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Par cronoslegend le 17 Novembre 2017 à 13:29
Voilà la sixième suite de la liste des personnages de Trouble is my business. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Le père de famille
Volume 4
Cet homme d'une quarantaine d’années était un mari et le père d'une fille. Mais un jour, le conducteur d'un camion-citerne s'est endormi au volant et a provoqué un accident dans lequel la voiture de la femme et la fille de cet homme a été impliqué. Après le crash, les 2 femmes respiraient apparemment encore, mais une explosion a eu lieu. Les 2 femmes ont été brûlées vives. Mais le plus grave pour ce père de famille, c'est qu'un photographe d'un magazine à scandales, qui était dans le coin, a commencé à mitrailler avec son appareil, et que les photos des 2 corps en train de brûler ont été publiées comme un scoop, avec l'une des images en double page. Du coup, le père de famille a commencé à ressentir des pulsions meurtrières, bien plus envers le reporteur et l’éditeur du tabloïd qu'envers le chauffeur du camion. Un jour de pluie, alors qu'il s'abrite devant les volets fermes d'un magasin, un homme vient s'abriter avec lui, complètement trempé. Celui-ci trouve que tout est gris, tout comme le visage du père de famille et sans doute son moral. Les 2 hommes prennent le même métro, et l'inconnu dit qu'il croyait les têtes d'enterrement disparues, tandis que le père de famille regarde le titre du même tabloïd, qui évoque le suicide d'une starlette, avec la photo de son cadavre. Le père de famille apprend que cet homme est un détective privé, Jôtarô Fukamachi. Un autre jour, le père de famille appelle le détective, et sur le bord d'un terrain de base-ball où des enfants s'amusent, il explique que durant 40 ans, il a cru que les envies de meurtres n'existaient pas. Il raconte alors ce qui est arrivé à sa femme et sa fille. Puis, l'homme emmène le privé chez lui, et lui montre une cassette vidéo dans laquelle l’éditeur se justifie en disant que le monde regorge de morts et que c'est la réalité qu'il reflète dans son magazine. Il estime que les gens ont le droit de voir ces photos, et que si on ne veut pas les voir, il suffit de ne pas acheter le magazine. Et si on le traite d'abject, ses 2 millions de lecteurs le sont alors aussi. Pour le père de famille, ce sont des salades. Il se sent abject et veut une vengeance en trouvant un scandale dans l'entourage de l’éditeur. Après enquête, Fukamachi parvient à obtenir l'aide de la fille de l’éditeur. Celle-ci monte au sommet d'un building et menace de sauter. Les connaissances du détective et des anonymes s'amassent en bas de l'immeuble, beaucoup ayant des appareils photo ou des cameras pour filmer la scène. L’éditeur essaie de s'y opposer mais il se fait maîtriser. La fille finit par sauter mais elle a un parachute et atterrit en douceur. Le père de famille se sent un peu mieux puis finit par démissionner et disparaît un peu plus tard. Quant à l’éditeur, après avoir arrêté un moment ses publications morbides, il a recommencé. C'est la dernière apparition du père de famille dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 25 - L'arrogance des vivants".
- Statut au volume 4 : Vivant.
Okamoto Yukiko
Volume 4
Yukiko est une jeune starlette qui semble mal vivre sa célébrité, tout comme de nombreuses semblables. En effet, comme plusieurs filles avant elle, Yukiko choisit de se suicider. D'après l'image qui est montrée, elle s'est jetée depuis le haut d'un immeuble et sa tête a heurté le sol, la tuant sur le coup. En plus de ce décès malheureux, un tabloïd peu scrupuleux décide de publier en grand dans leur torchon une photo du cadavre de Yukiko, sur le sol ensanglanté. C'est tout ce que l'on apprendra sur Yukiko dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 25 - L'arrogance des vivants".
- Statut au volume 4 : Décédée par suicide.
Mr Yajima
Volume 4
Il s'agit de l’éditeur d'un magazine à scandales intitulé "Saturday photo". Alors qu'au début, les photos publiées étaient sobres, Yajima a ensuite commencé à publier des photos de cadavres et de morts en tous genres, ce qui ne lui vaut pas que des admirateurs. Un jour, un journaliste vient l'interviewer et le filmer. Dans la vidéo, il admet sans détour publier ces photos de dépouilles mortelles, notamment d'un accident de la JAL, d'une éruption en Colombie, de suicides, notamment de jeunes starlettes, ou d’accidentés de la route. Yajima se défend en disant que le monde regorge de morts et qu'il ne fait que refléter cette réalité dans son tabloïd. Et il publie ces photos parce qu'il veut voir ces morts. Il estime donc que ses lecteurs ont le droit de les voir aussi. Le journaliste lui demande si les gens n'ont pas aussi le droit de ne pas les voir, et l’éditeur répond que si ces personnes ne veulent pas les voir, ils n'ont qu'à ne pas acheter son magazine. Il ajoute que pourtant, celui-ci se vend à 2 millions d'exemplaires chaque semaine. Il pense donc que si le journaliste le trouve abject, alors les 5 millions de lecteurs de ce type de presse le sont aussi. L'interview s’arrête là, et on apprend aussi que Yajima a publié notamment la photo d'une voiture en feu, après un accident avec un camion-citerne, et dont les passagères, une mère et sa fille, étaient encore vivantes juste après le carambolage, la photo montrant les 2 femmes en train de brûler. Quelques temps plus tard, Yajima apprend que sa fille Midori veut se suicider en sautant du haut d'un immeuble. Yajima se rend sur place, et constate que pas mal de personnes se sont rassemblées pour photographier ou filmer la scène. Un homme s'approche de Yajima pour avoir un commentaire et savoir comment il se sent, mais Yajima aimerait savoir où est la police. Deux inspecteurs sont présents, et Yajima leur demande d’arrêter sa fille. Mais les 2 flics disent ne pas pouvoir stopper quelqu'un qui veut se suicider. L'homme avec le micro veut que le cadavre soit bien photographié avec la cervelle éclatée. Yajima s’énerve car ils se réjouissent du malheur des autres, et l'homme ne s'en cache pas. Il se dit être juste un humain abject amateur de dépouilles. Il demande à un cameraman de bien filmer le visage de Yajima quand la fille sautera. L’éditeur, furieux, veut s'en prendre à cet homme, mais celui-ci lui met un coup de genou de l'estomac, ce qui met Yajima à terre. Midori saute mais rapidement, elle déploie un parachute, sous le regard médusé de son père. Celui-ci arrête durant quelques jours de publier des photos de cadavres, mais reprend aussitôt, n'ayant pas retenu la leçon. On ne voit plus Yajima par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 25 - L'arrogance des vivants".
- Statut au volume 4 : Vivant.
Midori Yajima
Volume 4
Midori est la fille rebelle d'un éditeur de tabloïd. Ce dernier publie dans son magazine, "Saturday photo", des images de cadavres sur le lieu d'accidents ou bien encore de suicide, ce qui choque une partie de la population. Midori, elle, est une adolescente qui, un soir, part seule pour fumer des cigarettes et boire des verres calmement. Une fois qu'elle en a assez, elle quitte le bar pour aller se promener. Mais elle remarque qu'elle est suivie et se dirige vers un parc. Là, elle monte sur le haut d'une muraille et fait semblant de commencer à perdre l’équilibre. L'homme qui la suit se précipite alors pour la rattraper et finit par se cogner la tête contre une barre de fer. Alors que cet inconnu se rafraîchit à une petite fontaine, il dit à Midori qu'il est un peu tôt pour mourir. Mais l'adolescente répond que c’était pour le tester, car elle l'a pris pour un satyre. Mais l'homme est un détective privé, Jôtarô Fukamachi. La fille l'a repéré depuis le bar et a eu un grand trip. Elle demande alors pourquoi avoir pris un appareil photo, supposant que c'est pour des clichés compromettants pour faire chanter son père. En allant chez un vendeur de hot-dogs, le détective explique que c'est un père de famille qui l'a engagé. Sa femme et sa fille sont mortes dans un accident de la circulation, et un photographe du père de Midori a mitraillé les 2 femmes en train de brûler vivantes dans leur voiture accidentée, pour en publier une photo en double page de son magazine. Du coup, le père de famille cherche à donner une leçon à Yajima. Mais pour Midori, quelques photos compromettantes ne feront rien à son vieux. Elle décide alors de faire le grand saut, avec l'aide du privé. Et si celui-ci refuse, elle portera plainte pour agression caractérisée, montrant sa détermination en déchirant son chemisier. Elle dit qu'il faudra prévenir tous les paparazzis, ainsi que son père. Quelques temps plus tard, Midori se trouve en haut d'un immeuble, menaçant de sauter, alors que Fukamachi se trouve au pied du bâtiment avec plusieurs de ses connaissances munies d'appareils photo et de cameras. Peu après l’arrivée de son père, l'adolescente saute et ouvre son parachute. Elle atterrit ensuite, ravie de son saut. Par la suite, son père arrête seulement durant quelques jours de publier des photos morbides, avant de recommencer. Elle en informe le détective puis demande des nouvelles de son client. L'action de Midori aurait fait du bien à cet homme, qui a ensuite démissionné et a disparu. Midori n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 25 - L'arrogance des vivants".
