• Quartier lointain

    Pour finir ce second tour de table des oeuvres de mes 3 auteurs, il est temps que je parle du magnifique Quartier lointain. Ce manga a une telle force que même Jaco van Dormael, réalisateur belge (entre autre le huitième jour avec Daniel Auteuil) s'y est interessé et a décrit sa beauté. De plus, un autre réalisateur belge, Sam Gabarsky, en a fait un film, mais cela sera le centre d'un autre article. Ce chef d'oeuvre, je l'ai reçu lors de mes 25 ans.

     

    Fiche technique :

    • Titre VO : Harukana machi-e
    • Editeur VO : Shogakukan
    • Nombre de volumes VO : 2 (série terminée)
    • Années : 1998
    • Editeur VF : Caterman
    • Nombre de volumes VF : 2 ou 1 selon les éditions (séries terminées)

    Synopsis :

    Hiroshi Nakahara est un architecte qui a la quarantaine. Il retourne à Tokyo après un voyage d'affaire mais, suite à une soirée un peu trop arrosée, il se trompe de train et revient dans sa ville natale. Ayant un peu de temps avant le prochain train, Il fait un tour et arrive devant la tombe de sa mère. Là-bas, pris d'un malaise, il s'évanoui et se réveille un peu plus tard...dans le corps de ses 14 ans. S'offre alors à lui une seconde jeunesse. Il va pouvoir séduire la fille qu'il n'a jamais su approcher. Mais aussi, il va avoir la chance de peut-être comprendre le départ de son père. En effet celui-ci a disparu un jour d'été sans explication quand Hirochi avait 14 ans. Qu'est-ce qui peut donc pousser un père d'une famille heureuse à partir comme ça du jour au lendemain, sans le moindre indice pour le retrouver.

    Mon avis :

    Quest-ce que vous changeriez si on vous offrait la chance de revivre votre enfance ou votre adolescence. Est-ce que vous ne changeriez rien ou bien vous feriez tout différemment. C'est l'un des thèmes de Quartier lointain. Cette aventure magique où Hiroshi retourne en enfance est tout bonnement sublime. L'histoire aborde avec une douceur incroyable la nostalgie de nos années insouciantes où nous n'avons à nous occuper que de nous-même. Et ce rapport humain entre le père et le fils, qui rappelle à Hiroshi sa propre paternité, est abordé avec merveille. Finalement, pour résumer, ainsi va la vie.

    Ainsi se termine le second tour de table,

    Cronos


    Tags Tags : , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :