• Zipang : Personnages (5; Tomes 29 à 36)

    Voilà la troisième suite de la cinquième page des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Capitaine Samuel D. Hutton

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 32 : Tué dans l'explosion d'un bombardier.
    • Statut au volume 36 : Tué dans l'explosion d'un bombardier.

    Capitaine Grey

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 32 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 36 : Supposé vivant.

    Commandant Noise

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 32 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 36 : Supposé vivant.

    David

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 32 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 36 : Supposé vivant.

    Lieutenant Jones

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 32 : Supposé vivant mais gravement brûlé.
    • Statut au volume 36 : Supposé vivant mais gravement brûlé.

    Lieutenant Hayashibara

    Volume 30

    Pour éviter d’être repéré par l'appareil de reconnaissance américain, Kadomatsu fait éteindre les moteurs du Mirai, et attend que l'avion passe. Après cela, les flottes japonaise et américaine s'approchent l'une de l'autre, et pour neutraliser temporairement les performants radars des américains, Kusaka utilise des paillettes d'aluminium, qu'il fait disperser par des hydravions. Une fois face à face, les 2 flottes lancent les hostilités, tandis que le Mirai surveille les mouvements des 2 cuirassés. A un moment de la bataille, les japonais utilisent leurs torpilles torpedo 93, qui ne laissent pas de sillage. Les navires américains font donc des manoeuvres d'esquive et la confusion est totale. Les membres du croiseur savent bien que le Yamato va profiter du chaos pour faire cavalier seul. Quand 2 hydravions décollent du cuirassé A, supposé être le Yamato, le second du Mirai suppose que ceux-ci vont tenter de trouver le convoi de transport américain, où se trouvent tous les marines. Après une dernière mission de surveillance, le SH60J, avec Hayashibara à son bord, revient donc sur le croiseur, et celui-ci s'approche de la zone de combat pour identifier les 2 cuirassés. C'est la seule apparition de Hayashibara dans ce tome.

    Volume 32

    Après avoir confirmé que le cuirassé A est bien le Yamato, l’équipage du Mirai voit que celui-ci se met à naviguer seul en direction du nord, quittant le reste de la flotte. Le croiseur se lance à sa poursuite, tout en ayant activé l'ECM, afin que les hydravions qui ont décollé du cuirassé ne révèlent pas la position de la flotte de transport américaine. Après l'avoir rattrapé, le Mirai envoie des messages lumineux, ordonnant au Yamato de s’arrêter. Mais celui-ci répond en tirant. Le croiseur s'approche alors tout en esquivant les obus, et détruit le télémètre du cuirassé d'un seul coup de canon, réduisant sa précision de tir. C'est alors qu'un hydravion qui avait décollé du Musashi arrive, avec Kusaka à son bord, et celui-ci dévoile la position de la flotte américaine, en plus de conseiller au Yamato d'utiliser les bombes sanshiki. Celles-ci, qui explosent grâce à un minuteur et sont censées être utilisées contre des avions, se sont révélées peu efficaces dans l'histoire du Mirai, mais pourrait être très utiles contre le croiseur, qui a un fin blindage. Le Mirai évite les bombes qui explosent tout autour et parvient finalement à détruire aussi la tour de contrôle de tirs arrière. Cependant, une dernière bombe sanshiki explose près du croiseur, et les bouts de caoutchouc endommagent les radars du Mirai, rendant ces radars inopérationnels, tout comme l'ECM. Kadomatsu fait alors éloigner le croiseur du cuirassé, afin de trouver une nouvelle stratégie pour arrêter le Yamato. Hayashibara, devant le casque brisé de Satake, se souvient des dernières paroles de celui-ci, avant de foncer dans le CIC. Là, il demande au second du navire de le laisser décoller avec le SH60J. Kadomatsu lui demande s'il a conscience du danger, et le pilote répond que oui. C'est alors que Oguri débarque lui aussi, car il veut être au courant de ce qui va se décider. Hayashibara lui explique qu'il a l'intention de tirer depuis l'hélicoptère. Le chef navigateur lui rappelle le danger de s'approcher du Yamato, mais le pilote sait qu'il y a une mutinerie à bord du cuirassé et que du coup, ils ne peuvent pas contrôler tout l'armement. Mais pour Oguri, ce sont juste des hypothèses. Le commandant en second, lui, sait que maintenant, sans les radars, ils ne peuvent plus faire que des tirs à l'aveugle. Le chef navigateur demande alors l'avis du pilote sur Satake, et Hayashibara répond qu'il a fait un choix stupide, même si c’était la seule chose à faire. Oguri accepte alors la mission du SH60J, à condition de monter lui aussi à bord. Kadomatsu accepte mais il manque encore quelqu'un pour les accompagner. Ôme, qui n'a plus grand chose à faire dans le CIC, se porte dès lors volontaire. L’équipage charge alors des roquettes hand arrow à bord de l'hélicoptère, qui décolle une fois prêt. Celui-ci se dirige vers le Yamato à très basse altitude, par l’arrière. Une fois à 6.000 mètres, Hayashibara fait monter le SH60J à 1.000 mètres d'altitude pour lancer l'offensive en tirant les roquettes dans la cheminée du cuirassé. Les 2 premières roquettes touchent leur cible, et Oguri compte sur Hayashibara pour les manoeuvres d'esquive, car le Yamato va sans doute riposter. Après la troisième roquette, le pilote fait part de la situation au Mirai, ajoutant que les tirs du cuirassé sont très imprécis. Le groupe continue sa mission, mais repère rapidement l'appareil de Kusaka. Ils demandent à Kadomatsu s'ils peuvent l'abattre, mais le second du croiseur leur répond qu'ils ne doivent le faire que si l'hydravion cherche à intervenir. Oguri et ses hommes continuent donc leur mission. On ne voit plus Hayashibara par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 32 : Vivant.

