• Zipang : Personnages (7; Tomes 7 à 14)

    Voilà la sixième suite de la liste des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Monsieur Ryû

    Volume 7

    Monsieur Ryû est un chinois qui habite Xinjing, la capitale du Mandchoukouo, état fantoche des japonais durant la seconde guerre mondiale. C'est chez lui que loge Jirô Yoshimura, un japonais qui travaille pour le bureau des chemins de fer sud-mandchouriens, et qui est plutôt considéré comme un dissident par l’armée de terre japonaise. Le jour de la célébration des 10 ans d'existence du Mandchoukouo, alors que la fête bat son plein à l’extérieur, Yoshimura joue du violon, et Monsieur Ryû lui amène du thé et des brioches. Yoshimura lui demande pourquoi il n'est pas au défilé, et Ryû lui répond que cette fête est pour les japonais et que les chinois ne sont pas concernés. Par contre, il trouve que Yoshimura joue avec une grande intensité un morceau qu'il n'avait pas encore fait entendre. Le japonais lui explique qu'il s'agit de "Zigeunerweisen", un morceau difficile. Il s'excuse pour l'indisposition, mais Ryû lui dit que ce n'est pas grave, qu'il n'y connaît rien et que cela lui a paru très bien. C'est alors que Yoshimura lui donne son violon, disant qu'il se rend compte que c'est un cadeau étrange comme remerciement pour sa gentillesse. Monsieur Ryû se souvient que c'est un objet précieux pour le japonais, et celui-ci rétorque que c'est justement pour cela qu'il veut le lui donner. Ensuite, Yoshimura remercie Ryû et lui dit que quoi qu'il arrive en ce jour, il doit rester dans la maison. Le chinois est surpris, et le japonais s'en va. C'est la dernière apparition de Monsieur Ryû dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 7, dans le chapitre intitulé "Sillage 73 : Le violon de Jirô Yoshimura".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    Yabuki

    Volume 7

    Ce japonais est un ancien capitaine de la marine impériale, qui a démissionné pour se consacrer à son travail de médecin à Xinjing, capitale de l’état fantoche du Mandchoukouo. Mais lors de la cérémonie célébrant les 10 ans d'existence de cet état, un incident a eu lieu, et un ancien collègue de Yabuki, le lieutenant Katsumi Kisaragi, débarque chez le médecin avec un homme nommé Kadomatsu, et l'empereur Puyi du Mandchoukouo. Ce dernier s'est fait attaquer par l'un des avions du défilé. Le soir même, Yabuki et Kisaragi écoutent la radio et apprennent que l’armée du Kantô a établi l’état de siège après les cérémonies, taisant l'attaque sur Puyi, qui se trouverait au palais impérial. Yabuki trouve cela assez gros et pense que l’armée de terre n'est pas sereine. Mais il ne veut pas que Kisaragi lui donne du "capitaine", puisque maintenant, il est un simple citoyen. Pour Yabuki, cette affaire est exactement dans leur zone d'action, et il trouve dommage qu'il ne puisse s'en charger lui-même. Selon lui, si l'empereur a été pris pour cible, cela pourrait bien être une tentative de coup d’état, et les régiments de différentes provinces pourraient bien pousser à leur tour. Soudain, les 2 hommes entendent un bruit de vaisselle brisée venant de la chambre où est caché Puyi. On ne voit plus Yabuki par la suite dans ce tome.

