• Trouble is my business : Personnages (7)

    Voilà la sixième suite de la liste des personnages de Trouble is my business. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Le père de famille

    Volume 4

    Cet homme d'une quarantaine d’années était un mari et le père d'une fille. Mais un jour, le conducteur d'un camion-citerne s'est endormi au volant et a provoqué un accident dans lequel la voiture de la femme et la fille de cet homme a été impliqué. Après le crash, les 2 femmes respiraient apparemment encore, mais une explosion a eu lieu. Les 2 femmes ont été brûlées vives. Mais le plus grave pour ce père de famille, c'est qu'un photographe d'un magazine à scandales, qui était dans le coin, a commencé à mitrailler avec son appareil, et que les photos des 2 corps en train de brûler ont été publiées comme un scoop, avec l'une des images en double page. Du coup, le père de famille a commencé à ressentir des pulsions meurtrières, bien plus envers le reporteur et l’éditeur du tabloïd qu'envers le chauffeur du camion. Un jour de pluie, alors qu'il s'abrite devant les volets fermes d'un magasin, un homme vient s'abriter avec lui, complètement trempé. Celui-ci trouve que tout est gris, tout comme le visage du père de famille et sans doute son moral. Les 2 hommes prennent le même métro, et l'inconnu dit qu'il croyait les têtes d'enterrement disparues, tandis que le père de famille regarde le titre du même tabloïd, qui évoque le suicide d'une starlette, avec la photo de son cadavre. Le père de famille apprend que cet homme est un détective privé, Jôtarô Fukamachi. Un autre jour, le père de famille appelle le détective, et sur le bord d'un terrain de base-ball où des enfants s'amusent, il explique que durant 40 ans, il a cru que les envies de meurtres n'existaient pas. Il raconte alors ce qui est arrivé à sa femme et sa fille. Puis, l'homme emmène le privé chez lui, et lui montre une cassette vidéo dans laquelle l’éditeur se justifie en disant que le monde regorge de morts et que c'est la réalité qu'il reflète dans son magazine. Il estime que les gens ont le droit de voir ces photos, et que si on ne veut pas les voir, il suffit de ne pas acheter le magazine. Et si on le traite d'abject, ses 2 millions de lecteurs le sont alors aussi. Pour le père de famille, ce sont des salades. Il se sent abject et veut une vengeance en trouvant un scandale dans l'entourage de l’éditeur. Après enquête, Fukamachi parvient à obtenir l'aide de la fille de l’éditeur. Celle-ci monte au sommet d'un building et menace de sauter. Les connaissances du détective et des anonymes s'amassent en bas de l'immeuble, beaucoup ayant des appareils photo ou des cameras pour filmer la scène. L’éditeur essaie de s'y opposer mais il se fait maîtriser. La fille finit par sauter mais elle a un parachute et atterrit en douceur. Le père de famille se sent un peu mieux puis finit par démissionner et disparaît un peu plus tard. Quant à l’éditeur, après avoir arrêté un moment ses publications morbides, il a recommencé. C'est la dernière apparition du père de famille dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 25 - L'arrogance des vivants".
    • Statut au volume 4 : Vivant.

    Okamoto Yukiko

    Volume 4

    Yukiko est une jeune starlette qui semble mal vivre sa célébrité, tout comme de nombreuses semblables. En effet, comme plusieurs filles avant elle, Yukiko choisit de se suicider. D'après l'image qui est montrée, elle s'est jetée depuis le haut d'un immeuble et sa tête a heurté le sol, la tuant sur le coup. En plus de ce décès malheureux, un tabloïd peu scrupuleux décide de publier en grand dans leur torchon une photo du cadavre de Yukiko, sur le sol ensanglanté. C'est tout ce que l'on apprendra sur Yukiko dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 25 - L'arrogance des vivants".
    • Statut au volume 4 : Décédée par suicide.

