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Par cronoslegend le 24 Juin 2013 à 17:00
Voilà la seconde suite de la liste des personnages de spirit of the sun. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Cette japonaise est une réfugiée du camp de Tansui, près de Taipei. Elle y vit avec son fils Yusuké et on ne sait pas ce qu'il est advenu du père de celui-ci. Cependant, la tension entre japonais et Taïwanais va grandissante. Un jour, alors qu'elle se trouve au marché, Shataitai refuse de lui vendre un chou, la traitant de voleuse comme tous les japonais. Le reste des commerçants et clients emboîtent le pas et commencent à insulter la jeune femme et son fils. Cependant, Chan et Shan passaient par là et ce dernier achète un chou à Shataitai avant de le revendre directement à Miyo. Celle-ci lui est reconnaissante mais la commerçante n'est pas d'accord. Yan, un tueur de la mafia locale, le Ryuhaipan, finit par s'en mêler et menace de couper la main du jeune homme. Paniquée, Miyo accepte de rendre le chou pour éviter le sang de couler mais Shan tient tête à Yan. Fort heureusement, Chan intervient et la commerçante finit par séparer tout le monde, mettant fin à la rixe. Malheureusement, un soir, la mère et son fils sont tués avec un hachoir par Chinmin, un ami de Chan, pour punir celui-ci d'avoir trahi le Ryuhaipan.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 10 - Chan et Shan".
- Statut au volume 5 : Tuée par Chinmin avec un couteau.
Yan est un tueur appartenant au Ryuhaipan, la mafia de Taipei. Au marché, durant une dispute concernant le fait de vendre ou non des aliments aux réfugiés japonais avec qui les tensions raciales commencent à se faire sentir, Shan prétend qu'il est honteux de s'en prendre aux faibles. A ces mots, Yan décide d'intervenir en faveur de Shataitai, la commerçante influente qui refuse de vendre un chou. Tout en allant chercher un hachoir, il demande au jeune homme de répéter ce qu'il a dit. Et malgré la menace de voir sa main coupée, Shan réitère ses paroles. Au moment d'abattre la lame, le tueur est projeté dans un étalage par Chan, un autre membre du Ryuhaipan qui vient de se lier d'amitié avec Shan. Yan veut contre-attaquer mais il est interrompu par Shataitai qui met fin à la rixe. Plus tard, en soirée, la commerçante prend le thé avec le chef du Ruihaipan, en la présence du tueur, blessé au bras gauche. La femme explique que Shan lui a rappelé ce qu'elle avait déjà dit : "un client est un client du moment qu'il paye". Le chef du Ryuhaipan demande alors à Yan s'il serait capable de tuer Shataitai, avant de répondre par la négative, tellement la commerçante a de l'influence au marché. Ensuite, le mafieux dit à son tueur d'ordonner à Chan de s'occuper du jeune homme. Cependant, la femme déclare que le gran gaillard ferait un mauvais mafieux car il ne va pas se laisser manipuler. Acceptant de laisser Shan de côté, le boss du Ryuhaipan ne peut par contre pas laisser la trahison de Chan impunie. C'est la dernière fois que l'on voit Yan dans ce tome.
Volume 3
Lorsque les japonais du camp de réfugiés commencent à faire une marche pacifique sur Taipei, Yan est chargé d'envenimer la situation. Il ordonne à ses hommes de provoquer les japonais afin de faire en sorte que ceux-ci ripostent contre les taïwanais et que la situation dégénère en conflit racial. Tout ce passe bien jusqu'à ce que la vitre de la voiture où il se trouve explose et que la main de Chan le saisisse à la gorge. Celui-ci oblige les 2 gardes du corps à appeler leurs hommes sur le terrain afin qu'ils stoppent leurs provocations ou alors il brise la nuque de Yan. Celui-ci dit à ses hommes de faire ce que dit Chan puis annonce à tous ses hommes de partir. Pourtant, le tueur profite d'un moment d'inattention de Chan pour lui planter son couteau dans l'estomac. Il sort ensuite de la voiture et enlève sa veste pour mieux s'occuper du traître. Après une attaque, Chan insulte Yan, lui disant qu'il est un chien incapable de se rebeller contre son maître. L'intéressé réplique à Chan que lui est trop influençable. Cependant, lorsqu'il a le couteau sous la gorge, Chan parvient à se dégager avec un crochet du droit. Une fois au-dessus de Yan, il s'apprête à mettre un direct dans le visage du tueur, mais frappe volontairement juste à côté. Yan repproche dès lors à Chan de ne pas aller jusqu'au bout, ce à quoi répond le gaillard qu'il ne s'abaisse pas à ce genre de chose. Celui-ci s'en va en laissant le tueur seul et on ne verra plus ce personnage dans ce tome.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 10 - Chan et Shan".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant.
Cet homme est donc le boss de la mafia de Taipei et le supérieur de Chan. Après la rixe qui s'est déroulée au marché de nuit, Il convoque Shataitai, la commerçante la plus influente du marché et qui était au centre de la dispute, afin de discuter et de boire le thé avec elle et en présence de Yan, l'un de ses tueurs. Le mafieux demande des explications sur ce qu'il s'est passé alors que Yan avait pris le parti de la commerçante. Le tueur s'était fait attaqué par Chan qui avait pris la défense de Shan, alors qu'il s'apprêtait à lui couper la main pour lui avoir résister. Shataitai dit alors qu'un client est un client, dès lors qu'il paye, sans discrimination. Le boss Du Ryuhaipan reconnaît là les paroles du jeune homme mais la commerçante le contredit en avouant que ces mots sont les siens mais qu'elle les avait seulement oublié. Cela semble amuser le mafieux qui demande à Yan s'il pourrait tuer cette femme. Il répond directement que non car la commerçante a une trop grande influence dans le marché. Par contre, il peut s'en prendre à Shan. Shataitai le lui déconseille cependant. Et quand le chef du Ryuhaipan dit au tueur d'ordonner à Chan de s'occuper du jeune homme, la commerçante déclare que ce grand gaillard ne fera jamais un bon mafieux car il ne se laissera pas manipuler. Le boss accepte donc de laisser tranquille Shan pour le moment mais va s'occuper de la trahison de Chan qui, lui, appartient au Ryuhaipan. On ne le verra plus par la suite dans ce tome mais on sait qu'il fera en sorte que la femme et son enfant qui se trouvaient au centre de la rixe du marché soient tués par Chinmin, l'ami de Chan.
Volume 3
Alors qu'il regarde tranquillement la télévision en buvant le thé et en fumant un cigare, le chef du Ryuhaipan apprend que les réfugiés japonais du camp de Tansui sont en train de faire une marche vers Taipei. Il est persuadé qu'il est impossible de contrôler un tel monde et qu'il suffit d'un peu de provocation pour que tout cela tourne au conflit ouvert. Il pense que les japonais sont des imbéciles et charge Yan et ses hommes de provoquer les japonais. On ne le voit plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 11 - Le drame sanglant".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant.
Il s'agit d'un policier taïwanais qui est chargé de la surveillance du camp de réfugiés de Tansui après l'assassinat d'une mère japonaise et de son enfant qui avaient été pris il y a peu dans une rixe raciale au marché de nuit. Il est accompagné pour cette mission de patrouille de l'inspecteur Yui, un japonais naturalisé taïwanais. Malheureusement, les réfugiés commencent à sortir armés, prêts à chercher vengeance et justice auprès des gens du marché. Paniqué, Cha se prépare à appeler des renforts mais son collègue débranche la radio afin de ne pas mettre le feu à la poudrière. Yui lui demande alors de l'attendre dans la voiture. A son retour, et sachant que Yan, le tueur du Ryuhaipan, la mafia locale, a un alibi, il propose d'aller interroger Shan, un jeune japonais, naturalisé lui aussi, qui tient une échoppe de nouilles et qui était aussi là lors de la dispute du marché. En parlant de cela, Cha a entendu qu'il y avait beaucoup de japonais qui avaient renoncé à leur nationalité et qui tenait des échoppes. Yui lui répond que ses parents ont, eux, renié leurs origines pour vivre en cachette et qu'il ne le supporte pas. Arrivé sur place, Cha révèle que le stand de Shan a bonne réputation et que plusieurs grands restaurants lui ont déjà proposé un poste, ce qu'il a toujours refusé. Face aux policiers, le jeune homme offre à manger mais déclare ne pas avoir de suspect en tête pour le meurtre. De retour dans leur voiture de fonction, Yui annonce qu'il sent que Shan connaît le coupable mais qu'il a des principes. Il propse donc de lui mettre la pression. Une fois au commissariat central, alors que les 2 inspecteurs mangent, Yui reçoit un appel du jeune homme. Celui-ci l'informe que le coupable, Chinmin, se trouve avec lui et qu'il est prêt à se rendre. Yui lui envoie Cha pour qu'ils aillent au camp de réfugiés tandis que lui part enquêter sur celui qui tire les ficelles des tensions anti-japonaises. Avant leur arrivée au camp, Cha téléphone à Mr Ozu, le responsable, pour indiquer leur venue. Dans l'une des habitations du camp, Chinmin avoue son crime et Shan, qui révèle son origine japonaise, annonce qu'il ne veut plus voir des gens mourir comme il y a 15 ans, lors du grand tremblement de terre qui a détruit le Japon...
