Voilà la seconde suite de la troisième page des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Chef Ashikawa
Volume 17
Après le départ de Kadomatsu et de ses hommes, Kikuchi annonce au reste de l'équipage qu'ils vont attaquer l'Inde. Ainsi, les désirs d'indépendance de cette région vont s'intensifier et Churchill, occupé en Europe, sera obligé d'appeler Roosevelt à l'aide pour qu'il attire les japonais dans les Mariannes. Par la suite, alors qu'ils se dirigent vers Ceylan avec une flotte assez réduite de la marine impériale, à cause du nouvel amiral en chef, Mineichi Koga, qui craint malgré tout une attaque prochaine dans les Mariannes, les membres du Mirai discutent de ce qu'il va se passer. Ashikawa parle avec Kashiwabara, et tous les 2 craignent que ces attaques surprises ne fassent beaucoup de victimes. Soudain, le chef Ôme signale un écho sur le radar, et tout le monde doit aller au poste de combat. Il ne s'agit que d'une appareil de patrouille mais le chef canonnier décide tout de même de l'abattre. Ensuite, le 17 juillet, la flotte japonaise lance sa première attaque sur l'île de Ceylan. Ashikawa est en poste à côté d'Ôme, et celui-ci signale qu'à 5h20, à 230 miles au sud-ouest de Ceylan, la première vague d'assaut décolle. Kikuchi fait déclencher le brouillage des ondes, et la première vague revient de son attaque avec peu de pertes. La situation est différente pour la seconde vague, et alors que la plupart des appareils retournent vers la flotte, Ôme signale qu'un tenzan est poursuivi par un mosquito anglais et s'éloigne de la flotte. Ôme se demande s'ils ne peuvent pas l'aider. Le chef canonnier est perplexe car la structure du tenzan est métallique, alors que celle du mosquito est en bois. Ils ne peuvent donc pas utiliser leurs missiles à longue portée et doivent se rapprocher pour utiliser leur canon. Ashikawa reste à son poste mais n'intervient pas, alors que les 2 appareils sont en plein combat aérien. Une fois que les 2 avions sont en vue, Ashikawa saisit les données et annonce que le stabilisateur de visée est opérationnel. Ils abattent le mosquito et le tenzan peut enfin rejoindre la flotte. Après cela, la flotte se sépare en 2, Kusaka allant vers Bombay, tandis que Taki va vers Dacca et Chittagong en compagnie du Mirai. Pour pouvoir communiquer malgré le brouillage des ondes, le Mirai envoie Tachibana et Okishima à bord du porte-avion Ryûjô pour mettre en place une radio. Le 24 juillet, à 4 heures du matin, ils font un essai qui se révèle concluant, et Ashikawa semble à l'affut. Le jour suivant, alors que l'ECM est activé, les escadrilles sont à 30 minutes de leurs cibles, et Ashikawa paraît calme. On ne voit plus Ashikawa ensuite dans ce tome.
Volume 18
Malheureusement pour la marine impériale et le Mirai, l'armée anglo-indienne a fait décoller ses appareils dès qu'ils ont vu que leurs ondes ont été brouillées. Kikuchi demande à Taki de pouvoir désactiver l'ECM, mais ce dernier refuse car cela donnerait la position de la flotte japonaise à l'armée anglo-indienne. La première vague se fait anéantir, ainsi que la seconde, et le reste de l'escadrille anglo-indienne, qui a malgré tout compris où se trouve la flotte japonaise, se dirige vers elle avec la ferme intention de la détruire. A ce moment, le chef canonnier du croiseur souhaite venir en aide à la flotte japonaise, mais Taki refuse catégoriquement car il ne faut que le Mirai s'expose. Ensuite, Kikuchi souhaite qu'au moins, Tachibana et Okishima soient évacués, mais à ce moment-là, c'est Tachibana qui n'est pas d'accord car cela mettrait encore plus le Ryûjô en danger, et que cela ne serait raisonnable pour sauver seulement 2 vies. La flotte japonaise essaie de se mettre à l'abri sous un squall, mais le Ryûjô est sérieusement touché et ne peut plus y arriver, l'évacuation géénrale est ordonnée, mais Tachibana se retrouve bloqué dans la salle des radios. Il continue à communiquer jusqu'à ce que l'eau envahisse la salle où il se trouve. Alors que le Mirai se dirige vers le lieu du naufrage et qu'il reste 12 appareils de l'armée anglo-indienne, Ashikawa signale que le sonar relève des perturbations. Ces ondes terribles serait le bruit provenant du naufrage du porte-avion. C'est la seule fois qu'apparaît Ashikawa dans ce tome.
