• Tokyo killers : Personnages (2)

    Voilà la suite de la liste des personnages de Tokyo killers. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

     

    Maria

    Il s'agit d'une prostituée de Caracas, au Venezuela. Un jour, alors qu'il fait 32°C et qu'il pleut abondamment, Maria se rend au restaurant "Los ninos perdidos" qu'elle connaît bien. Trempée, elle tord un peu ses vêtements pour faire évacuer l'eau, et remarque la présence d'un étranger asiatique, qui est le seul client présent. C'est alors que Paco, un jeune garçon qui semble travailler là, s'adresse à Maria pour lui dire qu'ils n'ont pas de clients pour elle aujourd'hui, même pas les chauffeurs de Maracaibo, car avec la pluie, la route pourrait bien s'effondrer. La jeune femme demande alors si l'asiatique parle leur langue, mais Paco lui répond qu'il ne sait apparemment dire que "bière", "soupe" et "pain". Un autre jour, alors que Maria est en terrasse, elle aperçoit l’étranger, une bière à la main. Elle l'interpelle, mais celui-ci semble absorbé par autre chose. La prostituée voit alors l'asiatique sortir un flingue et le pointer vers une voiture qui sort de l'ambassade de la République démocratique de Sulandie. Mais il ne parvient pas à tirer le percuteur. Et quand il y parvient enfin, celui-ci glisse, et l’étranger manque de se tirer une balle dans le pied. Seul un caillou qui a été projeté du sol par le coup de feu vient le blesser au front. Maria vient voir l’étranger, qui déclare que cette arme lui a coûté 500 bolivars. Elle constate que le flingue est une imitation colombienne, et ajoute que c'est une chance qu'il n'ait pas explosé. L'asiatique propose d'aller boire une bière, et la prostituée suggère de le faire chez elle. Ils couchent ensemble, et le japonais demande à la femme de lui trouver une machette japonaise. Plus tard, Maria se rend chez un prêteur sur gages où elle obtient une dague qui a 50 ans et qui a été achetée à un marin japonais. Un autre jour, après une nuit passée avec un joueur de base-ball américain, la femme se lève, encore nue, allume une cigarette, et ouvre la fenêtre d’où elle aperçoit le japonais, dans la rue. Il fait face à l'ambassade, d’où sort la même voiture que la dernière fois. Paco est allé donner quelque chose au conducteur, qui sort de son véhicule, une arme à feu à la main. Le japonais, lui, sort le couteau qu'il a aiguisé, et fonce sur le conducteur. Celui-ci riposte mais ne touche pas gravement son opposant, qui lui plante le couteau dans l'estomac. Le japonais est ensuite abattu par 2 policiers qui passaient dans le coin. Surprise durant un instant, la prostituée reprend son calme, et quand l’américain lui demande s'il y a un problème, la femme lui répond qu'il n'y a rien...

    • Apparition : "The restaurant of "Los ninos perdidos"".
    • Statut : Vivante.

    L'assassin

    Cet homme est un meurtrier qui a fait au moins 3 victimes au Japon, toutes les 3 des collégiennes. Il a tailladé leur corps avec un couteau, épargnant seulement la tête. Il a notamment coupé les tendons d'Achille, et laissé des traces de coupures, de morsures et de coups violents. Il se trouve aussi qu'il vient de la République démocratique de Sulandie, qui a de grosses dettes envers le Japon. Du coup, une fois qu'il est identifié par la police japonais, il se réfugie à l'ambassade, qui fait tout pour le faire sortir du pays. Ils y parviennent, et le tueur trouve refuge à l'ambassade de son pays à Caracas, capitale du Venezuela. Un jour, il sort avec sa voiture, sans remarquer que quelqu'un tente de lui tirer dessus, sans succès. Une autre fois, toujours en sortant de l'ambassade, un jeune garçon l'interpelle et lui remet une photo. L'assassin reconnaît sa dernière victime japonaise, et le garçon lui indique de qui il a eu la photo. Il s'agit d'un homme de l'autre côté de la rue, lui aussi japonais. Le meurtrier déchire alors la photo et sort de sa voiture avec une arme à feu. Le japonais, lui, sort un couteau et fonce sur le tueur. Ce dernier tire sur l'asiatique mais ne parvient pas à le toucher gravement. Le japonais lui plante alors son couteau en plein dans l'estomac, et l'assassin tombe à la renverse, mort.

    • Apparition : "The restaurant of "Los ninos perdidos"".
    • Statut : Tué en étant poignardé en plein estomac par le père japonais.