Volume 3
Après s'être remémoré la catastrophe d'il y a 15 ans, Mr Ozu décide de parler aux réfugiés et d'en emmener quelques-uns en ville pour stopper pacifiquement Kurofuji, un extrémiste japonais qui veut déclencher un bain de sang. Cha le laisse seul et s'occupe de Chinmin. Alors que le soleil se lève, l'inspecteur constate que ce sont les 80.000 réfugiés du camp qui vont faire une marche sur la capitale. Cha conteste car cela va créer la panique mais Ozu répond qu'il en prend toute la responsabilité. Le policier décide donc d'accompagner le groupe, toujours avec Chinmin à ses côtés. Cependant, sur le chemin, ils sont arrêtés par l'armée. Pour montrer ses intentions pacifiques, Shan retire son T-shirt blanc et l'agite en l'air. Tous les japonais en font rapidement de même avec tout ce qu'ils ont de blanc. Juste après, le jeune homme reçoit un appel de la présidente de Taïwan, Tsai Chinlin, via une journaliste présente sur les lieux. Shan réussit à la convaincre de les laisser passer. Une fois en ville, afin d'arrêter Kurofuji et les siens, Ozu décide qu'il est temps d'envoyer 3 groupes aux 3 endroits que doivent attaquer les terroristes. Cha, en compagnie de Chinmin, Shan, Miyamoto, et une centaine d'autres, se dirigent vers le marche de nuit. Après une mise au point, le groupe arrive au marché de nuit et arrive à arrêter les terroristes sans qu'un seul coup de feu ne soit tiré. Ils reçoivent ensuite un appel du groupe parti à la navette et qui a aussi réussi à éviter le bain de sang. Malheureusement, Cha reçoit un appel qui l'avertit que Kurofuji a investi les locaux de la chaîne de télévision TCB et qu'il y aurait déjà 3 morts. Shan emprunte un scooter pour foncer sur place mais on ne verra plus l'inspecteur par la suite dans ce tome.
Volume 4
Après le massacre par l'armée des terroristes, mais aussi de plusieurs otages, qui a eu lieu sur le toit de l'immeuble de la chaîne TCB, Cha se fait passer un savon par sa hiérarchie pour avoir accompagné la marche sans son collègue Yui. Il retrouve celui-ci au commissariat. Cha a néanmoins appris quelque chose de curieux en lien avec le lobby anti-japonais. La présidente aurait ordonné de capturer les preneurs d'otages vivants et leur mort serait donc dû au lobby anti-japonais, notamment par quelqu'un du ministère de la défense. Plus tard, Tsai Chinlin annonce qu'elle va faire un discours devant le temple de la place commémorative de la capitale. Cha, lui, reçoit des information de son collègue comme quoi Shan, dont le nom japonais est Gen'Ichiro, doit faire une déclaration au même moment. Il se rend donc au camp de Tansui pour en avertir les réfugiés et regarder celle-ci avec eux à la télévision. Il voit ainsi le jeune homme prouver à tout le pays que le lobby anti-japonais a armé Kurofuji et les siens afin de faire tomber la présidente. Après ces événements, la traversée vers le Japon est déclarée interdite mais Yui, Gen'Ichiro et leur ami Chan décident de passer clandestinement au Japon. Le jour de leur départ, Cha vient dire au revoir à son collègue et lui souhaiter bonne chance.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 11 - Le drame sanglant".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant.
Yui est un policier taïwanais qui est en fait un japonais naturalisé après le grand tremblement de terre de 2002 qui a divise le Japona en 2 et dont le vrai nom est Ryotaro Hata. Au marché de nuit, Shan, jeune homme tenant une échoppe de nouilles, prend la défense d'une femme japonaise et de son fils contre les commerçants qui font de la discrimination. Le Ryuhaipan, la mafia locale, s'en mêle et quelques temps plus tard, la mère et son fils sont assassinés. Yui et son collègue Cha vont au camp de réfugiés de Tansui et constatent que la tension est vive et que les hommes s'apprêtent à aller en ville pour venger ce double meurtre. Cha veut appeler les renforts mais Yui l'arrête avant de sortir de la voiture. Face aux japonais, il demande à pouvoir brûler de l'encens. Il révèle être un naturalisé mais aussi que ce sont ses parents qui ont fait ce choix. Il promet alors de trouver le coupable. De retour à la voiture, il suggère d'aller rendre visite à Shan, apprenant qu'il est peut-être lui aussi d'origine japonaise. Sachant que Yan, membre du Ryuhaipan, avait un alibi au moment du crime, l'inspecteur cherche du côté de Chan, un autre mafieux mais ami du jeune homme. Celui-ci offre des nouilles aux policiers mais déclare ne pas connaître le coupable. Du coup, Yui comprend que Shan Sait qui est le coupable mais qu'il a des principes. Au commissariat, l'inspecteur croise Hon qui l'informe qu'un groupe d'extrémistes dirigé par un certain Kurofuji s'apprête à mener une révolte armée contre Taïwan, ce qui mettra le feu aux poudres. Heureusement, Yui reçoit un appel de Shan qui lui annonce que le coupable, un certain Chinmin, est prêt à se rendre et à tout avouer. Le policier luidit qu'il envoie son collègue et leur demande d'aller au camp de réfugiés où le Ryuhaipan a peu de chances de le faire taire. Pendant ce temps, lui va essayer de savoir qui tire les ficelles de cette tension anti-japonaise. On ne le voit plus par la suite dans ce tome.
Yui va voir son père qui fait partie du lobby anti-japonais et se propose de le reconduire après sa réunion puisqu'il a bu. Sur le chemin, il révèle être sur l'affaire du meurtre de la mère et de l'enfant japonais. Il sait cependant que le coupable a reçu de l'argent du Ryuhaipan et que cet argent blanchi provient de gros transferts venant de la société d'Eichiro Hata, le père de Yui lui-même. C'était le seul moyen pour lui de tirer son épingle du jeu politico-financier pour lui qui est un ancien japonais. De plus, les extrémistes japonais ont eux aussi été financés par le lobby anti-japonais. Mais comme son père ne veut rien avouer, Yui l'emmène devant la tombe de sa mère et menace de l'arrêter s'il avoue ou de le tuer dans le cas contraire. Eichiro se souvient qu'après la catstrophe de 2002, il était à Taïwan et sa société dont une filiale se trouvait justement à Taipei avait beaucoup de mal à se redresser. Ce n'est qu'en devenant taïwanais que lui et ses employés ont pu surmonter cette crise. Cependant, Yui, lui, avait du mal à accepter cette situation et seul sa mère parvenait à le calmer. Plus tard, alors que Yui entrait dans l'école de police, ceux qui avaient renoncé à leur nationalité japonaise étaient persécuté. C'est pour protéger ses employés que son père est allé jusqu'à commanditer un meurtre. Devant cette sincérité, Ryotaro a du mal à retenir son émotion et ne parvient pas à arrêter son père qui s'en va alors que la pluie tombe abondamment. Après cela, Yui retourne au commissariat où, après le massacre des terroristes sur le toit des locaux de la chaîne TCB, Cha lui révèle que la présidente Tsai Chinlin avait pourtant ordonné qu'on lui ramène les extrémistes vivants. Juste après, Hon conseille à son subordonné de faire très attention car son enquête sur le lobby anti-japonais est mal perçue par la hiérarchie. Yui reçoit alors un appel d'une journaliste qui l'invite à venir voir Gen'Ichiro à l'hôpital. Sur place, le police retrouve le jeune homme dans les cuisines de l'établissement. Gen'Ichiro a une bonne nouvelle. Kurofuji lui a confié avant de mourir un disque contenant les preuves de ses liens avec le lobby anti-japonais. Après avoir mis le jeune homme dans un hôtel, l'inspecteur retrouve ensuite la trace de Chan, l'ami de Gen'Ichiro, ancien membre du Ryuhaipan, grâce à Chinmin. Il lui amène Gen'Ichiro et ensemble ils préparent leur action durant le discours de la présidente. Deux jours plus tard, avec l'aide de la journaliste de TCB, les 3 amis apparaissent sur le grand écran placé sur la place commémorative où Tsai Chinlin s'apprête à parler et présenter sa démission. Les amis de Chan et les commerçants du marché de nuit retiennent la foule très hostile et Gen'Ichiro peut arriver auprès de la présidente pour montrer les preuves qu'il a au grand public. Yui finit par arrêter son père puis donne sa démission à Hon. Il choisit d'accompagner Chan et Gen'Ichiro dans leur traversée clandestine vers le Japon, toute traversée ayant été interdite suite à des émeutes de réfugiés japonais de part le monde. Les 3 amis font leurs adieux avant de prendre la mer...
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 11 - Le drame sanglant".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant.
