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Par cronoslegend le 2 Mars 2013 à 10:42
Voilà la septième suite de la liste des personnages de Eagle. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition. La dénomination PH, pour personnage historique, indique que le personnage est inspiré d'un personnage réel.
Volume 8
Robert Clay est un vétéran du Vietnam, et tout comme ses semblables, il est invité à la cérémonie commémorant les 25 ans de la fin de cette guerre, lors de laquelle sont aussi présents les 2 candidats à l'élection présidentielle, à savoir le démocrate Yamaoka et le républicain Grant, ancien général. Ce dernier, après son discours, se dirige vers les anciens soldats et commence à les reconnaître un à un. Il se souvient donc aussi de l'enseigne de seconde classe Clay et de sa blessure par balle à la jambe. Il le félicite même d'être parvenu à rentrer à la base avec son chasseur crible de balles. Mais cette mémoire n'est que manoeuvre politique puisque Grant a mémorisé les CV et les photos de ces vétérans placés volontairement au premier rang, et ce, seulement 2 heures avant la cérémonie. Robert ne le sait pas et verse des larmes de joie. C'est sa seule apparition dans ce tome.
- Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Rapport #62 : Le général".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
Volume 8
Cet homme est un ancien combattant de la guerre du Vietnam. Il fait partie des invités de la cérémonie pour les 25 ans de la fin de la guerre du Vietnam, en compagnie notamment des 2 candidats à la présidence, le démocrate Yamaoka et le républicain Grant. Après son discours, ce dernier se dirige vers le groupe de vétérans et commence à reconnaître plusieurs d'entre eux. Harry, sergent de flotte aérienne et responsable de prévisions météorologique à l'époque, et cela en même temps que l'ancien général, l'interpelle et lui demande s'il se souvient de lui. Grant lui répond positivement en le remerciant pour ses prévisions qui l'ont mis plusieurs fois hors de danger, et en citant son nom. Harry en a les larmes aux yeux mais ne sait pas que le républicain n'a mémorisé son nom et son visage que 2 heures avant la cérémonie grâce à des CV. Harry n'en saura rien et c'est sa seule apparition dans ce tome.
- Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Rapport #62 : Le général".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
Le vice-amiral d'escadre Kristof est un officier de la marine qui est à la tête du centre de recherche en stratégies navales. Il est l'un des 2 militaires, avec le général Kendall, chef de l'état-major de l'armée de terre, auquel pense Nore pour le poste important d'officier supérieur en charge de la sécurité nationale dans le gouvernement de Yamaoka. Le candidat à la vice-présidence et Kristof doivent se rencontrer le soir même après la cérémonie commémorant les 25 ans de la fin de la guerre du Vietnam. Cependant, suite aux vives critiques de cette guerre et de l'armée par le candidat démocrate, la rencontre se passe mal. Même s'il est vrai qu'il soutient le parti démocrate, le vice-amiral se sent avant tout un militaire et il ne veut pas prendre position contre les siens, car il ne se sentirait plus en mesure d'assurer ses fonctions. Kristof refuse donc le poste et quitte le bureau de Nore. On ne le voit plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Rapport #62 : Le général".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
Ce militaire, à l'époque de la guerre du Vietnam, était chef de la compagnie C de la première division d'infanterie des marines, rattachée à la 18ème section, ainsi que le supérieur direct de Kenneth, alors novice. Durant cette période, il sauva la vie de Yamaoka et le poussa à bien imprimer la peur dans sa tête, afin de ne pas être immunisé et éviter ainsi de se faire tuer. A la moindre bonne occasion, Kerrigan attaquait mais dès qu'il sentait la situation défavorable, il faisait appel aux renforts. Le jeune Kenneth pensait alors que son supérieur prenait la guerre comme un jeu mais il le surpris un soir, pleurant sur ses soldats morts, ne sachant pas quoi dire à leur famille et qualifiant cette guerre de stupide. Après la guerre, Gary est pourtant resté dans l'armée et est devenu vice-amiral, ainsi que conseiller général pour le maintien de la paix à l'ONU. Il a cependant toujours refuser des promotions au Pentagone ou à l'état-major et cherche toujours à retourner sur le terrain. Alors que les élections présidentielles approchent et que le candidat démocrate vient de critiquer ouvertement l'armée, celui-ci vient voir Kerrigan pour lui proposer le poste d'officier supérieur en charge de la sécurité nationale. Le militaire, qui considère pourtant son poste comme celui d'un gratte-papier sans aucun réel pouvoir, refuse car il ne veut pas faire comme les politiciens et leurs beaux discours. Pour Yamaoka, la raison pour laquelle le vice-amiral est encore dans l'armée, c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé les mots pour ses subalternes morts durant la guerre. Et il voit son envie d'aller au front comme une fuite de ses responsabilités face à un monde où les lobbies de l'industrie militaire ont un tel pouvoir qu'il ne peut être que spectateur. Avant de partir, Kenneth ajoute qu'il souhaiterait faire une armée si puissante et indépendante des lobbies militaires qu'elle serait fière de ne jamais avoir connu le baptême du feu. Le soir venu, Kerrigan se rend au club des officiers de la marine pour boire un verre puis se rend chez lui ou un message du secrétaire général de Grant lui demande de le rappeler. Quand Gary téléphone, il tombe sur le républicain en personne qui le félicite de la promotion qu'il va bientôt recevoir en devenant vice-amiral d'escadre. Grant dit vouloir le soutenir au Pentagone pour un poste en Europe à la place d'un militaire qui va partir en retraite. Le lendemain, au club des officiers de la marine pour fêter sa promotion, Kerrigan et les autres militaires présents commencent à regarder la conférence de presse de Yamaoka qui dit vouloir stopper tout acte belligérant de son pays et démanteler les bases militaires à l'étranger...
