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Par cronoslegend le 18 Janvier 2017 à 14:26
Voilà la suite de la cinquième page des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Capitaine Samuel D. Hutton
Volume 13
Hutton est convoqué par le vice-amiral Harold Bowen dans la banlieue de la base de la marine de San Diego pour une réunion. Les capitaine Chris Evans et William Taylor sont aussi présents, car ils ont aussi eu affaire au croiseur inconnu. Bowen, qui dirige la section S chargée d’enquêter sur le navire, commence d'ailleurs la réunion en évoquant cette expérience commune aux 3 capitaines, qui ont vu et combattu le navire. Le vice-amiral présente la seule preuve qu'ils ont du croiseur, c'est-à-dire Sagittarius. Leroy R. Grumman, président de Grumman, une société aéronautique, prend la parole et explique qu'il s'agit d'un nouveau type d'arme. Vannevar Bush, président du comité consultatif national sur l’aéronautique, continue alors pour donner son avis. Hutton intervient alors pour demander pourquoi avoir soudainement commencé à enquêter sur le navire, car jusque là, leurs rapports étaient considérés comme fantaisistes et qu'ils ont été renvoyés à des postes de garde-côtes. Mais Bowen ne leur autorise pas à poser des questions et veut juste qu'ils répondent aux leurs. Il explique alors que chaque fois que le navire apparaît, c'est pour une manoeuvre de retrait de l’armée japonaise. Ils en ont donc déduit que la prochaine fois que le croiseur fera son apparition, ce sera pour la prochaine opération d’évacuation. Ils prévoient que les japonais quittent la Nouvelle-Guinée et passent par le détroit de Dampier où ils comptent les attaquer et couler ce navire. Les 3 capitaines participeront à l’opération en tant qu'observateurs. C'est alors que Howard Hughes, le milliardaire, qui restait dans l'ombre, intervient pour dire que les loosers n'ont pas de chance mais de l’expérience. Il est prêt à donner 50 millions de dollars à l'US Navy si on lui apporte un morceau de ce navire. Taylor évoque alors le parcours de Hughes, son caractère et son grand intérêt pour l'aviation, ajoutant que ce navire est la seule chose qui lui échappe. Le milliardaire dit que ce navire n'est qu'une nouvelle arme des japonais. Il demande donc aux 3 capitaines ce qu'ils ont appris de leur expérience. Hutton lui répond que malgré sa puissance, ses attaques comportent des hésitations. Hughes a aussi compris que les réserves de munitions du navire sont limitées. Il ajoute qu'ils ont besoin de 3 choses pour réussir : des fonds, de l’expérience et de nouvelles idées. Il laisse donc la parole au vice-amiral pour ce dernier point. Celui-ci montre alors une vidéo d'un exercice pour une nouvelle technique de bombardement. Il s'agit de larguer des bombes qui vont ricocher sur l'eau et toucher le navire en dessous de la ligne de flottaison. Ce type de bombardement permet d'augmenter les chances de bombardements fatals. Hutton est assez stupéfait par cette méthode, et dans l'avion qui le mène en Nouvelle-Guinée, il repense beaucoup à ce film qu'il a vu. Il ne sait pas si le croiseur va survivre, mais il semble inquiet de devoir observer cela. A Port Moresby, un soir, Hutton se réveille car il entend les batteries antiaériennes qui tirent. Il apprend alors d'Evans qu'il n'y aurait qu'un seul appareil. Les 3 capitaines sortent, et en regardant celui-ci, ils comprennent qu'il vient du croiseur mystérieux. Ils préviennent Bowen, et une fois déplacés à Rabi, le vice-amiral fait un briefing aux pilotes, leur disant que l'objectif de leur escadrille de 50 appareils est un seul croiseur. Un peu plus tard, Hutton apprend que la radio ne fonctionne, et il se précipite dans la salle des radars. Il reconnaît l'action du croiseur et pense qu'il faut prévenir Seven-Miles ou aller les aider. Mais Taylor pense que le navire ne sait pas que certains appareils se sont déplacés, et qu'il va relâcher son attention si ils n'interviennent pas pour sauver Seven-Miles. Hutton s’énerve alors sur Taylor, qui veut bien malgré tout envoyer un appareil pour les prévenir, mais pas plus. Cinq heures plus tard, l'appareil n'est pas revenu, et les 3 capitaines ont compris. La radio marche à nouveau, et ils apprennent que Seven-Miles a été détruit. Cependant, le croiseur a aussi été repéré. Comprenant que le navire va traverser le détroit de Dampier à la tombée de la nuit, ils décident de décoller pour aller l'attaquer, Hutton pensant à Jones. Ils volent à basse altitude, derrière une chaîne de montagnes pour ne pas être détectés, puis passent en position offensive. Dès les premiers tirs du croiseur, Hutton repère sa position, et prévient les autres appareils de l’arrivée de roquettes guidées. Les premiers avions sont détruits, et Hutton demande aux Lightings de s'occuper des avions japonais, les bombardiers se concentrant sur le croiseur. Taylor voit alors un B-25 qui fait son approche finale. C'est la dernière apparition de Hutton dans ce tome.
Volume 14
L'assaut des bombardiers semble porter ses fruits puisque la tourelle arrière du croiseur ne tire plus après un certain temps. Cependant, un autogire décolle du navire et abat les bombardiers qui s'approchent trop près du croiseur. Taylor pense donc que s'ils continuent à attaquer par vagues, ils vont tous se faire descendre. Hutton ordonne alors à tous les appareils de lancer une offensive groupée, tous ensemble, par l’arrière du navire, à tribord et à bâbord. Un A-20 vient les couvrir et attaque l'autogire, qui finit par s'interposer entre le navire et 2 bombes qui s'approchaient dangereusement. L'appareil explose, et Hutton demande à ce que l'appareil dans lequel ils sont descende à 100 mètres pour attaquer par l’arrière. Taylor semble contester cette décision, mais Hutton pense que la déesse de la victoire leur sourit. Et comme il le pensait, le navire vire de bord pour éviter d’être attaqué par l’arrière. De plus la destruction de l'autogire est la preuve que la tourelle arrière ne fonctionne plus. Mais Taylor ne veut pas faire de conclusions hâtives et pense qu'il pourrait s'agir d'un bluff. Pour Hutton, ils seront bientôt fixes et ordonne que tous les canons soient pointés vers l'avant, alors qu'ils sont à 8.000 pieds du navire. Ils ouvrent le feu, mais la tourelle se met soudainement en marche, et abat les 2 pilotes, ainsi que le capitaine Evans. Taylor pense qu'ils vont s’écraser s'ils ne font rien, mais Hutton lui dit de la fermer. Il ordonne à tous ceux qui sont encore en vie de mettre leur parachute. Il prend les commandes de l'appareil et essaie de le faire monter à 500 pieds pour pouvoir sauter. Il y arrive de justesse, évitant par la même occasion la collision avec le croiseur. Une fois à 900 pieds, il demande d'ouvrir toutes les issues. Tout le monde saute, et Hutton dit à Taylor qu'il les suivra après avoir mis le pilotage automatique. Cependant, une fois seul, il constate que ce pilotage ne fonctionne pas. De plus, si il fait descendre cet appareil en vrille, il emportera tous ceux qui ont sauté. Hutton en conclut que l'appareil devra lui obéir jusqu'au bout. Il continue quelques instants, jusqu’à ce que l'avion explose et ne le tue sur le coup.
- Statut au volume 16 : Tué dans l'explosion d'un bombardier.
Capitaine Grey
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 16 : Supposé vivant.
Commandant Noise
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 16 : Supposé vivant.
David
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 16 : Supposé vivant.
Lieutenant Jones
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 16 : Supposé vivant mais gravement brûlé.
Lieutenant Hayashibara
Volume 13
Quelques temps après le déplacement de la flotte combinée de Truk à Palau, le Mirai s’apprête à participer à l’opération d’évacuation de la Nouvelle-Guinée. Mais la marine impériale ne veut pas modifier ses plans, et les membres du croiseur craignent que la tragédie du détroit de Dampier ne se reproduise. De plus, ils ne veulent pas qu'il y ait aussi un bain de sang chez les américains. Afin de proposer un plan alternatif, l'umitori est envoyé en reconnaissance à l’aérodrome de Seven-Miles. En pleine nuit, Satake et Hayashibara arrivent et aperçoivent rapidement les quelques 200 appareils qui attendent au sol. Hayashibara est prêt à rentrer au Mirai, mais pour Satake, des ombres repérées à l'infrarouge et à cette distance, c'est trop peu. Hayashibara est surpris, mais Satake veut en effet jeter un oeil de plus près. Ils constatent la présence de B-17, de B-24 et de B-25, tandis que les batteries antiaériennes commencent à tirer. Après quelques instants, Satake demande l’état de l'appareil à son copilote, qui lui répond qu'il n'y a aucun dégât, mais qu'il ne veut pas qu'il lui fasse à nouveau une trouille pareille. Satake déclare qu'ils ont maintenant la position des bombardiers, des canons antiaériens et même des baraquements. Pour lui, une mission de reconnaissance ne doit rien laisser au hasard, ce qui semble calmer Hayashibara. Grâce à ces informations, la marine impériale prépare une attaque préventive sur Seven-Miles, que l'umitori va observer de loin. Après le passage des bombardiers japonais, Satake signale au Mirai que tous les objectifs ont été atteints, la base étant privée de ses capacités. Hayashibara, lui, reste muet et contemple le spectacle. L’opération est donc un succès et les navires de transport peuvent partir tranquillement, sans crainte. Donc, l'hélicoptère se dirige vers ces navires, et Hayashibara sort la main de l'umitori pour pouvoir lancer la fusée de signal, permettant aux navires de pouvoir démarrer. De retour sur le croiseur, dans la salle de briefing de l’unité aérienne, Hayashibara demande à Satake s'il ne va pas dormir. Celui-ci répond qu'il va bientôt y aller, mais que dit à son copilote qu'il peut y aller. Hayashibara le remercie puis s'en va. Cependant, alors qu'ils dorment, l'alarme retentit, signalant qu'une escadrille américaine, qui a apparemment échappé au bombardement, a fait son apparition au-dessus du détroit de Dampier. Satake se lève et ordonne à l’unité aérienne de se rendre en salle de briefing immédiatement. Là, il entendent les combats puis un certain calme. Ils comprennent que le chargeur de la mitrailleuse CIWS est vide. Satake dit à son copilote qu'ils vont y aller, mais celui-ci pense que c'est impossible de décoller dans cette situation. Pourtant, pour Satake, cela fait partie du combat. Hayashibara semble satisfait, et une fois dans l'umitori, Satake demande à Kadomatsu l'autorisation de décoller. Une fois qu'il l'a obtenue, l'hélicoptère décolle, et directement, les 2 pilotes portent secours à Oguri, Yonekura et Yanagi qui sont en train de charger le CIWS, en abattant un appareil américain qui les menaçait...
Volume 14
Satake aperçoit 2 B-25 qui s'approche du Mirai par l’arrière à Tribord, et il ordonne à Hayashibara de lui montrer ses talents de tireur. Celui-ci s’exécute et abat les 2 appareils. C'est alors que les 25 bombardiers restants préparent à faire une attaque simultanée. Satake choisit alors de se mettre à une altitude de 500 mètres, et son copilote lui dit qu'il peut ainsi avec les 2 côtés de la ligne de mire. Comme les bombardiers larguent leurs bombes, Satake ordonne à Hayashibara de viser la première pour créer des remous. Il réussit, mais un rideau d'eau leur bouche la vue. C'est alors qu'un A-20 leur tire dessus. Hayashibara ne constate pas de gros dégâts, mais la mitrailleuse est hors-service. Satake le signale à Kadomatsu, puis aperçoit 2 bombes qui s'approche du croiseur. Celui-ci ne pouvant pas esquiver, le pilote choisit de s'interposer, n'ayant plus d'arme. Il annonce à Hayashibara qu'il va l’éjecter, et celui-ci n'a pas le temps de contester qu'il est projeté hors de l'appareil. Alors que son parachute se déploie, Hayashibara ne peut que constater que Satake s'est sacrifié avec l'umitori pour intercepter les 2 projectiles. Par la suite, une fois le CIWS rechargé, le Mirai parvient à repousser l'offensive américaine, dont l'escadrille finit par prendre la fuite. Après avoir récupéré Hayashibara, les membres du croiseur improvisent un autel dans la salle de briefing de l’unité aérienne, avec le casque de Satake qui est la seule chose qu'ils ont retrouvé de lui. Mais au lieu de rester devant cet autel, Hayashibara préfère rester sur le pont, en pensant à ce que lui a dit Satake avant de l’éjecter. C'est la dernière apparition de Hayashibara dans ce tome.
- Statut au volume 16 : Vivant.
Mitsumasa Yonai (PH)
Volume 16
Finalement, la tentative de Kadomatsu d’arrêter Kusaka en Mandchourie est un échec, et l'empereur Puyi du Mandchoukouo est tué. Le second du Mirai revient donc sur son navire et l’équipage du croiseur reçoit alors la visite du ministre de l’intérieur, Kôichi Kido, un proche de l'empereur. Mais Kido refuse de convaincre l'empereur de mettre un terme à la guerre, car il craint que cela risque de le mettre en danger face aux partisans de la guerre, nombreux et puissants. Par la suite, avec l'aval de la marine impériale, le Mirai va aider les 4.000 hommes qui se trouvent sur les îles d'Attu et de Kiska, dans les Aléoutiennes. Il doivent y affronter une flotte américaine, et le capitaine Umezu, blessé durant l’opération, doit être hospitalisé, laissant le commandement du navire à son second. La marine impériale continue la réduction de sa ligne de front et fait évacuer la Nouvelle-Guinée. Le Mirai est de nouveau de la partie, et une escadrille américaine vise directement le croiseur. Le lieutenant Satake est tué dans la bataille, et le navire perd son autogire. Suite à cela, des tensions apparaissent entre Kadomatsu et le capitaine Masayuki Kikuchi, le chef canonnier, qui veut être plus impliqué dans la guerre. Celui-ci, après le décès de l'amiral Yamamoto à Rabaul, prend le contrôle du navire et pour éviter un bain de sang, le second du Mirai choisit de quitter temporairement le navire. Le 5 juin 1943, Yonai assiste aux funérailles officielles de Yamamoto. Après cela, Yonai va boire un thé, et il est contacté discrètement par Kadomatsu. L'amiral explique que seul Yamamoto était capable de mettre fin à la guerre et que si l’armée japonaise obtient une victoire dans les Mariannes, le gouvernement de Tôjô serait stabilisé et la dérive militaire continuerait. Le capitaine explique que dans son histoire, Yamamoto est aussi décédé à Rabaul. Il raconte alors que normalement l’année prochaine, le gouvernement de Tôjô devrait tomber et que Yonai deviendra ministre de la marine. Néanmoins, Yonai devrait agir pour la réalisation de la paix, avec Kido, avant les affrontements dans les Mariannes, qui devraient causer de nombreux morts dans les camps japonais et américain. Cependant, pour Yonai, l’armée de terre n’obéira pas, et pour que le pays change, il faut le frapper jusqu’à ce qu'il ne puisse plus se relever. De plus, il pense qu'il est plus difficile d’arrêter la guerre que de la continuer. Mais Kadomatsu le supplie d'agir. Finalement, le second du croiseur s'en va, et le soir même, vers 3 heures du matin, un membre de la police spéciale de Kôjimachi l'appelle. Il voudrait que l'amiral vienne car il a une faveur à lui demander. D'autres hommes l'attendent à l’entrée de sa maison pour l'accompagner jusqu'au bureau. Dans la voiture, on lui dit que 2 opposants au régime ont été arrêtés. Yonai comprend alors que si Kadomatsu l'a cité, c'est qu'un de ses hommes est en danger. Pourtant, en regardant dans la cellule, l'amiral ne voit que le capitaine, à genou, le regard fixe. Yonai en déduit qu'il est arrivé trop tard. Il prétend alors au policier qu'il avait demandé à cet homme de lui payer son ticket de tramway plus tôt dans la journée. Il donne un billet au policier pour remercier cet homme, même si le policier ne semble pas croire que l'inconnu a fait appeler Yonai car il se rappelait de ce ticket. Par la suite, grâce à un intermédiaire, Yonai prévient l'amiral Soemu Toyoda, au quartier général de la marine. Seul chez lui, Yonai se rappelle la discussion avec Kadomatsu, qui lui a révélé que l'Italie devrait donner sa reddition sans condition le 8 septembre, et que c'est le moment idéal pour réaliser la paix. Selon Yonai, pour cela, il faut que le gouvernement de Tôjô tombe. Mais il sait qu'il faudra profiter de la reddition de l'Italie. Dans le même temps, l'amiral aide Umezu à empêcher la construction d'une bombe atomique japonaise, en le faisant accompagner par le lieutenant Kisaragi. Yonai n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Statut au volume 16 : Vivant.
Chef Asô
Volume 15
Après l’opération dans les Aléoutiennes, Le Mirai fait des patrouilles pour repérer et neutraliser les sous-marins américains, ceci afin que l’état-major américain ne sache pas que la flotte combinée a déplacé son quartier général de Truk vers Palau. Par la suite, la marine impériale demande à l’équipage du Mirai de participer au retrait des troupes de Nouvelle-Guinée. Mais comme cette opération correspond à la tragédie du détroit de Dampier, et que les membres du croiseur ne veulent pas tuer délibérément les troupes américaines, ceux-ci suggèrent à la marine impériale de revoir ses plans. Pour cela, ils envoient l'umitori faire une reconnaissance à Seven-Miles. Grâce à ces informations, la marine impériale peut détruire les bombardiers américains, encore au sol, en limitant au maximum les pertes humaines. Après cela, les navires de transport japonais peuvent se diriger sans risques vers Dampier. Mais une escadrille de bombardiers américains a échappé au Mirai, et elle prend directement pour cible le croiseur. Durant la bataille, le lieutenant Satake se sacrifie en s'interposant avec l'umitori entre le Mirai et 2 bombes que le navire ne pouvait plus éviter. Après ces événements, les tensions entre Kadomatsu, qui veut toujours éviter au maximum les pertes humaines, et Kikuchi, qui souhaite prendre une part plus importante à la guerre, se font de plus en plus sentir. Un jour, alors que le Mirai est amarré à Saipan, Asô remarque qu'ils reçoivent des caisses de la marine impériale, et il veut savoir ce que c'est. On lui répond que ce sont des pommes de terre, et Asô est prêt à aider pour les transporter. La caisse tombe et s'ouvre, et Asô doit récupérer les pommes de terre qui s’échappent, pensant que le chef cuistot va les engueuler s'ils gaspillent de la nourriture. Par la suite, le Mirai continue ses patrouilles pour neutraliser les sous-marins. A l'est de l'île de Mindanao, l’équipage en trouve un et lance un asroc avant de le faire exploser à proximité du sous-marin. Asô observe la surface de l'eau, espérant voir remonter ce sous-marin, et c'est ce qu'il se passe, à son grand soulagement. Mais 2 de ses hommes se battent, et Asô en demande la cause. On lui répond que Noguchi a critiqué le commandant, et celui-ci se justifie en disant qu'ils gaspillent leur missiles et qu'en sortant les sous-marins un par un, ça ne finira jamais. Il préfère aller sur le front. Pour Asô, cette critique est inadmissible, mais il lui conseille d'aller à l'infirmerie pour se faire soigner. Plus tard, Asô va aussi voir le lieutenant Momoi, et comme Noguchi n'a pas de fracture, il ne devra pas faire de rapport. Mais pour la femme, la situation est inquiétante et elle ne sait pas ce que cherche à faire Kadomatsu. Pour Asô, en neutralisant des sous-marins, il sauve des milliers de vies, mais Momoi parlait de leur navire. En effet, tous ceux qui ont le sang chaud se sont rangés du côté du capitaine Kikuchi. Et si le commandant en second ne remet pas les jeunes à leur place, cela ne finira pas en simple bagarre. Malgré tout, Asô garde confiance en ses hommes. Quelques temps plus tard, alors qu'il est à son poste, Asô entend une conversation entre Kadomatsu et Kikuchi via la radio interne du navire. Le second dit au premier qu'il prend le contrôle du navire. A ce moment, des hommes menacent Asô avec une arme à feu. Le chef canonnier prend effectivement le contrôle mais après quelques instants, un coup de feu retentit. En se rendant sur place, Asô constate que Tachibana s'est rebellé et a blessé Noguchi. Kadomatsu vient prendre Noguchi, et ordonne à Asô de le conduire à l'infirmerie. Pour éviter un bain de sang, il décide de quitter temporairement le navire avec ceux qui veulent bien le suivre, dont Asô. Alors que lui et Yanagi vont prendre des médicaments chez Momoi avant de partir, celle-ci ne trouve pas l'action du commandant en second logique, et se demande pourquoi il ne fait rien pour empêcher le Mirai d'aller au front. Mais Asô pense que Kadomatsu n'a pas perdu ses convictions, et qu'il sait que ses hommes ont besoin d'un but. Mais il voulait éviter une confrontation plus violente et a choisi de perdre. Au moment de descendre, Tachibana change d'avis et reste à bord, tandis que le reste de l’équipage salue les 5 hommes qui quittent le croiseur...
Volume 16
Alors qu'ils s’éloignent du Mirai, Kadomatsu et son groupe voient Kusaka en uniforme de la marine impériale, sortir d'une voiture. Mais l'affrontement n'a pas lieu, et le second du croiseur continue son chemin. Le soir même, dans des baraquements, Asô ne trouve pas le sommeil, et remarque que Kadomatsu n'est pas dans son lit. Il allume une cigarette et admet avoir été surpris par la présence de Kusaka. Plus tard, le groupe va aller saluer le capitaine Umezu, toujours à l’hôpital. Ensuite, le 5 juin 1943, tous les 5 vont à Tokyo et assistent au funérailles de l'amiral Yamamoto, tué quelques temps avant la rébellion de Kikuchi et des siens. Puis, tandis que le second du Mirai prend contact avec Yonai, Asô, Yanagi et le lieutenant Shinohara l'attendent dans un café. Yanagi évoque le fait que certains veulent faire un temple Yamamoto, mais que Yonai s'y est opposé. Shinohara pense que certains sont fous de faire croire à des victoires et autres mensonges. Lui qui est fils de militaire a la conviction qu'ils doivent protéger la population. Après plusieurs heures de conversation et d'attente, Shinohara suggère à ses compagnons de rentrer sans lui. Pour éviter de prendre des risques, Asô et Yanagi se séparent dans la rue avant de rejoindre Yokosuka. Mais après minuit, Kadomatsu et Shinohara ne sont toujours pas revenu. Asô, Yanagi et Shibata décident de prévenir la marine le lendemain matin pour faire des recherches. Et en effet, le jour suivant, ils font part de leur requête à l'amiral Soemu Toyoda. Celui-ci leur répond qu'ils ont déjà été avertis par la police, grâce à Yonai qui a dû passer par un intermédiaire car il est sous la surveillance de la police militaire. Kadomatsu et Shinohara sont retenus au poste de Kôjimachi, mais Toyoda ajoute que les parasites doivent éviter de causer des ennuis. Malheureusement, Shinohara a succombé à la torture de la police spéciale. Après avoir récupéré ses cendres, les 4 survivants vont en mer pour les répandre. Asô parle en disant que la mer reste la mer, quelle que soit l’époque. Après cela, le second du croiseur est déterminé à récupérer le Mirai. On ne voit plus Asô par la suite dans ce tome.
- Statut au volume 16 : Vivant.
Premier maître Nashida
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 16 : Tué lors de l'impact de l'appareil du capitaine Samuel D. Hutton contre le Mirai.
Tôma
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 16 : Supposé vivant.
A suivre...
Cronos
votre commentaire -
Par cronoslegend le 1 Février 2017 à 09:36
Voilà la seconde suite de la cinquième page des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Capitaine Samuel D. Hutton
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 24 : Tué dans l'explosion d'un bombardier.
Capitaine Grey
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 24 : Supposé vivant.
Commandant Noise
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 24 : Supposé vivant.
David
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 24 : Supposé vivant.
Lieutenant Jones
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 24 : Supposé vivant mais gravement brûlé.
Lieutenant Hayashibara
Volume 22
Suite au décès de Satake, des tensions s'amplifient entre le capitaine Kadomatsu, qui souhaite continuer à sauver un maximum de vies et restant à l’écart de la marine impériale, et le capitaine Kikuchi, qui souhaite prendre une plus grande part à la guerre en se rattachant à la marine impériale. Alors que le Mirai fait des patrouilles pour neutraliser les sous-marins américains, le chef canonnier choisit de prendre le contrôle du croiseur par la force, puisqu'il ne peut pas convaincre le commandant en second. Durant l’opération, un coup de feu est tiré, et Noguchi est blessé. Afin d’éviter un bain de sang à bord, Kadomatsu décide de quitter temporairement le navire, avec ceux qui veulent bien le suivre. Hayashibara reste à bord, et Kikuchi annonce alors à l’équipage qu'ils vont lancer une offensive dans l’océan indien avec la marine impériale. L’opération vise à exploiter les désirs d’indépendance de l'Inde par rapport au Royaume-Uni et ainsi faire en sorte que Churchill demande de l'aide à Roosevelt, poussant celui-ci à avancer son offensive dans les Mariannes sans être totalement préparé. La flotte japonaise est cependant composée de portes-avions de seconde zone, par décision de l’état-major de la marine. L'attaque sur Ceylan est un succès, puis la flotte se sépare en 2, une partie allant à Bombay avec Kusaka, l'autre avec Taki et le Mirai pour attaquer Chittagong et Dahka. Malheureusement, le lieutenant Tachibana, qui avait été envoyé sur le Ryûjô, décède avec le naufrage du porte-avions. Malgré cela, l’opération est une réussite. Par la suite, le croiseur doit couvrir la retraite de l’armée japonaise sur l'île de Betio, dans l'atoll de Tarawa. Les japonais vont faire croire aux américains qu'ils renforcent leur défenses, et le Mirai doit installer des systèmes de surveillance pour voir si l’armée américaine gaspille beaucoup de munitions et de carburant. Mais au moment du départ, un sous-marin japonais émerge devant le croiseur, et Kadomatsu, Asô, Yanagi et Shibata embarquent à bord d'un canot de sauvetage. Une fois que le sous-marin a plongé, Kikuchi fait décoller le SH60J avec Hayashibara aux commandes, pour récupérer les naufragés avec le filin. Une fois ceux-ci à bord, l’équipage apprend la mort de Shinohara, torturé à mort par la police spéciale qui les prenait pour des opposants au régime. Une fois à Betio, pour éviter les tensions, le second du Mirai choisit de descendre à terre avec le chef canonnier. Mais le soir, l’équipe A, composée de Kadomatsu, Kikuchi et Enomoto, aperçoit des unités américaines qui débarquent depuis un sous-marin. De plus, ceux-ci coupe la retraite de l’équipe A. Oguri fait donc décoller l'hélicoptère, avec Asô et 2 hommes à bord. Puis Hayashibara annonce qu'ils arrivent au point de récupération, et Asô veut faire un tour de repérage. Cependant, des tirs retentissent, et le pilote préfère s’éloigner. Kikuchi annonce que malheureusement, Enomoto s'est fait tué. Le Sh60J fait un tir de couverture pour permettre aux 2 survivants de fuir, avant de chercher un endroit pour les récupérer. Mais le contact radio est soudainement interrompu. Asô choisit de descendre, même s'il doit le faire par le filin, et Hayashibara accepte son choix. Par après, le chef canonnier est blessé accidentellement par Asô. Une fois les américains partis, le SH60J récupère tout le monde, même le corps d'Enomoto, et le pilote demande un dispositif d'urgence à l'atterrissage. Sur le chemin, Kikuchi dit à Kadomatsu qu'il s'agissait d'un accident et qu'Asô ne pouvait pas voir l’américain qui était caché...
Volume 23
Le SH60J atterrit sur le Mirai, et le capitaine Kikuchi est rapidement emmené dans l'infirmerie. Mais comme le lieutenant Momoi ne peut pas le soigner à bord à cause de la gravité de la blessure, il doit être conduit dans un hôpital. Kadomatsu et Oguri décident donc de naviguer à toute vitesse en direction de Palau, et de faire décoller l'hélicoptère une fois qu'ils auront atteint la distance limite sans escale que le SH60J peut parcourir, celui-ci étant plus rapide que le croiseur. Momoi, Aso et Kirino montent eux aussi à bord de l'hélicoptère pour accompagner le chef canonnier. Ils progressent à 230 km/h, et à 1h30 de leur destination, le pouls et la pression artérielle de Kikuchi chutent. Ils arrivent à Palau, et le chef canonnier est pris en charge. Par contre, les autres sont arrêtés par Kusaka et Taki, et Kirino choisit de collaborer avec eux. Momoi et Asô sont utilisés comme otages pour capturer le reste de l'équipage du Mirai, et seul Asô revient avec les 3 membres de la composante aérienne du navire. Prisonniers sur l'île de Koror, Momoi, qui a été intégrée à une équipe médicale de l'île, vient leur apporter des nouvelles rassurantes sur Kikuchi, mais aussi les lunettes du capitaine Umezu, qu'elle a reçu du lieutenant Kisaragi, un homme de la marine imépriale au service de Yonai, ainsi qu'un plan du lieu où est amarré le Mirai. Dans la cellule avec Hayashibara et les 2 autres, Asô dit que ce n'est pas tout car il y a aussi un message disant que la bombe atomique à Nankin est bientôt achevée...
Volume 24
Asô, Hayashibara et les 2 autres membres de la composante aérienne du Mirai sont transférés sur l'île où se trouve le reste de l’équipage du croiseur. A leur arrivée, ils constatent qu'il y a des falaises tout autour et que ce ne sera pas facile de partir de là. A l’intérieur, Asô fait son rapport. Par la suite, grâce à la complicité de Kisaragi, les membres du Mirai trouve du matériel de plongée dans un double fond, lors de leur livraison journalière de riz. Grâce à celui-ci, ils font plusieurs allers et retours entre le campement et le Mirai, pour ramener du matériel et préparer leur évasion. Un soir, Kadomatsu rassemble l’équipage et leur explique le plan. Le major Kawamoto, qui travaille avec Kisaragi, va leur fournir un tanker rempli de carburant, et ils vont endormir les soldats qui se trouvent sur le croiseur grâce à des somnifères dans leur repas. Ils devront ensuite détruire une antenne et un bateau de communication avec le canon. Finalement, il estime le nombre de personnes minimum nécessaire pour manoeuvrer le Mirai à 35 hommes. Cependant, grâce à des talkies-walkies, Kisaragi les avertit un soir que le Mirai doit être remorqué le lendemain matin par le croiseur léger Agano. Les membres du Mirai doivent donc changer leurs plans et agir immédiatement. Hayashibara ne fait apparemment pas partie des hommes qui partent, et il reste donc, sous les ordres d'Oguri. On ne voit pas Hayashibara ensuite dans ce tome.
- Statut au volume 24 : Vivant.
Mitsumasa Yonai (PH)
Volume 21
Un jour, Yonai rend visite à l'amiral Toyoda du quartier général de la marine, à Yokosuka. C'est alors qu'un soldat arriver car un message urgent leur est parvenu en provenance de la base de la flotte combinée, à Palau. Hors ce message aurait été envoyé par Yonai lui-même, et le soldat pense donc qu'il s'agit d'un message des américains. Mais l'ancien premier ministre demande d'abord à voir ce message. Il y est apparemment dit quelque chose à propos du sous-marin qui transporte Kadomatsu et ses hommes, qui serait en danger à cause de patrouilles de navires japonais. Yonai déclare que c'est bien un faux message de l'armée américaine et félicite le soldat. Une fois celui-ci parti, Yonai s'excuse auprès de Toyoda, mais qu'il a un service à lui demander. Il veut ordonner à tous les navires d'interrompre leurs missions de patrouille et de rentrer au port militaire de Singapour. C'est la dernière apparition de Yonai dans ce tome.
Volume 22
Le 8 septembre 1943, comme prédit par Kadomatsu, l'Italie fasciste annonce la reddition sans condition de son pays. Cependant, le gouvernement de l'Empire du Japon annonce que cela ne change rien sur leur situation dans la guerre, et qu'ils ont la conviction qu'il faut continuer la bataille jusqu’à la victoire. Durant cette annonce, qui a lieu 2 jours après la reddition, Yonai se trouve au palais impérial en compagnie de Kido. Celui-ci dit que pour beaucoup de citoyens, cette annonce est un grand choc. Il a déjà dit à l'empereur que c’était le moment idéal pour préparer la paix, mais sa majesté était apparemment déjà au courant. Il pense que c'est Tôjô qui l'a informé, lui-même ayant été approché par Ishiwara, qui connaît l'histoire grâce à Kusaka. Pour Yonai, la porte vers la paix anticipée s'est refermée. Il ordonne donc au lieutenant Kisaragi, lui aussi présent, de quitter l'infanterie de la marine pour passer sous les ordres de l'amiral Toyoda. Il le nomme officier de liaison et lui dit de partir immédiatement pour Palau pour tout expliquer à Kadomatsu. En effet, Yonai a aussi appris le décès d'Umezu, qui n'a pu que retarder la construction de la bombe atomique à Nankin. On ne voit plus Yonai par la suite dans ce tome.
Volume 24
Grâce à Kisaragi, Yonai apprend que l’équipage du Mirai a été fait prisonnier par Kusaka et Taki, et que le croiseur est pour l'instant dissimulé. Le 21 octobre 1943, l'amiral est réveillé chez lui par une femme, alors qu'il y a plein de dossiers répandus autour de sa table basse. La femme remarque que Yonai n'a pas dormi, mais aussi la pagaille. Elle se dit que ce ne sera pas drôle aujourd'hui pour les étudiants qui ont leur grande réunion d'adieu à Jingû, à cause de la pluie. L'amiral ne savait pas qu'il pleuvait, et la femme lui répond que c'est le cas légèrement depuis l'aube. Elle demande à Yonai s'il avait l'intention de sortir. L'amiral lui répond que oui mais qu'il a changé d'avis car il n'est pas d'humeur à avoir les chiens de Tôjô sur ses talons. La femme se demande où va le pays, à envoyer ainsi des étudiants à la guerre. Pour Yonai, avec cette pluie froide et ces jeunes qui partent, même en tant que spectateur, c'est d'une grande tristesse. Yonai n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Statut au volume 24 : Vivant.
Chef Asô
Volume 21
Une fois dans la mer de Sibuyan, le commandant Hotta découvre l'arrivée d'un destroyer, le Shimakaze, dont il connaît bien le commandant, le capitaine de corvette Yoshinori Tateishi. Et celui-ci a repéré le sous-marin. Il commence donc à larguer des mines qui explosent autour du sous-marin, dont les passagers sont inquiets. Hotta ordonne de plonger jusqu'à 120 mètres, mais Asô s'interroge car il pensait que ce genre de sous-marin ne peut aller que jusqu'à 60 mètres. Hotta lui répond que théoriquement, ils peuvent aller jusqu'à 150 mètres. Cependant, le Shimakaze semble avoir compris leurs mouvements et change la profondeur d'explosion des mines. Hotta va parler un instant avec Kadomatsu, puis décide de bouger juste avant l'arrivée de la nouvelle vague de mines. Ils parviennent à s'échapper, mais connaissant Tateishi, Hotta sait que ce ne sera pas suffisant. Ils doivent donc riposter. Hotta choisit de foncer vers le destroyer, puis de remonter à la surface juste quand il se trouve en-dessous du navire. Il percute ainsi le gouvernail du Shimakaze, abîmant ainsi aussi ses propres tubes lance-torpilles. Le destroyer utilise ses canons pour essayer de toucher le sous-marin, mais sans succès. Le sous-marin peut donc s'échapper, et quelques temps plus tard, il émerge pour permettre à son équipage de respirer l'air frais. Shibata se dit qu'ils ont de la chance, tandis que Yanagi ne supporte plus les conditions de vie dans le sous-marin et veut retourner sur le Mirai. Mais Shibata lui rappelle qu'ils ne sont même pas sûrs de pouvoir remonter sur le croiseur. Asô intervient alors car il y a peu, il ne savait même pas s'ils survivraient et pourraient remonter à la surface. Ils peuvent donc apprécier le fait d'être vivants, et le fait d'avoir un endroit où rentrer, ce n'est pas si mal. Par la suite, lors d'un briefing, Hotta, Kadomatsu et ses hommes déterminent l'endroit où devrait se trouver le Mirai, c'est-à-dire sans doute au passage de Kossol. Une fois qu'ils seront sur place, le second du croiseur souhaite observer les alentours avec le périscope. Ils parviennent à destination, mais le Mirai semble avoir levé l'ancre, ce qui est inquiétant. En effet, s'il quitte le passage, ils ne pourront pas le suivre avec le sous-marin. Asô se demande ce que compte faire Kadomatsu. Le sous-marin fait surface et envoie un message au croiseur pour pouvoir monter à bord. Cependant Kikuchi refuse car ils sont en route pour une mission. Kadomatsu demande à Hotta de sortir un canot de sauvetage, et après l'avoir remercier, lui et ses hommes embarquent à bord. Ensuite, alors que le sous-marin replonge, le canot est éclairé par les spots du Mirai. Rapidement, le canot est seul en mer face au croiseur...
Volume 22
Kikuchi finit par envoyer l'hélicoptère SH60J pour récupérer Kadomatsu et ses hommes. Mais une fois à bord, le lieutenant Kirino leur signale que leurs déplacements seront limités, et que leurs armes leur sont confisqués. Shibata s’énerve, mais le second du Mirai le calme directement. Ensuite, il se rend directement sur la passerelle pour aller saluer celui qui commande pour l'instant le navire. Par la suite, dans le réfectoire, Asô et Yanagi apprennent que Tachibana est décédé à bord du porte-avion Ryûjô lors de l’opération dans l’océan indien, tout en annonçant le décès de Shinohara. Asô se dit que si Tachibana avait quitté le Mirai, il serait toujours en vie, et Ôme lui répond que c'est la même chose pour Shinohara, mais dans le sens inverse. Ôme demande ensuite si Asô et Yanagi savent ce que faisait Umezu à Nankin. Yanagi s’apprête à répondre, mais Asô lui donne une léger coup de coude pour le faire taire, déclarant ne pas le savoir. Par contre, Kadomatsu semble vouloir rester dans sa cabine et tous se demandent ce qu'il a en tête. Par contre, Asô dit que les repas du croiseur sont bien bons. Par la suite, l’équipage apprend par la radio officielle japonaise la reddition de l'Italie fasciste, comme prévu le 8 septembre. Le Mirai arrive ensuite près de l'île de Betio. Celle-ci est évacuée par l’armée japonaise, tout en faisant croire aux américains qu'ils renforcent leurs défenses, ceci afin que l’armée américaine gaspille de nombreux obus et beaucoup de carburant pour tenter de reprendre cette île. Pour observer la situation, le croiseur doit installer des systèmes de surveillance, et pour cela, Kikuchi doit quitter le navire avec plusieurs hommes. C'est alors que Sakurai vient dans la cabine de Kadomatsu, en présence notamment d'Asô, pour proposer de profiter de l'absence du chef canonnier pour reprendre le contrôle du croiseur. Mais le second du Mirai ne veut pas agir aussi lâchement. C'est pourquoi Kadomatsu choisit d'aller à terre avec Kikuchi. Mais le soir, alors que les équipes B et C sont déjà sur le chemin de retour vers le croiseur, l’équipe composée des 2 capitaines et d'Enomoto repère quelques unités américaines qui débarquent d'un sous-marin, coupant leur trajet de retour. Oguri fait activer l'ECM, puis envoie le SH60J avec à son bord Asô et 2 hommes sous ses ordres. Asô dit au chef navigateur qu'il peut compter sur eux car ils ont frôlé plusieurs fois la mort à bord de l'igô. Une fois sur place, l'hélicoptère fait un tour de repérage, mais des coups de feu se font entendre. Le chef canonnier annonce alors qu'Enomoto a été tué. Asô s’inquiète alors du fait que les 2 capitaines sont seuls, face à face. Hayashibara annonce qu'ils vont les couvrir tandis qu'ils iront vers l'est. Cela semble fonctionner, mais soudainement, le contact radio est rompu. Asô décide alors de descendre, même s'il doit utiliser le filin si le SH60J ne sait pas atterrir. Une fois à terre, les 3 hommes mettent leurs lunettes de vision nocturne et s'enfoncent dans la forêt. Soudain, Asô aperçoit Kikuchi, mais celui-ci semble pointer son arme en direction de Kadomatsu. Asô lui crie de baisser son arme, mais le chef canonnier ne semble pas l'entendre. Asô hésite et court pour aller bousculer Kikuchi. Hors, quand il l'entend prononcer le nom du second du Mirai, il appuie sur la gâchette. Mais Asô n'a pas vu le soldat américain qui se cachait, et que Kadomatsu fait partir car c'est juste un photographe. Tous les 2 transportent rapidement le chef canonnier à bord du SH60J, ainsi que le corps d'Enomoto, et Kikuchi déclare qu'il s'agissait d'un accident...
Volume 23
Le SH60J arrive, et Kikuchi est rapidement évacué vers l'infirmerie. Kadomatsu et Oguri décident de naviguer à pleine vitesse vers Palau, jusqu’à la distance maximale que peut parcourir l'hélicoptère, et de le faire décoller alors. Durant le trajet, au réfectoire, Asô va manger seul, sachant que tous les regards sont posés sur lui. Il sait qu'il doit garder le silence jusqu’à ce que Kikuchi soit remis sur pieds, même s'il veut crier que c’était bien lui qui lui a tiré dessus, et que c’était un accident. Plus tard, Asô se rend dans la cabine du commandant en second, et demande à accompagner le chef canonnier lors du transfert. Kadomatsu accepte d'en parler au chef navigateur, qui est d'accord. Momoi et Kirino font aussi partie du voyage. Mais durant le transport, le pouls et la pression artérielle de Kikuchi chutent. Ils arrivent à Palau, et alors que le chef canonnier est emmené dans un hôpital, Asô, Kirino et Momoi sont interrogés par Kusaka et Taki. Ce dernier se souvient qu'Asô avait quitté le navire en même temps que Kadomatsu. C'est alors que Kirino révèle que le second du Mirai est revenu à bord et qu'il est prêt à tout pour reprendre le contrôle du croiseur. Il est donc prêt à collaborer avec Kusaka et Taki. Asô et Momoi se taisent, mais ils sont utilisés comme des otages pour obliger le Mirai à stopper ses machines et à laisser la marine impériale monter à bord. Ensuite, alors que le reste de l’équipage est fait prisonnier sur une île isolée, Asô est emmené sur l'île de Koror, où sont aussi les 3 membres de la composante aérienne du croiseur. Là, alors qu'il est en train de fumer avec l'un de ces hommes, un jour avant d’être transféré pour retrouver le reste de l’équipage, Asô voit arriver Momoi en tenue d’infirmière. Celle-ci donne des nouvelles rassurantes sur Kikuchi, puis remet les lunettes brisées du capitaine Umezu, pour les donner au commandant en second. Elle donne aussi un papier avec des informations, mais un garde les interrompt. Une fois dans la cellule, Asô lit le papier et comprend qu'il s'agit d'un plan de l'endroit où est amarré le Mirai. Mais il y a aussi une information sur le fait que la bombe atomique est bientôt achevée à Nankin...
Volume 24
Asô et les membres de la composante aérienne du Mirai sont maintenant transférés sur l'île où se trouve le reste de l’équipage. A leur arrivée, ils remarque que c'est entouré de falaises et que ce ne sera pas facile de partir de là. Asô fait son rapport à Kadomatsu et annonce que Kikuchi doit se reposer durant un mois. Mais le second du croiseur a déjà compris qu'il y a autre chose, et Asô lui remet les lunettes d'Umezu. Plus tard, lors de la livraison du riz, ils trouvent du matériel de plongée dans un double fond. Ce matériel leur a été fourni par le lieutenant Kisaragi, qui travaille pour Yonai. La nuit venue, Kadomatsu, Asô et Ôme se faufilent à l’extérieur de l'île, et à l'endroit du rendez-vous, ils trouvent 2 barques et Kisaragi qui les attend. Celui-ci explique qu'il a apporté 2 barques car leurs chemins se séparent ici. En effet, il est le seul collaborateur extérieur du Mirai. Le trio se rend ensuite à l'endroit où se trouve le croiseur. En voyant les gardes, ils savent que ce ne sera pas simple de monter à bord. Ils décident donc de passer par la trappe du sonar. Une fois à l’intérieur, Asô inspecte la salle du gouvernail, celle des machines, et le CIC, et ne constate aucun dégât. Il le dit au capitaine, qui se doutait que Kusaka et Taki veulent dissimuler le Mirai, ce qui les arrange. Ils prennent donc du matériel de plongée et des talkies-walkies. Ôme a trouvé les clés de l'armurerie, mais Kadomatsu estime qu'ils n'ont pas besoin d'armes. Ils retournent ensuite au campement pour ne pas manquer l'appel du matin. L’équipage fait ainsi plusieurs trajets entre le Mirai et le campement, mais un soir, Oguri et Asô sont surpris par une patrouille et doivent abandonner la barque pour ne pas être repérés. A l'approche de la bataille dans les Mariannes, le second du croiseur expose le plan. Le major Kawamoto, qui travaille avec Kisaragi, va leur fournir un tanker plein de carburant, et les gardes à bord du Mirai seront endormis grâce à des somnifères. Ils devront ensuite détruire une antenne et un bateau de communication au canon. Kadomatsu estime le nombre minimum d'hommes nécessaires pour manoeuvrer le croiseur à 35 personnes. Mais par la suite, Kisaragi les informe que le Mirai doit être remorqué par le croiseur léger Agano le lendemain matin. Les membres du Mirai doivent donc changer leurs plans et agir directement. Asô fait partie de ceux qui partent, laissant les autres sous les ordres du chef navigateur. Kadomatsu et les autres montent discrètement à bord du croiseur, puis se séparent pour se mettre chacun à leur poste. Le commandant en second compte utiliser le carburant réservé aux hélicoptères, et après avoir allumé le générateur électrique principal, tous constatent que ce carburant a en effet été oublié par Kusaka. Lorsque le moteur est allumé, Kadomatsu fonce sur le garde qui est sur le pont, tandis qu'Asô coupe la corde qui les relie à l'Agano. C'est la dernière apparition d'Asô dans ce tome.
- Statut au volume 24 : Vivant.
Premier maître Nashida
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 24 : Tué lors de l'impact de l'appareil du capitaine Samuel D. Hutton contre le Mirai.
Tôma
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 24 : Supposé vivant.
A suivre...
Cronos
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Par cronoslegend le 16 Février 2017 à 16:03
Voilà la troisième suite de la cinquième page des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Capitaine Samuel D. Hutton
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 32 : Tué dans l'explosion d'un bombardier.
Capitaine Grey
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 32 : Supposé vivant.
Commandant Noise
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 32 : Supposé vivant.
David
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 32 : Supposé vivant.
Lieutenant Jones
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 32 : Supposé vivant mais gravement brûlé.
Lieutenant Hayashibara
Volume 30
Pour éviter d’être repéré par l'appareil de reconnaissance américain, Kadomatsu fait éteindre les moteurs du Mirai, et attend que l'avion passe. Après cela, les flottes japonaise et américaine s'approchent l'une de l'autre, et pour neutraliser temporairement les performants radars des américains, Kusaka utilise des paillettes d'aluminium, qu'il fait disperser par des hydravions. Une fois face à face, les 2 flottes lancent les hostilités, tandis que le Mirai surveille les mouvements des 2 cuirassés. A un moment de la bataille, les japonais utilisent leurs torpilles torpedo 93, qui ne laissent pas de sillage. Les navires américains font donc des manoeuvres d'esquive et la confusion est totale. Les membres du croiseur savent bien que le Yamato va profiter du chaos pour faire cavalier seul. Quand 2 hydravions décollent du cuirassé A, supposé être le Yamato, le second du Mirai suppose que ceux-ci vont tenter de trouver le convoi de transport américain, où se trouvent tous les marines. Après une dernière mission de surveillance, le SH60J, avec Hayashibara à son bord, revient donc sur le croiseur, et celui-ci s'approche de la zone de combat pour identifier les 2 cuirassés. C'est la seule apparition de Hayashibara dans ce tome.
Volume 32
Après avoir confirmé que le cuirassé A est bien le Yamato, l’équipage du Mirai voit que celui-ci se met à naviguer seul en direction du nord, quittant le reste de la flotte. Le croiseur se lance à sa poursuite, tout en ayant activé l'ECM, afin que les hydravions qui ont décollé du cuirassé ne révèlent pas la position de la flotte de transport américaine. Après l'avoir rattrapé, le Mirai envoie des messages lumineux, ordonnant au Yamato de s’arrêter. Mais celui-ci répond en tirant. Le croiseur s'approche alors tout en esquivant les obus, et détruit le télémètre du cuirassé d'un seul coup de canon, réduisant sa précision de tir. C'est alors qu'un hydravion qui avait décollé du Musashi arrive, avec Kusaka à son bord, et celui-ci dévoile la position de la flotte américaine, en plus de conseiller au Yamato d'utiliser les bombes sanshiki. Celles-ci, qui explosent grâce à un minuteur et sont censées être utilisées contre des avions, se sont révélées peu efficaces dans l'histoire du Mirai, mais pourrait être très utiles contre le croiseur, qui a un fin blindage. Le Mirai évite les bombes qui explosent tout autour et parvient finalement à détruire aussi la tour de contrôle de tirs arrière. Cependant, une dernière bombe sanshiki explose près du croiseur, et les bouts de caoutchouc endommagent les radars du Mirai, rendant ces radars inopérationnels, tout comme l'ECM. Kadomatsu fait alors éloigner le croiseur du cuirassé, afin de trouver une nouvelle stratégie pour arrêter le Yamato. Hayashibara, devant le casque brisé de Satake, se souvient des dernières paroles de celui-ci, avant de foncer dans le CIC. Là, il demande au second du navire de le laisser décoller avec le SH60J. Kadomatsu lui demande s'il a conscience du danger, et le pilote répond que oui. C'est alors que Oguri débarque lui aussi, car il veut être au courant de ce qui va se décider. Hayashibara lui explique qu'il a l'intention de tirer depuis l'hélicoptère. Le chef navigateur lui rappelle le danger de s'approcher du Yamato, mais le pilote sait qu'il y a une mutinerie à bord du cuirassé et que du coup, ils ne peuvent pas contrôler tout l'armement. Mais pour Oguri, ce sont juste des hypothèses. Le commandant en second, lui, sait que maintenant, sans les radars, ils ne peuvent plus faire que des tirs à l'aveugle. Le chef navigateur demande alors l'avis du pilote sur Satake, et Hayashibara répond qu'il a fait un choix stupide, même si c’était la seule chose à faire. Oguri accepte alors la mission du SH60J, à condition de monter lui aussi à bord. Kadomatsu accepte mais il manque encore quelqu'un pour les accompagner. Ôme, qui n'a plus grand chose à faire dans le CIC, se porte dès lors volontaire. L’équipage charge alors des roquettes hand arrow à bord de l'hélicoptère, qui décolle une fois prêt. Celui-ci se dirige vers le Yamato à très basse altitude, par l’arrière. Une fois à 6.000 mètres, Hayashibara fait monter le SH60J à 1.000 mètres d'altitude pour lancer l'offensive en tirant les roquettes dans la cheminée du cuirassé. Les 2 premières roquettes touchent leur cible, et Oguri compte sur Hayashibara pour les manoeuvres d'esquive, car le Yamato va sans doute riposter. Après la troisième roquette, le pilote fait part de la situation au Mirai, ajoutant que les tirs du cuirassé sont très imprécis. Le groupe continue sa mission, mais repère rapidement l'appareil de Kusaka. Ils demandent à Kadomatsu s'ils peuvent l'abattre, mais le second du croiseur leur répond qu'ils ne doivent le faire que si l'hydravion cherche à intervenir. Oguri et ses hommes continuent donc leur mission. On ne voit plus Hayashibara par la suite dans ce tome.
- Statut au volume 32 : Vivant.
Mitsumasa Yonai (PH)
Volume 30
Alors que la nuit s'est installée sur Tokyo, Kitsaragi, Kikuchi et Momoi ont amené, chez Yonai, Yoshimura, un ancien employé des chemins de fer sud-mandchouriens qui collaborait jusqu'ici avec Kusaka et Ishiwara. L'amiral interroge cet homme sur ce que pense Kusaka. Yoshimura lui répond que Kusaka a toujours été opposé à l'expansion de l’armée de terre, tout comme lui, et que si on laisse la situation ainsi, le Japon d’après-guerre sera impossible à mettre en place. Selon lui, il faut se séparer des territoires conquis et des colonies. Il sait que dans le futur du Mirai, le Japon connaît une prospérité. Yonai se demande donc s'ils peuvent s'entendre sur ce point-là, et Yoshimura lui répond positivement. Cependant, pour l'amiral, pour contrôler l’armée de terre, il faut un plan qui puisse la neutraliser en un seul coup, c'est-à-dire le ministre de l’armée de terre, le chef d’état-major et tous les chefs en poste sur le terrain. Yoshimura lui répond que Taki agit déjà sur ce point. Yonai n'apparaît plus ensuite dans ce tome.
Volume 31
Toujours en compagnie de Katsuragi, Kikuchi, Momoi et Yoshimura, Yonai se souvient des paroles de Taki. Il fait part à Yoshimura de sa discussion avec Taki lors de la réunion de la grande Asie, et dit qu'il trouve cet homme dangereux car c'est un militaire qui essaie de faire de la politique. Il a certainement de la force et de la confiance, mais il est trop orgueilleux selon l'amiral. Pour Yoshimura, dans une guerre, le plus difficile, c'est d'y mettre fin, et donc, il faut des hommes forts pour cela. Yonai est d'accord, mais il craint que cette force ne soit incontrôlable. Le capitaine Taki a dit que le résultat prime sur le reste, alors que c'est ainsi que la guerre a débuté. Pour le moment, Taki est capitaine de frégate, mais si il réussit à avoir un puissant bouclier, il ne pourrait plus être arrêté, et l'amiral souhaite que cela n'arrive jamais. Ensuite, la longue nuit d'attente continue, sans nouvelles du front. C'est la dernière apparition de Yonai dans ce tome.
- Statut au volume 32 : Supposé vivant.