Chinmin est un orphelin taïwanais qui a un an de moins que Chan. A l'orphelinat, ils sont rapidement devenus amis et Chan veillait sur son ami qui était plus chétif. Ils connaissaient une fille plus âgée, Shau, elle aussi orpheline, qu'ils considéraient comme leur soeur. Elle leur offrait des cadeaux qu'elle payait avec l'argent qu'elle recevait d'un japonais. Un jour, elle vint annoncer à Chan et Chinmin qu'elle partait pour le Japon afin de se marier. Malheureusement, elle fut tuée par le japonais qui ne pensait pas sérieusement épouser Shau. Depuis, les 2 amis vouent une haine aux japonais. Cependant, en 2017, Chan prend la défense de japonais au marché de nuit. Chinmin est alors chargé par le Ryuhaipan, la mafia de Taipei, de tuer la femme et son enfant qui étaient au milieu de la dispute du marché. Chinmin s'exécute avec un hachoir puis téléphone à son ami pour lui dire qu'il est mécontent du comportement que Chan a eu. Un autre soir, Chinmin va voir Shan, un jeune homme qui tient une échoppe ambulante de nouilles et dont les rumeurs disent qu'il est aussi japonais. Chinmin lui demande donc si c'est vrai et Shan lui répond par l'affirmative. Voyant que le jeune homme reçoit un appel de Chan avec qui il est aussi devenu ami, Chinmin menace le japonais avec un couteau et prend le téléphone. Il promet à son ami de relâcher Shan si il vient dans un hangar qu'il va lui indiquer. Une fois tous les 3 sur place, Chimin accuse son ami d'avoir rompu leur promesse, et Chan, en retour, traite Chimin de connard pour avoir tué une femme et un enfant. Il est même prêt à se laisser tuer par son ami. Cependant, Chinmin n'y arrive pas et demande pardon. Shan et Chan comprennent que le Ryuhaipan est derrière ce meurtre. Chinmin avoue tout et Shan lui conseille de se rendre à la police. Il appelle même à un policier de confiance qui demande d'emmener le tueur au camp de réfugiés japonais avec l'un de ses collègues. A leur arrivée, Chinmin panique mais Chan l'encourage à faire face, avant de partir pour régler une affaire personnelle. Face aux japonais, Chinmin implore leur pardon mais ceux-ci ont d'autres problèmes plus importants pour le moment. En effet, des extrémistes japonais s'apprêtent à commettre des attentats...
Toujours aux côtés de l'inspecteur Cha, Chinmin regarde la détermination des japonais qui veulent éviter un bain de sang et stopper certains des leurs, dirigés par Kurofuji, dans leur volonté de commettre des attentats. Le lendemain matin, au lever du soleil, il constate avec surprise que les 80.000 réfugiés du camp sont volontaires pour marcher pacifiquement vers Taipei. Cha les accompagnant, Chinmin doit aussi les suivre mais reste en retrait. Cependant, à un moment, la route est coupée par l'armée. Malgré tout, Shan a l'idée de retirer son T-shirt blanc et de l'agiter en l'air en signe de non-agression. Juste après un coup de feu de sommation, il reçoit un coup de fil de la présidente de Taïwan, Tsai Chinlin, qui permet finalement aux japonais de continuer leur route. Arrivés en ville, Mr Ozu, le responsable du camp, charge 3 groupes d'une centaine de personnes chacun d'aller stopper les terroristes aux endroits où ils sont sensés attaquer. Chinmin se trouve dans le groupe de Gen'Ichiro et Cha qui doivent aller au marché de nuit. Après un briefing un peu plus loin, le groupe arrive au marché et parvient à convaincre les extrémistes de rendre les armes. Ils apprennent par téléphone que le groupe de la navette a réussi lui aussi mais la joie est de courte durée car l'inspecteur apprend que Kurofuji a investi les locaux de la chaîne de télévision TCB et que 3 morts sont déjà à déplorer. Shan emprunte alors un scooter et fonce sur place. Chinmin, lui, reste avec le policier et on ne le verra plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 12 - Ceux qui renoncent à leur pays".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant mais arrêté par la police pour meurtre.
Volume 2
Cette jeune taïwanaise d'une grande beauté a vécu dans le même orphelinat que Chinmin et Chan. Quand ils étaient jeunes, ces 2 garçons considéraient Shau comme leur grande soeur et celle-ci leur apportait souvent des cadeaux pour les voir sourire. Elle achetait ces cadeaux grâce à l'argent que lui donnait un japonais. Cependant, un jour, cet inconnu fit une demande en mariage à condition que Shau vienne au Japon. La jeune femme donna un dernier cadeau avant de faire ses adieux à Chan et Chinmin. Malheureusement, une fois au Japon, Shau devint un hôtesse d'accueil dans un club de charme et le japonais, qui croyait qu'elle ne prendrait pas cette demande en mariage au sérieux, la tua en l'étranglant.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 12 - Ceux qui renoncent à leur pays".
- Statut au volume 5 : Tuée par strangulation par un japonais.
Il s'agit d'un collègue policier de Yui, s'occupant sans doute des affaires terroristes à Taipei, il demande à Yui de le voir car quelqu'un essaye de faire sauter une bombe. Il explique que suite à des émeutes à Shin-Kobé, au Japon, l'armée US a fait des victimes dans la foule mais qu'il ont aussi trouvé des armes dans la planque des émeutiers. Celles-ci proviennent d'organisations anti-américaines du moyen-orient. Et lors d'un arrivage d'armes au port de Keelung, à Taïwan, C'est un groupe d'extrémistes japonais, faisant partie du camp de réfugiés de Tansui, et dirigé par un certain Kurofuji, qui ont réceptionné les cargaisons. Et comme Taïwan envisage de stopper les aides aux réfugiés, le groupe semble fort agité. De plus, la police les a perdu de vue depuis quelques jours, ce qui renforce l'idée qu'ils préparent quelque chose. Hon craint que le camp de Tansui ne s'embrase. Il annonce alors à Yui que le commissaire lui a retiré l'enquête pour éviter qu'une quelconque information n'arrive aux oreilles des japonais, Yui étant un naturalisé. Celui rétorque qu'il n'est pas prudent dans ce cas de révéler de telles informations. Hon répond qu'il dira ne pas être au courant si Yui tente quoi que ce soit de stupide. On ne le voit plus par la suite dans ce tome.
Volume 3
Le commissaire est appelé pour une prise d'otages dans les locaux de la chaîne de télévision TCB, et dont le meneur n'est autre que Kurofuji. Quand il demande l'état des lieux, on lui répond qu'une dizaine de personnes se sont introduit dans le bâtiment et ont tiré sur le service de sécurité, faisant 3 morts. Ils retiennent maintenant une vingtaine d'otages au huitième étage et surveillent tous les mouvements via la salle de surveillance. Des explosifs ont été placés à plusieurs endroits et ils vont faire une déclaration à 20 heures. Juste après, Mr Ozu, le responsable du camp de réfugiés Tansui, intervient et demande à pouvoir pénétrer dans le bâtiment pour stopper les terroristes. Juste à cet instant, Hon reçoit un message des preneurs d'otages qui acceptent qu'Ozu et 4 autres japonais puissent entrer dans le bâtiment. Le commissaire est d'accord mais en cas d'échec, il forcera l'entrée. C'est la dernière apparition d'Hon dans ce tome.
Volume 4
Hon laisse les forces spéciales intervenir mais ceux-ci massacrent les terroristes et une bonne partie des otages. Plus tard, de retour au commissariat, Yui est de retour et le commissaire demande à lui parler sur le toit de l'immeuble. L'inspecteur a fait son enquête et sait que le lobby anti-japonais est impliqué dans la mort de la japonaise et de son fils, et qu'ils ont armé les extrémistes. Il n'attend plus qu'un mandat d'arrêt. Cependant, Hon lui répond que cette enquête sur le lobby est mal perçue par la hiérarchie, lui faisant comprendre que les forces d'intervention ont désobéit à un ordre de la présidente Tsai Chinlin en personne. Mais le commissaire ne veut pas perdre Yui. Plus tard, lors d'un discours de la présidente sur la place commémorative, le jeune Gen'Ichiro, un japonais vendeur de nouilles ambulant, et impliqué dans l'affaire du marché et de la prise d'otages, réussit à montrer les preuves de l'implication du lobby à tout le public. En résulte leur arrestation, et notamment le père de Yui. Pourtant, celui-ci donne sa démission pour raison personnelle. Il veut redevenir le japonais Ryotaro et non être considéré comme taïwanais. On ne voit plus le commissaire par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 14 - La mèche".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant.
Kurofuji est un japonais du camp de réfugiés de Tansui qui tombe dans l'extrémisme. Il dirige un groupe qui prépare des actions armées pour forcer les Etats-Unis et la Chine à se retirer du Japon et à les faire revenir dans leur pays. Au port de Keelung, ils ont reçu des armes provenant d'organisations anti-américaines. Le groupe utilise les méthodes des commandos palestiniens. En vérifiant la marchandise, certains s'inquiètent de ne pas pouvoir faire la différence entre les touristes et les mafieux sur le marché de nuit. Kurofuji leur répond qu'au contraire, il faut impliquer des civils pour que l'opinion publique internationale se souvienne plus facilement d'eux. Avec ce bain de sang, ce sera la colère des japonais coincés dans les camps qui s'exprimera. Kurofuji ajoute que le camp de Taïwan ne doit pas être le seul à s'embraser afin de renverser les gouvernements corrompus du sud et du nord du Japon. C'est la dernière apparition de ce personnage dans ce tome.