    Volume 33

    Alors qu'il ne reste que 5 roquettes sur les 25 qui étaient à bord du SH60J, Hayashibara constate que le Yamato n'a toujours pas ralenti. Ôme et le pilote sont prêts à modifier leur approche, mais Oguri ne veut pas car les risques ne sont pas calculables et ce serait irresponsable pour lui de les conduire face au danger. Ils ont bien travaillé mais il préfère rentrer. C'est alors que Hayashibara repère un appareil en approche sur son radar, qu'il pense venir de la flotte de transport américaine. Celui-ci va arriver dans 12 minutes. Le pilote et Ôme suggèrent alors d'utiliser leur joker, à savoir le réservoir de secours. Hayashibara ajoute que s'ils regagnent le Mirai, ils ne pourront peut-être plus décoller. Avant de prendre une décision, le chef navigateur veut d'abord en informer Kadomatsu. Celui-ci pense que c'est de la folie de voler juste au-dessus du Yamato, mais le pilote du SH60J le rassure en lui rappelant que toutes les batteries antiaériennes ne sont pas opérationnelles. Ils n'auront aucun problème, et Hayashibara promet qu'ils n'auront pas une égratignure. Le second du croiseur finit par accepter, et l'hélicoptère fonce à pleine vitesse: Arrivé à 2.000 mètres du cuirassé, le pilote constate qu'effectivement, plusieurs canons sont restés muets et il pense à Satake. Le SH60J arrive près du Yamato à très basse altitude, avant de remonter d'un seul coup. Oguri le félicite pour sa manoeuvre, lui disant qu'il est un as. Hayashibara prévient qu'une fois à 1.000 mètres d'altitude, il redescendra très vite au-dessus de la cheminée du cuirassé. Mais c'est alors qu'un obus éclairant est tiré par le Yamato. Le pilote amorce sa descente, mais le zéro de Kusaka commence à tirer. Hayashibara vérifie les dégâts, et ceux-ci sont heureusement minimes. Il passe alors en mode stationnaire et s’apprête à larguer le réservoir. Hors, celui-ci reste bloqué, et même en décrochant le support du réservoir, cela ne change rien. Ils comprennent donc que l'actionneur a été endommagé par les balles. Le chef navigateur décide alors de sortir pour faire tomber lui-même le réservoir avec une hache. Mais pendant qu'il est occupé, Hayashibara voit le zéro approcher. Il fait un passage puis, quand Oguri a enfin largué le réservoir, l'appareil de Kusaka tire à nouveau. Le pilote de l'hélicoptère esquive, mais le chef navigateur est touché à l'estomac et chute du SH60J sur le Yamato. Alors que l'obus éclairant n'agit plus, Hayashibara prévient le Mirai, disant qu'Oguri est probablement tombé sur le pont du cuirassé. Ôme veut abattre le zéro, mais le pilote lui rappelle qu'ils doivent d'abord finir la mission. Ôme tire et fait finalement exploser la cheminée du Yamato, qui est maintenant obligé d’arrêter ses machines. Après avoir averti Kadomatsu, Hayashibara demande l'autorisation de rechercher le chef navigateur. Mais le second du croiseur, après avoir entendu la situation, en déduit qu'Oguri est mort et que le SH60J ferait mieux de rentrer. Mais alors qu'ils sont sur le chemin du retour, le pilote voit que Kusaka envoie un message lumineux au Yamato, disant qu'il va monter à bord du cuirassé...

    Volume 34

    Dès le retour du SH60J à bord du Mirai, les 2 pilotes et Ôme vont dans une salle avec Kadomatsu et Kirino pour débriefer ce qu'il vient de se passer. Le second du Mirai dit qu'ils n'ont pas le temps de panser leurs plaies et qu'ils doivent réfléchir à leur prochaine manoeuvre, car Kusaka ne va certainement pas en rester là tant que la bombe atomique n'est pas désamorcée. Kadomatsu compte monter à bord du Yamato pour se débarrasser définitivement de la bombe, à la surprise des 2 pilotes et d'Ôme. Hayashibara explique ensuite qu'il peut transporter maximum 9 personnes à bord de l'hélicoptère, et que la meilleure approche pour éviter les batteries antiaériennes du cuirassé, c'est de passer par l’arrière, même si maintenant, ils vont être méfiants. Ôme se demande comment ils vont trouver la bombe. Le commandant en second explique que les mutins ne vont sans doute pas parler, même sous la menace, et ils seront en plus armés. Ils devront aussi s'occuper de ceux qui n'ont pas pris part à la rébellion, et les différencier des mutins ne sera pas facile. Ils risquent de se retrouver avec des prises d'otages, et pour l'instant, ils manquent d'informations pour mener à bien leur opération, et doivent la postposer jusqu’à ce qu'ils en sachent plus. C'est alors qu'un message non codé est envoyé depuis le Yamato, sans doute envoyé par Kusaka. Ce dernier décrit le cuirassé, mais dit ne pas vouloir utiliser sa puissance. Il ajoute que les moteurs sont à l’arrêt et annonce aussi qu'au lever du soleil, il va libérer les 2.800 membres d’équipage qui n'ont pas pris part à la mutinerie. Pour Ôme, c'est l'occasion qu'ils attendaient pour pouvoir monter à bord du Yamato. Un navire américain répond au message de Kusaka, qui révèle même son nom, et les 2 flottes déverrouillent leurs communications, délaissant la bataille. Ensuite, grâce aux données enregistrées par le SH60J, ainsi qu'aux enregistrements vidéo et audio, Hayashibara décrit comment il a fait son approche, ainsi qu'une énumération des canons du cuirassé qui ont ouvert le feu. Toujours avec ces données, le pilote raconte ensuite ce qu'il s'est passé, jusqu'aux tirs qui ont conduit au décès d'Oguri. Mais sur cet élément, Kadomatsu veut revenir un peu en arrière, et sur la vidéo, Hayashibara voit que Kusaka dit quelque chose. Le second du croiseur comprend qu'il disait au pilote de ne pas tirer, ce qui signifie qu'il n'avait pas l'intention de tuer le chef navigateur. C'est alors que Kadomatsu décide qu'il ira monter à bord du Yamato une fois que l’évacuation des 2.800 hommes non impliqués dans la rébellion sera faite, à la satisfaction de l’équipage du Mirai. Hayashibara n'apparaît plus ensuite dans ce tome.

    Volume 35

    Tandis que l'escouade se prépare pour l’opération d'abordage, le SH60J est de nouveau dans les airs pour vérifier que les 2.800 membres du Yamato non impliqués dans la mutinerie sont bien évacués au lever du jour. Pour l'instant, Hayashibara et Kakizaki ne voient aucun mouvement. Kadomatsu leur dit de l'avertir au moindre changement, avant de pouvoir revenir sur le Mirai. Juste au moment où le soleil se pointe à l'horizon, Hayashibara aperçoit sur son radar la mise à l'eau de petites embarcations. Il le signale au croiseur puis s’apprête à partir, mais soudain, un nouveau signal apparaît, approchant du Mirai. C'est un aéronef, probablement américain, qui est en mission de reconnaissance. Le second du croiseur demande à Hayashibara pourquoi il ne l'a pas repéré plus tôt, et le pilote répond que l'appareil volait probablement à une plus haute altitude qu'eux. Kadomatsu demande alors de vérifier si c'est bien un appareil américain, et si c'est le cas, il autorise l'hélicoptère à ouvrir le feu. Hayashibara dit alors à Kakizaki de préparer la mitrailleuse. Au moment où ils découvrent l'appareil, ils constatent qu'il est bien américain et engagent les hostilités. Mais l'avenger, fait des manoeuvres d'esquive avant de faire un piqué. Le SH60J se lance à sa poursuite, mais au moment où l'appareil a envoyé un message avec la position précise du Mirai à sa flotte, le second du croiseur annonce qu'il est maintenant inutile d'abattre l'avenger. Il ordonne à l'hélicoptère de prendre de l'altitude et de les informer de la position de l'escadrille américaine. Celle-ci s'approche du cuirassé et entamera son attaque dans 15 minutes. Mais soudain, l'escadrille se sépare en 2, une partie se dirigeant vers le Mirai. Kadomatsu ordonne ensuite au pilote de revenir d'urgence à bord du croiseur. C'est la dernière apparition de Hayashibara dans ce tome.