- Statut au volume 4 : Vivante.
Nakata
Volume 4
Nakata est un yakuza environ du même age que Kurosaki, qui a passé 7 ans et 8 mois soit à l’étranger, soit en prison, après avoir poignardé un autre gangster. A son retour au Japon, il se sent nostalgique et trouve que tout a changé. Une fois son taxi arrivé à destination, il puise dans sa solde du détenu pour payer son taxi, et dit au chauffeur de garder la monnaie. Peu après, alors qu'il fume dans la rue, Nakata aperçoit le petit frère de celui qu'il a tué, entouré de ses camarades. Il les regarde avec insistance, et le groupe le voit et se sent provoqué. Nakata est emmené dans une ruelle, et la, Nakata se déchaîne contre les copains du yakuza. Une fois qu'il ne reste que le frère, Nakata lui demande s'il se souvient de lui, mais l'homme ne rép0nd pas. Nakata le frappe alors au visage puis fracasse sa tête à plusieurs reprises contre le mur avant de partir. Plus tard, alors qu'il retrouve Kurosaki dans un café, Nakata est présenté à un détective privé, Jôtarô Fukamachi. Alors que Nakata se fait servir un verre, Kurosaki lui conseille de d'abord prendre du bon temps et de se réhabituer à la société. Mais Nakata a l'impression que personne ne se souvient de lui. Kurosaki le rassure en disant que ça ne les travaille pas autant qu'il le croit. Il demande ensuite si Nakata a revu sa femme Minako, à qui il a envoyé de l'argent régulièrement. Nakata répond qu'il est au courant. Par la suite, Nakata retrouve un autre yakuza dans une voiture, mais celui-ci ne veut pas prendre part à ce que Nakata s’apprête à faire, estimant qu'il n'est pas si important que cela. Nakata se dit que c'est la même chose pour Kurosaki. Il y a 8 ans, il n'avait rien de plus que lui, et maintenant, il joue les caïd. L'homme lui dit que Kurosaki est redoutable en affaires, et Nakata lui rétorque que ce n'est pas le concours de l’employé du mois d’être une crapule. L'homme lui rappelle alors qu'il a reçu de l'argent et un appartement, mais pour Nakata, ce n'est pas le problème, Pour l'homme, Nakata est comme un employé coupé du fonctionnement de la boîte, et il sort de la voiture. Nakata s'en va et voit voir sa femme et sa fille dans le hall d'un grand hôtel, avant d'utiliser sa voiture pour attaquer celle du frère de celui qu'il a poignardé. Il provoque un accident, puis vient récupérer la valise de ce frère. Mais l'homme ne veut pas la lâcher et Nakata lui taillade la pommette avec un couteau. Nakata lui demande s'il ne se souvient toujours pas, et l'homme dit se rappeler. Nakata lui demande ensuite pourquoi ne pas avoir essayé de le chercher. L'homme répond qu'il n'a pas que cela à faire. Enervé, Nakata s'empare de la valise, contenant de la drogue, et par la suite, il l’éparpille à sa guise. Un peu plus tard, alors qu'il veut acheter des fleurs, le jeune vendeur sort un flingue et abat Nakata de 6 coups, celui-ci ayant été balancé par Kurosaki qui ne peut tolérer cette attaque pour de la drogue.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 26 - La qualité première d'une crapule".
- Statut au volume 4 : Tué de plusieurs balles par un jeune homme.
Minako
Volume 4
Il s'agit de la femme de Nakata, un yakuza du clan de Kurosaki. Selon ce dernier, Nakata revient d'une longue mission à l’étranger, mais il ne serait pas étonnant que Nakata ait fait de la prison pour avoir poignardé quelqu'un. En tout cas, pendant cette période, Kurosaki a envoyé de l'argent régulièrement à Minako et sa fille pour qu'elles ne manquent de rien. Enfin de retour, Nakata se rend dans le hall d'un hôtel où se trouvent Minako et leur fille. Ces 2 dernières sont un étage plus haut et observent Nakata, qui ne semble pas aller les voir. De plus, Minako et sa fille ne semblent pas très heureuses. Par la suite, Nakata se fait assassiner, et on ne sait pas ce que deviennent Minako et sa fille. On ne voit plus Minako par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 26 - La qualité première d'une crapule".
- Statut au volume 4 : Vivante.
Kimiko Imamura
Volume 4
Cette dame est probablement la femme du PDG de Imamura décoration. C'est elle qui influence les décisions de la société. Un jour, un homme fait appel à elle car il aimerait collaborer avec elle pour la décoration d'un bâtiment. En compagnie de cet homme d'affaires, et d'un autre homme venu l'accompagner, Kimiko visite donc le bâtiment qui ne possède pour l'instant que les murs bruts. L'homme lui demande de faire attention où elle met les pieds, et lui explique que ce n'est pas à cause d'un problème de disponibilité de fonds, mais qu'il a des divergences avec le décorateur actuel. En effet, la vision de celui-ci se résume au "tout fonctionnel" dans un style nord-américain, alors que l'homme d'affaires tient à une patte "fin de siècle", ou une ambiance proustienne. Cela réduirait les marges puisqu'il n'y a pas moyens de jouer sur les matériaux. Kimiko comprend que presque tout devrait être importer. Le trio passe devant un ouvrier qui travaille, puis arrive à la voiture. L'homme d'affaires sait que c'est Kimiko qui détient le pouvoir dans sa société, et il est bien conscient des efforts qui ont été nécessaires. De plus, les résultats et sa réputation parlent pour Kimiko. Plus tard, dans la circulation, Kimiko annonce que le projet l’intéresse, mais l'homme la prévient qu'il n'y a pas de gros bénéfices à en attendre. Pourtant, Kimiko sait que si on le conçoit sur la base d'un cofinancement, l'homme sera perdant. Pour celui-ci, le bonheur de collaborer avec une femme aussi belle et avec les mêmes goûts passe avant les bénéfices. Il ajoute qu'il le pense très sincèrement. Envoutée, Kimiko pose sa tête contre le bras de l'homme d'affaires. Mais cet homme est en réalité un escroc, accompagné d'un détective privé à qui il veut demander une faveur pour son business. Kimiko n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 27 - Un boulot peinard".
- Statut au volume 4 : Vivante.
L'agent Tôjô
Volume 4
Tôjô est un motard de la police de Tokyo, qui est un ripoux tout comme Gotôda et Moriyama. En fait, Tôjô fait aussi des prêts usuriers et se montre inflexible. Un jour c'est Moriyama lui-même qui vient prendre de l'argent chez Tôjô. C'est surtout la bourgeoise de Moriyama qui a des goûts de luxe et qui exige de son mari toujours plus d'argent. Du coup, quand Moriyama ne paie pas Tôjô, et que celui-ci aperçoit le ripoux avec son collègue Gotôda dans leur voiture de patrouille, le motard les prend en chasse en utilisant sa sirène. Mais en voyant Tôjô, Moriyama accélère. Une course-poursuite s'engage, qui se termine sur les quais, où Moriyama se retrouve coincé. Tôjô le tire hors de la voiture et commence à le frapper, puis à lui donner des coups de pied dans l'estomac une fois Moriyama à terre. Le motard lui rappelle qu'il n'est pas aussi tendre que les autres truands. Finalement, un usurier met l'appartement acheté par Moriyama en vente, ne pouvant pas se sucrer au passage car Gotôda a trouvé des tuyaux sur lui à la quatrième section. Moriyama en obtient donc un bon prix. Ensuite, un escroc poussé par Gotôda séduit la mégère de Moriyama et finit par l'abandonner dans un cabaret de Nakasu, dans les quartiers chauds de Hakata. Quant aux dettes de Moriyama, c'est Tôjô qui se charge de les régler pour devenir son seul créancier. En échange, il peut participer aux petits business des 2 vipères. Finalement, les 3 ripoux se retrouvent dans un club en compagnie de filles en petites tenues, et avec de l'alcool à flots. Une autre fois, Tôjô retrouve dans la rue Jôtarô Fukamachi, un détective privé qui connaît bien Gotôda et Moriyama, et qui avait aidé ce dernier à régler ses problèmes de dettes. Mais Fukamachi ne veut pas lui parler, même si le motard lui fait un bon taux. Pourtant, le détective préfère braquer une banque plutôt que d'emprunter de l'argent à Tôjô. Celui-ci évoque le fait qu'il a appris que le privé faisait dans les chiens perdus, et que le boulot des détectives, ce n'est plus ce que c’était. Fukamachi lui rétorque de la fermer, et le motard lui dit qu'il peut passer chez lui quand il veut, avant de le saluer et de s'en aller. C'est la dernière apparition de Tôjô dans ce tome.