Volume 9
Kerrigan continue de regarder la conférence de presse de Yamaoka qui dit vouloir donner un vrai pouvoir à l'armée de l'ONU, tout en faisant en sorte qu'elle ne connaisse jamais le front. Puis, un autre soir, il regarde le forum de son ancien subalterne, absorbé à un tel point qu'il n'entend pas sa femme Dorothy frapper à la porte. Celle-ci a appris l'affectation prochaine de son mari en Europe mais veut louer la maison où ils habitent pour pouvoir y retourner une fois que Gary sera à la retraite dans 4 ans. Elle fait aussi remarquer à son mari qu'il a oublie de retirer sa tenue militaire à l'intérieur de la maison. Le soir suivant, travaillant sur un dossier, il décide d'écrire un message à Kenneth. Il ne sait toujours pas quoi dire à ses recrues qui sont morts au Vietnam, et ce que leur mort représente. Le sénateur lui répond qu'il n'y a ni honneur ni gloire à mourir sur le champ de bataille, que tout ce qu'il reste d'eux est le sang et la chair et que recouvrir leur tombe de fleurs n'est qu'hypocrisie, ce qui revient à dire que leur mort n'a servit à rien. Le jour suivant, il se rend au club des officiers de la marine en costume civil et leur dit que si on meurt dans une guerre stupide, c'est qu'on meurt pour rien, mais qu'en tant que militaires, ils doivent continuer à se battre. Ensuite, revêtu de son costume militaire, il va au cimetière militaire d'Arlington pour dire à ceux qui sont mort, qu'il continuera le combat tant qu'il sera en vie. Après cela, il prend la direction du sénat où il accepte la proposition du candidat démocrate après avoir donne sa démission de l'armée. Il dit plus tard aux journalistes qu'on ne peut parler de l'avenir du pays sans parler de celui du monde et que la force américaine doit évoluer. Une fois au calme, Kerrigan téléphone à sa femme pour s'excuser de ne pas l'avoir prévenue. Celle-ci ne s'en offusque pas mais refuse néanmoins de renoncer à leur maison. Puis, avec l'état-major de campagne de Yamaoka, Gary se rend à Seattle et écoute avec quelques-uns d'entre eux le rapport du détective Durand sur les 2 têtes pensantes du syndicat de Boeing qui soutient les républicains, Kozyreff et Zamal. Il n'intervient cependant pas.
- Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Rapport #63 : Commandant de compagnie Kerrigan (1)".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
Il s'agit de la femme de Gary Kerrigan. Elle semble conciliante envers le métier de son mari mais attendre sa retraite pour qu'ils puissent être enfin seuls tous les 2. Un soir, elle frappe à la porte du bureau de son mari mais celui-ci ne répond pas. Elle entre alors pour lui servir son café et remarque qu'il travaille bien tard. Dans l'après-midi, elle a reçu un appel téléphonique de Max, le sous-secrétaire d'état au Pentagone et a appris que son époux allait être affecté en Europe, endroit dont elle rêvait depuis longtemps d'aller. Comme il ne reste plus que 4 ans avant la retraite de Gary, Dorothy propose de louer la maison qu'ils habitent maintenant car elle aime la ville et ainsi, ils pourront y revenir par après. Avant de sortir, elle ajoute à son mari qu'il a oublié de retirer son costume militaire alors qu'il est à la maison. Un autre jour, Dorothy constate que son époux part un jour plus tôt pour Washington. Et le lendemain, elle apprend par les médias que Gary a accepté le poste de conseiller général pour la sécurité nationale dans le gouvernement de Yamaoka. Quand son mari lui téléphone, il s'excuse de ne pas l'avoir prévenue et aussi parce qu'elle va devoir attendre 8 ans avant qu'ils soient seuls tous les 2. Dorothy ajoute qu'elle n'abandonnera pas pour autant leur maison à New York. On ne la voit plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 9, dans le chapitre intitulé "Rapport #66 : Bouleversement (2)".