    Volume 36

    Après avoir embarqué l'escouade du capitaine Kadomatsu, le SH60J décolle à nouveau, et fait un virage autour du Mirai avant de prendre la direction du Yamato. Hayashibara annonce qu'il va faire un détour afin d’éviter de croiser les appareils américains, ce qui devrait engendrer quelques minutes de retard. Un peu plus tard, ils reçoivent un appel du CIC, qui leur annonce que le cuirassé a été torpillé mais qu'il est toujours à flot. Ensuite, le pilote voit que l'escadrille américaine s'approche du croiseur et le signale au commandant en second. Celui-ci demande si le bombardement aérien du Yamato se poursuit, et Hayashibara lui répond qu'en effet, les appareils américains encerclent le cuirassé. Le second du Mirai veut profiter du répit entre 2 vagues offensives américaines, pour monter à bord du Yamato. Une fois à 10.000 mètres du cuirassé, le pilote de l'hélicoptère l’aperçoit, et voit une épaisse fumée noire provenant de la poupe du navire. Pour Hayashibara, c'est une situation idéale pour faire une approche par la poupe. Kadomatsu en déduit que les dégâts se concentrent là, et que l’équipage va s'y trouver pour les réparations. Comme il veut agir vite, le second du croiseur annonce qu'ils vont atterrir sur le pont avant du Yamato. Le pilote est surpris que ce ne soit plus un largage au filin, mais un abordage. Le capitaine explique qu'à l'avant du navire se trouvent 3 passages par lesquelles ils pourront rapidement s'introduire. Yonekura s’inquiètent des mitrailleuses, mais Yanagi lui répond qu'il y a un angle mort pour éviter les tirs amis, et que donc, Kadomatsu tient le bon raisonnement. En arrivant près du cuirassé, Hayashibara dit qu'il va dépasser le navire et aller directement vers la proue. Une fois sur place, il se met en vol stationnaire, et Sugimoto utilise la mitrailleuse pour détruire les câbles qui sont dans le chemin. Ensuite, l'escouade descend du SH60J et Kakizaki s'occupe de les couvrir avec la mitrailleuse. Cependant, Hayashibara aperçoit un tireur isolé qui tire sur Ôme, et le signale à Kakizaki. Celui-ci s'en occupe, puis le pilote appelle le commandant en second. Comme Ôme est blessé, il annonce qu'il va atterrir pour le reprendre à bord de l'hélicoptère, et le ramener sur le Mirai. Avant cela, le capitaine lui demande la situation à l’extérieur. Hayashibara explique que des hommes se rassemblent sur la proue du Yamato, et Kadomatsu trouve la situation trop dangereuse. Il ordonne donc au SH60J de se replier. Kakizaki couvre la fuite et peu après, Hayashibara détecte déjà la seconde vague américaine sur son radar. Ils seront sur le Yamato dans 40 minutes...

    • Statut au volume 36 : Vivant.

    Mitsumasa Yonai (PH)

    Volume 30

    Alors que la nuit s'est installée sur Tokyo, Kitsaragi, Kikuchi et Momoi ont amené, chez Yonai, Yoshimura, un ancien employé des chemins de fer sud-mandchouriens qui collaborait jusqu'ici avec Kusaka et Ishiwara. L'amiral interroge cet homme sur ce que pense Kusaka. Yoshimura lui répond que Kusaka a toujours été opposé à l'expansion de l’armée de terre, tout comme lui, et que si on laisse la situation ainsi, le Japon d’après-guerre sera impossible à mettre en place. Selon lui, il faut se séparer des territoires conquis et des colonies. Il sait que dans le futur du Mirai, le Japon connaît une prospérité. Yonai se demande donc s'ils peuvent s'entendre sur ce point-là, et Yoshimura lui répond positivement. Cependant, pour l'amiral, pour contrôler l’armée de terre, il faut un plan qui puisse la neutraliser en un seul coup, c'est-à-dire le ministre de l’armée de terre, le chef d’état-major et tous les chefs en poste sur le terrain. Yoshimura lui répond que Taki agit déjà sur ce point. Yonai n'apparaît plus ensuite dans ce tome.

    Volume 31

    Toujours en compagnie de Katsuragi, Kikuchi, Momoi et Yoshimura, Yonai se souvient des paroles de Taki. Il fait part à Yoshimura de sa discussion avec Taki lors de la réunion de la grande Asie, et dit qu'il trouve cet homme dangereux car c'est un militaire qui essaie de faire de la politique. Il a certainement de la force et de la confiance, mais il est trop orgueilleux selon l'amiral. Pour Yoshimura, dans une guerre, le plus difficile, c'est d'y mettre fin, et donc, il faut des hommes forts pour cela. Yonai est d'accord, mais il craint que cette force ne soit incontrôlable. Le capitaine Taki a dit que le résultat prime sur le reste, alors que c'est ainsi que la guerre a débuté. Pour le moment, Taki est capitaine de frégate, mais si il réussit à avoir un puissant bouclier, il ne pourrait plus être arrêté, et l'amiral souhaite que cela n'arrive jamais. Ensuite, la longue nuit d'attente continue, sans nouvelles du front. C'est la dernière apparition de Yonai dans ce tome.