    La tueuse

    Cette femme arrive à l’aéroport Charles-de-Gaulle de Paris un mercredi, à 14 heures. Elle est là pour supprimer un autre tueur qu'elle a connue auparavant, et qui est en fuite depuis un certain temps. La tueuse va manger avec une autre femme, qui semble être son intermédiaire et qui suit la cible pour collecter les informations. La tueuse remarque que l'homme a maintenant un chapeau, mais son interlocutrice pense que c'est parce qu'il commence à se dégarnir. La semaine précédente, il a encore abattu un certain Pascal. La cible semble être revenu depuis plusieurs mois à Paris, après être allée à Djibouti et Madagascar. Maintenant qu'il est réapparu, il doit être éliminé. L'intermédiaire explique que Pascal, un gars prometteur, s’était porté volontaire, et il pensait qu'en supprimant une légende, il allait écrire son histoire. La tueuse demande ensuite où est sa cible, et son interlocutrice lui répond qu'il loge dans un hôtel rue de Rennes, et qu'il travaille comme vigile de nuit, dans une compagnie d'assurances à Bastille. La tueuse décide alors de se déplacer dans le métro pour le croiser, tout en gardant une main sur son arme à feu. Cependant, l'homme ne réagit pas et ne semble pas reconnaître la femme, qui déprime. On apprend ensuite que les 2 tueurs se sont connus à Manille. Mais en recevant encore des informations, la femme voit une vidéo dans laquelle sa cible s'entraîne énormément. Celui-ci sait donc que tôt ou tard, il mourra. Un soir, la tueuse et son informatrice vont espionner l'homme, mais celui-ci ne semble pas être là. La tueuse remarque pourtant une femme avec une béquille, et son intermédiaire lui révèle qu'il s'agirait de sa copine. Ils auraient déjà été ensemble avant la disparition du tueur, mais elle n'avait pas de béquille à l’époque. Elle est probablement parisienne et l'homme serait revenu à Paris pour elle car il serait amoureux. La tueuse organise donc une rencontre dans une librairie, en faisant volontairement tomber un livre. Mais cette fois encore, l'homme ne reconnaît pas la tueuse. Après une douche, la tueuse est réconfortée par son informatrice, qui lui dit qu’après 9 ans, les souvenirs s'estompent alors que ce n’était qu'une semaine à Manille. On apprend alors que c'est cet homme qui a appris à la tueuse à se servir d'une arme. L’intermédiaire suggère plus tard à la tueuse de tirer dans le dos, mais la femme veut lui faire face. Elle se rend dans le métro où un jeune noir écoute de la musique, et attend sa cible. C'est un lundi soir à 20h30, dans la gare de Saint-Sulpice. Les 2 tueurs se font face et c'est au moment où un train passe que la femme dégaine et tire, étant plus rapide que l'homme. Mais celui-ci, demandant au noir de lui rendre son chapeau, ne semble toujours pas reconnaître la femme, ce qui blesse une dernière fois celle-ci...

    • Apparition : "Brief encounter - scene 1" et "Brief encounter - scene 2".
    • Statut : Vivante.

    Le tueur

    Cet homme semble être en fuite, mais on ne sait pas pour quelle raison. Il est revenu à Paris, et contemple la Seine depuis un pont sur lequel passe un tram. Un jeune homme en costume et cravate arrive avec un grand sourire, et une fois qu'il est à environ un mètre du tueur, il sort une arme à feu et menace son adversaire. Le tueur comprend que le jeune homme est là pour lui, et sort délicatement son revolver qu'il cachait dans sa veste, avant de le tendre au jeune homme. Mais alors qu'un autre tram passe, le tueur fait pivoter son revolver sur son doigt et tire directement à 2 reprises. Le jeune homme a à peine eu le temps de presser la gâchette, mais son bras est déjà redescendu et la balle va percuter le sol. Ensuite, le jeune homme s’écroule, mort. Depuis son retour à Paris, le tueur s'est installé dans un hôtel de la rue de Rennes, et travaille à la Bastille dans une compagnie d'assurance, en tant que vigile de nuit. Un soir, sur l'escalator d'une station de métro, le tueur croise une tueuse qu'il a formé il y a 9 ans, et avec qui il a eu une courte relation d'une semaine à Manille. Mais l'homme ne la reconnaît pas et ne fait même pas attention à elle. Par contre, sur une vidéo qui date d'il y a 3 ans, l'homme continue de s'exercer durement pour affronter quiconque viendra tenter de le tuer, car il sent sa fin proche. Il serait aussi apparemment en couple avec une parisienne, et ce serait pour elle qu'il serait revenu à Paris. Un autre jour, dans une librairie, l'homme croise à nouveau la tueuse, qui fait volontairement tomber un livre pour que le tueur la remarque. Elle s'excuse, l'homme lui rend le livre et la scrute un instant, mais ne la reconnaît toujours pas et s'en va. Puis, un lundi soir, à 23h30, à la gare de Saint-Sulpice, la tueuse se trouve sur le quai d'en face. L'homme sait qu'il s'agit d'un duel, laisse tomber son journal et se prépare à dégainer. Mais au moment de tirer, le tueur semble enfin reconnaître la femme, qui s'appellerait peut-être Mariko. La tueuse tire 2 fois alors qu'un métro passe, et l'homme s’écroule. Avant de décéder, le tueur demande à un jeune homme qui écoute de la musique de lui passer son chapeau, car sans lui, il n'est pas tranquille...