Volume 19
Le Mirai arrive à proximité du lieu du naufrage du Ryûjô, et malgré le fait que le reste de la flotte ne court plus aucun risque puisque les appareils de l'armée anglo-indienne rentrent vers leur base, Kikuchi décide de les abattre malgré tout. Le croiseur lance alors plusieurs missiles pour abattre plusieurs avions anglo-indiens et achève les autres avec le canon principal. Ashikawa regarde avec stupéfaction les signaux de ces appareils disparaître les uns après les autres, mais sans dire un mot. C'est la seule apparition d'Ashikawa dans ce tome.
Statut au volume 20 : Vivant.
Volume 21
Après avoir éliminé tous les appareils de l'armée anglo-indienne, le Mirai récupère Okishima et rentre à Palau, la mission étant un succès malgré la perte du Ryûjô. Par la suite, la nouvelle mission du croiseur est de soutenir le retrait des îles Gilbert de la marine impériale, puis de faire croire à l'armée américaine que l'armée japonaise est toujours là, et qu'au contraire, elle renforce sa défense de ces îles. Mais alors que le Mirai lève l'ancre pour se diriger vers les îles Gilbert, Ashikawa repère un bruit d'ébullition droit devant le navire. Il s'agirait d'un sous-marin qui se trouverait à 2.000 mètres devant eux, et qui remonte à la surface. Kashiwabara dit que pourtant, d'après la marine, il n'y aurait aucun sous-marin prévu dans la zone. Une fois en surface, le sous-marin, un igô, envoie un message lumineux, et Ashikawa reste très étonné, ne comprenant pas ce qu'il se passe. Le message dit que le capitaine Kadomatsu et ses hommes souhaitent monter à bord. Cependant, le capitaine Kikuchi refuse car ils sont en mission. hors, le sous-marin met un canot à l'eau, et des passagers montent à bord. Lorsque le spot lumineux éclaire le canot, tous reconnaissent le second du Mirai et ses hommes, ce qui provoque la joie générale, dont celle d'Ashikawa. Juste après, Ashikawa entend le bruit du remplissage des ballasts du sous-marin, ce qui signifie qu'il plonge. Il le signale et annonce que le sous-marin quitte la zone à grande vitesse. Le chef canonnier demande alors combien de temps mettrait le navire le plus proche de cette zone, et le lieutenant Kirino lui répond que le plus proche est un destroyer qui mettrait une heure au minimum. Ashikawa déclare alors que le sous-marin est déjà à 3.500 mètres...
Volume 22
Kikuchi finit par accepter d'envoyer le SH60J pour récupérer Kadomatsu et ses hommes. Tout comme beaucoup d'autres, Ashikawa semble content du retour du commandant en second. Par la suite, l'équipage apprend le décès du lieutenant Shinohara, battu à mort par la police spéciale, et qui était parti avec Kadomatsu. Par la suite, le 10 septembre, alors qu'il est avec d'autres membres d'équipage dans la cafétéria, Ashikawa apprend par la radio officielle japonaise la reddition de l'Italie fasciste, tout comme dans leur histoire. On ne voit plus Ashikawa par la suite dans ce tome.