    • Statut au volume 32 : Supposé vivant.

    Volume 36

    Le soleil se lève à Tokyo, et Yonai reçoit un appel de Toyoda. Avant de raccrocher, il dit attendre des nouvelles, puis explique à Kikuchi que Kusaka a annoncé sa prise de pouvoir du Yamato, ainsi que le fait qu'il va évacuer toutes les personnes qui ne sont pas impliquées dans la mutinerie. Ensuite, l'amiral retourne à sa table basse pour servir le thé. Voyant le chef canonnier du Mirai dans ses pensées, Yonai lui dit que la guerre connaîtra un tournant dans les prochaines heures. Il lui propose donc de dormir un peu. Mais Kikuchi refuse gentiment, et l'amiral dit que quand ils meurent, les gens peuvent dormir autant qu'ils le veulent. Yonai annonce alors qu'il va à Yokosuka, et qu'il souhaite que le chef canonnier l'accompagne. Celui-ci accepte, sachant que Kisaragi les a déjà devancer. L'amiral suggère donc de réveiller Momoi et Yoshimura, et les 2 hommes se préparent. On ne voit plus Yonai par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 36 : Vivant.

    Chef Asô

    Volume 29

    La flotte combinée approche de la flotte américaine, et Yanagi évoque le fait que les seconds ont l'avantage grâce à leurs radars synchronisés avec leurs canons. Mais pour Kadomatsu, Kusaka a forcément prévu quelque chose pour contrer cela, sinon, il n'aurait pas choisi une attaque nocturne. Asô écoute cette conversation sans intervenir, toujours concentré. L’équipage du Mirai constate alors que les radars sont brouillés, et ils comprennent que Kusaka a utilisé des paillettes d'aluminium qu'il a fait éparpiller par des hydravions. La flotte américaine tire à l'aveugle, mais après quelques instants, le vent change de direction et souffle fort, balayant les paillettes et rendant de nouveau opérationnels les radars américains. Les membres du Mirai, dont Asô, continuent d'observer la situation sans intervenir d'aucune manière. C'est alors que les 2 flottes se font face, et Yanagi ne sait plus trop qui va en sortir vainqueur. Pour le second du croiseur, le vent peut soudainement tourner d'un côté ou de l'autre. Puis la confusion s'installe, et le Mirai intercepte un message provenant du cuirassé B, ne contenant que des points courts. Kadomatsu sait qu'il s'agit de Kusaka, car il y a exactement un an et demi, il l'a sauvé de la noyade après la bataille de Midway. Ceci est un indice de plus pour dire que le cuirassé B est le Musashi. Ensuite, la flotte combinée utilise les torpedo 93, qui ne laissent pas de sillage. Comme tous les navires américains font des manoeuvres d'esquive, le chaos est total. Pour le commandant en second, c'est ce que Kusaka voulait, et le Yamato va profiter de la confusion pour faire cavalier seul. Asô continue de rester silencieux et écoute attentivement, le visage fermé. C'est la dernière apparition d'Asô dans ce tome.

    Volume 30

    Alors que la confusion continue à régner entre les flottes japonaise et américaine, 2 hydravions décollent du cuirassé A, en direction de la flotte américaine. Mais pour Yanagi, ceux-ci ne peuvent transporter la bombe atomique qui est trop lourde. Kadomatsu comprend alors que ces appareils vont tenter de trouver le convoi de transport américain, un peu plus au nord. Le croiseur commence à fort s'approcher du lieu de la bataille, et Oguri et ses hommes, dont Asô, sortent pour vérifier visuellement si le cuirassé A est bien le Yamato. Pour Asô, le vent de mer dans la figure réveille, mais il reste concentré. Munis de ses jumelles, Asô s’aperçoit qu'il y a des nappes de mazout et de nombreux débris à la surface. Pour le chef navigateur, l’épaisse fumée leur sert de camouflage, et de toutes façon, japonais et américains sont trop occupés et ont remis leurs sauvetages à plus tard. Oguri et ses hommes finissent enfin par confirmer que le cuirassé A est le Yamato. Le chef navigateur constate que le Yamato continue sa navigation en zigzag, mais n'a pas tiré un seul coup de canon depuis plusieurs minutes, ce qui voudrait dire que quelque chose s'est déjà produit à bord. Soudain, le cuirassé arrête ses manoeuvre et file seul en direction du nord. Le Mirai se lance à sa poursuite, mais Asô se demande si le Yamato obéira à leur ordre d’arrêt. Il explique qu'à bord du cuirassé, il y a des gens qui partagent les idées de Kusaka, et donc, il est possible qu'ils ne veulent rien entendre et ne veulent pas céder la bombe atomique. Oguri lui répond que dans ce cas, ils devront se battre, avec comme dernier recours, l'envoyer par le fond. Et même dans ce cas, l’équipage du Mirai devra secourir les 3.000 hommes du cuirassé. Asô se dit que ce sera difficile, et le chef navigateur ajoute que ce sera même extrêmement difficile. Par la suite, un destroyer américain se trouve sur la route du Yamato, et celui-ci, au lieu d'esquiver, continue sa route et percute de plein fouet le destroyer, l'envoyant par le fond par la même occasion. Oguri et Asô regardent le spectacle avec stupéfaction. On ne voit plus Asô par la suite dans ce tome.

