• Zipang : Personnages (5; Tomes 21 à 28)

    Voilà la seconde suite de la cinquième page des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Capitaine Samuel D. Hutton

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 24 : Tué dans l'explosion d'un bombardier.
    • Statut au volume 28 : Tué dans l'explosion d'un bombardier.

    Capitaine Grey

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 28 : Supposé vivant.

    Commandant Noise

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 28 : Supposé vivant.

    David

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 28 : Supposé vivant.

    Lieutenant Jones

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 24 : Supposé vivant mais gravement brûlé.
    • Statut au volume 28 : Supposé vivant mais gravement brûlé.

    Lieutenant Hayashibara

    Volume 22

    Suite au décès de Satake, des tensions s'amplifient entre le capitaine Kadomatsu, qui souhaite continuer à sauver un maximum de vies et restant à l’écart de la marine impériale, et le capitaine Kikuchi, qui souhaite prendre une plus grande part à la guerre en se rattachant à la marine impériale. Alors que le Mirai fait des patrouilles pour neutraliser les sous-marins américains, le chef canonnier choisit de prendre le contrôle du croiseur par la force, puisqu'il ne peut pas convaincre le commandant en second. Durant l’opération, un coup de feu est tiré, et Noguchi est blessé. Afin d’éviter un bain de sang à bord, Kadomatsu décide de quitter temporairement le navire, avec ceux qui veulent bien le suivre. Hayashibara reste à bord, et Kikuchi annonce alors à l’équipage qu'ils vont lancer une offensive dans l’océan indien avec la marine impériale. L’opération vise à exploiter les désirs d’indépendance de l'Inde par rapport au Royaume-Uni et ainsi faire en sorte que Churchill demande de l'aide à Roosevelt, poussant celui-ci à avancer son offensive dans les Mariannes sans être totalement préparé. La flotte japonaise est cependant composée de portes-avions de seconde zone, par décision de l’état-major de la marine. L'attaque sur Ceylan est un succès, puis la flotte se sépare en 2, une partie allant à Bombay avec Kusaka, l'autre avec Taki et le Mirai pour attaquer Chittagong et Dahka. Malheureusement, le lieutenant Tachibana, qui avait été envoyé sur le Ryûjô, décède avec le naufrage du porte-avions. Malgré cela, l’opération est une réussite. Par la suite, le croiseur doit couvrir la retraite de l’armée japonaise sur l'île de Betio, dans l'atoll de Tarawa. Les japonais vont faire croire aux américains qu'ils renforcent leur défenses, et le Mirai doit installer des systèmes de surveillance pour voir si l’armée américaine gaspille beaucoup de munitions et de carburant. Mais au moment du départ, un sous-marin japonais émerge devant le croiseur, et Kadomatsu, Asô, Yanagi et Shibata embarquent à bord d'un canot de sauvetage. Une fois que le sous-marin a plongé, Kikuchi fait décoller le SH60J avec Hayashibara aux commandes, pour récupérer les naufragés avec le filin. Une fois ceux-ci à bord, l’équipage apprend la mort de Shinohara, torturé à mort par la police spéciale qui les prenait pour des opposants au régime. Une fois à Betio, pour éviter les tensions, le second du Mirai choisit de descendre à terre avec le chef canonnier. Mais le soir, l’équipe A, composée de Kadomatsu, Kikuchi et Enomoto, aperçoit des unités américaines qui débarquent depuis un sous-marin. De plus, ceux-ci coupe la retraite de l’équipe A. Oguri fait donc décoller l'hélicoptère, avec Asô et 2 hommes à bord. Puis Hayashibara annonce qu'ils arrivent au point de récupération, et Asô veut faire un tour de repérage. Cependant, des tirs retentissent, et le pilote préfère s’éloigner. Kikuchi annonce que malheureusement, Enomoto s'est fait tué. Le Sh60J fait un tir de couverture pour permettre aux 2 survivants de fuir, avant de chercher un endroit pour les récupérer. Mais le contact radio est soudainement interrompu. Asô choisit de descendre, même s'il doit le faire par le filin, et Hayashibara accepte son choix. Par après, le chef canonnier est blessé accidentellement par Asô. Une fois les américains partis, le SH60J récupère tout le monde, même le corps d'Enomoto, et le pilote demande un dispositif d'urgence à l'atterrissage. Sur le chemin, Kikuchi dit à Kadomatsu qu'il s'agissait d'un accident et qu'Asô ne pouvait pas voir l’américain qui était caché...