Volume 5
Un soir, Tôjô se trouve au bar "los lindos", où se rend régulièrement Fukamachi. Celui-ci est présent lui aussi, ainsi que les 2 vipères Gotôda et Moriyama. Le détective se plaint de sa paternité et regrette d'avoir eu un enfant. Il est complètement bourré, et Moriyama se demande ce qu'il a. Pour le motard, sa fille ou son ex ont dû être méchantes avec lui. Moriyama se dit qu'ils devraient peut-être appeler les flics, mais Tôjô lui rappelle que c'est eux la police. Plus tard, dans un restaurant, le privé pleure sur les genoux de Gotôda. Moriyama dit que son collègue adore ces moments, et le motard se demande s'il y a des affinités entre les squales et les crotales. Mais Fukamachi finit par vomir sur les genoux de Gotôda. Une autre fois, Tôjô apprend que la dentiste Sugimoto aurait été enlevée, et que la rançon de 1 milliard réclamée par les ravisseurs doit être livrée par le détective. Le motard va retrouver les 2 autres ripoux qui sont déjà partis dans leur voiture de patrouille et ils les rattrape. Il leur reproche de ne pas partager les tuyaux, alors qu'il aime autant l'argent que la justice sociale. Gotôda lui répond qu'ils pensaient l'appeler, mais Tôjô a remarqué les armes que ses collègues ont déjà sur leur banquette arrière, sorties en douce du dépôt. Une fois dans le bâtiment abandonné pour la remise de la rançon, ils apprennent que le privé n'a pu récolter que 100 millions. Ils décident néanmoins d'attaquer Fukamachi pour récupérer la rançon, et une fusillade s'engage, notamment avec Sugimoto, complice des soi-disant ravisseurs. Soudain, ils découvrent que la valise est vide, mais choisissent de continuer la fusillade, et en remarquant que le Poisson globe, un indic et un bookmaker qui loue aussi des armes, est avec le détective, ils lui demandent des munitions pour continuer à tirer. Kurosaki, un yakuza qui connaît bien le privé, s'en mêle aussi, et Fukamachi finit par faire exploser une roquette, ce fait que le bâtiment s'écroule partiellement. Tous choisissent de rentrer, sans pouvoir cependant payer le Poisson globe. On ne voit plus Tôjô par la suite dans ce tome.
Volume 6
Un jour, Tôjô reçoit une facture que Fukamachi doit payer. Celui-ci a subi une déprime en apprenant que son ex-femme allait se remarier et que sa fille était partie pour l’étranger sans rien lui dire. Sugimoto, Kurosaki et les 2 vipères ont alors tout fait pour lui remonter le moral, et le détective doit donc payer les réparations de toilettes, d'un magasin d'animalerie, d'une statue devant un fast-food de poulet frit, mais aussi une virée avec les 2 ripoux qui l'ont emmené à l’aéroport où l'ex-femme devait prendre l'avion pour son voyage de noces. Le motard retrouve donc le privé, qui lui dit qu'il n'a rien pour lui. Tôjô présente la facture, ajoutant qu'il y en a pour 5 millions. Il annonce alors qu'il a un taux plus bas que celui des usuriers de l’impérial. Fukamachi accepte de payer et refuse de se planquer, se disant qu'il ne lui reste plus qu'à gagner gros au boulot. Un peu plus tard, dans une ruelle, le motard se met à tabasser le détective, lui indiquant de ne pas le prendre mal mais que c'est le style de la maison Tôjô police finances. Pour lui, un retard de paiement dès la première traite, ça ne va pas. Il ajoute qu'il n'y a pas que l'argent dans la vie, mais pas que l'amour non plus. Il décide de s’arrêter là, mais prévient que le mois prochain, le privé ne s'en sortira pas comme ça. Un autre jour, Tôjô retrouve Fukamachi dans un parc, accompagné d'un jeune adolescent. Le motard dit au détective que c'est un bon endroit pour des conseils aux voleurs à l’étalage, mais le privé lui répond qu'il s'est fait mettre dehors par Sugimoto. Tôjô sait que c'est de la faute de Gotôda, qui a décidé d’épouser la dentiste. Le jeune homme choisit de s'en aller car le boulot qu'il a confié au privé est terminé. Le motard, lui, en veut à Gotôda, qui va s'en sortir seul pour ses vieux jours. Il demande à Fukamachi s'il n'y a pas moyen de lui mettre des bâtons dans les roues, mais le détective est déjà sur le départ. Tôjô le pousse à terre avec sa moto, et le prévient qu'il ne va pas le prendre en pitié, car il est un tordu et que le bonheur des autres le hérisse. Le privé le traite de fumier, et le motard lui rétorque qu'il pourra lui parler ainsi une fois qu'il aura remboursé. Il ajoute avant de s'en aller que lui aussi s'en fait pour ses vieux jours. Par la suite, Tôjô est invité au mariage de Kurosaki, et il s'occupe de prêter de l'argent à ceux qui n'ont pas mis de costard, comme par exemple Fukamachi. Durant la soirée, un homme vient tenter de se venger du yakuza qui s'est foutu de lui, mais Kurosaki le met à terre avec un coup de pied en s'accrochant à un lustre. Le motard siffle pour le féliciter, et le yakuza commence un discours. Malheureusement, le lustre se détache et tue Kurosaki en lui tombant dessus. Tôjô assiste aux funérailles et plus tard, Sugimoto se sépare de Gotôda pour reprendre le détective. Ensemble, ils résolvent une enquête, et dans un bar, ils vont fêter cela, en présence notamment des 3 ripoux, du super-intendant Akagi, de l'ex-femme et de la fille du privé, du Poisson globe et d'un SDF qui s'occupe de chiens errants. La veuve de Kurosaki annonce qu'elle va continuer les affaires de son défunt mari, car elle trouve cela stimulant, ce que le motard approuve. A la fin de la soirée, Fukamachi prétend avoir vu Kurosaki à la télévision, mais pour les autres, il y a de la friture avec un message. Tôjô n'apparaît plus par la suite.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 27 - Un boulot peinard".
- Statut au volume 4 : Vivant.
L'amant
Volume 4
Cet homme fut autrefois l'amant de la dentiste Sugimoto. Cependant, il l'utilisait comme porte de secours car elle a toujours au pas mal d'argent. Dans les années 80, il reprend contact avec Sugimoto car il doit 30 millions de yens à un syndicat du crime. En lui téléphonant, l'amant tombe sur un détective privé, Jôtarô Fukamachi, qui loue une chambre chez la dentiste. Celle-ci accepte de retrouver l'homme dans le bar d'un hôtel, et quand celui-ci la retrouve, il lui demande depuis combien d'années ils ne se sont pas vus. Mais Sugimoto ne s'en souvient pas. L'amant dit qu'elle n'a pas changé, et la dentiste se trouve toujours aussi moche. L'homme lui enlève ses lunettes et lui dit qu'elle est belle comme ça. Mais Sugimoto lui répond de laisser tomber et qu'elle sait à quoi s'en tenir. Le couple discute un moment puis va dans une chambre. Là, l'homme suggère de recommencer comme avant, mais la dentiste ne veut pas. Il lui demande si elle a oublié, et Sugimoto parle du 25 novembre 1970, comme étant sa première fois. L'amant dit qu'elle s'en rappelle, mais la dentiste rétorque que c'est seulement de la date, mais a oublié avec qui c'était. L'amant lui demande alors de l'aider, tandis que Sugimoto que Tokyo est beau la nuit. L'homme explique qu'il a touché de l'argent qu'il n'aurait pas dû toucher, et qu'il doit rembourser dans la semaine. Et si le syndicat veut sa tête, il est fini. La dentiste déclare qu'elle savait que c'était une erreur, mais couche quand même avec son amant. Après cela, elle dit qu'elle n'a jamais eu l'oeil pour les hommes, et son amant répond qu'elle ne doit pas dire cela. Pourtant, Sugimoto ajoute que ça ne s'arrange pas et qu'elle n'y gagne pas en jugeote avec l'âge. Elle se rhabille et s'en va sans un regard pour son amant. Elle le retrouve plus tard près des quais, où elle doit apporter l'argent au syndicat. Mais la dentiste dit qu'elle n'a pas un sou avec elle, mais qu'à la place, elle va aider son amant par ses propres moyens. Elle sort une arme à feu et dit à son amant de se mettre à couvert. L'homme s'exécute, et Sugimoto comment à tirer sur les gangsters, qui rentrent dans leurs voitures. L'une d'elle prend feu, et la seconde fait un tonneau après que le détective soit venu aider la dentiste en lançant un objet dans le pare-brise. L'amant reste abasourdi, tandis que Sugimoto s'en va avec Fukamachi. On ne voit pus l'amant par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 28 - Régler leur compte aux souvenirs".
- Statut au volume 4 : Vivant.
A suivre...