Volume 24
Arrivé dans l'atoll de Tarawa, Kadomatsu choisit de descendre à terre avec Kikuchi sur l'île de Betio. Sur place, ils installent des systèmes de surveillance tout la journée. Cependant, le soir venu, ils repèrent des soldats américains qui débarquent après être venus avec un sous-marin. Ses soldats coupant la route de retour de l’équipe composée des 2 capitaines et du maître Enomoto, Oguri envoie le SH60J les récupérer. Mais en voulant faire signe à l'hélicoptère, Enomoto se fait tuer par un soldat américain. Le chef navigateur fait alors monter une équipe en soutien à bord du SH60J, sous les ordres du chef Asô. Le Mirai force les américains à battre en retraite mais malgré cela, la chef canonnier est touché à l'abdomen. Ne pouvant être soigné à bord du croiseur, Kikuchi est transporté par hélicoptère à Palau, pour aller le plus vite possible, avec à son bord Asô, et les lieutenants Momoi et Kirino. Quand le Mirai rejoint lui aussi Palau, tout l’équipage est fait prisonnier par la marine impériale, Kirino leur permettant de monter à bord, celui-ci ayant cru qu'Asô avait tiré volontairement sur le chef canonnier alors qu'il s'agissait d'un accident. Tous les membres du croiseur, Kirino compris, sont placés dans des baraquements sur un petite île, après avoir appris que le capitaine Umezu avait tente d’empêcher Kusaka de construire une bombe atomique à Nankin, mais y a perdu la vie. Sur l'île, ils reçoivent un message caché du lieutenant Kisaragi, un homme sous les ordres de Yonai, et qui est leur allié. Grâce aux livraisons de riz, Kisaragi leur fournit du matériel pour permettre à Kadomatsu et une partie de ses hommes de pouvoir aller sur le Mirai et récupérer encore du matériel. Ils préparent leur évasion sur plusieurs jours, le major Kawamoto, un autre allié, devant leur fournir le carburant pour le croiseur. Kadomatsu a besoin de 35 personnes minimum pour manoeuvrer le Mirai, pour après récupérer le reste de l’équipage. Ashikawa est choisi parmi ces 35 personnes. Comme le croiseur doit être déplacé, ils se mettent en route un peu en urgence, et une fois à bord du Mirai, Ashikawa et Ôme s'installent dans le CIC. Le courant est allumé et les 2 hommes regardent avec inquiétude si il y a encore le carburant réservé aux hélicoptères. Comme c'est le cas, le carburant est transféré, les moteurs allumés, et Ashikawa et Ôme activent l'ECM. Soudain, Ashikawa remarque que les canons de l'Agano, le navire censé escorter le Mirai, pointent dans leur direction. Ils esquivent une salve de tirs, et Ashikawa constate la présence de quelqu'un sur l'aile gauche de l'Agano, qui n'est autre que Kusaka...
Statut au volume 24 : Vivant.
Toï
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
Statut au volume 20 : Supposé vivant.
Statut au volume 24 : Supposé vivant.
Major Kawamoto
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
Statut au volume 20 : Supposé vivant.
Volume 21
Toujours en poste à Palau, Kawamoto reçoit un jour un appel du capitaine Oguri. Le major le rejoint à l'extérieur, et le chef navigateur du Mirai a une faveur à lui demander. Oguri voudrait savoir si il y a eu des ordres de patrouilles dans les mers du sud contre des sous-marins. Kawamoto revient un peu plus tard en courant vers son ami. Il n'y aurait aucun sous-marin de la marine impériale en mer de Chine du sud, mais un télégramme datant du 17 août à 12h30, heure de Palau, ordonne bien des patrouilles anti-sous-marines par les navires de surveillance. Ces navires continuerait vers le canal de Bashi, à l'exception de l'un d'eux qui agit librement et n'envoie pas de rapport périodique. Le major demande la signification de ce message au capitaine, mais celui-ci se dit pressé et lui expliquera plus tard. C'est la seule fois que l'on voit Kawamoto dans ce tome.
Volume 23
Le lieutenant Kisaragi arrive à Palau et demande à Kawamoto de lui indiquer où se trouve le Mirai. Alors qu'il pleut, le major revient et indique qu’après sa mission dans les îles Gilbert, le croiseur est toujours là-bas et que comme les communications sont bloquées, ils n'ont pas de nouvelles. Il est donc impossible de savoir si le capitaine Kadomatsu, qui avait quitté le Mirai suite à une prise de contrôle du navire par la capitaine Kikuchi, en désaccord avec lui sur la ligne de conduite à adopter dans cette guerre, est de nouveau à bord. D’après les informations qu'il a eu de l’état-major, le Mirai ne devrait revenir à Palau qu’après avoir constaté le débarquement de l’armée américaine dans les îles Gilbert. Kawamoto et Kisaragi apprennent par la suite que suite à un incident dans les îles