    Mr Yajima

    Volume 4

    Il s'agit de l’éditeur d'un magazine à scandales intitulé "Saturday photo". Alors qu'au début, les photos publiées étaient sobres, Yajima a ensuite commencé à publier des photos de cadavres et de morts en tous genres, ce qui ne lui vaut pas que des admirateurs. Un jour, un journaliste vient l'interviewer et le filmer. Dans la vidéo, il admet sans détour publier ces photos de dépouilles mortelles, notamment d'un accident de la JAL, d'une éruption en Colombie, de suicides, notamment de jeunes starlettes, ou d’accidentés de la route. Yajima se défend en disant que le monde regorge de morts et qu'il ne fait que refléter cette réalité dans son tabloïd. Et il publie ces photos parce qu'il veut voir ces morts. Il estime donc que ses lecteurs ont le droit de les voir aussi. Le journaliste lui demande si les gens n'ont pas aussi le droit de ne pas les voir, et l’éditeur répond que si ces personnes ne veulent pas les voir, ils n'ont qu'à ne pas acheter son magazine. Il ajoute que pourtant, celui-ci se vend à 2 millions d'exemplaires chaque semaine. Il pense donc que si le journaliste le trouve abject, alors les 5 millions de lecteurs de ce type de presse le sont aussi. L'interview s’arrête là, et on apprend aussi que Yajima a publié notamment la photo d'une voiture en feu, après un accident avec un camion-citerne, et dont les passagères, une mère et sa fille, étaient encore vivantes juste après le carambolage, la photo montrant les 2 femmes en train de brûler. Quelques temps plus tard, Yajima apprend que sa fille Midori veut se suicider en sautant du haut d'un immeuble. Yajima se rend sur place, et constate que pas mal de personnes se sont rassemblées pour photographier ou filmer la scène. Un homme s'approche de Yajima pour avoir un commentaire et savoir comment il se sent, mais Yajima aimerait savoir où est la police. Deux inspecteurs sont présents, et Yajima leur demande d’arrêter sa fille. Mais les 2 flics disent ne pas pouvoir stopper quelqu'un qui veut se suicider. L'homme avec le micro veut que le cadavre soit bien photographié avec la cervelle éclatée. Yajima s’énerve car ils se réjouissent du malheur des autres, et l'homme ne s'en cache pas. Il se dit être juste un humain abject amateur de dépouilles. Il demande à un cameraman de bien filmer le visage de Yajima quand la fille sautera. L’éditeur, furieux, veut s'en prendre à cet homme, mais celui-ci lui met un coup de genou de l'estomac, ce qui met Yajima à terre. Midori saute mais rapidement, elle déploie un parachute, sous le regard médusé de son père. Celui-ci arrête durant quelques jours de publier des photos de cadavres, mais reprend aussitôt, n'ayant pas retenu la leçon. On ne voit plus Yajima par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 25 - L'arrogance des vivants".
    • Statut au volume 4 : Vivant.