Cronos
votre commentaire -
Par cronoslegend le 22 Décembre 2017 à 09:42
Voilà la septième suite de la liste des personnages de Trouble is my business. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Nakanishi
Volume 4
Nakanishi était l'un des cadets de Kurosaki dans son clan de yakuzas. Ce dernier dit de Nakanishi que, dans les années 60, il était un gars aussi tranchant qu'une lame. Mais il a quitté le clan à la naissance de sa fille. En guise de couverture, il tenait une enseigne d'accessoires en import, mais gagnait en fait sa vie comme bookmaker clandestin au PMU. Comme il n'est pas sorti à 100% du circuit, Kurosaki l'a laissé faire. Ensuite, la mère de sa fille s'est barré depuis longtemps. Mais dernièrement, Nakanishi a eu un gros gagnant qui l'a ruiné, surtout que Nakanishi a mis sa fille dans le privé, chez les jésuites. En fait, ces derniers temps, les clients s'organisent en bandes et achètent par centaines des tickets à bas prix qui ne rapportent pas beaucoup, afin de casser les bookmakers. Et ce sont des pros qui ont cassé Nakanishi, le groupe Clover, et qui ont poussé Nakanishi a emprunter chez des usuriers à leur solde. Afin de pouvoir rembourser, Nakanishi a accepté de céder l'un de ses reins. Mais il a voulu encore jouer et a perdu une nouvelle fois. Acculé, Nakanishi a décidé de se suicider en sautant du haut de son immeuble de Yamate et a atterrit dans la piscine de la résidence.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 29 - Quatre credo modernes".
- Statut au volume 4 : Décédé par suicide en sautant du haut de son immeuble pour atterrir dans la piscine.
Alex
Volume 4
Alex est un chien mâle de 7 ans, qui appartient à un écrivain relativement connu. Cependant, il a curieusement disparu. On apprend alors peu après qu'Alex passe souvent dans un parc où se trouve un vagabond qui s'occupe des chiens errants. Un jour, 6 mois avant sa dernière fugue, le chien a semblé reconnaître une jeune femme dans la trentaine avec qui il est parti. Depuis, il passe tous les 10 jours par le parc et fonce seul vers la gare. Par la suite, comme à chaque fois, Alex revient chez son maître. Après être resté 2 jours à la maison, Alex repart en balade, suivi par Jôtarô Fukamachi, un détective privé. Il court à travers le parc et prend la direction de la gare sans hésiter. Tranquillement, il entre dans une rame de train et se repose en attendant son arrêt. A la cinquième station il reprend sa route qu'il connaît bien et finit par s’arrêter devant un petit immeuble à appartements. Il se met à aboyer, et une jeune fille finit par sortir de chez elle pour voir qu'Alex est là. La jeune fille appelle sa mère, et on découvre qu'il s'agit en fait de l'ex-femme et de la fille de l’écrivain. Ensuite, pendant que le détective parle avec l'ex-femme de l'auteur, Alex va jouer avec la fille. On apprend alors que la première fois, Alex est tombé sur sa maîtresse par hasard, et qu'il l'a suivie jusque chez elle. A chaque fois, il passe 2 ou 3 jours sur le parking avant de rentrer chez l’écrivain. En fait, le couple a divorcé il y a 5 ans et ils ne se sont plus vus depuis. En fait, Alex se fait du souci pour la femme et la fille, mais aussi pour son maître qui fait le fier et le dur à cuire. Plus tard, le privé va parler à l'auteur dans un café pour lui transmettre le message muet du chien, tandis que celui-ci attend dehors, sous la pluie, regardant son maître avec un air triste. Alex n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 30 - Un mot de la part d'Alex".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
L’éditeur
Volume 4
Cet homme travaille pour un écrivain qui a eu un certain succès, mais qui fait sa diva et qui ne veut pas travailler tant qu'on ne lui a pas retrouvé son chien Alex, un mâle de 7 ans. Pour cela, l'éditeur va voir un détective privé, Jôtarô Fukamachi. Il lui présente une photo du chien, et Fukamachi se demande sin l'animal a avalé un collier de perles. Mais pour l'éditeur, sans lui, il n'y a pas moyen de travailler. Le détective croit que l'homme bosse dans un cirque, mais l'éditeur lui répond que l'enfoiré refuse d'écrire tant qu'Alex n'a pas été retrouvé. Il l'a déjà cherché, mais à son âge, il pense que c'est la misère de faire cela, lui qui est diplômé d'une bonne fac et a été engagé par un grand éditeur. Il trouve cela minable, mais pense que c'est le style de job pour le privé. Celui-ci rétorque qu'extorquer le manuscrit au romancier, c'est le travail de l'éditeur. Celui-ci l'admet, et Fukamachi lui dit alors que son boulot, c'est aussi de retrouver le chien. L'éditeur trouve que le détective n'a pas la langue dans sa poche, mais dit qu'entre éditeurs, ils se sont cotisés pour faire appel à un spécialiste. Finalement, Alex revient de lui-même, mais comme ce n'est pas sa première fugue, l'éditeur demande au privé de le filer lors de sa prochaine fuite. Pendant qu'il est occupé avec Fukamachi, l'écrivain réclame une bière. L'éditeur dit qu'il arrive, et prévient le détective que le chien fait une fugue tous les 10 jours. Le romancier hurle pour avoir sa bière, et l'éditeur supplie le privé d'accepter pour lui. En fait, il se trouve que l'animal va chez l'ex-femme et la fille de l'auteur, et qu'il essaie de faire passer un message à son maître de ne pas trop jouer les durs à cuire. C'est la dernière apparition de l'éditeur dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 30 - Un mot de la part d'Alex".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
L’écrivain
Volume 4
Cet homme à la moustache a commencé à être connu il y a environ 5 ans. C'est à cette même époque qu'il a divorcé de sa femme, une traductrice, et a convenu avec elle de ne plus se voir. Cependant, l'auteur, qui écrit des romans hard-boiled, a gardé leur chien, Alex, un mâle de 2 ans. Cependant, 5 ans plus tard, l'animal se met à fuguer de temps en temps, et le romancier menace ses éditeurs de ne plus rien écrire si son chien n'est pas retrouvé, ce qui est plutôt une excuse qu'une vraie raison car l’écrivain boit tranquillement des bières dans son jardin. Un jour, alors qu'il joue au billard dans un bar, l'auteur remarque que quelqu'un veut lui parler. Celui-ci se présente comme étant Jôtarô Fukamachi, un détective privé. L’écrivain rétorque qu'il a confié la tâche de retrouver Alex à ses éditeurs, et que donner le job à un privé ne rime à rien. Fukamachi lui dit alors que leurs 2 boulots sont des jobs de loup solitaire qui ne mènent nulle part sans esprit de conciliation. Le romancier trouve que le détective a la langue bien pendue. Ensuite, autour d'un verre, le privé demande si l’écrivain a une idée des lieux de passages de son chien quand il fugue, mais l'homme n'en sait rien. Fukamachi s'interroge si l'auteur sait quelque chose de la vie de son chien, ce qui énerve le romancier. Mais le détective ne voudrait pas irriter l’écrivain de romans violents. L'homme le corrige en disant que c'est du hard-boiled, puis se remet au billard. Le privé note que la posture est mauvaise, et que la visée est instable, ajoutant que l'auteur semble être un dégoûté de la vie. Celui-ci ne veut cependant pas que l'on se mêle de ça. Plus tard, Alex revient de lui-même, et l’écrivain se remet au travail, clope au bec. Il réclame à plusieurs reprises une bière à l’éditeur qui se trouve chez lui, puis laisse le détective chez lui, qui doit filer Alex à sa prochaine fugue. Peu après, au téléphone, le romancier se plaint qu'un autre nom est plus gros que le sien sur une couverture, et il exige de celle-ci soit réimprimée sinon il arrête d’écrire. Ensuite, après avoir bu quelques bières, l'auteur finit par s’écrouler sur son divan, terrassé par l'alcool. Plus tard, dans un café, le privé parle de sa filature à l’écrivain, et a découvert qu'à chaque fois, Alex va retrouver l'ex-femme du romancier, qui vit dans un appartement et qui ne peut pas le garder. En fait, Alex s’inquiète pour la femme et la fille, mais aussi pour son maître, qui joue les durs à cuire pour faire croire qu'il va bien. En écoutant cela, l’écrivain regarde son chien par la fenêtre, qui l'observe de l'autre côté de la rue et sous la pluie, d'un air triste. Il vient de comprendre le message qu'essaie de lui faire passer son chien. Le romancier n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 30 - Un mot de la part d'Alex".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
Le vagabond
Volume 4
Il s'agit d'un sans-abri qui vit la plupart de son temps dans un parc. Il a la particularité de s'occuper de nombreux chiens errants, mais aussi des quelques chats. Un jour, Jôtarô Fukamachi, un détective privé, vient le voir car il est à la recherche d'Alex, un mâle de 7 ans qui a fait une fugue. Il montre au vieil homme une photo d'Alex, et le vagabond le reconnaît, connaissant même son nom. Le vieil homme se rappelle que ce chien vient toujours seul, à part une fois où il est venu avec une femme dans la trentaine. Fukamachi se demande s'ils étaient en balade ensemble, mais le vagabond pense plutôt que c'était comme s'il était tombé par hasard sur une vieille amie. Le détective questionne l'homme pour savoir quand c'était, et celui-ci répond que c'était à peu près il y a 6 mois. Depuis, Alex passe tous les 10 jours environ, et se dirige vers la gare, seul. Pour le vagabond, le chien est une bonne bête qui ne vous laisse pas tomber. Il propose ensuite un verre au privé, qui accepte volontiers. Quelques jours plus tard, le chien repasse de nouveau devant le vieil homme, suivi par Fukamachi, transpirant, que le vagabond salue avec le sourire. On ne voit plus le vagabond par la suite dans ce tome.
Volume 5
Un jour, alors que le vagabond est assis tranquillement dans le parc, il aperçoit Fukamachi et il le salue. Ce dernier lui rend la politesse, puis continue l'enquête qu'il est en train de faire. Un soir, alors que le vagabond est tranquille dans le parc avec ses chiens, un jeune homme visiblement ivre vient vers lui et l'agresse violemment. Il le frappe, et quand le vieil homme est à terre, il continue à le rouer de coups de pied. Les chiens se mettent à grogner pour défendre leur maître et s’apprêtent à attaquer l'agresseur. Mais le vagabond leur demande de rester calme, craignant que ses chiens ne trucident le jeune homme. Finalement, le vagabond est emmené à l’hôpital, et il s’avère que l'agresseur est Shindô Masashi, une jeune star violente, qui a l'alcool mauvais, et qui venait de se faire larguer par une stripteaseuse. A l’hôpital, Fukamachi vient rendre visite au vieil homme, qui demande comment vont ses bêtes. Le détective lui répond qu'elles vont bien car les hommes de Kurosaki, un yakuza qu'ils connaissent tous les 2, s'occupent de nourrir les chiens. En effet, pour le vieil homme, ses animaux est tout ce qui compte. Le privé dit de ne pas s’inquiéter, puis demande pourquoi Masashi l'a attaqué. Mais le vagabond répond que pour ce genre de personne, il n'y a pas de raison à ce qu'ils font. Par la suite, à cause de l'information qui a filtré dans les tabloïds, la jeune star est exposée, et doit s'excuser publiquement. Le vagabond n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
Volume 6
Au début des années 1990, une nouvelle loi antigang est adoptée, ce qui fait que Kurosaki choisit de dissoudre son clan pour protester. Peu après, à cause de mauvais investissements en bourse, le yakuza se retrouve ruiné et endetté, et est obligé de fuir. Il devient SDF et loge dans des cartons, installés dans une station de métro, en compagnie du vieux vagabond qui, lui, a emmené plusieurs des animaux dont il s'occupe, et qui a accueilli Kurosaki à bras ouverts. Un jour, Fukamachi vient donner de l'argent emprunté à sa propriétaire, la dentiste Sugimoto, au yakuza. Le vagabond en profite pour saluer le détective. Plus tard, Kurosaki parvient à reprendre les rennes de son clan, mais Sugimoto se marie avec l'inspecteur véreux Gotôda, ce qui fait que le privé se fait jeter de chez la dentiste. Il rencontre son jeune client dans le parc où se trouve le vagabond, qu'il salue au passage. Il lance même un paquet de cigarettes, qu'un petit chien vient récupérer avant de ramener au vieil homme. Par la suite, le yakuza décide de se marier avec la journaliste Ôtake Maho, et le vagabond fait partie des invités de la soirée. Durant celle-ci, un homme, grugé par Kurosaki, vient chercher à se venger de lui, mais le yakuza le met à terre d'un coup de pied en se pendant à un grand lustre, sous les applaudissements des invités. Ensuite, il commence un discours pour remercier tout le monde, mais le lustre se détache et tombe sur Kurosaki, le blessant mortellement. Après les funérailles, la veuve du yakuza remet certains objets de son mari à ses proches, dont le vagabond, celui-ci reçoit un livre, ce qui lui fait bien plaisir. Trouvant la tension stimulante dans le milieu des yakuzas, Ôtake Maho décide de reprendre le clan de son défunt mari et de le diriger en son souvenir. Puis, Sugimoto finit par divorcer de Gotôda, et en compagnie de Fukamachi, ils résolvent une affaire. Ils choisissent de fêter cela dans un bar, en présence notamment du vieil homme, qui a amené un chien, mais aussi de Gotôda et ses collègues Moriyama et Tôjô, d'Ôtake Maho, du Poisson Globe, un indic qui loue aussi des armes à feu, de l'ex-femme et de la fille du détective. A la fin d'une soirée bien arrosée, le privé prétend avoir vu Kurosaki à la télévision, mais les autres ne voient que de la friture. C'est la dernière apparition du vagabond.
- Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 30 - Un mot de la part d'Alex".
- Statut au volume 6 : Vivant.
Les vendeurs de nouilles
Volume 5
Il s'agit d'un couple et de leur fils qui tiennent une petite échoppe de nouilles en tant que locataires. A un certain moment, des promoteurs immobiliers tentent de racheter leur boutique, mais les parents refusent, malgré le fait que presque personne ne vient manger chez eux, dans leur ruine. Ils espèrent ainsi faire monter les prix et parvenir à 200 millions de yens, ce qui est complètement exagéré. De plus, ils s'absentent fréquemment, soi-disant pour cause de vacances. Mais un jour, au retour d'une de leurs vacances, ils constatent que leur maison a été rasée et qu'ils n'ont plus de toit où vivre. Le garçon a l'impression que c'est comme dans le manga "l’école emportée". Ils vont voir le terrassier, qui leur montre le bon de commande, qui spécifiait bien de détruire 3 maisons. Ne trouvant pas le responsable de cette catastrophe, les parents se tournent vers Jôtarô Fukamachi, un détective privé, avec leurs dernières économies. La mère se montre très triste que 15 ans de dur labeur soient ainsi parties en fumée, et les parents insistent pour que le détective les aide, surtout que c'est le flou avec les promoteurs. Le privé leur demande s'ils sont allés à la police, et l'homme lui dit que oui, la femme ajoutant que si la police était du côté des petites gens, cela se saurait. Le garçon, lui, regarde par la fenêtre. Fukamachi accepte à contrecoeur, tandis que la famille va s'installer à l’hôtel, envoyant toutes les factures de repas et de logement à l'agent immobilier Tajima, qui était en charge d'acheter leur échoppe pour le compte du promoteur immobilier. Autour d'un repas, le détective revient bredouille et pense que l'affaire ne lui convient pas. Mais les parents insistent, l'homme ajoutant qu'ils compte sur lui et qu'il ne doit pas hésiter à cogner. Pour la femme, il faut tout tenter, comme l'extorsion ou la mission suicide, appuyant sur son honneur de privé. Mais finalement, Tajima réussit à faire en sorte que le détective se retire contre une somme d'argent. L'agent immobilier a alors les mains libres pour faire tabasser le couple. Mais ceux-ci retrouvent le privé devant leur ancienne échoppe, et le traite de pourri, de vendu et de corrompu. Le garçon reste ensuite auprès de Fukamachi, assis sur un banc, et lui dit de ne pas trop s'en faire. Il dit que son père a poussé le bouchon trop loin, et qu'il a tout de même touché 100 millions de yens. Il trouve que ce que son père a fait n'est pas correct, mais que pour celui-ci, l'argent est le plus important. Le détective lui demande s'il le croit aussi, et le garçon répond qu'il n'en sait rien car il est encore trop petit. Le privé lui dit qu'un jour, il aura la réponse, puis tous les 2 se saluent et le garçon s'en va rejoindre ses parents. C'est la dernière apparition des vendeurs de nouilles dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 31 - La cité de la poisse".
- Statut au volume 6 : Supposé vivants.
Tajima
Volume 5
Il s'agit d'un agent immobilier dont l'un de ses clients, une société de promoteur immobilier, lui demande d'acheter plusieurs maisons à leur propriétaires afin de les raser et de construire un nouveau bâtiment. Tout se passe bien, à l'exception d'une échoppe de vendeurs de nouilles, dont les locataires cherchent à faire monter les prix pour accepter de partir. Ils exigent 200 millions de yens, alors qu'il n'y a presque personne dans leur taudis, et qu'ils s'absentent souvent en prétendant une "fermeture temporaire". Tajima est quand même prêt à payer 100 millions, mais les vendeurs de nouilles refusent. Après un an, à bout de nerfs, Tajima falsifie le bon de commande pour le terrassier, et lui demande de détruire 3 maisons au lieu de 2. Il prétend ensuite à une erreur, mais les vendeurs de nouilles finissent par envoyer un détective privé, Jôtarô Fukamachi, pour investiguer sur cette faute. Tajima accepte de lui montrer le bon de commande, où il est marqué de ne détruire que 2 maisons, et dit que c'est peut-être dû à une faute d'impression dans le fax. Pour lui, de toute façon, l'échoppe allait y passer aussi tôt ou tard. Il demande ensuite à Fukamachi s'il ne veut pas de riz cantonais, car ils ne livrent pas pour un seul plat. En mangeant, Tajima se dit qu'ils font un peu le même travail, à naviguer dans le gris, dans un monde ni blanc, ni noir. Pour se plaindre, le détective peut toujours aller voir la société de promoteur immobilier. Par la suite, Tajima reçoit les notes d'hôtel et de restaurants de la famille de vendeurs de nouilles, pour que Tajima les règle. Il va donc voir le privé et l'invite à monter dans la voiture. Fukamachi se demande s'il va se faire tabasser, et Tajima lui répond en le questionnant de sa voir si ça lui rapporte de faire le mariolle. Il emmène le détective sur les quais où il admet la vérité, tout en disant qu'il n'est pas un rapace. Mais si la famille continue à refuser les 100 millions, ils les envoie par le fond. Il se souvient que l'acteur de films de gangsters, Ihsihara Yujirô, aimait bien cet endroit. Il propose au privé de soit en découdre en duel, soit d'accepter de l'argent pour son silence et l'arrêt de son enquête. Fukamachi sort de la voiture et s'en va, et Tajima se dit étonné qu'il laisse même le pognon. Mais le détective revient, et prend l'argent avant de partir. Finalement, Tajima fait tabasser le père de famille après l'avoir payé 100 millions, afin qu'il s'arrête d'exiger l'impossible. On ne voit plus Tajima par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 31 - La cité de la poisse".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
Matsui
Volume 5
Ce yakuza est le chef d'un petit clan à son nom, qui possède ses bureaux dans un immeuble. Un jour, le tendôkai envoie une tête brûlée, qui commence à tirer sur la porte du bureau de Matsui. Cet homme finit par se tirer une balle dans le pied, à cause des ricochets, et il est arrêté par la police. Pour s'excuser, Matsui a offert aux résidents de l'immeuble du savon étranger et du saké. Mais par la suite, les habitants de l'immeuble commencent à se rassembler et à pourrir la vie des yakuzas. Un soir, alors que l'un de ses hommes rentre tranquillement à vélo, il reçoit de l'eau projetée par des citoyens et tombe à terre. Les inconnus le couvre ensuite d'un drap, avant de le ruer de coups de pieds, tandis que d'autres détruisent son vélo à coups de batte de base-ball. A l’entrée de l'immeuble, les habitants ont même mis des affichettes avec des invectives comme "mort aux yakuzas !". Un autre jour, en sortant de son bureau avec ses hommes, Matsui découvre sa chatte Minette pendue devant la porte. Matsui hurle au coupable de se montrer, le traitant de lâche, mais personne ne vient. Exaspéré, Matsui demande de l'aide à son ami Kurosaki, qui lui dit que l'opprobre fait partie du métier. Mais pour Matsui, la vindicte locale est fatale pour les gangs. C'est pour cette raison qu'ils arrose de dons les fêtes locales, et qu'ils évitent de faire du business dans le quartier. il trouve ces citoyens rangés vicieux, et ils sont assaillis d'appels. Les citoyens ont même construit une baraque, financée par la mairie, sur le parking pour surveiller l’accès au bâtiment. Matsui se sent traqué et envisage de porter plainte. Mais Kurosaki se doute que le tribunal sera du côté des habitants. Kurosaki demande alors l'avis de Jôtarô Fukamachi, un détective privé, qui parle de la déesse de la justice. Matsui est plutôt surpris par le bonhomme, mais Fukamachi accepte d’enquêter. Celui-ci découvre que le leader des citoyens, Satake, bosse en fait pour Sansei Asset Management, une société d'agents immobiliers, qui aimerait bâtir une tour de 20 étages sur le site du bâtiment actuel. Mais avec les yakuzas sur les lieux, il n'y aura pas de plus-value sur le terrain. Et donc l’idée d'avoir un appartement neuf gratuitement encourage les habitants. Furax, Matsui compte bien étriper Satake et s’apprête à y aller, mais il est stoppé par Kurosaki, qui veut l'emmener quelque part. Arrivés dans un hall sportif, Matsui aperçoit Satake et veut aller le trouver, mais Kurosaki l’arrête. Arrive alors le super-intendant Akagi, qui annonce que Matsui doit quitter les lieux, et que Sansei Immobilier accepte d'acheter leurs locaux à 20% au-dessus du prix du marché. Ils sont même prêts à les aider à trouver de nouveaux bureaux. Ainsi, tout le monde s'en sort gagnant. Dans le cas contraire, la police va leur mener la vie dure. Matsui se voit contraint à accepter, mais son homme, qui s’était fait tabasser, fonce sur Satake, et le frappe au visage. Kurosaki prévient que le prix vient de baisser de 10% pour ce coup de poing, et Matsui se demande dans quel monde ils vivent. Matsui n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 32 - La justice bat son plein".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
Minette
Volume 5
Minette est une chatte appartenant à Matsui, le chef d'un petit clan de yakuzas à son nom. Un jour, le tendôkai leur envoie une tête brûlée, une gâchette facile, qui vient tirer à la porte du clan Matsui et qui finit par se loger une balle dans le pied par accident de ricochets, et qui est emmené ensuite par la police. Cependant, après cet événement, les autres habitants du quartier commencent à se regrouper et à s'attaquer aux yakuzas de manière de plus en plus directe. Ils attrapent même minette et la tuent avant de la pendre devant la porte du clan Matsui avec des affichettes sur lesquelles sont marqués des invectives telles que "Halte aux gangs" ou "mort aux yakuzas". C'est tout ce que l'on apprendra sur minette dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 32 - La justice bat son plein".
- Statut au volume 6 : Tuée par des citoyens.
A suivre...
Cronos
votre commentaire -
Par cronoslegend le 10 Janvier 2018 à 14:45
Voilà la huitième suite de la liste des personnages de Trouble is my business. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Satake
Volume 5
Satake est un citoyen japonais qui travaille chez Sansei Asset Management. Un jour, il apprend de Sansei Immobilier, la branche immobilière de son groupe, qu'ils aimeraient bâtir une tour d'une vingtaine d’étages à l'emplacement de l'immeuble actuel dans lequel il vit, grâce à la fin des restrictions sur le bâti. La valeur du foncier a déjà doublé, mais un élément pourrait perturber la transaction. En effet, un clan de yakuzas se trouve aussi dans l'immeuble, et leur présence peut faire diminuer la plus-value sur le terrain. Hors, Satake a entendu parler d'une gâchette facile qui était venu tirer sur la porte du clan Matsui et qui s’était accidentellement tiré une balle dans le pied à cause des ricochets. Profitant de cet événement, Satake mobilise les habitants de l'immeuble pour faire croire que la présence des yakuzas est dangereuse, et qu'ils doivent partir. A l’entrée du bâtiment, ils placent des affichettes avec des messages menaçants, comme "mort aux yakuzas !". Ils agressent aussi un yakuza, en le ruant de coups et en cassant son vélo. Mais aussi, ils tuent la chatte de Matsui et la pendent devant la porte de son bureau. Ils ont aussi construit une baraque de contrôle, financée par la mairie, et surveillent l’accès à l'immeuble. Un jour, 2 journalistes viennent l'interviewer, et Satake dit ne pas tolérer les gangs, les estimant inutiles à la société japonaise. La journaliste lui répond alors que si le clan part, cela revient à refiler le problème à un autre quartier. Mais pour Satake, il suffirait de dissoudre le clan, et que ses membres retournent au pays pour aller pêcher ou cultiver les champs en se tenant tranquilles. Mais la femme trouve ces salades orientées. Vexé, Satake lui demande ce qu'elle fait des droits des concitoyens, qui ont peur à en perdre le sommeil. C'est alors qu'interviennent les inspecteurs Gotôda et Moriyama. Satake leur dit qu'il est occupé avec des journalistes cyniques, et Gotôda va les voir. Il revient vers Satake en disant qu'il leur a tiré les oreilles, et Satake le remercie. Par la suite, Satake continue de discuter avec les agents immobiliers de Sansei Immobilier, sans voir qu'il est épié par un détective privé. C'est alors que le super-intendant Akagi intervient auprès de Sansei et de Satake pour proposer un deal. Le groupe accepte de racheter les bureaux de Matsui à 20% au-dessus du prix du marché, et ils leur trouvent de nouveaux locaux, et la police les poussera à partir. Dans un hall sportif, ils finalisent l'accord, tandis qu'Akagi va convaincre Matsui, qui ne peut pas refuser. Mais alors que Satake s'en va avec les hommes de Sansei, l'un des hommes de Matsui fonce vers lui et lui met son poing dans la figure. Gotôda et Moriyama demandent à Satake s'il désire porter plainte, qui se doute qu'avec cette attaque, la valeur de rachat des bureaux de Matsui va chuter de 10%. C'est la dernière apparition de Satake dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 32 - La justice bat son plein".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
La serveuse
Volume 5
Lorsqu'elle avait 2 ans, c'est-à-dire le 31 mars 1970, le père de cette jeune demoiselle est parti de la maison familiale. Seize ans plus tard, sa mère décède d'un cancer, et depuis, c'est le patron et propriétaire d'un bar sur le port, l'Anchor, qui s'occupe d'elle. Elle travaille comme serveuse dans ce bar et n'a pas à s'en faire pour ses études, grâce au patron de l'Anchor. Deux ans après le décès de sa mère, la demoiselle voit arriver dans son bar Jôtarô Fukamachi, un détective privé, mais aussi une autre personne, Tamura Takayuki, qui prétend être le père de la jeune femme. Mais comme sa situation actuelle lui convient bien, la serveuse décide d'aller voir Fukamachi pour enquêter sur cet homme. Le détective se remet difficilement de sa cuite du soir précédent, et il écoute la demande de la jeune femme en se rasant. La serveuse dit qu'elle n'arrive pas à croire que cet homme est son père. Elle veut en savoir plus sur ses intentions, et si besoin, le convaincre d'aller voir ailleurs. Peu après, le privé revient et a appris que Tamura Takayuki était en fait un gangster, qui est parti à l’étranger après avoir pris le blâme d'une affaire de faux dollars, à la place de son supérieur de l’époque, Kôsaka. Maintenant, il essaie d'obtenir un dédommagement pour sa fille, auprès de son ancien clan, mais personne ne se souvient de lui. Pourtant, la serveuse se passe très bien de son père. Soudain, le Poisson-globe, un indic qui loue aussi des armes à feu, débarque dans le bar avec un bandage sur la tête, pour prévenir Fukamachi que Tamura Takayuki en a après Kurosaki, un cadre du clan. Le Poisson-Globe s'est fait assommé par Tamura Takayuki, qui lui a pris ensuite son arme. Finalement, ce dernier se fait neutraliser pas Kurosaki, qui l'envoie à l’étranger pour effectuer de basses besognes. La serveuse, quant à elle, continue son existence, et on ne la voit plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 33 - Dix-huit ans d'absence".