Gilbert, Kikuchi aurait été blessé. Et afin que Kadomatsu ne reprenne pas le contrôle du navire, Kusaka et Taki ont arrêté et emprisonné tous les membres du croiseur, mettant le navire à l'abri des regards. Kawamoto se rend donc à la ville de Koror pour tenter de savoir où se trouve l’équipage du Mirai. Dans un bar, il retrouve un ami qu'il n'a pas vu depuis 6 mois et qui travaille dans les cuisines. Celui-ci révèle qu'il se lève tous les matins à 3 heures pour faire des boules de riz pour plus de 200 personnes. Il ne sait pas par contre où ces boules sont transportées. Après avoir repéré le bateau qui transporte le riz, le major se renseigne auprès d'un jeune pêcheur autochtone local, qui lui indique où le bateau se rend tous les matins. Kawamoto part en informer Kisaragi, qui se demande pourquoi le major l'aide ainsi. Celui-ci explique qu'il sait qu'il a été rattaché à l’état-major de Palau car il a eu trop de contacts avec le Mirai. Il est donc tenu au secret et n'est plus libre de ses mouvements. Ils se contente de suivre les ordres mais le lieutenant lui rappelle qu'il ne lui donne aucun ordre. Kawamoto raconte alors que lorsqu'il était petit, il y avait une maison où, selon les adultes, le mal habitait. le jeune garçon qu'il était ne devait pas regarder à l’intérieur, ni écouter ce qu'il s'y disait. Quelques jours après une descente de police durant laquelle tous les habitants de la maison ont été arrêtés, Kawamoto regarda par la fenêtre de la maison et découvrit un bonnet de laine tricoté non achevé. Il comprit alors que des humains habitaient là, même s'il n’était pas d'accord avec leur doctrine. Ces gens devaient d'abord être compris en tant qu’êtres humains. Ensuite, le major et le lieutenant tentent de savoir si l’équipage du croiseur est bien sur l'île en mettant un message dans l'une des boulettes, leur demandant d'allumer un soir leurs lumières durant 3 secondes à une heure déterminée pour confirmer leur présence. Et effectivement, pile à l'heure, Kawamoto et Kisaragi comprennent que Kadomatsu et ses hommes sont bien là-bas. Kawamoto n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
Statut au volume 24 : Supposé vivant.
Watanabe
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
Statut au volume 20 : Supposé vivant.
Statut au volume 24 : Supposé vivant.
Matelot Shimizu
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
Statut au volume 20 : Supposé vivant.
Statut au volume 24 : Supposé vivant.
Capitaine de vaisseau Kameto Kuroshima (PH)
Volume 17
Suite au décès de l'amiral Yamamoto, le chef canonnier du Mirai, le capitaine Kikuchi, prend le contrôle du croiseur car il est en désaccord avec la vision du second du navire, la capitaine Kadomatsu, qui ne veut pas être rattaché à la marine impériale. Durant cette prise de contrôle, l'un des membres du Mirai est blessé, et Kadomatsu choisit de quitter le croiseur avec quelques hommes qui acceptent de le suivre. Ensuite, avec ce changement à bord du Mirai, celui-ci va agir avec la marine impériale. Le capitaine Taki décide alors de libérer le capitaine Kusaka, et de le réintégrer à l'état-major de la marine. Puis, Taki confie des photos espions de navires américains à Kikuchi pour que celui-ci puisse améliorer leur qualité et leur résolution. Ensuite, lors d'une réunion de l'état-major à laquelle participe Kuroshima, mais aussi le canonnier du Mirai, Taki présente à nouveau ces photos, qui montre que les américains ne préparent pas encore de riposte, mais font des mouvements de transport. Kuroshima est étonné par la qualité des photos. Taki et Kusaka souhaitent alors attaquer l'Inde avec de nombreuses troupes, afin que Churchill appelle Roosevelt à son secours pour qu'il mette la pression sur les japonais dans les Mariannes, car les désirs d'indépendance de l'Inde risquent de se trouver renforcer avec une attaque sur l'Inde. Mais l'amiral Fukudome n'est pas encore sûr que ce ne sont que des mouvements de transport, et recommande une réduction des troupes pour l'attaque de l'Inde, soutenu par l'amiral Koga. C'est la seule apparition de Kuroshima dans ce tome.
Statut au volume 20 : Supposé vivant.
Statut au volume 24 : Supposé vivant.
Contre-amiral Matome Ugaki (PH)
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
Statut au volume 20 : Supposé vivant.
Statut au volume 24 : Supposé vivant.
Général A. Alexander Vandergrift (PH)
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
Statut au volume 20 : Supposé vivant.
Statut au volume 24 : Supposé vivant.
Deuxième maître Enomoto
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
Statut au volume 20 : Supposé vivant.