- Statut au volume 11 : Supposé vivante.
James est le mari d'Aileen Yamaoka, la soeur cadette du sénateur. C'est lui qui s'occupe de la société familiale Yamaoka et cie depuis que George, le père de Kenneth, est à la retraite. C'est apparemment quelqu'un de travailleur mais cela n'empêche pas pourtant George de ne pas tenir en place et d'être toujours occupé à quelque chose. Lorsque le candidat démocrate vient à Seattle pour convaincre le syndicat de Boeing de voter pour eux, James se trouve avec sa femme à la maison des Yamaoka où ils prennent tous un café, tout en parlant de la situation de la famille. C'est cependant sa seule apparition dans ce volume.
- Première apparition : Volume 9, dans le chapitre intitulé "Rapport #68 : Pays Natal".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
Cet immigré polonais est le président du syndicat des ouvriers mécaniciens de Boeing. Neuf ans avant les élections présidentielles auxquelles se présente Yamaoka, le patronat de l'entreprise, menacé par Airbus, tenta de faire passer un plan social qui prévoyait le licenciement de 2000 employés, ainsi qu'une réduction de salaire de 3%. A cette époque, Kozyreff était le président de la branche assemblage du syndicat et il fut en charge des négociations collectives avec la direction. Il s'arrangea alors avec le patronat quelques jours avant la grève pour qu'ils fassent croire que le plan portait sur la perte de 5500 emplois et que, après seulement 3 jours de grève, le syndicat obtienne soit disant une réduction de ces pertes de 3500 emplois avec néanmoins la réduction de salaire de 3%. Kozyreff, grâce à cette manoeuvre, obtint le poste qu'il occupe aujourd'hui. Cependant, durant les négociations, il fut accompagné de Zamal, un immigré turc, aujourd'hui vice-président du syndicat des ouvriers mécaniciens, qui enregistra sur une cassette l'accord entre Kozyreff et le patronat. Le détective Robert Durand, qui travaille pour le candidat démocrate, va découvrir la tension entre les 2 hommes ainsi que l'existence de cette cassette. Et comme Kozyreff veut que le syndicat soutienne le candidat républicain, c'est une bonne occasion pour Yamaoka de faire chanter le président du syndicat en leur faveur. Pendant ce temps, Kozyreff continue son travail et donne rendez-vous au sénateur à 21h. Avant cela, il passe chez lui pour manger et voir son père qui a fui la Pologne des nazis puis des soviétiques. Ce vieil homme, maintenant aveugle, n'a jamais appris l'anglais tandis que son fils Michael s'est démené, travaillant durant toute sa jeunesse, passant à côté des loisirs et préférant se faire une place dans la société américaine. Kozyreff estime donc incarner la réussite. Le soir même, il rejète la demande du candidat démocrate, lui disant qu'il n'a rien fait pour Seattle et que c'est à son tour de le mépriser, lui révélant par la meême occasion son complexe par rapport à sa vie passée. Le soir même, Kozyreff reçoit un appel anonyme divulguant la cassette compromettante. Cependant, croyant avoir à faire avec Zamal, et sachant qu'il travaille comme taupe pour le patronat, Kozyreff lui montre les preuves qu'il a en sa possession durant la réunion du lendemain. Pourtant, dans la soirée, Kozyreff reçoit un second appel anonyme identique au précédent. Il téléphone donc au Seattle Times pour faire inculper Zamal pour abus de confiance. Le jour suivant, il tente de calmer les tensions dans le syndicat et de rétablir la situation en organisant une réunion des 30.000 syndiqués, ainsi que la presse, dans un grand hangar. Il reçoit aussi un appel de Yamaoka à qui il refuse un discours pour les membres du syndicat avant son départ. Mais un nouvel appel anonyme lui fait comprendre que c'est justement le sénateur qui possède la cassette et qui le fait chanter. C'est avec cette épée de Damoclès que Kozyreff se rend à l'assemblée générale le lendemain. Et il ne voit qu'une seule façon de se sortir de ce traquenard...
Volume 10
Afin de se sortir de la situation dans laquelle il est empêtré, Kozyreff décide d'avouer aux syndiqués qu'il a eu un accord avec le patronat 12 ans auparavant lors du plan social et que c'est ainsi qu'il a eu le poste de président du syndicat des ouvriers mécaniciens. Il décide aussi de donner sa démission de son poste et annule la consigne de vote pour l'élection présidentielle. Il sort ensuite du hangar rempli de personnes sous le choc. En rentrant chez lui, il s'excuse auprès de sa famille et de son père, déclarant avoir tout perdu. Le vieil homme le rassure en lui disant qu'il lui reste ses enfants. Le soir venu, Kozyreff reçoit un appel de Yamaoka qui se trouve en bas de chez lui. Celui-ci lui rend la cassette compromettante en la laissant près du téléphone. A ce moment Kozyreff se sent totalement vaincu. Lendemain, pourtant, des cadres du syndicat viennent demander à Kozyreff de travailler pour le syndicat et des ouvriers demandent son retour en bas de sa fenêtre, car il a toujours oeuvré pour les travailleurs durant ces 12 années. Lors du discours du candidat démocrate sur la piste d'essai de Boeing, Kozyreff se rend compte que le sénateur n'a pas rendu la cassette publique pour lui permettre de se mettre en accord avec sa conscience. Après le discours, Yamaoka vient saluer personnellement Kozyreff avant de partir pour la suite de sa campagne. Kozyreff, lui, restera dans le syndicat en tant qu'employé, refusant tout poste de cadre. On ne le voit plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 9, dans le chapitre intitulé "Rapport #68 : Pays Natal".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
Ahmed est un immigré turc qui est aujourd'hui vice-président du syndicat des ouvriers mécaniciens de Boeing. C'est un ancien élève du MIT qui a travaillé pour Boeing pour le secteur de la recherche avant de quitter son boulot il y a 10 ans pour rejoindre le syndicat. Cependant, lors de l'enquête menée par Durand pour le compte de Yamaoka, en plein campagne électorale présidentielle, il existerait des tensions entre Zamal et le président du syndicat, Kozyreff, un immigré polonais, ce qui pourrait leur servir pour que le syndicat pousse les employés à voter démocrate plutôt que républicain. Durand a aussi appris qu'il y a quelques années, alors que la société prévoyait un plan social avec la suppression de 2000 emplois et une réduction de salaire de 3%, Kozyreff, en charge des négociations, a eu un accord avec le patronat pour annoncer une suppression de 5500 emplois avant une grève de 3 jours. Après celle-ci, Boeing a fait semblant de faire marche arrière en gardant 3500 emplois mais en annonçant la réduction de salaire. Avec ceci, Kozyreff est devenu président du syndicat. Mais Zamal, alors aussi en négociations pour le syndicat, a enregistré cet accord sur une cassette et est prêt à la marchander avec le sénateur en personne. Ils se rencontrent donc durant une nuit, dans une voiture où Yamaoka propose 100.000 dollars pour la cassette. Ahmed révèle que dans 4 ans, Kozyreff va se porter candidat pour l'élection du président de l'union des travailleurs du métal, et est curieux de savoir combien vaudra cette cassette à ce moment-là. Il demande de faire le virement sur un compte turque avant de partir. Pourtant, lors d'une réunion hebdomadaire du syndicat, Kozyreff glisse des documents à son vice-président. Ceux-ci contiennent des preuves de contacts entre Zamal et le patronat, ainsi que des virements réguliers de la société sur son compte turque. C'est donc ainsi qu'on apprend que Zamal est devenu une taupe dans la syndicat pour réparer sans doute une erreur faite auparavant chez Boeing. Paniqué que Kozyreff puisse se retourner contre lui et l'envoyer ainsi en taule, Ahmed tente de racheter la cassette auprès de Yamaoka. Mais ce dernier refuse, préférant plutôt avoir les voix des électeurs. Zamal fait donc tout pour satisfaire les 2 camps et passe des heures à téléphoner. Mais un matin, il lit dans les journaux qu'il va être arrêté par la police pour présomption d'abus de biens sociaux. Il téléphone en urgence au candidat démocrate qui refuse de lui répondre par manque de temps. Un policier de Seattle vient donc l'arrêter et on ne revoit plus Zamal dans ce tome.
- Première apparition : Volume 9, dans le chapitre intitulé "Rapport #68 : Pays Natal".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant mais en prison.
Ce garçon est élève au lycée Franklin, à Seattle. Ce lycée est sans doute l'ancien lycée de Yamaoka. Il y fait d'ailleurs un discours devant les élèves et leurs parents, dont Sam. Cependant, alors que la manoeuvre consiste à convaincre les syndiqués de Boeing, aucun d'entre eux n'est présent. Après le speech du candidat démocrate sur la construction du pays en vue de l'avenir, les élèves se ruent pour serrer la main du sénateur et lui poser des questions. C'est à ce moment que Sam lui demande quelles sont les qualités nécessaires pour devenir un homme politique car c'est ce qu'il voudrait devenir. Il ne sait cependant pas exactement comment s'y prendre mais est déterminé. Avant de se présenter à Yamaoka, il fait taire ses camarades de classe qui se moque de lui car il n'a même pas remporté les élections du lycée. Il révèle que sa famille est en Amérique depuis 5 générations mais que les cours de japonais sont trop compliqués pour lui. Le candidat démocrate lui répond alors qu'il faut de la persévérance et savoir se mettre au service des autres. Tout en lui serrant la main, Sam remercie le sénateur pour ces encouragements. On ne voit plus Sam par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 9, dans le chapitre intitulé "Rapport #69 : Intrigue".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
A suivre dans le prochain article.
Cronos
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Par cronoslegend le 5 Mars 2013 à 08:16
Voilà la huitième et dernière suite de la liste des personnages de Eagle. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition. La dénomination PH, pour personnage historique, indique que le personnage est inspiré d'un personnage réel.
Il s'agit d'un cadre du syndicat des ouvriers mécaniciens de Boeing. A la suite de l'arrestation du vice-président Zamal pour abus de biens sociaux, tout le monde est à cran dans les bureaux du syndicat. Et quand Kozyreff, le président, arrive, Shorn lui demande jusqu'à quel niveau la police va pouvoir enquêter, Kozyreff leur demande de garder leur calme et demande une assemblée de tous les syndiqués, c'est-à-dire 30.000 personnes, dans un hangar. Tout le monde est surpris et pense la situation improbable et ingérable. Après avoir confié 2 missions à Morris et à Dick, 2 autres cadres, Kozyreff demande à Shorn d'enquêter de façon détaillée sur les relations entre Zamal et le patronat pour le lendemain, en oubliant pas d'évaluer avec précision l'implication de l'entreprise. Ensuite, tous les cadres quittent le bureau pour faire leur travail. Le lendemain, accompagnés de Kozyreff, tous les cadres du syndicat entrent dans le hangar rempli d'ouvriers et tous attendent le discours du président du syndicat...
Volume 10
Alors que Shorn, les membres du syndicat et tous les ouvriers attendent un discours fort de Kozyreff, celui-ci se met à avouer que, quelques années auparavant, il a eu un accord avec le patronnat pour gonfler le nombre d'emplois qui passaient à la trappe afin de faire croire plus tard que le syndicat avait gagné les négociations en faisant reculer l'entreprise. Kozyreff annonce alors sa démission et quitte le hangar. Pourtant, le lendemain, Shorn et ses collègues se rendent chez Kozyreff pour lui demander de continuer à travailler pour le syndicat car il a beaucoup donné de sa personne pour les travaialleurs durant toutes ces années. Et apparemment, les ouvriers qui se trouvent en bas de chez Kozyreff pensent la même chose. Finalement, après avoir réussi à convaincre l'immigré polonais, tous se retrouvent le lendemain sur le tarmac d'une piste de Boeing pour écouter le discours de Yamaoka et lui serrer la main. On ne voit plus Shorn par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 9, dans le chapitre intitulé "Rapport #72 : Enfer annoncé".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
Au même titre que Shorn, Morris est un cadre du syndicat des ouvriers mécaniciens de Boeing. Il apparaît alors qu'Ahmed Zamal, le vice-président de ce syndicat, vient d'être inculpé par la police d'abus de biens sociaux pour avoir été une taupe de l'entreprise. Morris et ses collègues paniquent et ne savent pas ce que va devenir leur job et le syndicat suite à cette affaire. Mais leur président, Kozyreff, à qui ils confient leurs craintes, leur demande de garder leur calme et d'inviter les syndiqués à la réunion du lendemain, c'est-à-dire 30.000 personnes, en utilisant un hangar de Boeing. Kozyreff demande alors à Morris de s'occuper de négocier avec l'entreprise afin d'obtenir leur plus grand hangar pour leur réunion. Après que le président ait donné ses directives, tous les cadres partent au travail. Le lendemain, accompagnés de Kozyreff, ils entrent dans le hangar plein à craquer et tout le monde attend alors le discours du président du syndicat...
Volume 10
Morris, ainsi que ses collègues et tous les ouvriers présents dans le hangar ont la surprise d'entendre Kozyreff confesser qu'il a eu un accord avec le patronnat quelques années auparavant pour augmenter le nombre de pertes d'emplois et faire ainsi croire à la victoire du syndicat dans les négociations, permettant ainsi à Kozyreff de devenir président du syndicat. L'immigré polonais donne sa démission devant une foule abasourdie. Néanmoins, le lendemain, Morris accompagné de quelques collègues, se rend chez Kozyreff pour lui demander de réintégrer le syndicat, Morris argumentant que sa faute appartient au passé et qu'il a beaucoup fait depuis pour les travailleurs. Ceux-ci, dont un groupe se trouve en bas de chez Kozyreff, sont du même avis. L'ancien président du syndicat accepte et tous se retrouvent le lendemain pour écouter le discours de Yamaoka sur une piste d'essais de Boeing avant son départ pour la suite de sa campagne. Les cadres du syndicat, dont Morris, auront d'ailleurs la possibilité de lui serrer la main.
- Première apparition : Volume 9, dans le chapitre intitulé "Rapport #72 : Enfer annoncé".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
Volume 9
Membre du syndicat des ouvriers mécaniciens de Boeing, Dick est comme tous ses collègues suite à l'accusation d'abus de biens sociaux de leur vice-président Zamal : inquiet. Aucun ne sait comment réagir mais le président, Kozyreff, leur demande de se calmer et souhaite organiser pour le lendemain une réunion avec tous les syndiqués, ce qui représente 30.000 personnes. Certains pensent la chose imfaisable mais Kozyreff est confiant. Il veut utiliser un hangar de l'entreprise et est même près à laisser entrer les médias qui le souhaitent. Il demande d'ailleurs à Dick de s'occuper de leur réception et de leur organisation, ce que l'homme accepte sans broncher. Une fois les tâches réparties, tous repartent au travail. Le jour suivant, tous les cadres du syndicat entrent à la suite de leur président dans le hangar et tout le monde attend alors le discours de Kozyreff...
Volume 10
Tout comme ses collègues du syndicat, ainsi que tous les ouvriers présents dans le hangar de Boeing, Dick est fortement surpris quand leur président Kozyreff leur annonce avoir eu un accord avec la patronnat il y a quelques années en faisant croire à tout le monde que le plan social prévoyait la suppression de 5500 emplois, alors qu'il ne portait que sur 2000 emplois avec une diminution de salaire de 3%. Tout le monde reste bouche bée et Kozyreff annonce sa démission avant de quitter le hangar dans un silence perturbant. Cependant, le lendemain matin, les cadres du syndicat, dont Dick, font le déplacement jusque chez l'immigré polonais pour lui demander de revenir travailler avec eux car, malgré sa faute, il s'est énormément voué aux ouvriers. Certains de ceux-ci sont en bas de chez Kozyreff pour lui assurer leur soutien. Après avoir réussi à faire revenir Kozyreff, tous se retrouvent le jour suivant sur l'une des pistes d'essais de Boeing pour écouter le discours de Kenneth qui vient serrer la main de Dick et de ses collègues. On ne le voit plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 9, dans le chapitre intitulé "Rapport #72 : Enfer annoncé".
- Statut au volume 11 : Supposé vivant.
Cet homme travaille comme garde du corps pour Yamaoka après qu'il soit devenu le candidat démocrate. Cependant, au cours de cette campagne, Al Nore, le candidat à la vice-présidence, est attaqué par des racistes avec des tomates. Clooney s'inquiète alors pour son patron en lisant les journaux parlant de l'incident et recommande au sénateur de porter un gilet pare-balles, ce que l'intéressé refuse pour ne pas paraître un poltron. A la prochaine sortie, le garde du corps souhaite voir Yamaoka rentrer directement dans la voiture mais celui-ci va serrer quelques mains. A un autre moment, Clooney va collecter le courrier reçu dont le contenu est de plus en plus menaçant. Il demande une nouvelle fois au candidat démocrate de porter un gilet, mais essuye encore une fois un refus. Plus tard, il répond à un appel de Rachel, la fille du sénateur, car elle et le journaliste japonais Takashi Jô se sont fait tirer dessus alors qu'ils étaient en voiture, sans blessures cependant. Après leur avoir dit de le prévenir pour n'importe quel déplacement et avoir gardé la voiture comme preuve, le garde du corps organise une réunion de l'état-major de campagne et demande à tout le monde de porter un gilet pare-balles, alors que le sénateur refuse toujours. Un soir, après le travail, Yamaoka lui propose de rester pour boire un verre. C'est à cette occasion que Clooney raconte comment Tanny, un noir qui vivait dans sa ville natale, perdue au fond du Mississipi, fut accusé injustement du viol d'une blanche et, après avoir été innocenté et libéré, il tua le shériff, père du garde du corps. Depuis, Clooney ne croit plus en la force des mots. Ensuite, avant un meeting qui doit se dérouler en Géorgie, l'inspecteur supplie de renforcer les mesures de sécurité et que le candidat démocrate porte un gilet, ce que ne veut toujours pas le sénateur malgré le danger des lieux. Juste après le discours, le garde du corps aperçoit un homme armé et ordonne qu'on le neutralise. Il dit à Yamaoka de monter dans la voiture mais celui-ci demande d'attendre. Le candidat déclare que si quelqu'un ne le trouve pas qualifié pour le poste de président, il n'a qu'a utiliser son vote pour le faire savoir, en discutant et pas en utilisant les armes. A ce moment, Clooney comprend que son patron craint le désespoir et non les armes. Mais il remarque une autre personne suspecte qui sort une arme et fait feu sur le sénateur. Avant le second coup de feu, le garde du corps se jète sur Yamaoka pour le protéger. En se relevant après que le tireur ait été arrêté, Clooney constate et le candidat démocrate portait finalement un gilet, à son grand soulagement. Quelques jours plus tard, dans l'avion, l'inspecteur souhaite donner sa démission pour avoir failli à sa mission. Mais Yamaoka lui rétorque que le match n'est pas fini en faisant référence au football et Clooney décide alors de continuer son travail.
Volume 11
Après sa victoire au débat télévisé contre le candidat républicain Grant, Yamaoka décide de se déplacer à Boston, chez sa belle-famille, pour son dernier discours avant le scrutin. A la descente de l'avion, Clooney est présent, toujours à assurer la protection de son patron. Finalement, lors de la prestation de serment de Kenneth devant le capitole, Clooney fait une dernière apparition, toujours dans son rôle de garde du corps, mais cette fois-ci, du président en devenir. Pourtant, il n'intervient durant aucune de ces 2 apparitions.
- Première apparition : Volume 10, dans le chapitre intitulé "Rapport #74 : Les frontières entre races".
- Statut au volume 11 : Vivant.
Tanny était un jeune garçon noir, issu de la même ville perdue du Mississipi que celle de l'inspecteur Clooney. Comme c'était un bled paumé, la seule chance pour un noir de s'en sortir dans une ville du sud était à l'époque le football, et d'obtenir une bourse pour l'université. Tanny était devenu un running back, rapide et agile, et il avait été repéré par des rabatteurs de célèbres universités. Malheureusement, lors d'une nuit d'été humide, une jeune lycéenne blanche se fit violer dans les bois alors qu'elle venait en visite chez sa famille. Elle décrit son agresseur comme "un grand noir" et désigna Tanny comme le coupable lors d'une confrontation. L'état du Mississipi étant parmi les plus racistes, le jeune garçon n'eut aucune chance durant son procès, malgré l'absence de preuves. Il ne fut innocenté que 2 ans plus tard, quand le vrai coupable avoua le crime lors d'une autre affaire similaire. Pourtant, les rêves de football de Tanny étaient perdus. Un jour, il alla au commissariat où il fut accueilli par le père de Clonney, alors shériff. Celui-ci était prêt à offrir un travail au garçon qu'il appréciait, mais celui-ci, plein de rage et de désespoir, abattit le shériff de 2 balles. Juste après, les subordonnés du policier ouvrirent le feu à plusieurs reprises sur Tanny qui n'y survécut pas.
- Première apparition : Volume 10, dans le chapitre intitulé "Rapport #76 : Kenneth et Clooney".
- Statut au volume 11 : abattu par des policiers du Mississipi.
Il s'agit d'un employé de banque de 37 ans, vivant sans doute dans l'état de Géorgie. C'est quelqu'un de raciste, et qui prend donc Yamaoka, d'origine japonaise, comme un ennemi de l'Amérique. Peu avant le meeting du candidat démocrate dans son état, Simon va s'acheter une arme. Le venduer lui demande si c'est pour l'auto-défense ou pour s'entraîner au tir, mais Jones répond que c'est pour protéger les Etats-Unis. Une fois chez lui, l'employé de banque demande à sa fille Anny ce qu'elle penserait si ils devaient déménager au Japon. La petit fille répnd qu'elle perdrait ses amis qui sont ici et voudrait donc rester. En prenant son journal avec son arme, Simon affirme qu'ils sont en effet d'authentiques américains. Arrivé au meeting, Jones subit une fouille au corps tout en maintenant son journal en l'air. Il demande au policier s'il ne regarde pas le journal mais celui-ci, pressé par le temps, dit à Jones de circuler. Après le discours du sénateur, Simon s'apprête à agir mais quelqu'un le précède. Une fois ce dernier maîtriser par le service d'ordre, l'employé de banque sort son arme et tire sur Yamaoka. Le premier coup atteint son but mais le second touche le garde du corps qui a plongé sur son patron pour le protéger. Simon est arrêté mais le sénateur se relève, sauvé par son gilet pare-balles. Les journaux diront de Jones qu'il avait du stress au travail et des insomnies, et que le crime était impulsif.
- Première apparition : Volume 10, dans le chapitre intitulé "Rapport #76 : Kenneth et Clooney".
- Statut au volume 11: Supposé vivant mais en prison.