- Statut au volume 5 : Supposé vivante.
Tamura Takayuki
Volume 5
Takayuki est un ancien yakuza, qui appartenait apparemment au même clan que Kurosaki, mais avant l'arrivée de ce dernier. En 1970, il était l'un des sous-fifres de Kôsaka. Mais comme celui-ci allait se faire prendre pour avoir tenté d'écouler 10.000 dollars en faux billets, Takayuki a rédigé une lettre d'aveux qu'il a envoyé par la poste avant de filer à l'étranger, abandonnant au Japon sa femme et sa fille de 2 ans le 31 mars. Il revient seulement 18 ans plus tard, 2 ans après le décès de sa femme, et espère renouer des liens avec sa fille. Il va voir celle-ci dans le bar du port dans lequel elle travaille, "l'Anchor", et établit le contact. Les jours suivants, il va voir Kurosaki, et lui demande un dédommagement de 30 millions de yens pour s'être pris le blâme pour Kôsaka et avoir dû fuir en Asie du sud-est. Il veut en faire profiter sa fille. Hors, personne ne se souvient de lui et il n'apparaît pas dans les données du clan. De plus, aucun cadre de l'époque n'est encore là. Du coup, Kurosaki refuse. Takayuki appelle alors le Poisson Globe, un indic qui loue aussi des armes à feu. Celui-ci demande 50.000 par jour, plus les consommables, mais il exige de payer d'avance. Takayuki propose de payer le double quand il aura reçu l'argent de Kurosaki, Mais le Poisson Globe refuse. Takayuki se saisit alors d'une brique qui traîne, et assomme l'indic pour pouvoir prendre le flingue. Dans la rue, il menace Kurosaki, qui ne se souvient toujours pas de lui, même quand Takayuki tire aux pieds du yakuza. Celui-ci fait semblant d'avoir vu une connaissance pour distraire Takayuki, et en profite pour le désarmer et lui mettre un coup de genou dans l'estomac. Une fois à terre, Kurosaki appelle ses hommes pour emmener Takayuki. Celui-ci va être envoyé en Amérique latine pour servir aux basses besognes d'un gang en relation avec Kurosaki, sans avoir la possibilité de remettre un jour les pieds au Japon. C'est la dernière apparition de Takayuki dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 33 - Dix-huit ans d'absence".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
Kimitsu Kôzô
Volume 5
Il s'agit d'un homme politique puissant du parti conservateur, surnommé le faucon. Celui-ci est à la base un yakuza, et ses anciens collègues évitent de s'y frotter. C'est un personnage qui peut s'avérer colérique, mais qui a aussi un penchant pour le travestissement. Hors, lors d'un bal déguisé privé, le photographe d'un tabloïd l'a pris en photo en se mêlant parmi les invités. Ce photographe suivait le cas Kimitsu depuis longtemps et exige de voir les données sur la corruption instituée, sinon il publiera les photos. Kimitsu a donc fait pression sur l'éditeur, qui a pris peur, mais pas le photographe, qui est prêt à imprimer les photos sur des tracs et à les distribuer dans la rue. Kimitsu essaie donc la force pour retrouver les négatifs, sans succès. C'est alors que le secrétaire de Kimitsu mandate un avocat pour récupérer ces négatifs. Celui-ci engage un détective privé, Jôtarô Fukamachi, qui, après quelques tentatives infructueuses, parvient à récupérer les négatifs. On ne voit plus Kimitsu par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 34 - Châtiments à ma guise".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
Ikebe
Volume 5
ce photographe pour un tabloïd poursuit Kôzô Kimitsu, le faucon du parti conservateur, pour essayer d'obtenir les données sur la corruption instituée. Un jour, alors qu'il le suit dans un bal masque privé, il réussit à faire des photos de Kimitsu en travesti. Du coup, il vient le voir à l'assemblée, le menaçant de publier les photos. Mais Kimitsu fait pression sur l'éditeur, qui prend peur et refuse d'imprimer les photos. Mais Ikebe ne lâche pas le morceau et est même prêt à imprimer les photos sur des tracs qu'il distribuera dans la rue. Puisque c'est ainsi, Kimitsu envoie des hommes chez le photographe, qui pénètrent chez lui, le mettent à terre d'un coup de poing dans l'estomac, puis mettent à sac son studio pour tenter de retrouver les négatifs, tandis que l'un des hommes tabasse Ikebe. Cependant, celui-ci ne se laisse pas intimider et les négatifs sont introuvables. Un jour, alors qu'il s'apprête à prendre le train, un homme interpelle le photographe pour discuter. Sur la défense, Ikebe lui envoie son sac dans la figure avant de pénétrer dans le train. Plus tard, devant sa maison d'édition, Ikebe retrouve le même homme. Celui-ci dit qu'il ne veut pas lui faire de mal et veut seulement lui parler. Mais le photographe estime que cet homme veut museler la presse, et appelle les autres en disant qu'un gangster veut les attaquer. Les autres journalistes arrosent l'homme avec un tuyau d'incendie, puis le rouent de coups de pied, celui-ci ne pouvant s'en aller qu'avec l'arrivée de la police. Le soir, Ikebe sort de chez lui et va dans le port où vont fréquemment des bikers. Il met de l'huile sur le sol puis, peu après, il photographie les motards en train de faire des chutes. Le lendemain, l'inconnu revient à la charge, et Ikebe essaie de lui échapper en courant. Mais l'homme le rattrape et le fait chuter avec un croche-pied. Il l'emmène dans un bar, et lui montre des photos d'Ikebe en train de verser de l'huile sur la route, avant le passage des motards. Mais le photographe estime que ce sont des rebus de la société. Mais l'homme, qui est détective privé, dit que c'est cette société qui les a créé, et que sa grand-mère disait de se méfier d'une justice qui ne s'applique qu'aux autres. Il veut les photos de Kimitsu, et Ikebe trouve qu'il utilise des sales méthodes. Mais pour le détective, cela est aussi le cas des méthodes du photographe. Il estime que se travestir relève de la vie privée, même si c'est risible. Ikebe répond que c'est un politicard et un faucon, mais pour le privé, du moment qu'il fasse son boulot, ses hobbies sont peu importants. Il n'en est pas fan, mais ceux qui croient détenir la justice, il les aime encore moins. Le photographe sait qu'il n'a pas le choix, et le détective lui dit de se placer devant les étagères à bouteilles. Après l'avoir placé, il lui fonce dessus et le frappe au visage, Ikebe étant projeté contre les bouteilles, qui se brisent. Le privé dit que la boîte d'Ikebe paiera les dégâts, et il estime qu'ils sont maintenant quittes. Ikebe n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 34 - Châtiments à ma guise".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
Le client
Volume 5
Cet homme est un simple employé qui habite dans les hauteurs de Yamate et qui passe souvent par un parc pour aller dans le métro. Dans ce parc, il a fait la connaissance d'un SDF qui aime s'occuper de plusieurs animaux errants, dont des chiens. Un jour, il voit que ce vieil homme a disparu, et interroge les passants pour essayer de savoir ce qui lui est arrivé. C'est finalement une vieille dame qui se promener à l'aube qui lui apprend que le sans-abri a été tabassé par un jeune chanteur populaire, Shindô Masashi, alors que le vieil homme n'avait rien fait. Le chanteur avait juste envie de se défouler sur un faible, alors que le SDF demandait à ses chiens de rester calmes pour éviter qu'ils ne trucident l'autre imbécile. Révolté, l'employé demande à Jôtarô Fukamachi, détective privé, de le suivre de près pendant une semaine. Celui-ci demande la raison de cette enquête, et le client aimerait savoir si ce n'est pas sa spécialité ce genre d'affaire. Mais Fukamachi répond que ça lui va tant qu'on le paie, mais ne voit pas l'intérêt de suivre cet abruti. L'homme devrait plutôt adhérer à son fan-club. Le client explique qu'il veut voir Shindô Masashi ivre, et le détective pense que son client est de la presse à scandale; L'homme répond qu'il n'est pas tombé aussi bas, et donne un téléphone portatif, disant qu'il est disponible jour et nuit. Le privé accepte l'enquête et apprend plus tard que le chanteur a causé un accident dans un fort état d'ébriété, mais qu'il a rejeté la faute sur un ami, prétendant avoir juste prêté la voiture. Fukamachi et son client se retrouvent dans un restaurant où mange Shindô Masashi, et le détective dit être dégoûté par le comportement du chanteur, et pense que son client est dans le showbiz. Mais alors que l'abruti passe juste derrière eux, l'homme lui fait un croche-pied, puis le rue de coups à terre. Mais les amis du chanteur arrivent, et c'est rapidement le client qui est rué de coups, le privé prenant un coup en voulant intervenir. Quelques temps plus tard, Fukamachi retrouve son client dans le parc, alors qu'il a déjà été payé. Alors qu'il se met à neiger en plein avril, le détective explique avoir tout compris. Le client dit s'être emporté, et que le résultat a été pitoyable. Le privé lui demande s'il compte s'arrêter là, mais l'homme ne sait pas quoi faire d'autre. Fukamachi téléphone à un journaliste de presse à scandale, et une confrontation a lieu entre l'homme et le chanteur, dont la carrière chute avec les révélations. Une journaliste interroge l'employé sur son ressentiment, et celui-ci à difficile à le décrire, ne se sentant pas tout à fait satisfait. C'est sa dernière apparition dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 35 - Ultramoderne solitude".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