    Volume 23

    Le SH60J atterrit sur le Mirai, et le capitaine Kikuchi est rapidement emmené dans l'infirmerie. Mais comme le lieutenant Momoi ne peut pas le soigner à bord à cause de la gravité de la blessure, il doit être conduit dans un hôpital. Kadomatsu et Oguri décident donc de naviguer à toute vitesse en direction de Palau, et de faire décoller l'hélicoptère une fois qu'ils auront atteint la distance limite sans escale que le SH60J peut parcourir, celui-ci étant plus rapide que le croiseur. Momoi, Aso et Kirino montent eux aussi à bord de l'hélicoptère pour accompagner le chef canonnier. Ils progressent à 230 km/h, et à 1h30 de leur destination, le pouls et la pression artérielle de Kikuchi chutent. Ils arrivent à Palau, et le chef canonnier est pris en charge. Par contre, les autres sont arrêtés par Kusaka et Taki, et Kirino choisit de collaborer avec eux. Momoi et Asô sont utilisés comme otages pour capturer le reste de l'équipage du Mirai, et seul Asô revient avec les 3 membres de la composante aérienne du navire. Prisonniers sur l'île de Koror, Momoi, qui a été intégrée à une équipe médicale de l'île, vient leur apporter des nouvelles rassurantes sur Kikuchi, mais aussi les lunettes du capitaine Umezu, qu'elle a reçu du lieutenant Kisaragi, un homme de la marine imépriale au service de Yonai, ainsi qu'un plan du lieu où est amarré le Mirai. Dans la cellule avec Hayashibara et les 2 autres, Asô dit que ce n'est pas tout car il y a aussi un message disant que la bombe atomique à Nankin est bientôt achevée...

    Volume 24

    Asô, Hayashibara et les 2 autres membres de la composante aérienne du Mirai sont transférés sur l'île où se trouve le reste de l’équipage du croiseur. A leur arrivée, ils constatent qu'il y a des falaises tout autour et que ce ne sera pas facile de partir de là. A l’intérieur, Asô fait son rapport. Par la suite, grâce à la complicité de Kisaragi, les membres du Mirai trouve du matériel de plongée dans un double fond, lors de leur livraison journalière de riz. Grâce à celui-ci, ils font plusieurs allers et retours entre le campement et le Mirai, pour ramener du matériel et préparer leur évasion. Un soir, Kadomatsu rassemble l’équipage et leur explique le plan. Le major Kawamoto, qui travaille avec Kisaragi, va leur fournir un tanker rempli de carburant, et ils vont endormir les soldats qui se trouvent sur le croiseur grâce à des somnifères dans leur repas. Ils devront ensuite détruire une antenne et un bateau de communication avec le canon. Finalement, il estime le nombre de personnes minimum nécessaire pour manoeuvrer le Mirai à 35 hommes. Cependant, grâce à des talkies-walkies, Kisaragi les avertit un soir que le Mirai doit être remorqué le lendemain matin par le croiseur léger Agano. Les membres du Mirai doivent donc changer leurs plans et agir immédiatement. Hayashibara ne fait apparemment pas partie des hommes qui partent, et il reste donc, sous les ordres d'Oguri. On ne voit pas Hayashibara ensuite dans ce tome.

    • Statut au volume 24 : Vivant.

    Volume 27

    Tandis que l’équipe de Kadomatsu parvient à récupérer le Mirai, le groupe d'Oguri s’évade de l'île où ils étaient détenus. Ensuite, grâce à l'aide du major Kawamoto, ils obtiennent un tanker de ravitaillement avec lequel ils rejoignent le croiseur. Alors que les membres du Mirai sont en plein ravitaillement, le commandant en second explique qu'ils vont se battre pour un Japon qui n'existe pas encore, mais qui n'est pas celui de Kusaka, ressemblant plutôt à celui qu'ils ont connu, en épargnant un maximum de vies humaines. Et le Mirai en sera le premier navire de guerre. Par la suite, ils se rendent sur l'île de Palawan, dans les Philippines, où ils attendent que débute la bataille dans les Mariannes, après avoir reçu un important ravitaillement du même sous-marin qui avait ramené Kadomatsu et ses hommes plusieurs mois auparavant. Une fois la bataille entamée, le croiseur se rend sur place et observe de loin, ayant pour seul objectif d’empêcher Kusaka d'utiliser la bombe atomique qu'il a fait construire à Nankin, et qu'Umezu avait tenté de détruire avant de perdre la vie. Afin de bien pouvoir observer les mouvements des flottes américaine et japonaise, le Mirai fait décoller le SH60J. Hayashibara et les autres hommes de la composante aérienne du croiseur expliquent qu’après avoir attaqué la flotte combinée, la première vague offensive américaine se replie. Et malgré que cette attaque ait perturbé la formation de la flotte japonaise, celle-ci a su restée groupée, avec au centre de formations circulaire, les 2 grands cuirassés que sont le Musashi, qui doit transporter Kusaka et l’état-major de la marine, et le Yamato, qu'ils soupçonnent de transporter la bombe, même s'ils ne savent pas encore distinguer l'un de l'autre. Pour l'instant, ils les nomment A et B. Ensuite, l'hélicoptère revient sur le Mirai pour refaire le plein. La marine japonaise découvre la location de la flotte adverse et fait décoller ses avions de Saipan, tandis que les américains envoient une seconde vague offensive. Après cela, les 2 flottes lancent une dernière attaque avant la tombée de la nuit. Le second du croiseur pense alors que la flotte combinée va profiter de la nuit pour attaquer avec ses navires, sa spécialité, et cela, même si les américains disposent de très bon radars. Kadomatsu ordonne dès lors à l'hélicoptère de décoller directement après avoir fait le plein, afin de continuer la surveillance de la zone maritime. Hayashibara et son copilote acquiescent. Hayashibara n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 28