    Volume 8

    Quelques jours après les 10 ans du Mandchoukouo, Puyi est toujours chez Yabuki, et celui-ci rentre d'une consultation. Il est contrôlé par l’armée de terre mais est autorisé à passer. Une fois chez lui, il demande à l'un de ses majordomes que l’entrée principale soit bien fermée. Kisaragi constate que Yabuki est très occupé, et celui-ci rétorque que les patients n'attendent pas. Mais Yabuki se demande s'ils comptent garder Puyi ainsi longtemps. Le lieutenant lui répond que celui qui en a après l'empereur va se montrer. Il s'agit de Takumi Kusaka, un ancien capitaine de la marine qui est censé être mort durant la bataille de Midway. Kisaragi rappelle à Yabuki qu'ils étaient ensemble sur l'Ise en 1937, sous les ordres du commandant Tamon Yamaguchi. Mais le médecin dit qu'il ne se souvient pas, car il y avait 2.000 hommes sur le navire. Yabuki demande plutôt pourquoi Kadomatsu protège Puyi, mais le lieutenant n'en sait rien. Le médecin s’étonne que Kisaragi ne pose pas des questions sur les objectifs des missions. Lui, après avoir changé de métier, il s'est senti revivre, libéré de son devoir, et il a compris que le monde ne se limitait pas à l’océan Pacifique. Plus tard, un soir, Yabuki rentre, alors qu'il est censé être de garde à l’hôpital. Il explique à Kisaragi, qui entretient son arme, s’être souvenu d'une chose à faire. D’après son analyse, le Japon devrait perdre la guerre, et toutes ces stratégies approximatives par des hommes sans convictions sont une perte de temps. Il aime le Mandchoukouo avec une atmosphère franche et ouverte. Mais si ils ne font rien, le pays disparaîtra dans 3 ans, révélant ainsi à Kisaragi qu'il connaît Kusaka et que celui-ci l'a convaincu. Il sort son arme juste avant que le lieutenant n'ai le temps de remonter la sienne, et menace ce dernier. Pour Yabuki et Kusaka, tant qu'il vivra, Puyi sera le pantin de l’armée de terre. Mais Kisaragi garde son calme et conseille au médecin d'appuyer sur la gâchette, car ainsi, Kadomatsu, qui est à l’étage, sera mis au courant. Il continue donc à monter son arme, mais se fait assommer avec un vase par Jirô Yoshimura, un autre complice de Kusaka. Après avoir ligoté Kisaragi, Kusaka monte à l’étage. Yabuki, lui, reste dans le salon, et après quelques minutes, un coup de feu se fait entendre. Plusieurs minutes encore plus tard, 2 autres coups de feu résonnent. Finalement, Kusaka a blessé Kadomatsu à l’épaule, et a ensuite tué Puyi d'une balle en plein front. Après cela, Yabuki va libérer Kisaragi. A la demande de Kusaka, il souhaite sauver Kadomatsu mais ils doivent vite filer car l’armée de terre va arriver. Dans la voiture, le médecin constate que la balle est entrée par la droite de la cage thoracique et s'est arrêtée dans le dos. Il y a de plus une forte hémorragie. Il doit donc extraire la balle et stopper l’hémorragie. Dans une petite maison de campagne, Yabuki réalise l’opération et explique son geste. Ensuite, il emmène les 2 hommes à Tianjin et puis disparaît. Yabuki n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 7, dans le chapitre intitulé "Sillage 75 : Etat de siège".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    Colonel Uryû

    Volume 8

    Uryû fait partie de l’armée de terre japonaise et en 1942, il est en poste à Xinjing, capitale du Mandchoukouo, l’état fantoche du Japon. Il fait donc partie de l’armée du Kantô. Il est aussi un grand amateur de marrons. Mais le jour des cérémonies célébrant les 10 ans d'existence du Mandchoukouo, l'un des avions de l’armée du Mandchoukouo, participant au défilé, prend l'empereur Puyi pour cible. Après cet événement, Puyi disparaît et l’armée du Kantô proclame l’état de siège. Mais quelques jours plus tard, les soldats japonais, qui ont été dans tous les hôpitaux de la ville, n'ont toujours pas trouvé l'empereur parmi les patients. Un de leur supérieurs s’énerve car ils doivent aussi chercher parmi le personnel, mais pour Uryû, qui mange des marrons, que Puyi soit mort ou vivant, cela ne change rien. D'ailleurs, aucun empereur n'est immortel, et il suffit de préparer le suivant grâce à la succession. Son homme lui parle alors des rapports des premier et deuxième régiments, surveillant Jiling et Heilong Giang, ne signalant aucun mouvement d'insurrection parmi l’armée du Mandchoukouo. Même parmi l'escadrille d'Andô, celui qui a essayé de tuer Puyi, il n'y a pas d'opposition. Il s'agirait peut-être donc d'un acte isolé. Uryû dit qu'il trouve cela intéressant, mais qu'en tant que militaire, il doit être paré à toute éventualité. Il se prépare à aller voir le général Ishijirô Umezu, et se demande qui aurait bien pu planifier une révolte illusoire. Face à son supérieur, le colonel dit qu'il pourrait y avoir des mouvements inquiétants dans l’armée. Pour Umezu, c'est inacceptable, car le territoire est important pour le Japon et ils ne peuvent tolérer le moindre trouble, l’armée étant très prise sur les fronts de Zhongzhi. S'ils doivent déplacer les troupes pour une répression, la responsabilité de l’armée du Kantô sera mise en cause. Mais Uryû veut mettre un terme au bourbier de la ligne de front et écarter les incapables comme Umezu, et il va donc saisir l'occasion. Peu après, on vient signaler au colonel que l'empereur ne se trouvait pas parmi le personnel des hôpitaux. Il reste néanmoins un médecin de la marine impériale, Yabuki, qu'ils peuvent interroger. Uryû n'a pas d'objection et dit que ce médecin va peut-être se ranger de leur côté. Dans la voiture, le subordonné du colonel se demande ce qu'ils feront s'il arrive quelque chose à Puyi. Uryû répond que c'est Fuketsu, son jeune frère, qui prendra sa succession. Pourtant, le subordonné rappelle que Fuketsu est marié à Hiro, descendante de l'empereur Meiji, et qu'en devenant impératrice, cela risque de poser un problème. Uryû est au courant et sait Fuketsu plus dur que son aîné. C'est là que son sacre va prendre tout son intérêt, permettant d'enfoncer une brèche dans le bourbier de Zhongzhi. Une fois à la demeure de Yabuki, personne n'ouvre le portail, ni ne répond aux appels. Le colonel ordonne de forcer l’entrée et à l’intérieur, dans une chambre, Uryû découvre le cadavre de Puyi, tué d'une seule balle en plein front. Pourtant, celui-ci semble sourire, et le colonel se demande pourquoi. C'est la dernière apparition d'Uryû dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Sillage 77 : Dans l'ombre".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivant.

    Volume 12

    Alors que l’année 1943 a déjà débuté, Uryû se rend dans le bureau du général Umezu pour lui dire qu'ils ne peuvent pas encore lever l’état de siège. Il explique que toutes les divisions s'activent à rétablir la sécurité en ville, mais il est encore trop tôt pour dire que l’état d'alerte est passé. Umezu demande donc quel est l'avis de leur division stratégique sur l'annonce d'une date de la levée de l’état de siège. Le colonel dit que selon les informations des postes-frontières, il y aurait des mouvements de l’armée soviétique. Le général comprend la situation mais pour lui, l'absence d'empereur ne peut durer indéfiniment. Hors, ils ne peuvent pas organiser une intronisation en maintenant l’état de siège par l’armée du Kantô, car cela mettrait en péril la crédibilité du Mandchoukouo, un état supposé indépendant. Il ordonne donc que l'ordre soit rétabli au plus vite car il en va de la gestion de l’état. En sortant du bureau d'Umezu, Uryû se dit qu'ils doivent tenir encore un peu car un retour de l'empereur ne les arrangerait pas. Avec un Mandchoukouo instable, cela pourrait leur permettre de sortir du bourbier qu'est le front de guerre en Chine. Tout en mangeant des marrons, ils énumère les 75.000 hommes de la 12ème armée de Hokushi et les 14.000 hommes des 11ème et 13ème divisions de Kachu qui ont été appelés en renfort pour maintenir la sécurité au Mandchoukouo. Cela a permis la réduction du front que tout le monde souhaitait mais que personne ne voulait faire par peur de perdre la face, et tout cela avec la seule mort de Puyi. C'est alors qu'un officier entre dans le bureau du colonel. Celui-ci reconnaît directement le général Kanji Ishiwara, qui admet que Uryû mange toujours des marrons en réfléchissant. Le colonel lui dit qu'il n'a pas caché son étonnement quand il a appris que le général reprenait du service. Celui-ci est devenu chef d’état-major des armées dépêchées en Chine, ce qui signifie qu'il va aller à Nankin. Mais avant cela, il a une affaire à régler à Xinjing. Uryû se demande comment Ishiwara en est arrivé là, et celui-ci dit qu'il est allé voir Tôjô à sa résidence, qui est celui qui a interdit les ouvrages d'Ishiwara et l'a poussé à aller dans la réserve. Mais pour Ishiwara, Tôjô est dans l'impasse avec le retrait de Guadalcanal, et il s'est excusé auprès de lui. Uryû est surpris car il croyait qu'Ishiwara ne s'inclinerait jamais devant Tôjô, même si celui-ci le suppliait. Le colonel aimerait connaître la position du quartier général au Japon sur la mobilisation, et le général répond que devant le peuple, ils font la grimace, mais que beaucoup se réjouissent en coulisses. Uryû questionne ensuite Ishiwara sur sa vision d’évolution de la situation, et ce dernier répond que le front en Chine va s'effondrer. Tchang Kaï-chek et Mao Zedong vont alors s'affronter, et l’armée communiste devrait l'emporter dans l’après-guerre. Ceux qui seront les plus effrayés sont surement les Etats-Unis qui ont apporté un soutien financier de 1,5 milliards de dollars au parti populaire. La menace "rouge" devenant réelle, ils réfléchiront plus à l’après-guerre et les conditions seront réunies pour mettre fin au conflit. Le colonel se demande si celui qui a tué Puyi a pensé à tout cela, mais le général ne sait pas. Pourtant, Uryû est persuadé que cet homme y a pensé et que c'est pour cette raison qu'Ishiwara s'est abaissé devant Tôjô. Ce qui l’intéresse maintenant, c'est cet homme, et si celui-ci accompagne Ishiwara, il est prêt à le suivre n'importe où. Le général demande alors si le A-26, cet avion expérimental qui a fait un vol jusqu'en Allemagne, ne devrait pas bientôt arriver à Xinjing...