Shindô Masashi
Volume 5
Il s'agit d'un jeune chanteur à succès, surtout auprès des adolescentes. Mais c'est aussi quelqu'un de porté sur l'alcool et de violent, surtout après avoir bu. Et un soir, après s'être fait largué par une jeune stripteaseuse écervelée, Masashi est passé ivre mort dans un parc où il a aperçu un vagabond qui traînait là avec les animaux, des chiens et des chats, dont il s'occupe. Du coup, de mauvaise humeur, Masashi s'est attaqué à ce vieil homme et a commencé à le tabasser, le ruant de coups de pieds de façon tout-à-fait gratuite. Par la suite, il continue à apparaître dans des shows télévisés, et une autre fois, après avoir passé du bon temps dans une boîte de striptease, il décide de rentrer à l'aube chez lui en voiture avec une jeune femme, malgré l'alcool. Il ne fait même pas 500 mètres qu'il s'encastre dans une boutique ou un restaurant. Devant les médias, lors d'une conférence de presse, il prétend pourtant que c'était quelqu'un d'autre qui conduisait sa voiture, un ami ivre à qui il aurait passé ses clés. Il fait cela surtout car sa carrière décolle, et qu'il veut jouer dans des films étrangers et remporter des rallyes automobiles. Un soir, alors qu'il fait la fête dans un restaurant avec des amis, Masashi se dirige vers les toilettes mais chute à terre à cause d'un croche-pied. Un inconnu commence alors à le ruer de coups de pieds alors qu'il est à terre, mais les amis du chanteur interviennent. Quelqu'un veut intervenir, mais il est vite écarter, et Masashi commence à se venger de l'inconnu, jusqu'à ce que ses amis l'arrête, car ils ne risquent pas de s'en sortir avec un pantin cette fois-ci. Peu après, les médias apprennent que Masashi avait tabassé le vieux dans le parc, et c'est l'inconnu justement qui l'accuse en direct lors d'une confrontation. Du coup, le chanteur voit sa carrière lui exploser en pleine figure, et il est obligé de s'excuser publiquement pour son comportement, tandis que la police ouvre une enquête pour coups et blessures. On ne voit plus Masashi par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 35 - Ultramoderne solitude".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
Ueda
Volume 5
Ueda est un journaliste d'un tabloïd. Il travaille à la deuxième section des actualités. Un jour, il reçoit un appel de Jôtarô Fukamachi, un détective privé qu'il connaît bien. Il lui dit que cela fait longtemps. Fukamachi lui demande s'ils sont redevable à la production de Shindô Masahi, un jeune chanteur assez populaire pour le moment. Ueda lui répond que la section showbiz leur en doit une, mais pas eux. Et pour eux, une actu, même bien pourrie, reste une actu. Le détective lui apprend alors qu'après une soirée bien arrosée, et après s'être fait largué par une jeune stripteaseuse, Masashi aurait tabassé un vieux sans-abri sans défense dans un parc, l'envoyant à l'hôpital. Un homme aurait appris cela et serait prêt à témoigner. Pour Ueda, c'est un sacré scoop et il n'y voit aucun problème, tant que cela fait de l'audience. Et puis, ce n'est pas du chiqué. Il suggère une confrontation, et cela lui donne des frissons. Pour lui, une petite revanche justicière de temps en temps, cela fait du bien pour le moral. Il est donc preneur et veut rencontrer le témoin, qui fera un face-à-face avec Masashi en direct. Ueda pense que cela renverra le jeunot dans des rôles de figurant. C'est d'ailleurs ce qu'il semble se passer, mais Ueda n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 35 - Ultramoderne solitude".
- Statut au volume 6 : Supposé vivant.
Les 2 arnaqueurs
Volume 5
Ce duo s'installe dans un immeuble vide, destiné à la démolition, et pour avoir du courant, ils le piquent sur la ligne d’à côté. Ensuite, ils s'emparent de la disquette de l'agence matrimoniale Hyper Select. En effectuant un enlèvement, ils comptent demander une rançon aux proches, et recherchent des femmes ayant un certain capital. Ils tombent d'abord sur une jeune femme avec un joli minois, mais ils constatent qu'elle est aide-ménagère, et qu'elle est dans un logement en location avec ses parents, ses grands-parents et son frère cadet. Ils tombent ensuite sur une femme très mince, qui sort de l’université Feris, et dont la famille gère un bureau de tabac. Pour l'un des escrocs, ce qui compte, ce sont les chiffres, et pour son complice, le classement des universités, c'est aussi un chiffre. Mais le premier préfère le nombre d'immeuble en propriété, avec des locataires. Ils arrivent alors sur la fiche de Sugimoto, une dentiste qui est propriétaire de 5 biens. Les 2 arnaqueurs sont étonnés de ces chiffres impressionnants, et comprennent que la vie n'est pas une question de faciès. C'est donc à la sortie d'une rencontre arrangée pour Sugimoto que les 2 escrocs l'embarquent dans leur voiture, celui sans lunettes trouvant qu'elle pèse une tonne. Une fois dans la voiture, celui-ci dit qu'elle doit faire au moins 70 kg, et pas 62, comme sur sa fiche. La dentiste lui dit de surveiller sa langue et lui tord le bras. L'homme dit que ce n'est qu'une grosse truie, et Sugimoto lui fait une pichenette sur le nez. Le complice trouve que cette vieille a la pêche, et la dentiste commence à l’étrangler, alors que l'arnaqueur est au volant. La voiture part à la dérive, mais grâce aux réflexes de Sugimoto, ils évitent l'accident. Les 2 compères emmènent ensuite la dentiste dans leur planque, et lui expliquent quelle était leur intention. Ils racontent aussi qu'ils faisaient de la cotation boursière en externe, mais qu'ils ont subi de grosses pertes, et qu'ils ont été virés et visés par une plainte. Ils suggèrent donc à Sugimoto de rentrer chez elle, mais celle-ci trouve leur combine amusante, et décide d'embarquer dans l'aventure pour la changer du stress habituel. Ils téléphonent donc à Jôtarô Fukamachi, un détective privé qui loue une chambre chez la dentiste, et font croire à un enlèvement. Les 2 complices veulent demander 100 millions de yens, mais Sugimoto exige 1 milliard. Les 2 arnaqueurs appellent ensuite Gotôda et Moriyama, 2 ripoux, mais l'arnaqueur sans lunettes ne sait pas lire ce qu'a écrit la dentiste, et celle-ci est obligée de reprendre le téléphone. Plus tard, Fukamachi arrive avec une mallette, mais il déclare n'avoir pu réunir que 100 millions. L'homme avec ses lunettes s’apprête à utiliser une arme à feu, mais devant son hésitation, Sugimoto se saisit de l'arme, et tire en direction du détective. Les 2 flics, accompagnés d'un autre collègue, se mettent aussi à tirer pour essayer d'obtenir l'argent, et le privé riposte avec une arme automatique. La fusillade effraie les 2 complices qui s'imaginent mourir. Soudain, la mallette tombe au milieu de la salle et s'ouvre, montrant l’intérieur qui est complètement vide. Mais la fusillade reprend, et Fukamachi finit par tirer sur une roquette, qui explose et détruit une partie du bâtiment. Les 2 arnaqueurs veulent fuir loin de la folle dentiste, mais le Poisson Globe, celui qui louait les armes à tous les autres, réclame son paiement. Hors, personne n'a de quoi le payer et les 2 complices peuvent partir. C'est leur dernière apparition dans ce tome.
- Première apparition : Volume 5, dans le chapitre intitulé "Chapitre 36 - L'important dans la vie...".
- Statut au volume 6 : Supposé vivants.
A suivre dans le prochain article.
Cronos
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