Volume 3
Kurofuji s'entretient avec l'un de ses hommes et lui dit que les gouvernements du sud et du nord du Japon ont complètement oublié les réfugiés de par le monde et que c'est pour cela qu'il agissent ainsi. Tanaka, lui, se demande s'il peuvent tuer des taïwanais pour cela et qu'ils ne sont pas des palestiniens animés par une religion. A ce moment, Kurofuji tire sur Tanaka parce qu'il sait qu'il est en fait une taupe au service de Mr Ozu, le responsable du camp de réfugiés de Tansui. Kurofuji va ensuite voir le reste de ses hommes pour un dernier briefing. Ils doivent attaquer à 3 endroits, le marché de nuit, la gare de la navette pour l'aéroport, et les locaux de la chaîne de télévision TCB. Pourtant, le lendemain, il s'aperçoit par la télévision qu'Ozu et les 80.000 réfugiés du camp font une marche vers Taipei. Kurofuji se doute qu'ils font ça contre lui, après avoir reçu des informations de Tanaka, et il décide donc d'agir plus tôt que prévu, car pour lui, Ozu est un naïf. En début de soirée, avec ses hommes, il pénètre dans le bâtiment de la chaîne TCB et attaque le service de sécurité, faisant déjà 3 morts. Ils prennent une vingtaine d'otage et se barricadent au huitième étage, utilisant les caméras de la salle de surveillance. Ils placent aussi des explosifs mais Kurofuji autorise Ozu et 4 autres japonais à entrer. Ozu veut prendre la place des otages et annonce que les autres extrémistes ont déjà jeté les armes. Le terroriste se souvient des nombreuses heures qu'a passé Ozu à négocier et se demande pourquoi les réfugiés ont décidé de bouger maintenant. Il apprend alors que c'est grâce au jeune homme au bonnet, un japonais, qui tient une échoppe ambulante. Mais Kurofuji ne croit pas en une amélioration de leurs conditions de vie et il se rappelle de sa vie de journaliste, quand il enquêtait sur les palestiniens auxquels il s'identifie aujourd'hui. Ozu continue à demander de rendre les armes pour avant tout survivre. Kurofuji se dit en guerre contre le Japon actuel. Et quand Ozu dit croire en la puissance des mots, Kurofuji ouvre le feu et le tue, faisant ainsi sa déclaration de guerre...
Volume 4
Après que Kurofuji ait abattu Ozu, ses hommes découvrent que Gen'Ichiro et une journaliste ont réussi à pénétrer dans l'immeuble et parvenir jusqu'à eux. Alors que le jeune homme se fâche, Kurofuji le frappe avec la crosse de son arme et ordonne qu'on le baillonne comme les autres otages. Le leader des extrémistes fait ensuite une allocution à la télévision pour dénoncer les gouvernements japonais, manipulés par les Etats-Unis et la Chine. Il exige aussi un hélicoptère et un bateau rapide au port, ainsi qu'une forte somme d'argent. Il déclare ensuite que les armes qu'ils utilisent leur ont été fournies par le lobby anti-japonais de Taiwan qui cherche à renverser la présidente Tsai Chinlin, pro-japonaise. On annonce aux terroristes que leurs exigences ont été acceptées et ils se rendent avec leurs otages sur le toit de la chaîne TCB. Cependant, une fois sur le toit, les lumières s'éteignent, les forces spéciales d'intervention sortent de l'hélicoptère et commencent à massacrer les extrémistes, mais aussi une partie des otages. Kurofuji s'abrite derrière un mur et en quelques instants, tous les terroristes, à part lui, sont morts. Alors que Kurofuji est sur le point d'être tué lui aussi, Gen'Ichiro s'interpose afin que le message de Mr Ozu continue d'exister. L'extrémiste sait que l'otage n'arrêtera pas les militaires. Il décide donc de glisser dans le pantalon du jeune homme un disque contenant des preuves que le lobby anti-japonais avait fourni les armes aux terroristes. Il pousse ensuite Gen'Ichiro sur le côté et tire en même temps que les miliaires. Kurofuji meurt sous les balles en un instant.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 14 - La mèche".
- Statut au volume 5 : Tué de plusieurs balles par des militaires taïwanais.
Volume 2
Il s'agit d'un parlementaire du parti libéral taïwanais. Mr Ozu vient le voir suite aux rumeurs de fin d'allocations pour les réfugiés japonais du camp de Tansui, alors que celles-ci avaient déjà largement diminué. Mr Ozu dit bien se rendre compte de l'importance de ce soutien financier qu'ils ont reçu. Il demande donc en conséquence de naturaliser un maximum de japonais, puisque leur départ pour le Japon semble impossible. Il se met même à genoux pour supplier Mr Zu. Celui-ci déclare que les taïwanais sont familiers de la culture nippone et qu'il n'a jamais été question de frictions entre les 2 peuples. Il fait donc la promesse à Mr Ozu de lui apporter son soutien dans ce grand projet de naturalisation massive. Après l'avoir remercié, Mr Ozu prend congé pour retourner au camp. C'est la seule apparition de Mr Zu dans ce tome.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 15 - Terre de rencontre".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant.
A suivre dans le prochain article.
Cronos
votre commentaire -
Par cronoslegend le 4 Juillet 2013 à 13:22
Voilà la suite de la troisième page des personnages de Spirit of the sun.
Miyo
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 13 : Tuée par Chinmin avec un couteau.
Yan
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 13 : Supposé vivant.
Le chef du Ryuhaipan
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 13 : Supposé vivant.
Inspecteur Cha
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 13 : Supposé vivant.
Ryanmin Yui (Ryotaro Hata)
Surveillé par les autorités depuis l'arrivée du groupe de Gen'Ichiro à Sapporo, Yui est arrêté une fois de retour à l'hôtel, et conduit au centre nord-japonais de régulation des clandestins, dans la ville de Bibai. Là-bas, on essaye de lui faire dire où se trouvent Chan et Eri, notamment par la violence, mais l'ancien policier ne parle pas, ne connaissant lui-même pas la réponse. Dans sa cellule de haute-sécurité, il retrouve Gen'Ichiro, lui aussi arrêté. Yui lui dit qu'il n'a pas pu trouver de détails sur les origines de Todo car tout aurait disparu durant la catastrophe de 2002. Mais il pense que son ami journaliste devait avoir une preuve. Le jeune homme, lui, a appris que son grand-père est en vie mais il sent que Todo prépare quelque chose car l'armée est en train de se déployer. Alors qu'ils essayent de se réchauffer durant une nuit glaciale, l'ancien policier dit qu'il pense que Todo en veut à Gen'Ichiro parce qu'il est envieux de sa situation de japonais pure souche. Par contre, ils sont maintenant sûr que Todo fait partie du cabinet noir. un peu plus tard, le jeune homme est emmené quelque part, laissant Yui seul dans la cellule.C'est sa dernière apparition dans ce tome.
Volume 11
Nous sommes maintenant en décembre 2017 et Yui, en même temps que de prendre son repas, apporte celui du père officiel de Takuya Todo, lui aussi enfermé dans la prison pour clandestins. L'ancien policier veut en savoir plus sur celui qui semble préparer un coup d'état. Junya Todo raconte alors qu'un jour Takuya est arrivé avec 2 chats, un petit et sa mère. Son père lui autorisait à garder seulement l'un des 2. Alors Takuya tua la mère pour ne garder que le chaton. Il fit cela pour ne pas que le petit tente de retourner vers sa mère. Junya est même prêt à raconter la vérité sur l'origine de Takuya puisque les laisser parler ainsi prouve qu'il seront tués d'ici peu. Pourtant, quelques temps plus tard, lors de l'une de leurs conversations, on annonce à Ryotaro qu'il va sortir. celui-ci se demande pour quelle raison et apparemment, on le transfère. Il apprend par Tachibana, l'homme de main de Todo, que ce transfert sert d'appât pour Gen'Ichiro qui se trouve maintenant avec l'alliance du bras de mer. Mais c'est déguisé en militaires que Ryuji et les siens attaquent le convoi. Tachibana se frait prendre au piège et dans le fourgon, Yui se libère lui-même en assommant les 2 hommes qui le gardent. Une fois dans une cachette, Gen'Ichiro manque d'exécuter Tachibana mais l'épargne après s'être souvenu qu'il a une famille. Il a compris que Todo doit probablement mettre la pression sur Tachibana via celle-ci. Le jeune homme décide alors d'aller chercher cette famille avant les militaires pour la protéger. On ne voit plus Yui par la suite dans ce tome.
Volume 12
Dans une voiture, Yui explique qu'il a rencontré le père officiel de Takuya Todo. L'homme était parti à la recherche d'orphelins de guerre en Chine et y trouva sa demi-soeur avec un nourrisson dont le père était inconnu. Junya Todo décide de les rapatrier comme japonais et adopta Takuya. Cependant, une fois au collège, le jeune garçon apprit ses origines et donna libre cours à sa violence. Quand la catastrophe de 2002 se produisit, Takuya en fut ravi car c'est ce qu'il voulait afin de construire le pays qu'il voulait. Gen'Ichiro trouve que dans un sens, il ressemble à Misao Munakata qui ressentait un peu la même chose. Un peu plus tard, Le jeune homme surprend le colonel Suguro, militaire au service de Todo et ancien collègue de Kumon, sur le point de se suicider. Dans un camion, en compagnie de Ryuji, Yui, Gen'Ichiro et Kumon, il déclare que l'armée du Nord-Japon va envahir le Sud-Japon. Sa mort ne changera rien et il refuse de déserter pour aller au sud. Pourtant, le jeune homme lui répond que son choix n'est pas le meilleur, sans pour autant apporter de solution. L'ancien policier, Gen'Ichiro et l'alliance du bras de mer attendent ensuite le début des hostilités tout en se dirigeant vers le sud mais ils s'aperçoivent que Todo commence par le transport des troupes à la place d'une attaque par missiles, ce qui doit pousser le sud du Japon à frapper le premier ou à se laisser envahir. Finalement, ceux-ci décident d'abattre les avions et Kumon et Yui pensent que Todo veut créer un champ de ruines pour tout reconstruire comme il l'entend. Une fois au sud du bras de mer, le groupe essaye d'entrer en contact avec Munakata pour mettre rapidement fin aux hostilités. Quand ils y arrivent, Gen'Ichiro convainc Misao d'entrer seul dans la tour de la préfecture. L'ancien policier veut l'accompagner mais le jeune homme refuse. Ce dernier réussit à faire sortir Suguro pour des négociations mais celui-ci se fait tirer dessus...