Anny est la fille de Simon Jones, un raciste qui habite sans doute dans l'état de Géorgie. Peu avant le meeting du candidat Yamaoka, d'origine japonaise, lors du petit-déjeuner, le père d'Anny demande à sa fille ce qu'elle penserait si ils devaient déménager au Japon. La jeune fille répond naturellement qu'elle ne veut pas et préfère rester aux Etats-Unis où se trouvent tous ses amis. La femme de Simon demande alors à son mari si on lui a proposé un poste au Japon mais l'intéressé répond que non et qu'il avançait juste une idée. On ne verra plus Anny par la suite dans ce volume.
- Première apparition : Volume 10, dans le chapitre intitulé "Rapport #77 : La cible".
- Statut au volume 11 : Supposé vivante.
Cet homme est un journaliste free-lance de 48 ans, spécialisé dans la politique, avec 25 ans d'expérience et originaire de l'Utah. Il se présente à Takashi Jô, le journaliste japonais qui suit la campagne de Yamaoka, le candidat présidentiel démocrate. Il trouvait d'ailleurs curieux que ce jeune journaliste, sans aucun fait marquant, se retrouve à un poste si important du jour au lendemain. Comme Jô est originaire de l'île d'Okinawa, Nicols en vante la beauté sans oublier de mentionner que le sénateur y avait fait un passage durant la guerre du Vietnam. Il demande alors au jeune japonais sa date de naissance et déclare que c'est juste 9 mois après le passage de Yamaoka, faisant comprendre à son interlocuteur qu'il a compris le lien qui les unit. Durant son enquête, il a appris que le candidat démocrate s'était amouraché d'une fille de la région mais dont il n'a pas obtenu le nom. Il continue en disant qu'il trouvait injuste que malgré son inexpérience, Takashi ait obtenu ce job alors que lui joue les nègres pour d'autres journalistes, jusqu'aux événements en Floride. A ce moment-là, Daniel s'est demandé pourquoi le jeune japonais a cherché à faire revenir sur ses paroles Maria, qui prétendait que le sénateur était le père biologique de Rachel, sa fille adoptive. Et lorsqu'il a compris, il sentit qu'il tenait sa revanche contre sa malchance, faisant valoir le contre-pouvoir qu'ont les journalistes, en écrivant un livre qui aura d'autant plus de succès si Yamaoka prend de l'importance. Il envisage même d'envoyer un exemplaire à Takashi. Avant de partir, il fait remarquer à Jô qu'il a le même regard que le candidat démocrate. Cependant, le lendemain, le japonais apprend par les nouvelles que Nicols a été retrouvé mort, son décès étant dû selon la police à une intoxication au gaz, un haut taux d'alcool ayant été détecté dans le sang de la victime. Mais, comme les fichiers classés en J et en Y ont disparu du lieu de travail de Nicols et que la mort est la même que celle de Tomiko, Takashi pense à un meurtre. Et il semblerait que le coupable soit Robert Durand, le détective qui travaille pour Yamaoka...
Volume 11
Dans ce tome, on a la confirmation que Robert Durand a bien assassiné Nicols après avoir entendu Jô parler à Yamaoka de ce journaliste qui connaissait leur lien. Il a procédé de la même manière que pour Tomiko. Mais on n'en apprendra pas plus sur Nicols.
- Première apparition : Volume 10, dans le chapitre intitulé "Rapport #78 : La cible, 2e partie".
- Statut au volume 11 : Tué Robert Durand en l'intoxiquant au gaz.
Kernel est un critique politique que tout le monde sait être pro-républicain. Pourtant, c'est lui que propose Grant, le candidat républicain, pour animer les 3 débats télévisés en vue des élections présidentielles. Finalement, Yamaoka, le sénateur démocrate, accepte que Kernel soit l'animateur mais ne veut qu'un seul débat. Durant celui-ci, Yamaoka répond à une question sur l'excédent fiscal et le journaliste en conclut qu'il est contre une diminution des impôts. Poutant, quand le sénateur de New York révèle que cette mesure ne concernant que les plus riches, le critique interrompt la discussion pour une question d'un spectateur sur l'immigration clandestine, empêchant ainsi au candidat démocrate d'appronfondir un sujet et facilitant le travail de Grant. Cependant, quand Kernel sent que les paroles du candidat républicain commencent à être contradictoire sur l'immigration des premiers colons anglais, il tente de changer de sujet pour la politique de défense. Pourtant, Grant s'emballe et assimile par erreur les immigrants non blancs à des animaux. Alors qu'après la stupéfaction, Yamaoka commence un monologue, le critique essaye de l'interrompre pour passer à autre chose mais son micro est coupé, tout le monde étant subjugué par les paroles du sénateur de New York. On ne verra plus Kernel par la suite
- Première apparition : Volume 11, dans le chapitre intitulé "Rapport #82 : L'obscurité de la capitale".
- Statut au volume 11 : Vivant.
Cronos
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