    • Apparition : "Brief encounter - scene 1" et "Brief encounter - scene 2".
    • Statut : Tué par la tueuse de 2 balles dans le coeur.

    Pascal

    Ce jeune homme est un tueur professionnel qui semble apparemment prometteur. Il s'est porté volontaire pour tenter de tuer une légende dans le milieu, qui vient de réapparaître à Paris, et qui semble s’être enfui pour une raison inconnue. Pascal espère ainsi écrire sa propre histoire. Pour pouvoir abattre sa cible, Pascal s'habille avec un costume et une cravate, et se rend sur un pont où passe une rame de tram, et d’où l'autre tueur contemple la Seine. Pascal s'approche tout sourire de sa cible, en essayant d’éviter d’éveiller les soupçons, et une fois à proximité, il sort son arme et menace l'autre homme. Celui-ci sort son revolver qu'il cachait dans sa poche et le tend à Pascal. Mais alors qu'un tram passe, l'autre tueur fait pivoter son revolver autour de son index et tire rapidement à 2 reprises. La main de Pascal tremble sur la gâchette et le coup finit par partir. mais son bras commençait déjà à s'abaisser, et la balle que Pascal vient de tirer vient percuter le sol à ses pieds, sans présenter le moindre danger pour l'autre tueur. Pascal s’écroule au sol et meurt.

    • Apparition : "Brief encounter - scene 1" et "Brief encounter - scene 2".
    • Statut : Tué par le tueur de 2 balles dans le coeur.

    Robert Larochelle

    Robert est un français qui s'est lassé de ses études sur l'histoire orientale. Il a donc commencé à fréquenter des personnes régnant sur les nuits parisiennes et s'est retrouvé coincé. Lors d'une nuit neigeuse, dans un café de la rue de Rennes, Robert a fait la connaissance d'un japonais nomme Kurosaki, possédant un doctorat et parlant couramment le français avec un accent vietnamien. Le français ayant perdu toute ambition et nageant dans le doute, Kurosaki lui a suggéré de faire un tour au Japon et d'aller voir une de ses connaissances à Tokyo, Hakamichi. Celui-ci est un simple cadre d'une organisation de yakuzas, et Kurosaki a demandé à Robert d'aller à ses côtés et de l'observer. En arrivant devant la porte de la société Yamato, le français y remarque une manifestation contre les Yakuzas. A l’arrivée de Hakamichi, celui-ci demande à Robert s'il comprend le japonais. Le français répond "en gros", et le japonais trouve l'expression amusante, avant de demander aux manifestants de revenir le lendemain. Une fois à l’intérieur, Hakamichi demande à Robert ce qu'il veut apprendre. Celui-ci répond que c'est le fonctionnement et la culture des yakuzas qui l’intéressent. Le japonais que la culture des yakuzas est une chimère mais ce n'est pas grave. Le français remarque alors une phrase de Miyamoto sur le mur : "Betsu wo kanashimazu". Hakamichi lui dit que cela se lit plutôt : "wakare wo kanashimazu", et Robert souhaite en connaître le sens. Le yakuza explique que c'est toujours prêt à tuer, toujours prêt à mourir. Ainsi commence la vie de Robert à Tokyo. Il constate que dans les restaurants, personne ne mange le brin de persil dans les assiettes, et en déduit qu'il y a une raison religieuse. Il comprend aussi que Hakamichi fait partie d'un petit groupe de yakuzas, et n'a qu'un seul homme de main. Un soir, alors qu'il sert le thé à des invités qui jouent à des jeux d'argent, Hakamichi lui propose de jouer lui aussi. Le yakuza sollicite la bienveillance des autres joueurs, qui acceptent cet étranger, et la partie peut reprendre. Puis, un matin d'hiver, le japonais demande au français de lui apporter une lame un peu plus grande qu'une dague. Dans une chambre d’hôtel, Hakamichi propose un verre, mais Robert refuse car il ne boit pas. Puis, une femme semble préparer le yakuza selon un rituel. Les 2 hommes partent ensuite, et arrivés dans une demeure, le japonais annonce au français qu'il va assister à un beau spectacle. Il s'agit en fait d'un meurtre. Robert reconnaît que la musique qui se joue dans cette demeure est du Bach, puis il demande ce qu'il doit faire. Hakamichi lui répond qu'il devra juste observer, puis partir et téléphoner à l'association pour raconter tout ce qu'il aura vu, avant de retourner dans son pays. Le français demande alors pourquoi le japonais va tuer cette autre personne, mais le yakuza répond qu'il ne comprendra pas mais que ce n'est pas nécessaire. Ensuite, les 2 japonais sortent leurs lames, et Hakamichi fonce sur son adversaire, le poignardant en plein dans l'estomac, sous les yeux ébahis de Robert...