    Midori Yajima

    Volume 4

    Midori est la fille rebelle d'un éditeur de tabloïd. Ce dernier publie dans son magazine, "Saturday photo", des images de cadavres sur le lieu d'accidents ou bien encore de suicide, ce qui choque une partie de la population. Midori, elle, est une adolescente qui, un soir, part seule pour fumer des cigarettes et boire des verres calmement. Une fois qu'elle en a assez, elle quitte le bar pour aller se promener. Mais elle remarque qu'elle est suivie et se dirige vers un parc. Là, elle monte sur le haut d'une muraille et fait semblant de commencer à perdre l’équilibre. L'homme qui la suit se précipite alors pour la rattraper et finit par se cogner la tête contre une barre de fer. Alors que cet inconnu se rafraîchit à une petite fontaine, il dit à Midori qu'il est un peu tôt pour mourir. Mais l'adolescente répond que c’était pour le tester, car elle l'a pris pour un satyre. Mais l'homme est un détective privé, Jôtarô Fukamachi. La fille l'a repéré depuis le bar et a eu un grand trip. Elle demande alors pourquoi avoir pris un appareil photo, supposant que c'est pour des clichés compromettants pour faire chanter son père. En allant chez un vendeur de hot-dogs, le détective explique que c'est un père de famille qui l'a engagé. Sa femme et sa fille sont mortes dans un accident de la circulation, et un photographe du père de Midori a mitraillé les 2 femmes en train de brûler vivantes dans leur voiture accidentée, pour en publier une photo en double page de son magazine. Du coup, le père de famille cherche à donner une leçon à Yajima. Mais pour Midori, quelques photos compromettantes ne feront rien à son vieux. Elle décide alors de faire le grand saut, avec l'aide du privé. Et si celui-ci refuse, elle portera plainte pour agression caractérisée, montrant sa détermination en déchirant son chemisier. Elle dit qu'il faudra prévenir tous les paparazzis, ainsi que son père. Quelques temps plus tard, Midori se trouve en haut d'un immeuble, menaçant de sauter, alors que Fukamachi se trouve au pied du bâtiment avec plusieurs de ses connaissances munies d'appareils photo et de cameras. Peu après l’arrivée de son père, l'adolescente saute et ouvre son parachute. Elle atterrit ensuite, ravie de son saut. Par la suite, son père arrête seulement durant quelques jours de publier des photos morbides, avant de recommencer. Elle en informe le détective puis demande des nouvelles de son client. L'action de Midori aurait fait du bien à cet homme, qui a ensuite démissionné et a disparu. Midori n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 25 - L'arrogance des vivants".
    • Statut au volume 4 : Vivante.

    Nakata

    Volume 4

    Nakata est un yakuza environ du même age que Kurosaki, qui a passé 7 ans et 8 mois soit à l’étranger, soit en prison, après avoir poignardé un autre gangster. A son retour au Japon, il se sent nostalgique et trouve que tout a changé. Une fois son taxi arrivé à destination, il puise dans sa solde du détenu pour payer son taxi, et dit au chauffeur de garder la monnaie. Peu après, alors qu'il fume dans la rue, Nakata aperçoit le petit frère de celui qu'il a tué, entouré de ses camarades. Il les regarde avec insistance, et le groupe le voit et se sent provoqué. Nakata est emmené dans une ruelle, et la, Nakata se déchaîne contre les copains du yakuza. Une fois qu'il ne reste que le frère, Nakata lui demande s'il se souvient de lui, mais l'homme ne rép0nd pas. Nakata le frappe alors au visage puis fracasse sa tête à plusieurs reprises contre le mur avant de partir. Plus tard, alors qu'il retrouve Kurosaki dans un café, Nakata est présenté à un détective privé, Jôtarô Fukamachi. Alors que Nakata se fait servir un verre, Kurosaki lui conseille de d'abord prendre du bon temps et de se réhabituer à la société. Mais Nakata a l'impression que personne ne se souvient de lui. Kurosaki le rassure en disant que ça ne les travaille pas autant qu'il le croit. Il demande ensuite si Nakata a revu sa femme Minako, à qui il a envoyé de l'argent régulièrement. Nakata répond qu'il est au courant. Par la suite, Nakata retrouve un autre yakuza dans une voiture, mais celui-ci ne veut pas prendre part à ce que Nakata s’apprête à faire, estimant qu'il n'est pas si important que cela. Nakata se dit que c'est la même chose pour Kurosaki. Il y a 8 ans, il n'avait rien de plus que lui, et maintenant, il joue les caïd. L'homme lui dit que Kurosaki est redoutable en affaires, et Nakata lui rétorque que ce n'est pas le concours de l’employé du mois d’être une crapule. L'homme lui rappelle alors qu'il a reçu de l'argent et un appartement, mais pour Nakata, ce n'est pas le problème, Pour l'homme, Nakata est comme un employé coupé du fonctionnement de la boîte, et il sort de la voiture. Nakata s'en va et voit voir sa femme et sa fille dans le hall d'un grand hôtel, avant d'utiliser sa voiture pour attaquer celle du frère de celui qu'il a poignardé. Il provoque un accident, puis vient récupérer la valise de ce frère. Mais l'homme ne veut pas la lâcher et Nakata lui taillade la pommette avec un couteau. Nakata lui demande s'il ne se souvient toujours pas, et l'homme dit se rappeler. Nakata lui demande ensuite pourquoi ne pas avoir essayé de le chercher. L'homme répond qu'il n'a pas que cela à faire. Enervé, Nakata s'empare de la valise, contenant de la drogue, et par la suite, il l’éparpille à sa guise. Un peu plus tard, alors qu'il veut acheter des fleurs, le jeune vendeur sort un flingue et abat Nakata de 6 coups, celui-ci ayant été balancé par Kurosaki qui ne peut tolérer cette attaque pour de la drogue.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 26 - La qualité première d'une crapule".
    • Statut au volume 4 : Tué de plusieurs balles par un jeune homme.

    Minako

    Volume 4

    Il s'agit de la femme de Nakata, un yakuza du clan de Kurosaki. Selon ce dernier, Nakata revient d'une longue mission à l’étranger, mais il ne serait pas étonnant que Nakata ait fait de la prison pour avoir poignardé quelqu'un. En tout cas, pendant cette période, Kurosaki a envoyé de l'argent régulièrement à Minako et sa fille pour qu'elles ne manquent de rien. Enfin de retour, Nakata se rend dans le hall d'un hôtel où se trouvent Minako et leur fille. Ces 2 dernières sont un étage plus haut et observent Nakata, qui ne semble pas aller les voir. De plus, Minako et sa fille ne semblent pas très heureuses. Par la suite, Nakata se fait assassiner, et on ne sait pas ce que deviennent Minako et sa fille. On ne voit plus Minako par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 26 - La qualité première d'une crapule".
    • Statut au volume 4 : Vivante.

    Kimiko Imamura

    Volume 4

    Cette dame est probablement la femme du PDG de Imamura décoration. C'est elle qui influence les décisions de la société. Un jour, un homme fait appel à elle car il aimerait collaborer avec elle pour la décoration d'un bâtiment. En compagnie de cet homme d'affaires, et d'un autre homme venu l'accompagner, Kimiko visite donc le bâtiment qui ne possède pour l'instant que les murs bruts. L'homme lui demande de faire attention où elle met les pieds, et lui explique que ce n'est pas à cause d'un problème de disponibilité de fonds, mais qu'il a des divergences avec le décorateur actuel. En effet, la vision de celui-ci se résume au "tout fonctionnel" dans un style nord-américain, alors que l'homme d'affaires tient à une patte "fin de siècle", ou une ambiance proustienne. Cela réduirait les marges puisqu'il n'y a pas moyens de jouer sur les matériaux. Kimiko comprend que presque tout devrait être importer. Le trio passe devant un ouvrier qui travaille, puis arrive à la voiture. L'homme d'affaires sait que c'est Kimiko qui détient le pouvoir dans sa société, et il est bien conscient des efforts qui ont été nécessaires. De plus, les résultats et sa réputation parlent pour Kimiko. Plus tard, dans la circulation, Kimiko annonce que le projet l’intéresse, mais l'homme la prévient qu'il n'y a pas de gros bénéfices à en attendre. Pourtant, Kimiko sait que si on le conçoit sur la base d'un cofinancement, l'homme sera perdant. Pour celui-ci, le bonheur de collaborer avec une femme aussi belle et avec les mêmes goûts passe avant les bénéfices. Il ajoute qu'il le pense très sincèrement. Envoutée, Kimiko pose sa tête contre le bras de l'homme d'affaires. Mais cet homme est en réalité un escroc, accompagné d'un détective privé à qui il veut demander une faveur pour son business. Kimiko n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 27 - Un boulot peinard".
    • Statut au volume 4 : Vivante.