Volume 13
L'homme qui a tiré sur Suguro est abattu tandis que le blessé est directement envoyé à l'hôpital. Plus tard, Tachibana est tué par des hommes de Todo et Yui voit que son ami se sent responsable. Mais Gen'Ichiro lui répond que Tachibana avait choisit lui-même de témoigner contre le dictateur. Ensuite, Misao vient parler en privé avec le colonel et l'ancien policier lui laisse 30 minutes. Cependant, Suguro quitte soudainement l'hôpital et le jeune homme a un mauvais pressentiment. Il veut aller au stade où Todo doit faire une revue des troupes, au sud du bras de mer. Tout est confirmé quand les autorités du sud viennent arrêter l'alliance pour leurs activités terroristes, ainsi que Ryotaro et Gen'Ichiro pour entrée illégale dans le pays. Dans la prison, ils apprennent tous la mort de Todo, abattu par le colonel. Yui pense qu'aucun d'entre eux ne sera laissé en vie parce qu'ils en savent trop mais il remarque pourtant que Kumon garde curieusement le sourire. Lors d'un transfert, celui-ci explique que l'unique personne qui finance l'alliance est Kensaku Mago'Ichi, de Mago'Ichi Holdings. Tous découvrent qu'ils sont libérés, Suguro y compris. Gen'Ichiro et son ami sont enregistrés sous leur nom chinois. L'ancien policier comprend que tout va être étouffé et mis sur le dos du colonel. Pour faire payer Munakata, Ryotaro le frappe au visage. Quelques temps plus tard, Gen'Ichiro est devenu un porte-parole de la paix et Yui s'occupe de sa sécurité. Ils arrivent à l'aéroport de Sapporo et y font une conférence de presse. Gen'Ichiro aperçoit Chan et Eri et après un temps d'hésitation, il va les saluer, malgré la désapprobation de Mago'Ichi, étant donné que la fille est le gourou du clan de la 16ème lune. L'ancien policier dit à Kensaku que son ami marche à la confiance avant d'aller chercher son ami qui a beaucoup de choses à faire. Les 2 amis apprennent ensuite que les membres de la grande ourse, les têtes pensantes du cabinet noir nord-japonais, dînent dans un hôtel qui appartient à Mago'Ichi. Gen'Ichiro s'invite donc parmi eux et leur demande de tout arrêter, le repas étant filmé par des caméras cachées dans la salle...
- Statut au volume 13 : Vivant.
Chinmin
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 13 : Supposé vivant mais arrêté par la police pour meurtre.
Shau
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 13 : Tuée par strangulation par un japonais.
Inspecteur Hon
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 13 : Supposé vivant.
Kurofuji
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 13 : Tué de plusieurs balles par des militaires taïwanais.
Mr Zu
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 13 : Supposé vivant.
A suivre dans le prochain article.
Cronos
votre commentaire -
Par cronoslegend le 20 Juillet 2013 à 09:31
Voilà la troisième suite de la liste des personnages de spirit of the sun. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Murakoshi est l'un des chefs de section du camp de réfugiés japonais de Tansui, à Taïwan. Alors que les tensions raciales sont en train de s'intensifier, ils apprennent que Kurofuji, l'un des leurs, se prépare à mener une action armée, et donc à tuer des gens. Mr Ozu, le chef du camp, apres avoir eu une reunion avec un député taïwanais, revient en catastrophe au camp pour y tenir une réunion d'urgence. Murakoshi énonce la difficulté pour les enfants d'avoir droit à un enseignement valable en dehors du camp. Mais Ozu répond à tous les problèmes évoqués que lui se bat depuis 5 ans pour qu'ils obtiennent la nationalité taïwanaise. Une panne de courant a soudain lieu et Ozu reçoit un appel de Cha, un inspecteur de police qui leur amène la personne récemment coupable du meurtre d'une japonaise et de son enfant. Ils sont accompagnés par Shan, un jeune homme qui tient une échoppe ambulante de nouilles et qui avait défendu la défunte lors d'une rixe au marché de nuit. Shan montre à toutes les personnes présentes Chinmin, le coupable, qui s'agenouille et demande le pardon des japonais. Le jeune homme déclare que Chinmin a commis ce crime pour le Ryuhaipan, la mafia locale, et que cela visait à faire monter la tension entre japonais et taïwanais. Mais Shan révèle être en fait japonais, s'appeler Gen'Ichiro, mais surtout, il ne veut plus voir de morts comme lors de la tragédie d'il y a 15 ans, en 2002...
Volume 3
Après le discours de Shan, Murakoshi se remémore que durant la catastrophe, il avait tenté de sauver un enfant des décombres. Il verse des larmes et lui et ses amis décident d'accompagner Mr Ozu pour empêcher Kurofuji de commettre un nouveau bain de sang. Tous les chefs de section vont réveiller les japonais pour savoir s'ils sont volontaires pour arrêter les terroristes dans leur folie. A la levée du jour, les 80.000 réfugiés du camp sont prêts à marcher vers Taipei. La marche commence lentement mais rapidement, les autorités s'en mêlent. Vu le nombre, les policiers laissent les japonais continuer mais c'est ensuite l'armée qui se met sur leur route. A ce moment, Gen'Ichiro surprend tout le monde en retirant son T-shirt blanc et en l'agitant en signe de non-violence. Très vite, tous les japonais prennent ce qu'ils peuvent de blanc et font de même. Cependant, l'armée tire un coup de sommation. Juste après, le jeune homme reçoit un appel de la présidente de Taïwan, Tsai Chinlin, en personne. Shan parvient finalement à la convaincre de les laisser passer. Une fois arrivés à Taipei, Ozu décide que 3 groupes d'une centaine de personnes doivent se détacher du cortège principal pour aller stopper Kurofuji et ses hommes aux 3 endroits qu'ils sont censés attaquer. Il demande à Murakoshi de prendre la tête du groupe qui ira à la navette de la gare du nord. Sur place, Murakoshi et ses amis parviendront à convaincre les terroristes de rendre les armes sans qu'aucun coup de feu ne soit tiré. Ensuite, Murakoshi appelle Miyamoto, parti au marché de nuit, pour lui annoncer la bonne nouvelle. On ne voit plus ce personnage par la suite dans ce tome.
Volume 4
Après les nombreux morts qu'il y a eu durant la prise d'otages de la chaîne de télévision TCB, les réfugiés japonais ont tous été reconduits par l'armée au camp de Tansui où ils sont maintenus sous bonne garde. La tension est à son comble et quelques jours plus tard, ils apprennent que la présidente va probablement donner sa démission, ce qui est très négatif pour eux. L'inspecteur Cha vient les voir et ils lui demandent si le député Yé, leader du lobby anti-japonais, va devenir le nouveau président. Le policier les rassure en leur disant que le jour du discours de Tsai Cinlin, Gen'Ichiro va faire une déclaration. Tous regardent alors la télévision et quand le jeune homme monte les marches menant à l'estrade où se trouve la présidente, Murakoshi compare cela au but de leur marche. Finalement, Gen'Ichiro montre au peuple taïwanais les preuves que les membres du lobby anti-japonais sont impliqués dans la mort de la japonaise et de son fils, et qu'ils ont armé illégalement les terroristes, les faisant ainsi arrêter. Ensuite, apprennant de nombreux incidents dans les camps de réfugiés japonais à travers le monde, le jeune homme décide de partir vers le Japon, et cela, même en bravant la nouvelle interdiction de traversée, proclamée par les 2 gouvernements japonais. Avant de partir, Murakoshi donne un pot de terre venant du Japon à Gen'Ichiro, en lui demande de la ramener d'où elle vient. Les japonais font ensuite leurs adieux au jeune homme, ainsi qu'à Yui et Chan qui partent avec lui.
- Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 15 - Terre de rencontre".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant.