Volume 22
Après cette bataille sur l'île de Guadalcanal, le Mirai accepte d'aider à l’évacuation des soldats japonais présents sur l'île. Ensuite, l’équipage du croiseur obtient une permission, et Yamamoto propose à Umezu de rentrer à Yokosuka. Sur le chemin, ils sont escortés par un sous-marin, à bord duquel se trouve le capitaine Eiichirô Taki. Celui-ci ment sur l'appartenance d'un appareil de patrouille, celui-ci étant américain, et en plongeant avec à son bord Kadomatsu et Yanagi, venus avoir plus d'informations, il force ainsi le Mirai à affronter une escadrille américaine. Plusieurs membres de l’équipage décèdent, et le croiseur subit des dégâts, mais Kikuchi choisit de couler un porte-avion pour montrer la puissance de leur navire aux américains. Après cela, Taki rend les 2 membres du Mirai, et celui-ci rentre sans autre problème à Yokosuka. Là-bas, l’équipage rencontre le ministre Mitsumasa Yonai, qui souhaite que le croiseur n'intervienne plus et que le Japon perde la guerre pour se remettre en question. Pendant que Kadomatsu se rend en Mandchourie pour tenter de contrer les plans de Kusaka, le Mirai est réparé et ravitaillé par la marine impériale. Ensuite, après des exercices, le commandant en second revient, blessé à l’épaule, et n'ayant pu empêcher l'assassinat de l'empereur Puyi de Mandchourie. L’équipage du Mirai n'arrive pas non plus à convaincre le ministre Kôichi Kito de demander à l'empereur japonais d’arrêter la guerre, car cela risquerait de mettre l'empereur en danger, alors qu'il est censé le protéger. Puis, les membres du croiseur décident d'aller secourir les hommes des îles d'Attu et de Kiska, qui doivent bientôt être attaqués par l’armée américaine. Ils croisent cependant une flotte américaine et sont obligés de l'affronter. Ils s'en sortent, mais durant la bataille, le capitaine Umezu est sérieusement touché à la tête et doit être soigné à l’hôpital de Yokosuka. Suite à cette opération, le Mirai apprend le décès de Tsuda qui, sous une fausse identité, a tenté de tuer Hitler. Puis, le croiseur se contente de faire des patrouilles pour repérer et neutraliser les sous-marins américains, afin qu'ils ne communiquent pas le fait que la flotte combinée déplace sa base de Truk à Palau. L’équipage vient notamment au secours d'un navire civil attaqué. Puis, pour éviter la tragédie du détroit de Dampier en Nouvelle-Guinée, les membres du Mirai ont l'idée de faire une attaque préventive sur l'aérodrome de Seven Miles. Mais une escadrille en réchappe et attaque plus tard le croiseur. Celui-ci se défend, mais le lieutenant Satake décède en s'interposant avec l'umitori entre le navire et un obus. Des tensions commencent à naître entre Kadomatsu, qui veut continuer comme avant, et Kikuchi, qui souhaite prendre une part plus active à la guerre. Ce dernier tente de prendre le contrôle du navire par la force mais un coup part et blesse Noguri. C'est pourquoi le commandant en second choisit de quitter le Mirai pendant quelques temps avec 4 hommes qui veulent bien le suivre. Ensuite, le croiseur participe avec la marine impériale à une attaque dans l'océan indien, pour forcer Churchill à demande à Roosevelt de mettre la pression sur les japonais dans les Mariannes, et ainsi empêcher les désirs d'indépendance de l'Inde. La première attaque est un succès, mais lors de la seconde, le porte-avion Ryûjô coule avec à son bord Tachibana, membre du Mirai qui devait maintenir une communication malgré l'activation du brouillage des ondes. Ensuite, après avoir appris le décès d'Umezu à Nankin, le croiseur doit se rendre dans les îles Gilbert pour faire croire aux américains que les japonais sont toujours là. Au moment de leur départ, un sous-marin émerge devant eux, et Kadomatsu et ses hommes en débarquent. C'est alors que l'équipage apprend la mort du lieutenant Shinohara, battu à mort par la police spéciale. Arrivés à destination, 3 équipes vont sur l'île de Betio pour installer des systèmes de communication et de surveillance. Enomoto est avec Kadomatsu et Kikuchi, et il constate la bonne manufacture des leurres. Le soir, alors que les 2 capitaines discutent, Enomoto repère des canots sur l'eau. Kadomatsu et Kikuchi le rejoignent et ils préviennent Oguri pour qu'il active l'ECM. Malheureusement, ces unités américaines coupent la route de retrait des 3 membres du Mirai. Le chef navigateur fait donc décoller le SH60J, pendant que Kadomatsu, Kikuchi et Enomoto attendent dans un abri à moitié enterré. Enomoto est nerveux, et quand il voit l'hélicoptère, il essaie de lui faire des signes avec une lampe torche, se remettant debout et à découvert. C'est alors qu'il voit en face de lui un américain qui tire. La balle traverse le cou d'Enomoto, qui meurt sur le coup.
Statut au volume 24 : tué par un soldat américain d'une balle dans le cou.