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Zipang : Personnages (3; Tomes 25 à 32)
Voilà la seconde suite de la troisième page des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Chef Ashikawa
Volume 25
Le Mirai esquive une nouvelle salve de tirs de l'Agano et se tient prêt à riposter. Ashikawa, lui, regarde l’écran où il voit Kusaka avec une certaine stupéfaction. Le premier coup de canon du croiseur neutralise directement l'Agano, et le Mirai peut prendre la fuite. Peu après, Ôme signale le décollage de 2 hydravions de reconnaissance qui les ont repéré. Kadomatsu et ses hommes vont les attirer pour permettre à Oguri et les autres de pouvoir s’échapper sans être vus. Ashikawa signale alors que les hydravions ont quitté la route de Kossol. Le croiseur les attire donc au large, vers le nord et après un certain moment, ils voient un autre appareil décoller. Selon l'horaire et le modèle, ils supposent qu'il s'agit de Kikuchi et de Momoi qui se sont aussi évadés. Juste après, les 2 hydravions regagnent leur base, et Ashikawa détecte 10 nouveaux appareils pour une recherche lointaine. Le Mirai peut donc rejoindre le reste de son équipage à l'endroit prévu. Une fois sur place, ils s'occupent du ravitaillement, et le commandant en second déclare alors qu'ils vont se battre pour un nouveau Japon, différent de celui de Kusaka, et dont leur croiseur sera son premier navire de combat. Après le ravitaillement, Ashikawa et Ôme observent la carte du Japon, qui se trouve à 1.700 miles au nord-nord-est, sur leur écran. Ashikawa dit que c'est une île qu'ils connaissent bien, et Ôme répond que plus il la regarde, plus il la trouve bizarre dans sa forme. Ensuite, le Mirai se dirige vers l'île de Palawan pour préparer sa prochaine action. Arrivés sur place, Ashikawa annonce qu'il y a une profondeur de 30 mètres et qu'il ne détecte aucun son dans l'eau. C'est la dernière apparition d'Ashikawa dans ce tome.
Volume 26
A Palawan, les membres du Mirai déploient une antenne artisanale pour pouvoir écouter toutes les communications des marines japonaises et américaines. Dans le même temps, ils apprennent grâce à Kikuchi, qui est à Tokyo, que la bombe atomique fabriquée par Kusaka va probablement être transportée par le Yamato. Quand les communications se taisent soudainement, ils savent alors que la grande bataille dans les Mariannes va débuter. Le croiseur se dirige donc vers Saipan, où les combats ont déjà commencé. Sur les écrans des radars, ils constatent que ce sont les américains qui sont les premiers à avoir trouvé la flotte adverse, et ils lancent une escadrille de 150 appareils à l'attaque. Ôme déclare donc que les appareils américains rencontreront la flotte combinée dans 1h30, c'est-à-dire à 10 heures. Ashikawa est assis à côté de lui, concentré sur son travail sur les écrans. C'est la seule fois qu'il apparaît dans ce tome.
Volume 27
La bataille fait rage, et après une première vague offensive de l’armée américaine, un appareil japonais repère à son tour la flotte adverse. Ainsi, japonais et américains envoient leurs escadrilles pour attaquer l'ennemi. Pendant ce temps, les membres du Mirai ne savent pas pour l'instant faire la différence entre les 2 cuirassés géants, le Musashi et le Yamato, les nommant A et B. Ils doivent aussi attendre que ce dernier se mette à agir seul pour pouvoir intervenir et tenter de désamorcer la bombe atomique. A un moment, un appareil américain fonce sur le cuirassé B et le manque de peu. Vers la fin de la journée, les 2 flottes lancent chacune une dernière escadrille avant la nuit. Ashikawa, toujours à son poste, continue de regarder l’écran avec une grande concentration, mais n'intervient pas pour le moment. On ne voit plus Ashikawa par la suite dans ce tome.
Volume 28
Les combats continuent jusqu’à la fin de la journée, puis au coucher du soleil, les membres du Mirai remarquent que 2 petites embarcations quittent le cuirassé B pour se diriger vers un croiseur. Pour Kadomatsu, il ne s'agit pas du déplacement de la bombe atomique car elle doit être trop lourde pour de telles embarcations. Il pense plutôt au déplacement du commandement de la flotte car les portes-avions se sont retirés, et que le reste de la flotte a pris une formation en colonne. Le B serait donc le Musashi et le A le Yamato. Ensuite, le SH60J revient à bord du croiseur pour son ravitaillement. Ashikawa et Ôme, toujours devant leur écran, observe l'appareil de recherche qui s'approche d'eux. Si celui-ci continue dans la même direction, il croisera la route du croiseur dans 20 minutes. Kadomatsu et Oguri font alors arrêter les machines. Ashikawa annonce ensuite que la flotte combinée poursuit sa progression en ligne, avec une vitesse et une direction inchangées. Ensuite, alors qu'Oguri et Kirino discute de la probabilité sur l'identité des cuirassé A et B, Ashikawa les interpelle car la flotte japonaise va bientôt passer au-dessus de la fosse des Mariannes. Celle-ci étant la plus profonde au monde, le chef navigateur évoque la possibilité de lancer de missiles sur le Yamato et le Musashi pour le couler et l'enfoncer dans cette fosse. Kadomatsu intervient alors et déclare en ironisant qu'ils peuvent aussi bien faire le tour des Amériques par le sud et tirer un coup de canon sur la maison blanche. Oguri en rajoute en disant que cela ferait une surprise à Roosevelt, et tout le monde, dont Ashikawa, éclate de rire. C'est la dernière apparition d'Ashikawa dans ce tome.