Il s'agit de l'un des réfugiés japonais du camp de Tansui, à Taïwan. Il est sans doute un chef de section. Shan, le vendeur de nouilles ambulant, se révèle être en fait un japonais et il vient demander l'aide des siens pour empêcher Kurofuji, un japonais devenu terroriste, de causer de nouveaux morts. Toutes les personnes se rappellent alors les nombreux morts qu'ils ont vu durant la catastrophe de 2002. Ensuite, Mr Ozu, directeur du camp, demande à Shimada si la lumière, qui s'est éteinte à cause d'une coupure de courant, est revenue. Shimada répond que oui et Ozu décide de faire une annonce pour essayer de trouver le plus de volontaires possibles pour stopper pacifiquement Kurofuji. A l'aube, ce sont les 80.000 réfugiés du camp qui sont prêts à marcher vers la capitale. La foule se met en mouvement et Shimada s'inquiète de ne pas avoir de nouvelles de Tanaka, leur personne de confiance qui s'est infiltré parmi Kurofuji et les siens. Rapidement, ce grand déplacement fait réagir la police et les médias. Ils continuent pourtant leur route jusqu'à ce que ce soit l'armée qui leur barre le passage. Pour leur montrer leurs intentions pacifiques, Shan, ou Gen'Ichiro de son nom japonais, retire son T-shirt blanc et l'agite en l'air. En quelques secondes, tous les japonais en font de même avec ce qu'ils trouvent de blanc. Un coup de feu les fige sur place et juste après, le jeune homme reçoit un appel de Tsai Chinlin, la présidente de Taïwan. Shan parvient à la convaincre de laisser les réfugiés continuer leur marche. Une fois en ville, Ozu charge 3 groupes d'une centaine de personnes d'arrêter les 3 attaques que doivent commettre les terroristes. Shimada accompagne Ozu aux bureaux de la chaîne de télévision TCB. Malheureusement, 3 morts sont déjà à déplorer et les extrémistes se sont barricadé. Kurofuji autorise Ozu et 4 autres japonais, dont Shimada, à monter le voir. Le directeur du camp essaye de convaincre le terroriste de rendre les armes mais Kurofuji, énervé, finit par ouvrir le feu et tue Ozu, sous les yeux horrifiés de Shimada...
Volume 4
Après les nombreux morts qu'il y a eu dans le bâtiment de la chaîne TCB, lors de la prise d'otages, tous les réfugiés japonais ont été reconduits au camp de Tansui et mis sous bonne garde de l'armée. Quelques jours plus tard, ils apprennent que la présidente va peut-être remettre sa démission lors d'une allocution sur la place commémorative, pour laisser place au député Yé, leader du lobby anti-japonais. Les japonais sont tous très inquiets et quand l'inspecteur Cha vient les voir, ils posent de nombreuses questions. Le policier les rassure en leur révélant que Gen'Ichiro va faire une déclaration en même temps que Tsai Chinlin. Face à une population très hostile, le jeune homme arrive auprès de la présidente et montre au peuple taïwanais les preuves qu'il a reçu de Kurofuji qui montrent que c'est le lobby anti-japonais qui les a fourni en armes. Après cet événement, les tensions s'apaisent mais les réfugiés apprennent que plusieurs incidents se sont produit dans d'autres camps de réfugiés japonais à travers le monde. De plus, les 2 gouvernements japonais interdisent toute traversée vers leur territoire, ce qui laisse Shimada presque sans voix. Finalement, Gen'Ichiro décide de passer outre cette interdiction avec ses 2 nouveaux amis, Yui et Chan et les japonais viennent le saluer et lui souhaiter bonne chance.
- Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Chapitre 16 - La flamme du coeur".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant.
Cet homme est un réfugié japonais à Taïwan. A la demande de Mr Ozu, le chef du camp de Tansui, il a accepté de s'introduire dans le groupe d'extrémistes de Kurofuji pour les espionner. Il a informé Mr Ozu de l'emplacement de leur base ainsi que les 3 endroits que les terroristes comptent attaquer. En pleine conversation avec Kurofuji, celui-ci déclare que cela fait 15 ans que les gouvernements des Japons du nord et du sud les ignorent et qu'ils doivent se contenter de survivre, d'où leur action. Mais Tanaka lui répond qu'ils ne sont pourtant pas des palestiniens en plein intifada. Ils ne sont pas motivés par la religion. Il s'interroge et veut savoir si c'est une raison suffisante pour tuer des taïwanais et Kurofuji lui rétorque que oui. Tanaka se demande si ce n'est pas pour l'argent. A ce moment, Kurofuji tire sur Tanaka, étant déjà au courant qu'il espionne pour le compte d'Ozu et le traitant de défaitiste. Tanaka se vide de son sang et meurt.
- Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Chapitre 17 - Détermination colossale".
- Statut au volume 5 : Tué par Kurofuji d'une balle.
Térada est un réfugié japonais à Taïwan, mais il est aussi un extrémiste qui appartient au groupe de Kurofuji. Celui-ci prépare 3 attaques simultanées avec les siens et après s'être débarrassé de Tanaka, une taupe qui travaillait pour Mr Ozu, le directeur du camp de Tansui, il entre dans la salle où attendent les autres pour un dernier briefing. Il compte attaquer à 20 heures et la section A, qui comprend Térada, doit aller au marché de nuit où une dispute avait eu lieu, rixe qui a découlé sur le meurtre de 2 japonais et qui était la goutte de trop. Pourtant, un peu plus tard, les terroristes apprennent par la télévision que les 80.000 réfugiés du camp font une marche vers Taipei. Térada se demande ce qu'ils veulent en faisant cela si Tanaka les a informé sur les attaques et Kurofuji lui répond que cette marche est réalisée pour les contrer. Il décide alors de prendre les devants et de se déployer plus tôt que prévu. Dans le van qui conduit la section A vers le marché, Sakuma téléphone pour dire qu'ils sont en place avant de sortir et de commencer leur attaque. Les terroristes ordonnent à toutes les personnes présentes de se mettre à terre et au moment de répéter cet avertissement, Térada se rend compte qu'il y a des japonais partout. Ceux-ci tentent de convaincre les extrémistes qu'il ne doit plus y avoir de morts et un ami du père de Térada lui rappelle les larmes de son père quand il a vu que son fils pouvait continuer à vivre. Finalement, Sakuma dépose les armes et les autres suivent le mouvement. On ne voit plus Térada par après dans ce tome.
- Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Chapitre 17 - Détermination colossale".
- Statut au volume 5 : Inconnu.
Cette jeune femme taïwanaise est journaliste à la chaîne de télévision TCB. Après avoir été écartée du reportage sur les terroristes de Keelung, elle dort sur un sofa dans les bureaux de la chaîne. Un de ces collègues vient la réveiller alors qu'elle a juste envie qu'on la laisse tranquille. Elle répond ensuite à un appel pour la prévenir que les 80.000 réfugiés japonais du camp de Tansui sont en train de faire une marche vers Taipei. Chen Li se rend directement sur place et interroge le chef du camp, Mr Ozu, croyant que cette marche est contre l'arrêt de fonds gouvernementaux. Mais l'homme répond qu'il s'agit juste d'une marche pacifique, notamment à cause des enfants et des vieilles personnes présentes. Le groupe est alors juste arrêté par la présence de l'armée sur leur chemin. Un jeune homme retire son T-shirt blanc et l'agite en signe de non-violence et tous les japonais en font rapidement de même avec ce qu'ils trouvent de blanc. Après un tir de sommation de l'armée, la journaliste reçoit un appel de Tsai Chinlin, la présidente de Taïwan en personne, qui lui demande de lui passer le jeune homme. Après un moment, l'armée s'écarte et la marche peut continuer. Chen Li se demande si le jeune homme, Gen'Ichiro, n'a pas hypnotisé la présidente. La journaliste continue de suivre le cortège mais elle se rend compte, une fois arrivée en ville, que le jeune homme a disparu. Elle va en régie et ne le retrouve pas sur les caméras. Quand les réfugiés arrivent à la place comémorative, Chen Li interroge Jimichi Ikuo pour savoir où se trouvent Gen'Ichiro et Mr Ozu. Le japonais se montre évasif et ne veut pas donner la vraie raison de leur marche. Mais avec l'insistance de la journaliste, Jimichi la félicite de son talent et s'apprête à tout révéler quand soudain, le téléphone sonne. Chen Li apprend alors que des japonais ont attaqué les bureaux de la chaîne, ont tué 3 vigiles et s'y sont barricadé. La jeune femme s'y rend tout de suite et y retrouve Gen'Ichiro qui tente de rentrer sans succès dans le bâtiment. La journaliste apprend que la marche avait pour objectif de stopper ces terroristes japonais sans violence. Chen Li accepte alors d'emmener le jeune homme dans le bâtiment par un passage secret connu seulement des journalistes. Mais à l'intérieur, des coups de feu se font entendre...