    Volume 31

    Le Mirai continue à poursuivre le Yamato. Sur les radars, l’équipage du croiseur constate que l'un des hydravions qui a décollé du Yamato a repéré la flotte de transport américaine. Afin de faire en sorte qu'il ne puisse envoyer de message au Yamato, le Mirai déclenche l'ECM. Après cela Kadomatsu et ses hommes repèrent un hydravion qui décolle du Musashi, en direction du Yamato, et supposent qu'il s'agit de Kusaka. Oguri se demande s'ils ne peuvent pas envoyer un missile standard antiaérien, mais le second du croiseur préfère qu'ils s'en tiennent au plan. Asô, qui surveillait jusque-là avec ses jumelles, utilise le projecteur avec ses hommes pour envoyer un signal au Yamato, lui ordonnant d’arrêter ses moteurs. Mais pour seule réponse, le cuirassé pointe ses canons en direction du croiseur et tire. Asô s'accroche car les obus ne tombent pas très loin du Mirai. Ensuite, Asô regarde en directions du Yamato avec ses jumelles, tandis que le chef navigateur va voir comment va Sugimoto qui a été projeté en arrière. Le Mirai continue d'envoyer le message lumineux, tout en esquivant les obus et en s'approchant du Yamato pour détruire son télémètre. Asô est fort secoué et perd parfois un peu l’équilibre. Quand le croiseur arrive à portée de tir, il envoie un nouveau message au cuirassé pour avertir de son attaque, avant de faire feu. Une fois le télémètre détruit, la précision des tirs du Yamato est réduite. C'est à ce moment qu'Oguri et Asô aperçoivent un hydravion qui s'approche. Celui-ci envoie un signal au cuirassé, et le message, qui est signé Kusaka, donne la position de la flotte de transport américaine. Mais ce n'est pas tout car il ordonne aussi à l’équipage du Yamato de se préparer à une bataille antiaérienne...

    Volume 32

    Tout comme le lui a ordonné Kadomatsu, Oguri dit à ses hommes de rentrer à l’intérieur du navire. Il explique que le Yamato va tirer des bombes sanshiki, des obus avec un détonateur à retardement, qui expulsent des morceaux de caoutchouc à très haute température, ce qui sera efficace contre le fin blindage du Mirai. Tous, dont Asô, vont sur la passerelle et regardent par la fenêtre pour voir avec anxiété ce qu'il va se passer. Ils observent les premiers obus tirés par le cuirassé, détruits par la canon du croiseur, et dont certains débris atterrissent déjà sur le Mirai, comme le constate Asô. Alors que le croiseur s'approche pour détruire la tour de contrôle de tirs arrière, les explosions finissent par briser les vitres de la passerelle, et Asô se met à terre, tout comme ses collègues. Le Mirai parvient enfin à détruire la tour de contrôle, mais une dernière bombe sanshiki explose à proximité, rendant inopérationnels les radars et l'ECM. Le commandant en second appelle la passerelle pour avoir des nouvelles, et le chef navigateur lui répond qu'il n'y a que des vitres brisées et des égratignures, tandis qu'Asô et les autres se relèvent doucement. Kadomatsu fait ensuite écarter le Mirai du Yamato. Oguri annonce alors à Asô qu'il se rend au CIC, et qu'il faut le remplacer sur la passerelle. Plus tard, il est finalement décidé que le chef navigateur et le chef Ôme vont monter à bord du SH60J, et qu'ils tireront des roquettes hand arrow sur la cheminée du cuirassé pour le forcer à s’arrêter. Asô et ses hommes sont chargés de construire une antenne afin de pouvoir communiquer avec l'hélicoptère. Mais au début, comme la communication ne passe pas, Asô dit à ses hommes de se dépêcher de rajouter des branches. Asô n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 32 : Vivant.