- Statut au volume 28 : Vivant.
Toï
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 28 : Supposé vivant.
Major Kawamoto
Volume 25
Kawamoto aide à l’évasion des membres du Mirai et prépare pour eux un tanker avec du carburant et du ravitaillement. Cependant, comme le croiseur va bientôt être déplacé, son équipage doit précipiter leur opération. Une partie des hommes, dirigée par le capitaine Kadomatsu, s’échappe et va récupérer le Mirai, tandis que l'autre partie, menée par le capitaine Oguri, attend que les yeux de la marine impériale soient dirigés vers le croiseur pour s’évader. Ceux-ci retrouvent le major qui les attendait avec le tanker de 30.000 tonnes, contenant des vivres pour 2 semaines. Les membres du Mirai neutralisent les gardes du tanker, tandis que Kawamoto et Oguri vont dans un hangar. Le lieutenant Kirino vient signaler que le tanker est prêt à partir, et le chef navigateur demande au major s'il part avec eux car il risque d’être soupçonné. Kawamoto lui dit alors que s'ils étaient restés sur l'île, les membres du Mirai n'auraient pas eu à craindre pour leurs vies, et pourtant, ils ont choisit de s’évader. Le major leur a donc donné sa confiance car même dans 60 ans, l'attachement d'un marin pour son navire restera le même. Kawamoto sait qu'Oguri et les siens ne se sentaient pas bien dans cette époque, et il est probable qu'il en serait de même s'il les accompagnaient. Il conseille donc au capitaine que pour éviter d’être soupçonné, celui-ci ne retienne pas ses coups. Le chef navigateur lui demande si il est sûr, et le major répond positivement, en ayant vu ce qu'il vaut au bras de fer. Oguri lui répond qu'il va le regretter. Après avoir encaissé les coups du capitaine, Kawamoto est ligoté et déclare une fois seul qu'il a senti les coups du chef navigateur. Il pense qu'avec un peu de chance, ils se reverront. On ne voit plus Kawamoto par la suite dans ce tome.
- Statut au volume 28 : Supposé vivant.
Watanabe
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 28 : Supposé vivant.
Matelot Shimizu
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 28 : Supposé vivant.
Capitaine de vaisseau Kameto Kuroshima (PH)
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 28 : Supposé vivant.
Contre-amiral Matome Ugaki (PH)
Volume 26
Avec l’arrivée du nouvel amiral, le capitaine Taki décide de libérer Kusaka et de le réintégrer à l’état-major de la marine impériale. De plus, dans le même temps, le capitaine Kikuchi est en désaccord avec le capitaine Kadomatsu sur la voie à suivre pour le Mirai. Il veut prendre une part plus active dans la guerre, alors que le commandant en second veut continuer à juste sauver un maximum de vies. Du coup, le chef canonnier choisit de prendre le contrôle du croiseur par la force. Un blessé est à déplorer, et Kadomatsu quitte temporairement le navire avec quelques hommes. Rattaché à la marine impériale, le Mirai participe à une opération dans l’océan indien, visant à attaquer les anglais et inciter ainsi l'Inde à vouloir réclamer son indépendance. Du coup, Churchill va demander l'aide à Roosevelt pour qu'il attaque dans les Mariannes et ramène les japonais dans l’océan pacifique. L’opération est un succès, malgré la perte d'un porte-avion. Ensuite, avant d'aller installer des systèmes de surveillance dans les îles Gilbert, le croiseur voit le retour de son commandant en second. Sur l'île de Betio, des américains débarquent d'un sous-marin, et le capitaine Kikuchi se retrouve blessé. Pour éviter que Kadomatsu ne reprenne le contrôle du Mirai, Taki et Kusaka prennent en otage les hommes venus emmener le chef canonnier pour qu'il soit hospitalisé. Taki et Kusaka capturent ainsi l’équipage du croiseur, et les isolent sur une île. Mais ceux-ci s’évadent et reprennent leur navire juste avant le début de la bataille dans les Mariannes, pour laquelle la marine impériale s'est intensément préparée. Les combats commencent le 12 décembre 1943, à 6h30. Ugaki se trouve à bord du Musashi, avec tout l’état-major, dont l'amiral Koga et l'amiral Fukudome. Ils reçoivent un message annonçant que le commandant Kakuta a abattu plus de 100 appareils. Pour Ugaki, le problème, ce sont les portes-avions ennemis, dont ils ne connaissent pas la position. En effet, d’après Koga, le premier à repérer l'adversaire prendra l'avantage dans cette bataille. C'est la dernière apparition d'Ugaki dans ce tome.