Volume 4
En sortant de leur passage secret, Chen Li et Gen'Ichiro sont capturés et ligotés par les terroristes. Après une allocution télévisée de Kurofuji, les otages sont emmenés sur le toit où doit les attendre un hélicoptère de la télévision qu'ils ont exigé. Cependant, Chen Li se rend compte qu'il ne s'agit pas d'hélicoptères de la télévision. A ce moment, les lumières s'éteignent, des militaires sortent de l'appareil et commencent à tirer sur les extrémistes, mais aussi les otages. La journaliste tombe mais est protégée par le jeune homme. En un instant, tous les terroristes sont morts à l'exception de Kurofuji. Gen'Ichiro essaye de le protéger mais l'homme le rejète et se fait tuer. Une fois à l'hôpital, Chen Li fait remarquer à Gen'Ichiro qu'il avait une disquette dans la poche de son pantalon. Le jeune homme lui répond que le terroriste lui a donné avant de mourir. La journaliste regarde ce que contient le disque et trouve des preuves que le lobby anti-japonais a lui-même armé les extrémistes. Gen'Ichiro demande alors à ce que Chen Li appelle l'inspecteur Yui pour le voir. C'est dans la cuisine de l'hôpital, où le jeune homme fait des nouilles, que les 2 hommes se voient. Plus tard, la journaliste apprend par son collègue que le député Yé Guofon est en train de pousser la présidente à la démission. Elle le transmet à Gen'Ichiro et propose de mettre les preuves sur internet puisque son boss s'est dégonflé. Mais le jeune homme refuse pour ne pas mettre sa vie en danger. Ils manquent en fait de temps car la présidente va bientôt faire une annonce durant un discours sur la place commémorative. Gen'Ichiro choisit de se rendre sur place, malgré les risques, pour faire une déclaration en profitant d'un camion régie de la télévision de Chen Li. Le jour même, la journaliste fait basculer l'image de l'écran géant, de la présidente à Gen'Ichiro et ses amis, Yui et Chan. Le jeune homme peut ainsi montrer les preuves en public. Après ces événements, Chen Li apprend que les 2 gouvernement du Japon ont décidé d'interdire toute traversée vers leur territoire. la journaliste se dépêche donc d'en informer Gen'Ichiro qui décide de passer outre et de se rendre au Japon avec ses 2 amis. On ne voit plus Chen Li par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Chapitre 17 - Détermination colossale".
- Statut au volume 5 : Supposé vivante.
Il s'agit de la présidente de Taïwan. Suite à la marche des 80.000 réfugiés japonais qui se dirigent vers Taipei, Tsai Chinlin envoye l'armée sur place pour stopper cette foule. Pourtant, les japonais agitent des T-shirts, mouchoirs, soutien-gorge, ou tout ce qu'ils trouvent de blanc pour montrer leur non-violence. Si l'armée tire, elle sera accusée et si elle se retire, le peuple taïwanais pourrait considérer que la présidente ne protège pas son peuple. Pourtant, Tsai Chinlin pense que c'est une formidable occasion de montrer aux yeux du monde que son pays a du coeur. Elle fait en sorte de téléphoner à une journaliste de la chaîne de télévision TCB qui est sur place et lui demande de bien vouloir lui passer le meneur du groupe, un jeune homme au bonnet rouge et répondant au nom de Gen'Ichiro. Elle lui dit autoriser la marche et va la faire encadrer par l'armée, attendant le jeune homme au siège du gouvernement. Cependant, Gen'Ichiro demande à pouvoir parler en privé et déclare devoir refuser l'offre. Il explique alors qu'un groupe d'extrémistes japonais va déclencher une action armée qui risque de coûter de nombreuses vies. Le but de leur marche est d'arrêter pacifiquement ces terroristes et c'est pour cela qu'il ne peut divulguer les endroits qu'ils vont frapper. La présidente trouve cette manoeuvre dangereuse mais accepte finalement et fait retirer l'armée. Elle continue néanmoins de surveiller la foule à la télévision et fait déployer d'urgence les forces spéciales et l'armée dans la capitale. On ne voit plus Tsai Chinlin par après dans ce tome.
Volume 4
Suivant toujours les mouvements des japonais, Tsai Chinlin apprend que les attaques de la gare de la navette et du marché de nuit ont été arrêtés par les réfugiés. Cependant, Kurofuji, le leader des terroristes, fait une allocution sur la chaîne de télévision TCB et a attaqué ses bureaux, faisant déjà 3 morts. Suivant ses ordres, l'armée a encerclé les réfugiés qui se trouvent sur la place commémorative de Taipei. Le conseiller pense que la présidente a eu tort de croire en Gen'Ichiro, mais la femme n'est pas du même avis puisque les bains de sang au marché et a la gare ont déjà été évités. Elle ordonne que les exigences des extrémistes soient acceptées, donnant priorité à la vie des otages, tout en maintenant les forces spéciales autour du bâtiment et à Keelung, où les terroristes doivent prendre un bateau. Soudain, Kurofuji déclare que les armes qu'ils utilisent leur ont été fournies par le lobby anti-japonais. Tsai Chinlin donne alors l'ordre express de ne pas tuer les extrémistes. Malheureusement, les militaires désobéissent à cet ordre et massacre les terroristes ainsi qu'une partie des otages. Après cet événement, le peuple est en colère contre sa présidente et réclame sa démission pour avoir laisser les réfugiés japonais rentrer dans Taipei. Le député Yé et les membres du lobby anti-japonais font alors pression sur Tsai Chinlin, parlant de son laxisme et de celui de son défunt père, et exigent qu'elle parte en vacances plus tôt que prévu, n'oubliant pas de préciser que le général Ryu Honwen a pour l'instant les rennes de l'armée. Dans sa résidence, face au tableau de son père, la femme ne sait plus quoi faire. Pourtant, quand le député Yé lui présente un document d'abdication, elle refuse de le signer. Par communiqué, elle fait savoir qu'elle va faire un discours devant le temple commémoratif Jiang Zhangzheng. Alors qu'elle commence son discours, le visage de Gen'Ichiro apparaît sur l'écran géant. Celui-ci et 2 de ses amis arrivent au milieu d'une foule hostile. Et quand l'armée braque leurs fusils sur les 3 jeunes hommes, Tsai Chinlin ordonne qu'ils baissent leurs armes pour ne pas provoquer la honte face au monde qui les regarde. Une fois que Gen'Ichiro arrive auprès d'elle, il présente sur le grand écran les preuves données par Kurofuji de l'implication du lobby anti-japonais dans leur armement. La présidente ordonne immédiatement leur arrestation et les tensions s'apaisent. Plus tard, la femme reçoit une lettre du jeune homme qui déclare vouloir faire la traversée vers le Japon, malgre la récente interdiction d'une telle entreprise...
- Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Chapitre 18 - Le président de Taïwan, Tsai Chinlin".
- Statut au volume 5 : Supposé vivante.
Yé est le leader du lobby anti-japonais à Taïwan, le groupe qui a fait en sorte que le Ryuhaipan, la mafia locale, tue une japonaise et son enfant. Suite à cet événement, les 80.000 réfugiés du camp de Tansui font une marche vers Taipei, sans arborer de slogans. Pour le lobby, cette marche est l'occasion rêvée pour montrer le manque de poigne de la présidente Tsai Chinlin qui préconise le dialogue plutôt que la force. Ils sont en train de manger et Yé se rappelle que le Japon a envahi autrefois toute l'Asie. Malgré tout, les japonais reçoivent le soutien de plusieurs taïwanais et il faudrait agir pour contrer cela. C'est à ce moment que Mr Yui, ancien japonais qui a renoncé à sa nationalité, se propose de s'en charger. Le soir même, le groupe apprend par la télévision que des terroristes japonais ont attaqué l'immeuble de la chaîne TCB et ont fait des victimes. Maintenant qu'il y a des morts parmi les taïwanais, la présidente devra en endosser la responsabilité, plus encore si elle savait que la marche des réfugiés visait à arrêter ces extrémistes. Yé sent que la nuit va être longue mais qu'elle va signer la fin de la politique pro japonaise et de celle de Tsai Chinlin...
Volume 4
Alors que tout semble se passer pour le mieux avec une allocution de Kurofuji à la télévision, ce dernier révèle que c'est le lobby anti-japonais qui les a armé, ce qui met Yé dans l'embarras. Il estime que le japonais a causé suffisamment de dégâts et qu'il est temps de le faire taire, saluant néanmoins son tempérament. Par l'intermédiaire du général Ryu Honwen, il fait massacrer les terroristes et une partie des otages sur le toit du bâtiment de la chaîne TCB. Ensuite, le lobby célèbre sa victoire en portant un toast. Plus tard, au palais présidentiel, les membres du lobby font pression sur Tsai Chinlin pour qu'elle démissionne, mettant en cause sa responsabilité d'avoir laissé les réfugiés japonais entrer dans Taipei au lieu de les arrêter immédiatement. Le conseiller de la présidente essaye de la défendre, mais sans succès. Finalement, le député Yé pousse Tsai Chinlin à prendre ses vacances plus tôt que prévu, lui rappelant que maintenant, c'est Ryu Honwen qui a le pouvoir réel sur l'armée. Après quelques temps, Yé se rend à la résidence de la présidente et lui présente un document d'abdication qui ne manque que sa signature. Cependant, la femme refuse encore pour l'instant d'abdiquer. Par communiqué, elle dit vouloir faire une déclaration devant le temple commémoratif Jian Zhangzheng. Le jour J, Tsai Chinlin commence son discours mais soudain, le visage de Gen'Ichiro Ryu, le jeune homme à la tête de la marche des réfugiés japonais, apparaît sur l'écran géant. Il est au milieu de la foule avec 2 amis et Yé fait signe au général de s'occuper de ce problème en utilisant la foule hostile. Quand cela ne suffit pas, il prétexte la protection de la présidente pour faire agir les militaires. Mais cela ne marche pas et le jeune homme parvient aux côtés de Tsai Chinlin. Là, il présente sur l'écran les preuves reçues par Kurofuji avant de mourir, de l'implication du lobby anti-japonais dans l'armement des terroristes. Yé essaye de se justifier, mais en vain, et il se fait directement arrêter par les militaires. On ne le voit plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Chapitre 19 - Le passage".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant, mais en prison.