    • Apparition : "Meurtre tokyoïte".
    • Statut : Vivant.

    Hakamichi

    Il s'agit d'un yakuza de Tokyo qui dirige un petit groupe, n'ayant qu'un seul homme de main. Un jour, alors qu'il revient vers son bureau, il remarque qu'il y a des manifestants devant sa porte. Il leur demande de s’écarter, ce que les gens font sans broncher, puis son homme vient lui dire qu'ils ont un visiteur étranger. Hakamichi lui demande s'il comprend le japonais, et l’étranger lui répond "en gros". Le yakuza trouve l'expression amusante, et l’étranger, qui dit s'appeler Robert, explique qu'il a fait la connaissance à Paris de Kurosaki, qui lui a dit de venir à Tokyo pour observer Hakamichi à ses côtés. Ce dernier dit aux manifestants de revenir le lendemain, puis les 2 hommes vont à l’intérieur. Le japonais demande au français ce qu'il souhaite apprendre, et ce dernier répond que c'est le fonctionnement et la culture des yakuzas qui l’intéressent. Mais pour Hakamichi, apprendre la culture des yakuzas et une chimère. Robert remarque alors la maxime de Miyamoto qui se trouve sur le mur, et qu'il lit "Betsu wo Kanashimazu". Le japonais trouve le français cultivé, mais lui dit que ça se lit plutôt "Wakare wo Kanashimazu". Robert souhaite en connaître la signification, et Hakamichi lui répond que c'est prêt à tuer, prêt à mourir. Par la suite, le français débute sa vie à Tokyo, auprès du yakuza. Un soir, alors que Hakamichi joue avec plusieurs personnes à des jeux d'argent, Robert vient servir le thé. Le japonais lui propose de participer, puis sollicite la bienveillance des autres personnes pour l’entrée en jeu d'un étranger. L'un se porte garant du paiement des sommes engagées, et la partie peut continuer. Puis, un matin d'hiver, Hakamichi demande à Robert d'amener, à l’hôtel où il se trouve, une lame, un peu plus grande qu'une dague. A l’arrivée du français, le japonais lui propose un verre, mais celui-ci refuse car il ne boit pas. Ensuite, à l'aide d'une femme, le yakuza effectue un étrange rituel. Après cela, les 2 hommes quittent l’hôtel, pour arriver finalement dans une demeure. Là, Hakamichi annonce à Robert qu'il va assister à un beau spectacle, un meurtre tokyoïte. Le japonais demande si le français reconnaît la musique qui est jouée dans cette demeure, et Robert reconnaît effectivement Bach. Le français demande ensuite ce qu'il doit faire. Hakamichi lui explique qu'il devra juste observer, puis qu'il partira et qu'il téléphonera à l'association pour raconter ce qu'il a vu. Après cela, il devra rentrer dans son pays. Robert demande ensuite pourquoi le yakuza doit tuer cet homme. Le japonais lui répond qu'il n'a pas besoin de le savoir. La cible sait pourquoi et c'est suffisant. Après avoir sorti sa lame, tout comme l'autre homme, Hakamichi fonce sur son adversaire et le poignarde en plein estomac...

    • Apparition : "Meurtre tokyoïte".
    • Statut : Vivant.

    Cronos


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