    Volume 13

    Uryû et Ishiwara se rendent à l'atterrissage du A-26, et le colonel remarque que le général salue plus particulièrement un attaché militaire en Suisse, conseiller de la marine et aspirant technicien, le lieutenant Kazuma Tsuda. Il comprend donc que l'affaire à régler à Xinjing était d'accueillir cet homme. Ensuite, afin de célébrer le record de distance obtenu par l'A-26, Uryû organise une fête d'accueil pour l’équipage de cet appareil, qui fait la fierté de l’armée de terre. Un de ses subordonnés trouve cela étonnant, alors que le colonel déteste ce genre de protocole, mais celui-ci répond qu'il est important de décompresser, même en état de siège. Il charge son homme de dresser une liste d'invités sans accroc. Lors de la réception à l’hôtel Yamato, Uryû complimente Tsuda sur son costume fait à la hâte. Il demande ensuite à avoir des nouvelles sur l’armée allemande, car il a un peu oublié le front européen à force de s'occuper du Mandchoukouo. Et les informations ont souvent un peu de retard. Après les présentations, le colonel invite le lieutenant dans une autre pièce, qu'il ferme avec le verrou. Il dit que l'ambassadeur Ooshima, trop optimiste sur le front russe, donne une vision tronquée dans ses rapports. Avec la Chine et l'Union Soviétique, l'Eurasie pourrait être le tombeau de l'axe d’après Uryû. Mais il dit que le retrait des troupes de ce bourbier est dû à la mort de Puyi. Il révèle que sa mort n'est pas dû à la maladie et que l'assassin de celui-ci court toujours. Il dévoile aussi que l'assassin a utilisé un mauser dans la maison d'un ex-capitaine de la marine, ayant tiré une balle en plein front à bout portant. Il évoque aussi le sourire de l'empereur, comme s'il avait prévu ce retrait des troupes japonaises. Et alors que de son vivant, il n'avait réussi à faire bouger personne, avec sa mort, il est parvenu à déplacer un million d'hommes. Il dépose la douille sur la table, et Tsuda reprend le raisonnement en disant qu'avec le retrait, Union Soviétique et Chine vont se disputer le Mandchoukouo. Les russes risquent de progresser vers le sud, et la Chine risque de devenir communiste. Les Etats-Unis devront donc revoir leurs positions par rapport au Japon. Mais le lieutenant estime que ce scénario a besoin d'une suite. En effet, pour que la guerre civile soit encore plus réelle, il faut créer une liaison avec Mao Zedong et le soutenir. Et selon lui, une seule personne est capable de cela, et elle vient d'arriver en Chine. Uryû comprend qu'il s'agit d'Ishiwara, et il dit que son interlocuteur n'est pas Tsuda, et qu'il l'a peut-être tué. Il lui reste donc 2 possibilités, soit l’arrêter au nom de l’armée du Kantô, soit le remettre à la marine. C'est alors qu'une personne de la marine frappe à la porte et demande à le voir, ainsi que le lieutenant. Mais le colonel prétend que Tsuda est rentré à son hôtel, avant de fermer à nouveau la porte et d'annoncer qu'il y a une autre possibilité, celle de voir où mène ce stratagème et donc laisser cet homme en liberté. A la fin de la soirée, Ishiwara et Uryû accompagnent le prétendu Tsuda à sa voiture, puis, le lendemain, le colonel accompagne le général à la gare de train de Xinjing pour son départ pour Nankin. D'un oeil, Uryû observe le prétendu Tsuda monter dans le même train, mais celui-ci est rapidement encerclé par plusieurs hommes. Le colonel ordonne alors à ses soldats d'empêcher ces hommes de poursuivre le prétendu lieutenant, qui a fui dans le train. Ces hommes appartiennent en fait à la marine, et disent que celui qu'ils poursuivent est en fait le capitaine Takumi Kusaka. Mais Uryû ne veut pas que la marine intervienne à Xinjing, territoire de l'armée de terre. C'est à ce moment que Kusaka sort du train et se rend, admettant son identité. Le colonel se demande donc ce que va devenir le plan de Kusaka si celui-ci est arrêté et enfermé. On ne voit plus Uryû par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    Général Yoshijirô Umezu (PH)