    L'agent Tôjô

    Volume 4

    Tôjô est un motard de la police de Tokyo, qui est un ripoux tout comme Gotôda et Moriyama. En fait, Tôjô fait aussi des prêts usuriers et se montre inflexible. Un jour c'est Moriyama lui-même qui vient prendre de l'argent chez Tôjô. C'est surtout la bourgeoise de Moriyama qui a des goûts de luxe et qui exige de son mari toujours plus d'argent. Du coup, quand Moriyama ne paie pas Tôjô, et que celui-ci aperçoit le ripoux avec son collègue Gotôda dans leur voiture de patrouille, le motard les prend en chasse en utilisant sa sirène. Mais en voyant Tôjô, Moriyama accélère. Une course-poursuite s'engage, qui se termine sur les quais, où Moriyama se retrouve coincé. Tôjô le tire hors de la voiture et commence à le frapper, puis à lui donner des coups de pied dans l'estomac une fois Moriyama à terre. Le motard lui rappelle qu'il n'est pas aussi tendre que les autres truands. Finalement, un usurier met l'appartement acheté par Moriyama en vente, ne pouvant pas se sucrer au passage car Gotôda a trouvé des tuyaux sur lui à la quatrième section. Moriyama en obtient donc un bon prix. Ensuite, un escroc poussé par Gotôda séduit la mégère de Moriyama et finit par l'abandonner dans un cabaret de Nakasu, dans les quartiers chauds de Hakata. Quant aux dettes de Moriyama, c'est Tôjô qui se charge de les régler pour devenir son seul créancier. En échange, il peut participer aux petits business des 2 vipères. Finalement, les 3 ripoux se retrouvent dans un club en compagnie de filles en petites tenues, et avec de l'alcool à flots. Une autre fois, Tôjô retrouve dans la rue Jôtarô Fukamachi, un détective privé qui connaît bien Gotôda et Moriyama, et qui avait aidé ce dernier à régler ses problèmes de dettes. Mais Fukamachi ne veut pas lui parler, même si le motard lui fait un bon taux. Pourtant, le détective préfère braquer une banque plutôt que d'emprunter de l'argent à Tôjô. Celui-ci évoque le fait qu'il a appris que le privé faisait dans les chiens perdus, et que le boulot des détectives, ce n'est plus ce que c’était. Fukamachi lui rétorque de la fermer, et le motard lui dit qu'il peut passer chez lui quand il veut, avant de le saluer et de s'en aller. C'est la dernière apparition de Tôjô dans ce tome.

    Volume 5

    Un soir, Tôjô se trouve au bar "los lindos", où se rend régulièrement Fukamachi. Celui-ci est présent lui aussi, ainsi que les 2 vipères Gotôda et Moriyama. Le détective se plaint de sa paternité et regrette d'avoir eu un enfant. Il est complètement bourré, et Moriyama se demande ce qu'il a. Pour le motard, sa fille ou son ex ont dû être méchantes avec lui. Moriyama se dit qu'ils devraient peut-être appeler les flics, mais Tôjô lui rappelle que c'est eux la police. Plus tard, dans un restaurant, le privé pleure sur les genoux de Gotôda. Moriyama dit que son collègue adore ces moments, et le motard se demande s'il y a des affinités entre les squales et les crotales. Mais Fukamachi finit par vomir sur les genoux de Gotôda. Une autre fois, Tôjô apprend que la dentiste Sugimoto aurait été enlevée, et que la rançon de 1 milliard réclamée par les ravisseurs doit être livrée par le détective. Le motard va retrouver les 2 autres ripoux qui sont déjà partis dans leur voiture de patrouille et ils les rattrape. Il leur reproche de ne pas partager les tuyaux, alors qu'il aime autant l'argent que la justice sociale. Gotôda lui répond qu'ils pensaient l'appeler, mais Tôjô a remarqué les armes que ses collègues ont déjà sur leur banquette arrière, sorties en douce du dépôt. Une fois dans le bâtiment abandonné pour la remise de la rançon, ils apprennent que le privé n'a pu récolter que 100 millions. Ils décident néanmoins d'attaquer Fukamachi pour récupérer la rançon, et une fusillade s'engage, notamment avec Sugimoto, complice des soi-disant ravisseurs. Soudain, ils découvrent que la valise est vide, mais choisissent de continuer la fusillade, et en remarquant que le Poisson globe, un indic et un bookmaker qui loue aussi des armes, est avec le détective, ils lui demandent des munitions pour continuer à tirer. Kurosaki, un yakuza qui connaît bien le privé, s'en mêle aussi, et Fukamachi finit par faire exploser une roquette, ce fait que le bâtiment s'écroule partiellement. Tous choisissent de rentrer, sans pouvoir cependant payer le Poisson globe. On ne voit plus Tôjô par la suite dans ce tome.

    Volume 6

    Un jour, Tôjô reçoit une facture que Fukamachi doit payer. Celui-ci a subi une déprime en apprenant que son ex-femme allait se remarier et que sa fille était partie pour l’étranger sans rien lui dire. Sugimoto, Kurosaki et les 2 vipères ont alors tout fait pour lui remonter le moral, et le détective doit donc payer les réparations de toilettes, d'un magasin d'animalerie, d'une statue devant un fast-food de poulet frit, mais aussi une virée avec les 2 ripoux qui l'ont emmené à l’aéroport où l'ex-femme devait prendre l'avion pour son voyage de noces. Le motard retrouve donc le privé, qui lui dit qu'il n'a rien pour lui. Tôjô présente la facture, ajoutant qu'il y en a pour 5 millions. Il annonce alors qu'il a un taux plus bas que celui des usuriers de l’impérial. Fukamachi accepte de payer et refuse de se planquer, se disant qu'il ne lui reste plus qu'à gagner gros au boulot. Un peu plus tard, dans une ruelle, le motard se met à tabasser le détective, lui indiquant de ne pas le prendre mal mais que c'est le style de la maison Tôjô police finances. Pour lui, un retard de paiement dès la première traite, ça ne va pas. Il ajoute qu'il n'y a pas que l'argent dans la vie, mais pas que l'amour non plus. Il décide de s’arrêter là, mais prévient que le mois prochain, le privé ne s'en sortira pas comme ça. Un autre jour, Tôjô retrouve Fukamachi dans un parc, accompagné d'un jeune adolescent. Le motard dit au détective que c'est un bon endroit pour des conseils aux voleurs à l’étalage, mais le privé lui répond qu'il s'est fait mettre dehors par Sugimoto. Tôjô sait que c'est de la faute de Gotôda, qui a décidé d’épouser la dentiste. Le jeune homme choisit de s'en aller car le boulot qu'il a confié au privé est terminé. Le motard, lui, en veut à Gotôda, qui va s'en sortir seul pour ses vieux jours. Il demande à Fukamachi s'il n'y a pas moyen de lui mettre des bâtons dans les roues, mais le détective est déjà sur le départ. Tôjô le pousse à terre avec sa moto, et le prévient qu'il ne va pas le prendre en pitié, car il est un tordu et que le bonheur des autres le hérisse. Le privé le traite de fumier, et le motard lui rétorque qu'il pourra lui parler ainsi une fois qu'il aura remboursé. Il ajoute avant de s'en aller que lui aussi s'en fait pour ses vieux jours. Par la suite, Tôjô est invité au mariage de Kurosaki, et il s'occupe de prêter de l'argent à ceux qui n'ont pas mis de costard, comme par exemple Fukamachi. Durant la soirée, un homme vient tenter de se venger du yakuza qui s'est foutu de lui, mais Kurosaki le met à terre avec un coup de pied en s'accrochant à un lustre. Le motard siffle pour le féliciter, et le yakuza commence un discours. Malheureusement, le lustre se détache et tue Kurosaki en lui tombant dessus. Tôjô assiste aux funérailles et plus tard, Sugimoto se sépare de Gotôda pour reprendre le détective. Ensemble, ils résolvent une enquête, et dans un bar, ils vont fêter cela, en présence notamment des 3 ripoux, du super-intendant Akagi, de l'ex-femme et de la fille du privé, du Poisson globe et d'un SDF qui s'occupe de chiens errants. La veuve de Kurosaki annonce qu'elle va continuer les affaires de son défunt mari, car elle trouve cela stimulant, ce que le motard approuve. A la fin de la soirée, Fukamachi prétend avoir vu Kurosaki à la télévision, mais pour les autres, il y a de la friture avec un message. Tôjô n'apparaît plus par la suite.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 27 - Un boulot peinard".
    • Statut au volume 4 : Vivant.

    L'amant

    Volume 4

    Cet homme fut autrefois l'amant de la dentiste Sugimoto. Cependant, il l'utilisait comme porte de secours car elle a toujours au pas mal d'argent. Dans les années 80, il reprend contact avec Sugimoto car il doit 30 millions de yens à un syndicat du crime. En lui téléphonant, l'amant tombe sur un détective privé, Jôtarô Fukamachi, qui loue une chambre chez la dentiste. Celle-ci accepte de retrouver l'homme dans le bar d'un hôtel, et quand celui-ci la retrouve, il lui demande depuis combien d'années ils ne se sont pas vus. Mais Sugimoto ne s'en souvient pas. L'amant dit qu'elle n'a pas changé, et la dentiste se trouve toujours aussi moche. L'homme lui enlève ses lunettes et lui dit qu'elle est belle comme ça. Mais Sugimoto lui répond de laisser tomber et qu'elle sait à quoi s'en tenir. Le couple discute un moment puis va dans une chambre. Là, l'homme suggère de recommencer comme avant, mais la dentiste ne veut pas. Il lui demande si elle a oublié, et Sugimoto parle du 25 novembre 1970, comme étant sa première fois. L'amant dit qu'elle s'en rappelle, mais la dentiste rétorque que c'est seulement de la date, mais a oublié avec qui c'était. L'amant lui demande alors de l'aider, tandis que Sugimoto que Tokyo est beau la nuit. L'homme explique qu'il a touché de l'argent qu'il n'aurait pas dû toucher, et qu'il doit rembourser dans la semaine. Et si le syndicat veut sa tête, il est fini. La dentiste déclare qu'elle savait que c'était une erreur, mais couche quand même avec son amant. Après cela, elle dit qu'elle n'a jamais eu l'oeil pour les hommes, et son amant répond qu'elle ne doit pas dire cela. Pourtant, Sugimoto ajoute que ça ne s'arrange pas et qu'elle n'y gagne pas en jugeote avec l'âge. Elle se rhabille et s'en va sans un regard pour son amant. Elle le retrouve plus tard près des quais, où elle doit apporter l'argent au syndicat. Mais la dentiste dit qu'elle n'a pas un sou avec elle, mais qu'à la place, elle va aider son amant par ses propres moyens. Elle sort une arme à feu et dit à son amant de se mettre à couvert. L'homme s'exécute, et Sugimoto comment à tirer sur les gangsters, qui rentrent dans leurs voitures. L'une d'elle prend feu, et la seconde fait un tonneau après que le détective soit venu aider la dentiste en lançant un objet dans le pare-brise. L'amant reste abasourdi, tandis que Sugimoto s'en va avec Fukamachi. On ne voit pus l'amant par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 4, dans le chapitre intitulé "Chapitre 28 - Régler leur compte aux souvenirs".
    • Statut au volume 4 : Vivant.

    A suivre...

    Cronos

     


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