    Volume 33

    Après l’établissement de l'antenne pour pouvoir communiquer avec le SH60J, Asô se rend dans le CIC pour suivre l’opération de là-bas. Hayashibara informe le Mirai qu'ils ont entamé leur offensive à distance sur le Yamato, mais que celui-ci ne s’arrête pas. Après un certain temps, Oguri explique qu'ils ne sont pas parvenus à arrêter le cuirassé, mais aussi qu'un appareil de reconnaissance américain est apparu sur les radars de l'hélicoptère. Pour éviter que l’armée américaine ne s'en mêle et ne s'empare de la bombe atomique, le chef navigateur suggère qu'ils volent jusqu'au Yamato, qu'ils se placent juste au-dessus de la cheminée, qu'ils l'arguent le réservoir de secours du SH60J, et qu'ils tirent une de leurs dernières roquettes pour faire exploser la cheminée. Malgré des réticences, Kadomatsu accepte. Mais un peu plus tard, Hayashibara leur annonce qu'Oguri a été touché par le zéro de Kusaka et qu'il est tombé de l'hélicoptère. Ils continuent cependant la mission et réussissent à faire exploser la cheminée, forçant enfin le cuirassé à arrêter ses machines. Le pilote du SH60J demande alors l'autorisation d'entamer des recherches pour trouve le chef navigateur. Mais étant donné que les batteries antiaériennes du Yamato fonctionnent toujours, le second du croiseur refuse. Ôme lui demande si c'est vraiment ce qu'il veut, et Asô sait que la réponse est non, car s'il y a bien une personne qui veut ramener Oguri à bord du Mirai, c'est Kadomatsu. Cependant, le commandant en second reste calme et dit que les chances que le chef navigateur soient en vie sont nulles. Il ordonne donc que l'hélicoptère reviennent à bord du croiseur. Par après, Sugimoto se rappelle tous ceux qui sont mort, dont certains avaient de la famille. Asô lui dit que s'ils restent à cette époque, c'est la même chose pour eux. Mais Sugimoto était persuadé que rien ne pouvait arriver à Oguri. Un des hommes lui demande de se taire, et Sugimoto s'excuse les larmes aux yeux car le corps n'a pas encore été retrouvé. Asô le regarde sans plus rien dire et c'est sa dernière apparition dans ce tome.

    Volume 34

    Alors que le SH60J revient vers le Mirai, ses membres apprennent que Kusaka va monter à bord du Yamato. Ensuite, une fois l'hélicoptère de retour, Kadomatsu et Kirino vont interroger les survivants de son équipage, afin de savoir ce qu'il s'est passé et pouvoir agir en conséquence. Mais après un certain moment, un message non codé est envoyé depuis le cuirassé, à la surprise de tous, dont Asô. Le second du croiseur sait qu'il s'agit de Kusaka, et celui-ci décrit le Yamato, mais déclare qu'il ne compte pas se servir de sa puissance. Il dit aussi que les machines sont à l’arrêt, et qu'au lever du jour, 2.800 membres d’équipage seront libérés et quitteront le navire. Un navire américain demande alors pour quelle raison ceux qui vont rester se battent, et Kusaka répond que c'est pour la même raison que les autres, révélant même son nom. Par la suite, les 2 flottes multiplient les messages, délaissant la bataille. Mais Asô se demande pourquoi Kusaka va libérer les 2.800 hommes qui n'ont pas participé à la mutinerie, car même s'il cherche à gagner du temps face aux armées japonaise et américaine, ces hommes sont des boucliers humains face à la marine impériale et face au Mirai. Kadomatsu regarde maintenant les données de vol de l'hélicoptère, tout en écoutant les explications de Hayashibara sur ce qu'il s'est passé, ainsi que l'enregistrement des voix. Et lorsqu'il voit les images du zéro de Kusaka qui ouvre le feu, provoquant ainsi le décès d'Oguri, le second du croiseur s’aperçoit que Kusaka demandait à son pilote de ne pas tirer. Après avoir compris cela, Kadomatsu décide qu'il montera à bord du Yamato après l’évacuation des 2.800 hommes. Asô semble satisfait que leur objectif soit fixé. Plus tard, Asô se rend à la cantine avec plusieurs de ses collègues. Il explique qu'à capacité maximum, le SH60J peut transporter 9 personnes en plus des 2 pilotes. Comme le commandant en second va diriger lui-même l’opération, il reste 8 places. Sugimoto se demande si le choix va s’opérer parmi des volontaires, mais Asô lui répond que Kadomatsu va faire lui-même une sélection. Sugimoto aimerait donc savoir comment le second du Mirai compte faire son choix. Asô développe en disant que comme le but est le désamorçage de la bombe, la moitié du groupe sera constituée d'artilleurs et de mécaniciens de bord. Le reste de l'escouade aura sans doute un but de soutien armé, mais l'entraînement et le combat réel ne sont pas comparables. Donc, après les 3 affrontements qu'ils ont connus, c'est-à-dire à Guadalcanal, à Tarawa et lors de la reprise du Mirai à Palau, ce sera le quatrième affrontement. Selon Asô, l’expérience sur le terrain sera un critère irremplaçable. Un peu plus tard, par la radio interne, Kadomatsu annonce le nom des 5 techniciens, puis nomme Ôme, Sugimoto et Yanagi, à la surprise d'Asô qui pensait être nommé. Il reste cependant stoïque, mais le commandant en second vient le voir. Il explique qu'il compte laisser le commandement du navire à Kirino, mais comme c'est la première fois pour lui, il aura besoin d'un second expérimenté. Asô comprend qu'il envisage l'éventualité d'un échec de l’opération. Pourtant, Kadomatsu déclare qu'il est impossible qu'ils échouent. Asô se dit que le second du croiseur compte probablement être le seul à rester. Kadomatsu dit à Asô que le navire a besoin de lui, et Asô dit qu'il peut compter sur lui. On ne voit plus Asô par la suite dans ce tome.