    La nuit se met à tomber, et les derniers affrontements font place au calme. Le SH60J est toujours en vol, et l’équipage du Mirai constate que 2 embarcations quittent le cuirassé B pour rejoindre un plus petit navire. Comme la bombe atomique est trop lourde pour pouvoir être déplacée ainsi, Kadomatsu en déduit qu'il s'agit d'un déplacement du commandement de la flotte. Hayashibara et son copilote, en voyant la modification de la formation de la flotte combinée, comprennent que celle-ci se prépare à une bataille de nuit. La flotte américaine, quant à elle, se dirige vers l'est pour se ravitailler. Un peu plus tard, l'hélicoptère atterrit à nouveau sur le Mirai, et ses pilotes signalent qu'ils ont repéré un appareil de reconnaissance américain qui s'approche du croiseur. Le commandant en second leur répond qu'ils ont aussi repéré ce signal. Il ordonne de faire le plein et la révision du SH60J, pour pouvoir repartir dans 2 heures, leur disant de se reposer en attendant. Les pilotes vont alors manger. C'est la dernière apparition de Hayashibara dans ce tome.

    • Statut au volume 28 : Vivant.

    Mitsumasa Yonai (PH)

    Volume 21

    Un jour, Yonai rend visite à l'amiral Toyoda du quartier général de la marine, à Yokosuka. C'est alors qu'un soldat arriver car un message urgent leur est parvenu en provenance de la base de la flotte combinée, à Palau. Hors ce message aurait été envoyé par Yonai lui-même, et le soldat pense donc qu'il s'agit d'un message des américains. Mais l'ancien premier ministre demande d'abord à voir ce message. Il y est apparemment dit quelque chose à propos du sous-marin qui transporte Kadomatsu et ses hommes, qui serait en danger à cause de patrouilles de navires japonais. Yonai déclare que c'est bien un faux message de l'armée américaine et félicite le soldat. Une fois celui-ci parti, Yonai s'excuse auprès de Toyoda, mais qu'il a un service à lui demander. Il veut ordonner à tous les navires d'interrompre leurs missions de patrouille et de rentrer au port militaire de Singapour. C'est la dernière apparition de Yonai dans ce tome.

    Volume 22

    Le 8 septembre 1943, comme prédit par Kadomatsu, l'Italie fasciste annonce la reddition sans condition de son pays. Cependant, le gouvernement de l'Empire du Japon annonce que cela ne change rien sur leur situation dans la guerre, et qu'ils ont la conviction qu'il faut continuer la bataille jusqu’à la victoire. Durant cette annonce, qui a lieu 2 jours après la reddition, Yonai se trouve au palais impérial en compagnie de Kido. Celui-ci dit que pour beaucoup de citoyens, cette annonce est un grand choc. Il a déjà dit à l'empereur que c’était le moment idéal pour préparer la paix, mais sa majesté était apparemment déjà au courant. Il pense que c'est Tôjô qui l'a informé, lui-même ayant été approché par Ishiwara, qui connaît l'histoire grâce à Kusaka. Pour Yonai, la porte vers la paix anticipée s'est refermée. Il ordonne donc au lieutenant Kisaragi, lui aussi présent, de quitter l'infanterie de la marine pour passer sous les ordres de l'amiral Toyoda. Il le nomme officier de liaison et lui dit de partir immédiatement pour Palau pour tout expliquer à Kadomatsu. En effet, Yonai a aussi appris le décès d'Umezu, qui n'a pu que retarder la construction de la bombe atomique à Nankin. On ne voit plus Yonai par la suite dans ce tome.

    Volume 24

    Grâce à Kisaragi, Yonai apprend que l’équipage du Mirai a été fait prisonnier par Kusaka et Taki, et que le croiseur est pour l'instant dissimulé. Le 21 octobre 1943, l'amiral est réveillé chez lui par une femme, alors qu'il y a plein de dossiers répandus autour de sa table basse. La femme remarque que Yonai n'a pas dormi, mais aussi la pagaille. Elle se dit que ce ne sera pas drôle aujourd'hui pour les étudiants qui ont leur grande réunion d'adieu à Jingû, à cause de la pluie. L'amiral ne savait pas qu'il pleuvait, et la femme lui répond que c'est le cas légèrement depuis l'aube. Elle demande à Yonai s'il avait l'intention de sortir. L'amiral lui répond que oui mais qu'il a changé d'avis car il n'est pas d'humeur à avoir les chiens de Tôjô sur ses talons. La femme se demande où va le pays, à envoyer ainsi des étudiants à la guerre. Pour Yonai, avec cette pluie froide et ces jeunes qui partent, même en tant que spectateur, c'est d'une grande tristesse. Yonai n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 24 : Vivant.