    Volume 8

    Ce militaire est le commandant de l’armée du Kantô à Xinjing, capitale du Mandchoukouo, en 1942. Lors des cérémonies célébrant les 10 ans d'existence de l’état fantoche du Mandchoukouo, l'appareil piloté par le colonel Andô de l’armée de l'air de cet état, participant au défilé, prend pour cible l'empereur Puyi. Dans la confusion, ce dernier disparaît, et l’armée du Kantô proclame l’état de siège dans la ville. Quelques temps plus tard, un soir, le colonel Uryû vient annoncer à Umezu que les fouilles dans les hôpitaux n'ont rien donné et que l'empereur est toujours introuvable. De plus, selon Uryû, il pourrait y avoir des mouvements d'opposition dans l’armée du Mandchoukouo. Ceci est inacceptable pour le général car le territoire est vital pour le Japon. Ils ne peuvent tolérer aucune agitation, car l’armée impériale est déjà très occupée sur les fronts de Zhongzhi. Donc, s'ils doivent déplacer des troupes pour mettre en place un répression, la responsabilité de l’armée du Kantô sera mise en cause. Enervé, Umezu ordonne à Uryû que Puyi soit absolument retrouvé. C'est la dernière fois que l'on voit Umezu dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Sillage 77 : Dans l'ombre".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivant.

    Volume 12

    A Xinjing, au début de l’année 1943, Umezu reçoit dans son bureau le colonel Uryû qui vient lui faire son rapport. Celui-ci estime qu'ils ne peuvent pas encore lever l’état de siège sur la ville car malgré que toutes les divisions s'activent au rétablissement de la sécurité, il est encore trop tôt pour dire que l’état d'alerte est passé. Le général souhaite alors connaître la position de leur division stratégique concernant l'annonce d'une date précise pour la levée de l’état de siège. Uryû lui répond qu'ils ont reçu des informations des postes-frontières, affirmant que l’armée soviétique est en mouvement. Umezu saisit alors la situation, mais il rappelle que l'absence d'empereur ne peut durer indéfiniment. Hors, organiser une intronisation alors que l’état de siège par l’armée du Kantô n'est pas levé mettrait en péril la crédibilité du Mandchoukouo, censé être un état indépendant. Umezu ordonne donc au colonel que l'ordre soit rétabli au plus vite pour pouvoir ensuite organiser une intronisation, car il en va de la gestion de l’état. Uryû acquiesce avant de quitter le bureau d'Umezu, qui n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    Keiko

     

    Volume 8

    Il s'agit de la femme de Yôsuke Kadomatsu, capitaine de la marine d’autodéfense du Japon et commandant en second du Mirai, un navire qui quitte Yokosuka dans les années 2000. Ensembles, ils ont un enfant, un fils d'environ une dizaine d’années, nommé Kazuhiro. Par contre, nous n'en apprendrons pas plus sur Keiko dans ce tome.

     

    • Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Sillage 80 : Les liens".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivante.
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    Kazuhiro

    Volume 8

    Kazuhiro est le fils unique de Yôsuke Kadomatsu, capitaine de la marine d’autodéfense du Japon et commandant en second du Mirai, un croiseur dernière génération qui quitte Yokosuka dans les années 2000. Sa mère s'appelle Keiko et on ne sait pas ce qu'elle fait dans la vie. Kazuhiro doit avoir environ une dizaine d’années, mais nous n'en apprendrons malheureusement pas plus sur lui dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Sillage 80 : Les liens".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    Vice-amiral Takijirô Oonishi (PH)

    Volume 8

    Il s'agit d'un pilier de la marine impériale japonaise et des forces aériennes, tout comme l'amiral Isoroku Yamamoto, durant la seconde guerre mondiale. En juin 1942, juste avant la bataille de Midway, la flotte combinée, commandée par Yamamoto, croise la route d'un curieux croiseur. Après enquête, il s’avère qu'il s'agit d'un navire japonais provenant de 60 ans dans le futur, le Mirai. Son équipage, qui a sauvé le capitaine Takumi Kusaka de la noyade après la bataille de Midway, révèle à la marine impériale qu'en août 1945, le Japon va accepter une reddition sans condition. Après avoir montré son incroyable puissance à Guadalcanal en août, Yamamoto invite le croiseur à revenir à Yokosuka. Sur le chemin, il se fait attaquer par une escadrille américaine et subit des dégâts. Ensuite, durant sa réparation dans les quais de Yokosuka, Yamamoto invite le commandant du Mirai, le capitaine Saburô Umezu, ainsi que le capitaine Masayuki Kikuchi, chef canonnier, et le capitaine Kôhei Oguri, chef navigateur, à une réunion en compagnie d'Oonishi, mais aussi de l'amiral Soemu Toyoda, du vice-amiral d'escadre Seiichi Itô et du vice-amiral Shigeyoshi Inoue. Toyoda présente un rapport sur les coûts de l'acheminement des matériaux pour les réparations et pour le ravitaillement du croiseur, et Umezu comprend directement que la marine veut la coopération du Mirai. Il rappelle cependant que le commandement du navire ne revient pas au grand empire du Japon, et qu'en l'absence de l’état du Japon d’où vient le Mirai, c'est à lui d'assurer le commandement, ce qui veut dire qu'il ne peut le céder à un pays tiers. Oonishi intervient pour dire qu'il ne peut toujours pas croire que le Mirai vienne du futur, mais que si c'est vrai, même avec le changement de régime, le Japon reste le Japon. Il ne comprend donc pas que les membres du croiseur refusent de se battre avec eux. Umezu répond que la règle fondamentale est de ne pas faire usage de l’armée à des fins personnelles, et si la marine veut les forcer, ils saborderont le navire. Yamamoto sait qu'ils ont rencontré Yonai, et il comprend la thèse de celui-ci selon laquelle le Japon doit perdre la guerre pour pouvoir se relever, mais il est partie prenante et en tant que militaire, il doit gagner la guerre. Il fait aussi savoir que selon ses informations, l'empereur Puyi de Mandchourie a été assassiné. La situation est donc en train de changer, et pour faire en sorte que la guerre ne devienne pas un enfer, il faut que le Mirai les aide. Kikuchi intervient alors pour dire que la victoire ou la défaite ne règlent pas un conflit pacifiquement, mais que c'est de la politique, en trouvant un équilibre permettant de vivre et de laisser vivre l'autre, par la voie diplomatique. De plus, c'est à cause de militaires et de partisans de la guerre que le Japon est entré en conflit. Il doute donc que la marine possède le pouvoir politique suffisant pour faire face aux partisans de la guerre. Yamamoto dit alors que c'est pour cela qu'il souhaite leur collaboration, et ajoute qu'il aimerait leur faire rencontrer quelqu'un, qui détient l’autorité du commandement suprême dans la marine et l’armée de terre, et qui peut conseiller l'empereur. Il rejoindra le Mirai dans la baie de Sagami. Il s'agit du ministre de l’intérieur, Kôichi Kito. Plus tard, alors que le croiseur quitte le port de Yokosuka, Oonishi refuse de le voir et préfère rester dans ses appartements. Oonishi n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Sillage 81 : Le joker du Mirai".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    Amiral Soemu Toyoda (PH)

    Volume 8

    Toyoda est un membre de la marine impériale critique envers l’armée de terre et opposé à la guerre contre les américains. Juste avant la bataille de Midway, la flotte combinée, commandée par l'amiral Isoroku Yamamoto, rencontre un croiseur inconnu. Après une enquête, il se révèle que ce navire, le Mirai vient de 60 ans dans le futur, et qu’après la bataille de Midway, il a sauvé le capitaine Takumi Kusaka de la noyade. Celui-ci annonce à la marine que le Japon va accepter une reddition sans condition en 1945. La marine souhaite donc rattacher ce navire à sa flotte, mais à Guadalcanal, en août, le croiseur refuse et fait une démonstration de son incroyable puissance. Par la suite, Yamamoto invite son équipage à retourner à Yokosuka, et sur le chemin, le Mirai est attaqué par une escadrille américaine, subissant quelques dégâts. Puis, pendant que le navire est en réparations, Yamamoto invite les capitaines Saburô Umezu, Masayuki Kikuchi et Kôhei Oguri, respectivement commandant, chef canonnier et chef navigateur, à une réunion en compagnie de Toyoda, du vice-amiral Takijirô Oonishi et des vice-amiraux d'escadre Seiichi Itô et Shigeyoshi Inoue. Pour commencer, Toyoda remet à Umezu un document avec les coûts pour l'acheminement des matériaux et pour le ravitaillement du Mirai. Le commandant du croiseur sait qu'en compensation, la marine veut la collaboration de son navire, mais il rappelle que celui-ci n'est pas sous l’autorité de l'empire du Japon mais de l’état du Japon, et qu'en absence de ce dernier, le commandement lui revient. De plus, il ne dispose pas le droit d'en confier le commandement à un pays tiers. Oonishi, qui a toujours du mal à croire en l'existence de ce navire, ne comprend pas que malgré la différence de régime, ils ne veulent pas aider des japonais comme eux. Umezu lui répond que la règle fondamentale est de ne pas faire usage de l’armée à des fins personnelles, prévenant que tout est mis en place pour un sabordage du navire si la marine tente de les forcer. Yamamoto dit partager la thèse de Mitsumasa Yonai, qui pense que le Japon doit perdre pour pouvoir se relever. Mais il est un militaire, et son devoir est de gagner la guerre. Il apprend aux capitaines que l'empereur Puyi de Mandchourie a été assassiné et que donc, la situation a déjà commencé à changer. Et pour éviter que la guerre ne devienne un vrai chaos, la collaboration du Mirai est nécessaire pour un règlement pacifique rapide. Kikuchi intervient alors pour dire qu'un règlement est affaire de politique, et qu'une victoire ou une défaite ne suffisent pas. Cette voie diplomatique visant un équilibre est indispensable. De plus, la marine ne possède pas le pouvoir politique suffisant pour faire plier les partisans de la guerre. Pour Yamamoto, c'est pour cela qu'ils ont besoin du croiseur, et il souhaiterait que le Mirai accueille à son bord un homme qui a l’autorité du commandement suprême dans la marine et l’armée de terre, capable de conseiller l'empereur, et qui va se diriger vers la baie de Sagami quand il sera prêt. Il s'agit du ministre de l’intérieur, Kôichi Kito. On ne voit plus Toyoda par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Sillage 81 : Le joker du Mirai".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    Vice-amiral d'escadre Seiichi Itô (PH)