Il s'agit d'un militaire, un général qui fait partie du lobby anti-japonais de Taïwan qui a fait tuer par l'intermédiaire du Ryuhaipan, la mafia locale, une japonaise et son enfant. Numéro 2 de la défense, Honwen voit plutôt d'un bon oeil la marche des 80.000 réfugiés japonais du camp de Tansui car cela leur permettra de démontrer le manque de poigne du gouvernement et de la présidente Tsai Chinlin, qui préfère le dialogue à la force. Le leader du lobby, le député Yé, déclare que les japonais sont une menace et qu'il faut agir. C'est alors que Yongui Yui, ancien japonais ayant renoncé à sa nationalité, se propose de s'en charger. Plus tard dans la journée, en début de soirée, un groupe d'extrémistes japonais envahit le bâtiment de la chaîne de télévision TCB et l'information passe aux infos. Maintenant que des victimes taïwanaises sont à déplorer, les lobbys pro japonais ne pourront plus leur obtenir de citoyenneté taïwanaise. De plus, le général dit que si la présidente savait que la marche avait pour objectif de stopper ces terroristes, elle portera la responsabilité de ces morts pour n'avoir pas agi. Yé pense dès lors que la politique de Tsai Chinlin touche à sa fin...
Volume 4
Lors de l'allocution télévisée de Kurofuji, celui-ci révèle que les armes qu'ils utilisent leur ont été fournies par le lobby anti-japonais, ce qui ébranle les membres de ce lobby qui craignent que tous leurs efforts soient réduits à néant. Pour régler ce problème, Ryu ordonne aux forces spéciales d'abbattre à tout prix les terroristes pour qu'ils ne puissent pas parler, et ce pour contrer l'ordre de la présidente qui veut les prendre vivant. Une fois que le général reçoit la confirmation par téléphone que tous les extrémistes sont morts, en même temps qu'une partie des otages, les membres du lobby peuvent célébrer leur victoire en portant un toast. Plus tard, alors que le lobby met la pression sur Tsai Chinlin pour qu'elle démissionne, son conseiller prend sa défense en demandant qui a donné l'ordre de tuer les terroristes, niant ainsi l'ordre présidentiel. Ryu répond qu'une enquête est en cours mais que tout est dans le flou et que le chef d'état-major a été obligé de prendre du repos pour raison de santé. Le député Yé pousse alors Tsai Chinlin à prendre ses vacances plus tôt que prévu, lui rappelant que c'est maintenant le général Ryu qui a le pouvoir réel sur l'armée. Refusant d'abdiquer, la présidente fait savoir qu'elle fera une déclaration sur la place commémorative de Taipei. Au début de son discours, le visage du jeune homme à la tête de la marche des réfugiés japonais, Gen'Ichiro, apparaît sur grand écran. Avec 2 de ses amis, il marche au milieu de la foule. Le député Yé fait signe au général pour qu'il excite la foule, déjà bien hostile au jeune homme. Quand cela ne marche pas, il fait appel aux militaires, car Yé déclare vouloir protéger la présidente. Mais celle-ci ordonne aux militaires de baisser leurs armes, leur rappelant que les yeux du monde sont braqués sur eux. Et quand Gen'Ichiro parvient près de Tsai Chinlin, il montre au peuple taïwanais les preuves que le lobby anti-japonais est responsable de la livraison d'armes aux terroristes. Le général Ryu, ainsi que les les autres membres du lobby sont immédiatement arrêtés par l'armée. C'est la dernière apparition de ce personnage dans ce tome.
- Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Chapitre 19 - Le passage".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant, mais en prison.
Cet homme est le père de l'inspecteur Yui et celui qui a fait en sorte que sa famille renonce à sa nationalité japonaise. Il fait maintenant partie du lobby anti-japonais, le même groupe qui a fait en sorte que le Ryuhaipan, la mafia locale, assassine une japonaise et son fils. Alors que les 80.000 réfugiés du camp de Tansui sont en train de marcher pacifiquement vers Taipei, le lobby est en train de manger. Comme le député Yé, le leader, considère les japonais comme une menace et qu'ils ont pourtant un soutien d'une partie des taïwanais, il souhaite que quelqu'un fasse quelque chose et Yui se propose d'agir. Yé s'excuse s'il a dit quelque chose de blessant mais Yui lui répond que le Japon, c'est de l'histoire ancienne. Le soir venu, ils apprennent par la télévision que les bureaux de la chaîne TCB ont été attaqué par des terroristes japonais et que 3 morts sont déjà à déplorer. Yé se réjouit de cette situation car elle va jeter de discrédit sur la politique des pro- japonais et de la présidente Tsai Chinlin qui risque de porter le chapeau alors qu'elle savait que la marche avait pour but d'empêcher ces extrémistes. Pour le député, cela va apporter un vent frais au monde politico-financier de Taipei et Mr Yui acquiesce...
Durant sa déclaration à la télévision, Kurofuji révèle que les armes qu'ils utilisent leur ont été fournies par le lobby anti-japonais, ce qui met ses membres dans l'embarras. Cependant, Le général Ryu fait passer le message d'ignorer l'ordre présidentiel de capturer les terroristes mais plutôt de les tuer tous. Une fois Kurofuji et les siens éliminés, les membres du lobby portent un toast et Yongui s'excuse que le liens entre eux et les extrémistes a failli être dévoilé. A la fin de la réunion, au moment de prendre sa voiture, Mr Yui voit son fils qui l'attendait. Celui-ci, policier, raconte qu'il enquête sur le meurtre de la japonaise et de son fils. Le coupable n'étant qu'un exécutant, il a remonté la piste du payeur jusqu'à la Taipeipengyougongsi, la société de Mr Hata lui-même. Yongui pense que ces accusations ne sont bonnes que pour écrire des histoires mais il se rend compte que son fils l'a emmené dans le cimetière où repose sa femme. Devant la tombe de celle-ci, Ryotaro menace d'utiliser son arme sur son père si celui-ci n'avoue pas ses crimes. A ce moment, Mr Yui se rappelle qu'au moment de la tragédie de 2002, lui et plusieurs de ses employés se trouvaient à Taipei. Ne pouvant plus retourner au pays, il leur fallait survivre sur place. Etant en grosses difficultés financières dû à la disparition des ressources japonaises, Eichiro a demandé l'aide du gouvernement taïwanais qui lui a proposé, à lui et ses employés, de prendre la nationalité taïwanaise. Il accepta un peu à contre-coeur pour pouvoir survivre de renoncer à sa nationalité japonaise. Son fils le pris très mal mais fut rassuré par sa mère. Ensuite, des persécutions commencèrent car ses employés et lui étaient considérés comme des traîtres a la patrie. Afin de s'en sortir, Yongui se tourna vers le lobby anti-japonais pour qui il accepta de faire plusieurs magouilles pour obtenir leur confiance. Cela alla jusqu'au meurtre d'une japonaise et de son fils, tout cela pour ses employés. Après ce récit Mr Yui annonce à son fils avant de partir qu'il peut venir l'arrêter quand il le souhaite, si seulement il en a la force. Quelques jours plus tard, alors qu'il regarde le discours de la présidente à la télévision, Eichiro voit son fils et 2 de ses amis, dont le meneur de la marche des réfugiés japonais. Ce dernier prouve sur écran géant que c'est le lobby anti-japonais qui a armé les terroristes. Lors de son arrestation le lendemain, il dit à ses employés être le seul responsable et avoir tout réglé pour sa succession. Il demande à son fils, venu le voir, combien il va prendre et Yui lui répond que ce sera sans doute 20 ans. Finalement, Mr Yui félicite son fils pour son travail avant d'être emmené par la police.
- Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Chapitre 19 - Le passage".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant, mais en prison.
Miyamoto est un réfugié japonais du camp de Tansui, à Taïwan. Suite à la mort d'une femme du camp et de son fils, et comme tous les autres réfugiés, il participe à la marche vers Taipei visant à arrêter pacifiquement le groupe d'extrémistes dirigé par Kurofuji. Après avoir atteint la ville en agitant tout ce qu'ils trouvaient de blanc, Mr Ozu, le chef du camp, décide d'envoyer 3 groupes d'une centaine de personnes qui iront aux 3 endroits que sont sensé attaquer. Miyamoto se trouve dans le groupe qui doit aller au marché de nuit en compagnie de Gen'Ichiro, l'instigateur de cette marche, l'inspecteur taïwanais Cha, et Chinmin, le tueur qui regrette son geste. Avant de se rendre au marché, le groupe fait un dernier briefing. Sur place, Miyamoto et une cinquantaine de japonais se mettent face aux extrémistes, tandis que le reste se place derrière. Aucun d'entre eux ne veut revoir un grand nombre de morts et Miyamoto rappelle à Sakuma, l'un des terroristes, qu'il a déjà sauvé des vies lors de la catastrophe de 2002, notamment un bébé. Finalement, Sakuma dépose les armes et les autres suivent. Plus tard, Miyamoto reçoit un appel de Murakoshi qui lui dit que les terroristes de la gare se sont aussi rendus. Mais la joie est de courte durée car 3 morts sont déjà à déplorer à la chaîne de télévision TCB. Gen'Ichiro emprunte alors un scooter pour aller sur place et confie le reste à Miyamoto et à l'inspecteur Cha. On ne voit plus Miyamoto dans ce tome.
- Première apparition : Volume 3, dans le chapitre intitulé "Chapitre 20 - Chemin sans fin".
- Statut au volume 5 : Supposé vivant.
A suivre dans le prochain article.
Cronos
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