Volume 27
Grâce à un sous-marin qui s'est sacrifié, ce sont les américains qui repèrent les premiers la flotte japonaise, et envoient donc leur escadrille à l'attaque. A la fin de la première vague offensive, un appareil japonais trouve la flotte américaine. Cependant, Koga sait qu'ils ne peuvent pas faire décoller leurs escadrilles depuis les portes-avions pour l'instant. Ugaki lui rappelle qu'ils ont donné l'ordre à l'escadre de la base de Saipan de se tenir prête. Fukudome suggère alors à Koga d'envoyer cette escadrille attaquer l’armée américaine, mais pour le contre-amiral, cela va affaiblir les protections de leur flotte. Et si ils perdent cette flotte, ils n'auront plus le contrôle ni des mers, ni des airs. Pour Ugaki, il ne faut décider maintenant à pile ou face, mais conseille à Koga de décider prudemment. Celui-ci demande l'avis de Kusaka, qui déclare que les américains sont probablement en proie au même dilemme. Par conséquent, il recommande l'offensive. Koga suit ce conseil et envoie l'escadrille de Saipan. Par la suite, ils reçoivent un message indiquant qu'un porte-avion lourd a été sévèrement touché. Ugaki en est agréablement surpris. Tous sont content, mais Kusaka suggère d’être prudent car ils vont maintenant être la cible de la riposte américaine, qui vont probablement viser en premier les porte-avions, ainsi que le Yamato et le Musashi. Ugaki ne sourit plus, comprenant la situation. Une nouvelle vague américaine arrive en effet, et la bataille est rude, un morceau de métal, venant d'une explosion dans le ciel, venant même traverser la cabine de la passerelle. Un appareil américain va s’écraser sur le Musashi, et Ugaki demande au capitaine Bunji Asakura, commandant du cuirassé, de prendre une décision pour l’éviter. Celui-ci met la barre à tribord et tout le monde s'accroche, Ugaki compris. L'avion s’écrase en mer, et Ugaki félicite Asakura car s'il avait mis la barre de l'autre côté, ils y passaient. Kusaka intervient alors car selon lui, les prochaines vagues vont être encore plus intenses. Pour maintenir une position offensive, il suggère de transférer l’état-major sur la navire qui les suit, l'Ôyodo dès le coucher du soleil. Tout le monde est surpris, et Ugaki interroge Kusaka sur ce qu'il lui a pris. Pour ce dernier, l’état-major est le cerveau, et on n'atteint nullement son honneur en faisant ainsi. Ugaki se demande ce qu'il manigance, et s'il essaie de les faire passer pour des peureux. Juste après, on vient leur signaler que le Shôkaku a été torpillé et que le navire est à la dérive. Koga décide d'aller en discuter dans la salle de commandement stratégique. Là, Ugaki clame qu'avoir le commandement sur le navire majeur est une tradition de la marine impériale. Kusaka sort alors la pièce de métal encore chaude qui avait traversé la passerelle, et fait remarquer que celle-ci a frôlé la manche d'Ugaki. A quelques centimètres près, il aurait pu être tué, et cette perspective calme tout le monde. Koga choisit alors après réflexion de transférer l’état-major sur l'Ôyodo. Par la suite, la flotte japonaise fait décoller une dernière escadrille avant la tombée de la nuit, et Ugaki ordonne de brûler tous les documents en faisant disparaître tout ce qu'ils ne peuvent pas emporter. Ugaki n'apparaît plus ensuite dans ce tome.
Volume 28
A la tombée de la nuit, 2 embarcations s'apprêtent à emmener l'état-major, à l'exception de Kusaka qui a voulu rester sur le Musashi. Juste au moment de larguer les amarres, tous les officiers de l'état-major saluent l'équipage du Musashi, qui en font de même en retour. C'est la seule fois que l'on voit Ugaki dans ce tome.
- Statut au volume 28 : Vivant.
Général A. Alexander Vandergrift (PH)
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 28 : Supposé vivant.
Deuxième maître Enomoto
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 28 : tué par un soldat américain d'une balle dans le cou.
Vice-amiral Gunichi Mikawa (PH)
Ce personnage n'apparaît plus dans ces tomes.
- Statut au volume 28 : Supposé vivant.
A suivre...
Cronos
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