    Volume 25

    Le lieutenant Kisaragi permet l'évasion de l'équipage du Mirai, mais le capitaine Kikuchi, qui avait été blessé, ainsi que le lieutenant Momoi, qui officiait en tant qu'infirmière, ont dû partir de leur côté. Afin d'agir de leur côté pour stopper le plan de Kusaka, ils se rendent tous les 2 à Tokyo, dans la quartier d'Asakusa. Ils arrivent à l'embarcadère des navettes sur la rivière, où ils ont rendez-vous avec Yonai. Celui-ci interpelle Kikuchi et Momoi et leur dit de monter dans sa navette. Pour le capitaine, ils iront plus vite en marchant le long de la rivière, mais l'amiral lui répond que justement, ils prendront tout leur temps pour discuter. Puis, le 6 novembre, Yonai se rend à la réunion de la grande Asie, tandis que Kikuchi et Momoi attendent dans la voiture. L'amiral pense que cette réunion pour la libération et l'indépendance de l'Asie est une assurance ou un prétexte pour que le Japon survive, même en cas de défaite. Pourtant, il y a l'exposition d'une carte avec les pays participant en rouge, qui prend à rebrousse-poil les représentants des autres nations présentes; C'est alors que l'on présente à Yonai le capitaine Eiichiro Taki, qui est celui qui agit avec Kusaka. Celui-ci trouve que la réunion se passe bien, malgré des mines sévères. Pour l'amiral, c'est normal avec la reddition de l'Italie. Et contrairement à Tôjô, les autres ne peuvent se contenter du succès de la réunion. Par contre, Taki trouve que Subhash Chandra Bose, le premier ministre du gouvernement provisoire de l'Inde libre, déploie beaucoup d'énergie. Il a même refusé que Tôjô mette à sa disposition un appareil sépcial, car il refuse d'être en dette avec quelqu'un. Pour Taki, dire que l'ennemi de mon ennemi est mon ami est une politique audacieuse. Mais pour Yonai, attaquer son propre pays est incompréhensible, surtout que le sang de ses compatriotes va forcément couler. Il se demande donc s'il n'y a pas de précipitation. Mais pour le capitaine, c'est ainsi que les pays se sont formés. L'amiral évoque alors le fait que ceux qui agissent sont toujours persuadés que leur cause est juste, et c'est la même chose pour les jeunes de l'armée de terre. Cependant, pour maintenir l'ordre et la stabilité, il leur manque une procédure légale et des règles. Et quand Yonai voit Taki sourire, celui-ci lui dit que seule la victoire compte, et que ce sont les gagnants qui établissent les règles. Ensuite, le capitaine prend congé, et avant qu'il s'en aille, l'amiral lui dit qu'il ne faut pas s'illusionner sur la nécessité de cette victoire à tout prix. C'est la dernière apparition de Yonai dans ce tome.

    Volume 26

    Yonai accueille chez lui le capitaine Kikuchi, ainsi que les lieutenants Momoi et Kisaragi. Le 12 décembre, il reçoit un appel, et alors que l'amiral raccroche, le chef canonnier du Mirai a compris que la bataille décisive dans les Mariannes a commencé. Yonai lui explique que 300 appareils américains ont commencé à bombarder Saipan. Mais tous les 2 savent que leur attention doit se porter sur la flotte combinée et les actions de Kusaka. C'est la seule fois que l'on voit Yonai dans ce tome.

    • Statut au volume 28 : Supposé vivant.

    Chef Asô

    Volume 21

    Une fois dans la mer de Sibuyan, le commandant Hotta découvre l'arrivée d'un destroyer, le Shimakaze, dont il connaît bien le commandant, le capitaine de corvette Yoshinori Tateishi. Et celui-ci a repéré le sous-marin. Il commence donc à larguer des mines qui explosent autour du sous-marin, dont les passagers sont inquiets. Hotta ordonne de plonger jusqu'à 120 mètres, mais Asô s'interroge car il pensait que ce genre de sous-marin ne peut aller que jusqu'à 60 mètres. Hotta lui répond que théoriquement, ils peuvent aller jusqu'à 150 mètres. Cependant, le Shimakaze semble avoir compris leurs mouvements et change la profondeur d'explosion des mines. Hotta va parler un instant avec Kadomatsu, puis décide de bouger juste avant l'arrivée de la nouvelle vague de mines. Ils parviennent à s'échapper, mais connaissant Tateishi, Hotta sait que ce ne sera pas suffisant. Ils doivent donc riposter. Hotta choisit de foncer vers le destroyer, puis de remonter à la surface juste quand il se trouve en-dessous du navire. Il percute ainsi le gouvernail du Shimakaze, abîmant ainsi aussi ses propres tubes lance-torpilles. Le destroyer utilise ses canons pour essayer de toucher le sous-marin, mais sans succès. Le sous-marin peut donc s'échapper, et quelques temps plus tard, il émerge pour permettre à son équipage de respirer l'air frais. Shibata se dit qu'ils ont de la chance, tandis que Yanagi ne supporte plus les conditions de vie dans le sous-marin et veut retourner sur le Mirai. Mais Shibata lui rappelle qu'ils ne sont même pas sûrs de pouvoir remonter sur le croiseur. Asô intervient alors car il y a peu, il ne savait même pas s'ils survivraient et pourraient remonter à la surface. Ils peuvent donc apprécier le fait d'être vivants, et le fait d'avoir un endroit où rentrer, ce n'est pas si mal. Par la suite, lors d'un briefing, Hotta, Kadomatsu et ses hommes déterminent l'endroit où devrait se trouver le Mirai, c'est-à-dire sans doute au passage de Kossol. Une fois qu'ils seront sur place, le second du croiseur souhaite observer les alentours avec le périscope. Ils parviennent à destination, mais le Mirai semble avoir levé l'ancre, ce qui est inquiétant. En effet, s'il quitte le passage, ils ne pourront pas le suivre avec le sous-marin. Asô se demande ce que compte faire Kadomatsu. Le sous-marin fait surface et envoie un message au croiseur pour pouvoir monter à bord. Cependant Kikuchi refuse car ils sont en route pour une mission. Kadomatsu demande à Hotta de sortir un canot de sauvetage, et après l'avoir remercier, lui et ses hommes embarquent à bord. Ensuite, alors que le sous-marin replonge, le canot est éclairé par les spots du Mirai. Rapidement, le canot est seul en mer face au croiseur...

    Volume 22

    Kikuchi finit par envoyer l'hélicoptère SH60J pour récupérer Kadomatsu et ses hommes. Mais une fois à bord, le lieutenant Kirino leur signale que leurs déplacements seront limités, et que leurs armes leur sont confisqués. Shibata s’énerve, mais le second du Mirai le calme directement. Ensuite, il se rend directement sur la passerelle pour aller saluer celui qui commande pour l'instant le navire. Par la suite, dans le réfectoire, Asô et Yanagi apprennent que Tachibana est décédé à bord du porte-avion Ryûjô lors de l’opération dans l’océan indien, tout en annonçant le décès de Shinohara. Asô se dit que si Tachibana avait quitté le Mirai, il serait toujours en vie, et Ôme lui répond que c'est la même chose pour Shinohara, mais dans le sens inverse. Ôme demande ensuite si Asô et Yanagi savent ce que faisait Umezu à Nankin. Yanagi s’apprête à répondre, mais Asô lui donne une léger coup de coude pour le faire taire, déclarant ne pas le savoir. Par contre, Kadomatsu semble vouloir rester dans sa cabine et tous se demandent ce qu'il a en tête. Par contre, Asô dit que les repas du croiseur sont bien bons. Par la suite, l’équipage apprend par la radio officielle japonaise la reddition de l'Italie fasciste, comme prévu le 8 septembre. Le Mirai arrive ensuite près de l'île de Betio. Celle-ci est évacuée par l’armée japonaise, tout en faisant croire aux américains qu'ils renforcent leurs défenses, ceci afin que l’armée américaine gaspille de nombreux obus et beaucoup de carburant pour tenter de reprendre cette île. Pour observer la situation, le croiseur doit installer des systèmes de surveillance, et pour cela, Kikuchi doit quitter le navire avec plusieurs hommes. C'est alors que Sakurai vient dans la cabine de Kadomatsu, en présence notamment d'Asô, pour proposer de profiter de l'absence du chef canonnier pour reprendre le contrôle du croiseur. Mais le second du Mirai ne veut pas agir aussi lâchement. C'est pourquoi Kadomatsu choisit d'aller à terre avec Kikuchi. Mais le soir, alors que les équipes B et C sont déjà sur le chemin de retour vers le croiseur, l’équipe composée des 2 capitaines et d'Enomoto repère quelques unités américaines qui débarquent d'un sous-marin, coupant leur trajet de retour. Oguri fait activer l'ECM, puis envoie le SH60J avec à son bord Asô et 2 hommes sous ses ordres. Asô dit au chef navigateur qu'il peut compter sur eux car ils ont frôlé plusieurs fois la mort à bord de l'igô. Une fois sur place, l'hélicoptère fait un tour de repérage, mais des coups de feu se font entendre. Le chef canonnier annonce alors qu'Enomoto a été tué. Asô s’inquiète alors du fait que les 2 capitaines sont seuls, face à face. Hayashibara annonce qu'ils vont les couvrir tandis qu'ils iront vers l'est. Cela semble fonctionner, mais soudainement, le contact radio est rompu. Asô décide alors de descendre, même s'il doit utiliser le filin si le SH60J ne sait pas atterrir. Une fois à terre, les 3 hommes mettent leurs lunettes de vision nocturne et s'enfoncent dans la forêt. Soudain, Asô aperçoit Kikuchi, mais celui-ci semble pointer son arme en direction de Kadomatsu. Asô lui crie de baisser son arme, mais le chef canonnier ne semble pas l'entendre. Asô hésite et court pour aller bousculer Kikuchi. Hors, quand il l'entend prononcer le nom du second du Mirai, il appuie sur la gâchette. Mais Asô n'a pas vu le soldat américain qui se cachait, et que Kadomatsu fait partir car c'est juste un photographe. Tous les 2 transportent rapidement le chef canonnier à bord du SH60J, ainsi que le corps d'Enomoto, et Kikuchi déclare qu'il s'agissait d'un accident...

    Volume 23

    Le SH60J arrive, et Kikuchi est rapidement évacué vers l'infirmerie. Kadomatsu et Oguri décident de naviguer à pleine vitesse vers Palau, jusqu’à la distance maximale que peut parcourir l'hélicoptère, et de le faire décoller alors. Durant le trajet, au réfectoire, Asô va manger seul, sachant que tous les regards sont posés sur lui. Il sait qu'il doit garder le silence jusqu’à ce que Kikuchi soit remis sur pieds, même s'il veut crier que c’était bien lui qui lui a tiré dessus, et que c’était un accident. Plus tard, Asô se rend dans la cabine du commandant en second, et demande à accompagner le chef canonnier lors du transfert. Kadomatsu accepte d'en parler au chef navigateur, qui est d'accord. Momoi et Kirino font aussi partie du voyage. Mais durant le transport, le pouls et la pression artérielle de Kikuchi chutent. Ils arrivent à Palau, et alors que le chef canonnier est emmené dans un hôpital, Asô, Kirino et Momoi sont interrogés par Kusaka et Taki. Ce dernier se souvient qu'Asô avait quitté le navire en même temps que Kadomatsu. C'est alors que Kirino révèle que le second du Mirai est revenu à bord et qu'il est prêt à tout pour reprendre le contrôle du croiseur. Il est donc prêt à collaborer avec Kusaka et Taki. Asô et Momoi se taisent, mais ils sont utilisés comme des otages pour obliger le Mirai à stopper ses machines et à laisser la marine impériale monter à bord. Ensuite, alors que le reste de l’équipage est fait prisonnier sur une île isolée, Asô est emmené sur l'île de Koror, où sont aussi les 3 membres de la composante aérienne du croiseur. Là, alors qu'il est en train de fumer avec l'un de ces hommes, un jour avant d’être transféré pour retrouver le reste de l’équipage, Asô voit arriver Momoi en tenue d’infirmière. Celle-ci donne des nouvelles rassurantes sur Kikuchi, puis remet les lunettes brisées du capitaine Umezu, pour les donner au commandant en second. Elle donne aussi un papier avec des informations, mais un garde les interrompt. Une fois dans la cellule, Asô lit le papier et comprend qu'il s'agit d'un plan de l'endroit où est amarré le Mirai. Mais il y a aussi une information sur le fait que la bombe atomique est bientôt achevée à Nankin...

    Volume 24

    Asô et les membres de la composante aérienne du Mirai sont maintenant transférés sur l'île où se trouve le reste de l’équipage. A leur arrivée, ils remarque que c'est entouré de falaises et que ce ne sera pas facile de partir de là. Asô fait son rapport à Kadomatsu et annonce que Kikuchi doit se reposer durant un mois. Mais le second du croiseur a déjà compris qu'il y a autre chose, et Asô lui remet les lunettes d'Umezu. Plus tard, lors de la livraison du riz, ils trouvent du matériel de plongée dans un double fond. Ce matériel leur a été fourni par le lieutenant Kisaragi, qui travaille pour Yonai. La nuit venue, Kadomatsu, Asô et Ôme se faufilent à l’extérieur de l'île, et à l'endroit du rendez-vous, ils trouvent 2 barques et Kisaragi qui les attend. Celui-ci explique qu'il a apporté 2 barques car leurs chemins se séparent ici. En effet, il est le seul collaborateur extérieur du Mirai. Le trio se rend ensuite à l'endroit où se trouve le croiseur. En voyant les gardes, ils savent que ce ne sera pas simple de monter à bord. Ils décident donc de passer par la trappe du sonar. Une fois à l’intérieur, Asô inspecte la salle du gouvernail, celle des machines, et le CIC, et ne constate aucun dégât. Il le dit au capitaine, qui se doutait que Kusaka et Taki veulent dissimuler le Mirai, ce qui les arrange. Ils prennent donc du matériel de plongée et des talkies-walkies. Ôme a trouvé les clés de l'armurerie, mais Kadomatsu estime qu'ils n'ont pas besoin d'armes. Ils retournent ensuite au campement pour ne pas manquer l'appel du matin. L’équipage fait ainsi plusieurs trajets entre le Mirai et le campement, mais un soir, Oguri et Asô sont surpris par une patrouille et doivent abandonner la barque pour ne pas être repérés. A l'approche de la bataille dans les Mariannes, le second du croiseur expose le plan. Le major Kawamoto, qui travaille avec Kisaragi, va leur fournir un tanker plein de carburant, et les gardes à bord du Mirai seront endormis grâce à des somnifères. Ils devront ensuite détruire une antenne et un bateau de communication au canon. Kadomatsu estime le nombre minimum d'hommes nécessaires pour manoeuvrer le croiseur à 35 personnes. Mais par la suite, Kisaragi les informe que le Mirai doit être remorqué par le croiseur léger Agano le lendemain matin. Les membres du Mirai doivent donc changer leurs plans et agir directement. Asô fait partie de ceux qui partent, laissant les autres sous les ordres du chef navigateur. Kadomatsu et les autres montent discrètement à bord du croiseur, puis se séparent pour se mettre chacun à leur poste. Le commandant en second compte utiliser le carburant réservé aux hélicoptères, et après avoir allumé le générateur électrique principal, tous constatent que ce carburant a en effet été oublié par Kusaka. Lorsque le moteur est allumé, Kadomatsu fonce sur le garde qui est sur le pont, tandis qu'Asô coupe la corde qui les relie à l'Agano. C'est la dernière apparition d'Asô dans ce tome.