Chef Asô
Volume 29
La flotte combinée approche de la flotte américaine, et Yanagi évoque le fait que les seconds ont l'avantage grâce à leurs radars synchronisés avec leurs canons. Mais pour Kadomatsu, Kusaka a forcément prévu quelque chose pour contrer cela, sinon, il n'aurait pas choisi une attaque nocturne. Asô écoute cette conversation sans intervenir, toujours concentré. L’équipage du Mirai constate alors que les radars sont brouillés, et ils comprennent que Kusaka a utilisé des paillettes d'aluminium qu'il a fait éparpiller par des hydravions. La flotte américaine tire à l'aveugle, mais après quelques instants, le vent change de direction et souffle fort, balayant les paillettes et rendant de nouveau opérationnels les radars américains. Les membres du Mirai, dont Asô, continuent d'observer la situation sans intervenir d'aucune manière. C'est alors que les 2 flottes se font face, et Yanagi ne sait plus trop qui va en sortir vainqueur. Pour le second du croiseur, le vent peut soudainement tourner d'un côté ou de l'autre. Puis la confusion s'installe, et le Mirai intercepte un message provenant du cuirassé B, ne contenant que des points courts. Kadomatsu sait qu'il s'agit de Kusaka, car il y a exactement un an et demi, il l'a sauvé de la noyade après la bataille de Midway. Ceci est un indice de plus pour dire que le cuirassé B est le Musashi. Ensuite, la flotte combinée utilise les torpedo 93, qui ne laissent pas de sillage. Comme tous les navires américains font des manoeuvres d'esquive, le chaos est total. Pour le commandant en second, c'est ce que Kusaka voulait, et le Yamato va profiter de la confusion pour faire cavalier seul. Asô continue de rester silencieux et écoute attentivement, le visage fermé. C'est la dernière apparition d'Asô dans ce tome.
Volume 30
Alors que la confusion continue à régner entre les flottes japonaise et américaine, 2 hydravions décollent du cuirassé A, en direction de la flotte américaine. Mais pour Yanagi, ceux-ci ne peuvent transporter la bombe atomique qui est trop lourde. Kadomatsu comprend alors que ces appareils vont tenter de trouver le convoi de transport américain, un peu plus au nord. Le croiseur commence à fort s'approcher du lieu de la bataille, et Oguri et ses hommes, dont Asô, sortent pour vérifier visuellement si le cuirassé A est bien le Yamato. Pour Asô, le vent de mer dans la figure réveille, mais il reste concentré. Munis de ses jumelles, Asô s’aperçoit qu'il y a des nappes de mazout et de nombreux débris à la surface. Pour le chef navigateur, l’épaisse fumée leur sert de camouflage, et de toutes façon, japonais et américains sont trop occupés et ont remis leurs sauvetages à plus tard. Oguri et ses hommes finissent enfin par confirmer que le cuirassé A est le Yamato. Le chef navigateur constate que le Yamato continue sa navigation en zigzag, mais n'a pas tiré un seul coup de canon depuis plusieurs minutes, ce qui voudrait dire que quelque chose s'est déjà produit à bord. Soudain, le cuirassé arrête ses manoeuvre et file seul en direction du nord. Le Mirai se lance à sa poursuite, mais Asô se demande si le Yamato obéira à leur ordre d’arrêt. Il explique qu'à bord du cuirassé, il y a des gens qui partagent les idées de Kusaka, et donc, il est possible qu'ils ne veulent rien entendre et ne veulent pas céder la bombe atomique. Oguri lui répond que dans ce cas, ils devront se battre, avec comme dernier recours, l'envoyer par le fond. Et même dans ce cas, l’équipage du Mirai devra secourir les 3.000 hommes du cuirassé. Asô se dit que ce sera difficile, et le chef navigateur ajoute que ce sera même extrêmement difficile. Par la suite, un destroyer américain se trouve sur la route du Yamato, et celui-ci, au lieu d'esquiver, continue sa route et percute de plein fouet le destroyer, l'envoyant par le fond par la même occasion. Oguri et Asô regardent le spectacle avec stupéfaction. On ne voit plus Asô par la suite dans ce tome.
Volume 31
Le Mirai continue à poursuivre le Yamato. Sur les radars, l’équipage du croiseur constate que l'un des hydravions qui a décollé du Yamato a repéré la flotte de transport américaine. Afin de faire en sorte qu'il ne puisse envoyer de message au Yamato, le Mirai déclenche l'ECM. Après cela Kadomatsu et ses hommes repèrent un hydravion qui décolle du Musashi, en direction du Yamato, et supposent qu'il s'agit de Kusaka. Oguri se demande s'ils ne peuvent pas envoyer un missile standard antiaérien, mais le second du croiseur préfère qu'ils s'en tiennent au plan. Asô, qui surveillait jusque-là avec ses jumelles, utilise le projecteur avec ses hommes pour envoyer un signal au Yamato, lui ordonnant d’arrêter ses moteurs. Mais pour seule réponse, le cuirassé pointe ses canons en direction du croiseur et tire. Asô s'accroche car les obus ne tombent pas très loin du Mirai. Ensuite, Asô regarde en directions du Yamato avec ses jumelles, tandis que le chef navigateur va voir comment va Sugimoto qui a été projeté en arrière. Le Mirai continue d'envoyer le message lumineux, tout en esquivant les obus et en s'approchant du Yamato pour détruire son télémètre. Asô est fort secoué et perd parfois un peu l’équilibre. Quand le croiseur arrive à portée de tir, il envoie un nouveau message au cuirassé pour avertir de son attaque, avant de faire feu. Une fois le télémètre détruit, la précision des tirs du Yamato est réduite. C'est à ce moment qu'Oguri et Asô aperçoivent un hydravion qui s'approche. Celui-ci envoie un signal au cuirassé, et le message, qui est signé Kusaka, donne la position de la flotte de transport américaine. Mais ce n'est pas tout car il ordonne aussi à l’équipage du Yamato de se préparer à une bataille antiaérienne...
Volume 32
Tout comme le lui a ordonné Kadomatsu, Oguri dit à ses hommes de rentrer à l’intérieur du navire. Il explique que le Yamato va tirer des bombes sanshiki, des obus avec un détonateur à retardement, qui expulsent des morceaux de caoutchouc à très haute température, ce qui sera efficace contre le fin blindage du Mirai. Tous, dont Asô, vont sur la passerelle et regardent par la fenêtre pour voir avec anxiété ce qu'il va se passer. Ils observent les premiers obus tirés par le cuirassé, détruits par la canon du croiseur, et dont certains débris atterrissent déjà sur le Mirai, comme le constate Asô. Alors que le croiseur s'approche pour détruire la tour de contrôle de tirs arrière, les explosions finissent par briser les vitres de la passerelle, et Asô se met à terre, tout comme ses collègues. Le Mirai parvient enfin à détruire la tour de contrôle, mais une dernière bombe sanshiki explose à proximité, rendant inopérationnels les radars et l'ECM. Le commandant en second appelle la passerelle pour avoir des nouvelles, et le chef navigateur lui répond qu'il n'y a que des vitres brisées et des égratignures, tandis qu'Asô et les autres se relèvent doucement. Kadomatsu fait ensuite écarter le Mirai du Yamato. Oguri annonce alors à Asô qu'il se rend au CIC, et qu'il faut le remplacer sur la passerelle. Plus tard, il est finalement décidé que le chef navigateur et le chef Ôme vont monter à bord du SH60J, et qu'ils tireront des roquettes hand arrow sur la cheminée du cuirassé pour le forcer à s’arrêter. Asô et ses hommes sont chargés de construire une antenne afin de pouvoir communiquer avec l'hélicoptère. Mais au début, comme la communication ne passe pas, Asô dit à ses hommes de se dépêcher de rajouter des branches. Asô n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Statut au volume 32 : Vivant.
Premier maître Nashida
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 32 : Tué lors de l'impact de l'appareil du capitaine Samuel D. Hutton contre le Mirai.
Tôma
Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.
- Statut au volume 32 : Supposé vivant.
A suivre...
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