Kikuchi, prend le contrôle du croiseur car il est en désaccord avec la vision du second du navire, la capitaine Kadomatsu, qui ne veut pas être rattaché à la marine impériale. Durant cette prise de contrôle, l'un des membres du Mirai est blessé, et Kadomatsu choisit de quitter le croiseur avec quelques hommes qui acceptent de le suivre. Ensuite, avec ce changement à bord du Mirai, celui-ci va agir avec la marine impériale. Le capitaine Taki décide alors de libérer le capitaine Kusaka, et de le réintégrer à l'état-major de la marine. Puis, Taki confie des photos espions de navires américains à Kikuchi pour que celui-ci puisse améliorer leur qualité et leur résolution. Ensuite, lors d'une réunion de l'état-major à laquelle participe Kuroshima, mais aussi le canonnier du Mirai, Taki présente à  nouveau ces photos, qui montre que les américains ne préparent pas encore de riposte, mais font des mouvements de transport. Kuroshima est étonné par la qualité des photos. Taki et Kusaka souhaitent alors attaquer l'Inde avec de nombreuses troupes, afin que Churchill appelle Roosevelt à son secours pour qu'il mette la pression sur les japonais dans les Mariannes, car les désirs d'indépendance de l'Inde risquent de se trouver renforcer avec une attaque sur l'Inde. Mais l'amiral Fukudome n'est pas encore sûr que ce ne sont que des mouvements de transport, et recommande une réduction des troupes pour l'attaque de l'Inde, soutenu par l'amiral Koga. C'est la seule apparition de Kuroshima dans ce tome.

    • Statut au volume 20 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.

    Contre-amiral Matome Ugaki (PH)

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 20 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.

    Général A. Alexander Vandergrift (PH)

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 20 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.

    Deuxième maître Enomoto

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 20 : Supposé vivant.

    Volume 22

    Après cette bataille sur l'île de Guadalcanal, le Mirai accepte d'aider à l’évacuation des soldats japonais présents sur l'île. Ensuite, l’équipage du croiseur obtient une permission, et Yamamoto propose à Umezu de rentrer à Yokosuka. Sur le chemin, ils sont escortés par un sous-marin, à bord duquel se trouve le capitaine Eiichirô Taki. Celui-ci ment sur l'appartenance d'un appareil de patrouille, celui-ci étant américain, et en plongeant avec à son bord Kadomatsu et Yanagi, venus avoir plus d'informations, il force ainsi le Mirai à affronter une escadrille américaine. Plusieurs membres de l’équipage décèdent, et le croiseur subit des dégâts, mais Kikuchi choisit de couler un porte-avion pour montrer la puissance de leur navire aux américains. Après cela, Taki rend les 2 membres du Mirai, et celui-ci rentre sans autre problème à Yokosuka. Là-bas, l’équipage rencontre le ministre Mitsumasa Yonai, qui souhaite que le croiseur n'intervienne plus et que le Japon perde la guerre pour se remettre en question. Pendant que Kadomatsu se rend en Mandchourie pour tenter de contrer les plans de Kusaka, le Mirai est réparé et ravitaillé par la marine impériale. Ensuite, après des exercices, le commandant en second revient, blessé à l’épaule, et n'ayant pu empêcher l'assassinat de l'empereur Puyi de Mandchourie. L’équipage du Mirai n'arrive pas non plus à convaincre le ministre Kôichi Kito de demander à l'empereur japonais d’arrêter la guerre, car cela risquerait de mettre l'empereur en danger, alors qu'il est censé le protéger. Puis, les membres du croiseur décident d'aller secourir les hommes des îles d'Attu et de Kiska, qui doivent bientôt être attaqués par l’armée américaine. Ils croisent cependant une flotte américaine et sont obligés de l'affronter. Ils s'en sortent, mais durant la bataille, le capitaine Umezu est sérieusement touché à la tête et doit être soigné à l’hôpital de Yokosuka. Suite à cette opération, le Mirai apprend le décès de Tsuda qui, sous une fausse identité, a tenté de tuer Hitler. Puis, le croiseur se contente de faire des patrouilles pour repérer et neutraliser les sous-marins américains, afin qu'ils ne communiquent pas le fait que la flotte combinée déplace sa base de Truk à Palau. L’équipage vient notamment au secours d'un navire civil attaqué. Puis, pour éviter la tragédie du détroit de Dampier en Nouvelle-Guinée, les membres du Mirai ont l'idée de faire une attaque préventive sur l'aérodrome de Seven Miles. Mais une escadrille en réchappe et attaque plus tard le croiseur. Celui-ci se défend, mais le lieutenant Satake décède en s'interposant avec l'umitori entre le navire et un obus. Des tensions commencent à naître entre Kadomatsu, qui veut continuer comme avant, et Kikuchi, qui souhaite prendre une part plus active à la guerre. Ce dernier tente de prendre le contrôle du navire par la force mais un coup part et blesse Noguri. C'est pourquoi le commandant en second choisit de quitter le Mirai pendant quelques temps avec 4 hommes qui veulent bien le suivre. Ensuite, le croiseur participe avec la marine impériale à une attaque dans l'océan indien, pour forcer Churchill à demande à Roosevelt de mettre la pression sur les japonais dans les Mariannes, et ainsi empêcher les désirs d'indépendance de l'Inde. La première attaque est un succès, mais lors de la seconde, le porte-avion Ryûjô coule avec à son bord Tachibana, membre du Mirai qui devait maintenir une communication malgré l'activation du brouillage des ondes. Ensuite, après avoir appris le décès d'Umezu à Nankin, le croiseur doit se rendre dans les îles Gilbert pour faire croire aux américains que les japonais sont toujours là. Au moment de leur départ, un sous-marin émerge devant eux, et Kadomatsu et ses hommes en débarquent. C'est alors que l'équipage apprend la mort du lieutenant Shinohara, battu à mort par la police spéciale. Arrivés à destination, 3 équipes vont sur l'île de Betio pour installer des systèmes de communication et de surveillance. Enomoto est avec Kadomatsu et Kikuchi, et il constate la bonne manufacture des leurres. Le soir, alors que les 2 capitaines discutent, Enomoto repère des canots sur l'eau. Kadomatsu et Kikuchi le rejoignent et ils préviennent Oguri pour qu'il active l'ECM. Malheureusement, ces unités américaines coupent la route de retrait des 3 membres du Mirai. Le chef navigateur fait donc décoller le SH60J, pendant que Kadomatsu, Kikuchi et Enomoto attendent dans un abri à moitié enterré. Enomoto est nerveux, et quand il voit l'hélicoptère, il essaie de lui faire des signes avec une lampe torche, se remettant debout et à découvert. C'est alors qu'il voit en face de lui un américain qui tire. La balle traverse le cou d'Enomoto, qui meurt sur le coup.

    • Statut au volume 24 : tué par un soldat américain d'une balle dans le cou.

    Vice-amiral Gunichi Mikawa (PH)

    Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.

    • Statut au volume 20 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.

    A suivre...

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