    • Statut au volume 24 : Vivant.

    Volume 25

    Le Mirai s’apprête à partir, mais l'Agano pointe ses canons sur lui et tire. Le Mirai esquive et c'est alors que son équipage aperçoit Kusaka qui est à bord de l'Agano. Pour Asô, s'ils visent bien, un seul tir suffira pour envoyer cet homme dans le fond de l'eau. Kadomatsu marque un temps de pause, puis ordonne de braquer le canon sur l'Agano, mais en visant le gouvernail et l'hélice. Le Mirai fait feu et neutralise ainsi l'Agano, sans faire de victime, avant de partir pour le large. Un peu plus tard, Ôme signale le décollage de 2 appareils de reconnaissance qui viennent dans leur direction. Asô constate donc qu'ils les ont trouvé. C'est alors que le second du croiseur demande à ce que ces appareils les suivent, pour permettre à Oguri et aux autres de pouvoir bouger. Par la suite, les radars indiquent le décollage d'un appareil de transport, qui devrait normalement être celui qui emporte Kikuchi et Momoi. Pour Asô, comme l'heure et le trajet correspondent, leurs amis ont donc dû réussir leur évasion. Il se sent rassuré et ils peuvent donc agir plus librement. Puis, comme les 2 hydravions retournent à leur base et que d'autres appareils décollent, ils changent de trajectoire pour rejoindre le reste de l'équipage. Après les avoir rejoint, presque à sec, tous peuvent commencer le ravitaillement. C'est alors que Kadomatsu évoque le fait que la patrie qu'ils vont regagner n'existe nulle part sur cette terre. Mais le chef navigateur lui rappelle que s'ils n'ont pas de nation, ils ne sont plus un navire de guerre. Le commandant en second explique alors que cette patrie n'existe pas encore mais que ce sera le cas dans le futur. Ce sera cependant un Japon différent de celui imaginé par Kusaka, plus proche de celui qu'ils ont connu, en préservant au maximum toutes les vies, et pour lequel le Mirai sera le premier navire de guerre. Asô reste silencieux durant ce discours mais approuve comme tous les autres la décision de Kadomatsu. Une fois le ravitaillement terminé, le croiseur se met en route, et tout en surveillant les alentours, Yanagi dit à Asô comprendre qu'ils ne sont plus la force d'autodéfense du Japon. Asô acquiesce et rappelle qu'ils ont perdu de nombreux camarades. Et lorsque leur tour viendra, ce ne seront alors plus des morts considérées comme accidentelles, mais une mort à la guerre, qui ne sera alors plus vaine. Le Mirai arrive plus tard à l'île de Palawan, dans les Philippines. Sugimoto trouve que cette île désertique ressemble à celle de King Kong, mais Asô trouve que la barrière rocheuse les protège. Kadomatsu, Oguri, Asô et Yanagi vont ensuite faire une petite inspection à terre, et Asô constate qu'il est impossible de cultiver quoi que ce soit dans ces terres, ce qui signifie qu'il n'y a personne. Par la suite, le sous-marin du commandant Hotta arrive lui aussi dans l'île, avec un important ravitaillement. Asô et les autres membres du croiseur se mettent au travail, tandis que le second du Mirai va parler avec Hotta. On ne voit plus Asô par la suite dans ce tome.