    Volume 8

    Cet officier de la marine impériale, fidèle d'Isoroku Yamamoto, est un fin connaisseur des Etats-Unis. Juste avant la bataille de Midway, en juin 1942, la flotte combinée a croisé le chemin d'un curieux navire inconnu. Il s’avère par la suite que c'est un croiseur venu de 60 ans dans le futur, le Mirai. Le capitaine Takumi Kusaka, sauvé par les membres de ce navire après la bataille de Midway, annonce à la marine que le Japon va accepter une reddition sans condition en 1945. La marine cherche donc à avoir l'appui de ce croiseur mais en août 1942, à Guadalcanal, le Mirai refuse et montre son incroyable puissance. Pour calmer le jeu, Yamamoto suggère aux membres du croiseur de retourner à Yokosuka. Et sur la route, le Mirai est attaqué par une escadrille américaine qui lui fait subir quelques dégâts. Arrivé à destination, pendant que le navire est réparé, Yamamoto convoque les capitaines Saburô Umezu, Masayuki Kikuchi et Kôhei Oguri, respectivement commandant, chef canonnier et chef navigateur, à une réunion en présence d'Itô, mais aussi de l'amiral Soemu Toyoda, du vice-amiral Takijirô Oonishi et du vice-amiral d'escadre Shigeyoshi Inoue. Toyoda débute en présentant un document à Umezu relatif au coût de l'acheminement des matériaux et au ravitaillement pour le Mirai. Le commandant de ce navire comprend rapidement qu'en échange, la marine veut le soutien du croiseur. Mais Umezu prévient que le commandement du Mirai n'appartient pas à l'empire du Japon mais à l’état du Japon, et en l'absence de celui-ci, le commandement lui revient. De plus, il n'a pas le droit d'en faire profiter un pays tiers. Oonishi, qui a toujours du mal à croire à l'existence de ce navire, se demande pourquoi son équipage refuse d'aider des japonais comme eux, malgré la différence de régime. Umezu se justifie en rappelant que la règle fondamentale est de ne pas faire usage de l’armée à des fins personnelles. De plus, si on les force, tout est prêt pour un sabordage du croiseur. Yamamoto prend la parole pour dire qu'il partage la thèse de Mitsumasa Yonai, qui pense que seule la défaite du Japon pourrait lui permettre de se relever. Mais en tant que militaire, son devoir est de gagner la guerre. Il révèle ensuite que l'empereur Puyi de Mandchourie a été assassiné, ce qui signifie que la situation change déjà. Et pour éviter que la guerre ne devienne un enfer, l'assistance du Mirai est nécessaire pour arriver rapidement à une règlement pacifique. Kikuchi lui répond que le règlement est de la politique, et qu'une victoire ou une défaite n'est pas assez. Il faut trouver un équilibre par la voie diplomatique, et la marine n'a pas le pouvoir politique suffisant pour faire face aux partisans de la guerre. Pour Yamamoto, c'est bien pour cela qu'ils souhaitent la collaboration du Mirai. Il aimerait d'ailleurs que le croiseur accueille à son bord une personne qui possède l’autorité du commandement suprême sur la marine et sur l’armée de terre, quelqu'un qui puisse conseiller l'empereur et qui va bientôt faire route vers la baie de Sagami. Itô reste silencieux durant toute la conversation. Yamamoto parlait du ministre de l’intérieur, Kôichi Kito, et Itô n'apparaît plus ensuite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Sillage 81 : Le joker du Mirai".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    Vice-amiral d'escadre Shigeyochi Inoue (PH)

    Volume 8

    Cet officier de la marine impériale japonaise durant la guerre du Pacifique est un excellent théoricien, et libéral tout comme les amiraux Isoroku Yamamoto et Mitsumasa Yonai. En juin 1942, juste avant la bataille de Midway, la flotte combinée, commandée par Yamamoto, rencontre un étrange croiseur, et après la bataille, après avoir enquêté, la marine découvre qu'il s'agissait d'un navire provenant de 60 ans dans le futur, le Mirai, et qui est arrivé dans cette époque par un phénomène inexpliqué. Son équipage entre en contact avec la marine grâce au capitaine Takumi Kusaka, que le Mirai a sauvé de la noyade après Midway, mais ne voulant pas être rattaché à la marine, il montre sa puissance à Guadalcanal en août. Après cet événement, Yamamoto invite le croiseur à rentrer à Yokosuka, et sur la route, le navire est attaqué par une escadrille américaine, subissant quelques dégâts. Une fois à Yokosuka, tandis que le Mirai est réparé dans les docks, Yamamoto invite à une réunion les capitaines Saburô Umezu, Masayuki Kikuchi et Kôhei Oguri, respectivement commandant, chef canonnier et chef navigateur du Mirai. Inoue est présent à cette réunion, ainsi que l'amiral Soemu Toyoda, le vice-amiral Takijirô Oonishi, et le vice-amiral d'escadre Seiichi Itô. Toyoda commence par remettre à Umezu un rapport avec le coût pour l'acheminement des matériaux pour les réparations et le ravitaillement du croiseur. Umezu sait qu'en échange, la marine désire la collaboration du Mirai. Il rappelle néanmoins que le commandement ce navire appartient à l’état du Japon et non à l'empire du Japon, et en l'absence de l’état du Japon, c'est à lui que revient ce commandement. De plus, il ne dispose pas du droit de céder ce commandement à un pays tiers. Oonishi, qui ne voulait pas croire à un navire venant du 21ème siècle, ne comprend pas que, malgré une différence de régime, des japonais ne veulent pas aider d'autres japonais. Umezu lui répond que la règle fondamentale est de ne pas faire usage de l’armée à des fins personnelles, et que si la marine veut la forcer, tout est en place pour un sabordage du Mirai. Yamamoto dit ensuite être proche de la vision de Yonai, qui pense que le Japon doit perdre pour pouvoir se relever, mais comme il est un soldat, son devoir est de gagner la guerre. Il continue en disant que l'empereur Puyi de Mandchourie a été assassiné et que la situation a donc évolué. Et le seul moyen pour éviter que la guerre ne devienne un horrible chaos, c'est de collaborer. Kikuchi intervient alors pour dire que le règlement pacifique, c'est de la politique, et qu'une victoire ou une défaite ne suffit pas à arrêter une guerre. De plus il doute que la marine possède le pouvoir politique suffisant pour faire face aux partisans de la guerre. Yamamoto lui répond que c'est pour cette raison qu'il ont besoin du soutien du Mirai. Il souhaite que l’équipage du croiseur accueille à son bord quelqu'un qui détient l’autorité du commandement suprême dans la marine et dans l’armée de terre, capable de conseiller l'empereur. Il viendra quand il sera prêt dans la baie de Sagami. Plus tard, quand le Mirai quitte les quais, Inoue et Yamamoto l'observent de loin. Le vice-amiral se dit qu'avec un radar d'une portée de 450 km, ils n'auraient pas perdu à Midway. Qu'ils n'y croit pas comme Oonishi qui refuse de le voir, le navire est bien là, et Inoue trouve cela irrationnel de laisser ses sentiments prendre le dessus. Il est aussi un peu réjouit que sa théorie selon laquelle l’équipement prendra le dessus sur les canons se révèle vraie. Par contre, il trouve qu'Umezu est politiquement très fort, ayant préféré rester flou. Pour l'amiral, ils n'ont pas de temps à perdre, réduisant les fronts en conservant leurs forces et renforçant les Mariannes. S'ils gagnent là-bas, ils pourront régler pacifiquement le conflit. Et pour cela, le croiseur est indispensable. Inoue sait que c'est pour cela que le ministre de l’intérieur, Kôichi Kito, doit monter à bord. C'est sa dernière apparition dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 8, dans le chapitre intitulé "Sillage 81 : Le joker du Mirai".
    • Statut au volume 10 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.

    A suivre...

    Cronos


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