    Volume 35

    Pendant que l'escouade se prépare, le SH60J est de nouveau dans les airs pour bien vérifier que l’évacuation des 2.800 hommes non impliqués dans la mutinerie s'effectue bien comme annoncé par Kusaka. L’équipage du Mirai sait que la marine américaine a fait décoller ses appareils pour attaquer le Yamato, et tous attendent le lever du soleil, dont Asô. Kirino se demande si les américains ne vont pas finir par couler le cuirassé, mais Kadomatsu pense que Kusaka a prévu quelque chose pour que cela ne se passe pas ainsi. Mais leur situation est encore plus délicate car le système aegis en hors d’état de marche, les missiles antiaériens sont inutilisables et le canon principal ne fonctionne que manuellement, en plus d'avoir un blindage beaucoup plus fin que les navires de cette époque. Alors que le soleil se pointe à l'horizon, l'hélicoptère signale que les premiers canots du Yamato sont mis à l'eau. Mais soudain, il prévient qu'un appareil, probablement un éclaireur américain, est en approche du Mirai. Asô reste tendu mais n'intervient pas, tandis que le second du croiseur ordonne à Hayashibara de vérifier si c'est bien un appareil américain, et si c'est le cas, il l'autorise à ouvrir le feu pour éviter qu'ils soient repérés. Il s'agit bien d'un avenger américain, mais il évite les tirs du SH60J et parvient à envoyer un message à sa flotte, indiquant la position du Mirai. A ce moment, Asô prend un air vraiment inquiet. Kadomatsu, lui, dit à Hayashibara qu'il est maintenant inutile d'abattre l'appareil américain, et il ordonne à l'hélicoptère de prendre de la hauteur pour voir ce que va faire l'escadrille américaine. Celle-ci est apparemment à 15 minutes du cuirassé. Mais après quelques instants, l'escadrille se sépare en 2, une partie se dirigeant vers le croiseur. Beaucoup à bord sont inquiet, dont Asô, qui reste silencieux, mais pour le commandant en second, le chaos sur le Yamato dû à l'attaque américaine est l'occasion pour eux de monter à bord. Il fait donc revenir le SH60J. Asô n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 36

    Une fois l'escouade à bord du SH60J, celui-ci décolle et fait un virage autour du Mirai. Asô regarde l'hélicoptère, tout en se rappelant que pourtant, Kadomatsu déteste le cérémonial. Une fois le SH60J parti en direction du Yamato, Kirino fait naviguer le croiseur à pleine vitesse, pour fuir l'escadrille américaine. Un peu plus tard, le chef Ashikawa signale à Kirino et Asô qu'il entend des bruits d'explosions avec le sonar. Il en déduit que le cuirassé vient d’être torpillé. Par après, les appareils américains arrivent sur le Mirai et lancent leur offensive. Kirino dirige les manoeuvres du navire, tandis qu'Asô se tient à ses côtés. Ce dernier sait que sans le système aegis, et avec les canons principaux pilotés en mode semi-automatique, ils n'ont plus aucun avantage face à ces avions. Le Mirai doit esquiver 3 torpilles puis riposter avec le CIWS et fait exploser un appareil. Asô se dit que cette fois-ci, ce ne sont pas des points lumineux qui s’éteignent sur un écran du CIC, mais le sang coule à chaque fois qu'ils abattent un avion américain. Pour Asô, ils ont franchi une ligne. C'est la dernière apparition d'Asô dans ce tome.

    • Statut au volume 36 : Vivant.

    Premier maître Nashida

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 32 : Tué lors de l'impact de l'appareil du capitaine Samuel D. Hutton contre le Mirai.
    • Statut au volume 36 : Tué lors de l'impact de l'appareil du capitaine Samuel D. Hutton contre le Mirai.

    Tôma

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 32 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 36 : Supposé vivant.

    A suivre...

    Cronos


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