    Volume 26

    En attendant le début de la bataille des Mariannes, l'équipage du Mirai, Asô compris, se repose sur l'île de Palawan, mais aussi pour démonter l'antenne qu'ils ont mise pour capter tous les messages des flottes américaine et japonaise. Sakurai trouve que c'est si calme que ça en devient presque énervant. Il sait que la bataille est proche et veut profiter de la terre ferme car ils ne risquent pas de revenir de sitôt. Asô est d'accord, surtout que cette île accueillera des hôtels après la guerre. Mais rien ne garantit selon lui que c'est cet après-guerre qui existera, et cela dépend sans doute d'eux. Asô monte alors le son de son lecteur de disque portable. Sakurai reconnaît "Manatsu no kajitsu" des southern, et ne savait pas qu'Asô les aimait. Celui-ci lui répond que c'est depuis longtemps, et Yonekura pense que ça lui évoque des souvenirs avec sa femme. Pour Sugimoto, si c'est avec sa femme, ça va, mais par contre, si c'est une autre, c'est autre chose. Yonekura ne pense pas Asô infidèle, mais Sugimoto voit le chef rougir et pense avoir tapé dans le mille. Asô se dit qu'il a trop écouté ce disque, et le passe à Sakurai, qui est fan. Ensuite, le groupe va manger. Plus tard, ils doivent regagner le Mirai, et tous attendent Sakurai qui traîne. Celui-ci admet avoir laissé le CD dans une grotte. Un des hommes se fâche car le CD n'existe pas encore à cette époque. Pour Yonekura, ce n'est qu'un CD, et s'ils disparaissent sans laisser de trace, ce CD fera figure de testament. Asô intervient alors et dit qu'ils ne sont pas obligés d'aller le chercher maintenant et qu'ils peuvent revenir plus tard. C'est alors que tout le monde semble accepter cette décision. Une fois à bord du croiseur, Asô se promet de revenir. Par la suite, alors que la bataille a débuté, les radars indiquent que la flotte combinée a été repérée par les américains, et que ceux-ci ont fait décoller une vague offensive. Kadomatsu rappelle qu'ils ne doivent pas se mêler de cette bataille, puis demande à Kirino d'énumérer l'armement qui reste  leur disposition. Après cela, le commandant en second rappelle que leur seul objectif est de stopper l'attaque nucléaire de Kusaka. Asô écoute en silence et semble fort concentré. Il n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 27

    L’équipage du Mirai constate qu’après les américains, les japonais trouvent aussi la position de la flotte adverse. Décidés à être offensifs, ils font décoller de nombreux appareils de Saipan pour attaquer la flotte américaine, tandis que celle-ci envoie sa seconde vague offensive vers la flotte combinée. Oguri se rend compte que c'est la seconde fois après Midway qu'il voit une bataille navale de cette ampleur. Cependant, cette fois-ci, ils savent qu'ils ne sont plus des observateurs. Asô reste concentré et silencieux, tandis que les appareils américains s'approchent de la flotte combinée. C'est la seule apparition d'Asô dans ce tome.

    Volume 28

    Avant la tombée de la nuit, la flotte américaine lance une troisième attaque sur la flotte adverse, tandis que la flotte combinée fait décoller ses appareils pour une seconde vague offensive. Ensuite, une fois que l’obscurité est tombée, le calme s'installe. Les radars du Mirai indiquent que 2 petites embarcations quittent l'un des cuirassés, nommé B pour l'instant, pour se rendre sur un plus petit navire. Sachant que la bombe atomique, que l’équipage du croiseur suppose se trouver sur le Yamato, est trop lourde pour être transportée sur un si petit navire, Kadomatsu en déduit qu'il s'agit d'un déplacement du commandement de la flotte. Le cuirassé B serait donc le Musashi, tandis que le cuirassé A serait le Yamato. Par la suite, alors que le SH60J revient sur le Mirai après avoir surveillé la zone maritime, le second du croiseur fait arrêter les moteurs car ils ont repéré un appareil de reconnaissance américain en approche. Asô et Yanagi entrent dans le même temps dans le CIC. Alors que l’équipage attend le passage de cet appareil, Oguri évoque le fait qu'ils pourraient couler les 2 cuirassés avec des tomahawks, ceux-ci passant juste au-dessus de la fosse des Mariannes, se débarrassant ainsi certainement de la bombe atomique. Kadomatsu rétorque qu'ils pourraient aussi passer par le détroit de Magellan, longer la côte est des Amériques et tirer un coup de canon sur la Maison Blanche. Le chef navigateur pense que cela ferait une bonne surprise à Roosevelt, et tout le monde rigole. Asô sourit, et dit que ce qu'ils comptent faire est quand même beaucoup plus difficile, mais que c'est leur manière de faire et qu'ils n'en dérogeront pas. L'appareil de reconnaissance passe, et le Mirai peut rallumer ses moteurs. Asô, lui, est à nouveau concentré. On ne voit plus Asô par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 28 : Vivant.

    Premier maître Nashida

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 24 : Tué lors de l'impact de l'appareil du capitaine Samuel D. Hutton contre le Mirai.
    • Statut au volume 28 : Tué lors de l'impact de l'appareil du capitaine Samuel D. Hutton contre le Mirai.

    Tôma

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 24 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 28 : Supposé vivant.

    A suivre...

    Cronos


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