-
Monster : Personnages (12)
Voilà la onzième suite de la liste des personnages de Monster. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.
Il s'agit du nouveau chef de la police de Prague après la mort du maréchal Hamrick. Celui-ci a été mis en cause dans une affaire de corruption et de meurtres avec l'ancienne police secrète tchécoslovaque. Nepela se présente donc à ses subordonnés en même temps que les inspecteurs de la cellule spéciale d'enquête. Il évoque les derniers faits qui ont conduit au pire scandale depuis la création de la police tchèque, c'est-à-dire le meurtre du commissaire Zeman, retrouvé avec le corps de 2 anciens membre de la police secrète tchécoslovaque, puis l'empoisonnement d'Hamrick et de 2 autres membres, infiltrés dans la police. Nepela reçoit ensuite dans son bureau le jeune inspecteur Yan Suk, celui qui a fait la lumière sur les éléments corrompus de la police. Ce jeune homme enquête maintenant sur l'affaire dont s'occupait Zeman, à savoir la mort de monsieur Pedroff qui hébergeait illégalement des orphelins. Il n'a pas de nouveaux indices en ce qui concerne le suspect principal, Wolgang Grimmer, un journaliste allemand portant un gros sac. Une fois Suk sorti, le chef ordonne aux inspecteurs Janda et Novak de le suivre car il était proche du commissaire. Et en effet, Janda appelle pour signaler que le jeune inspecteur a pris contact avec Grimmer sur la place de la république. Cependant, les 2 inspecteurs sont retrouvés morts, tués par balles, dans l'appartement de Suk. La police fait alors surveiller la mère du jeune homme, hospitalisée pour des soucis de santé. On ne voit plus Nepela par la suite dans ce tome.
Volume 12
Les hommes de Nepela n'ont toujours pas retrouvé Suk et n'ont que peu d'éléments nouveaux, la plupart des acteurs principaux de l'affaire étant morts. Mais le chef ne veut surtout pas faire porter le chapeau à quelqu'un qui est déjà mort car cela ridiculiserait la police de Prague. C'est à ce moment que le commissaire Runge du BKA, la police fédérale allemande, vient rendre visite à Nepela. Ce dernier se souvient de la dernière fois qu'ils se sont vu, à la conférence d'interpol de Bonn. Le tchèque aimerait bien avoir l'avis de son collègue, en vacances, et lui explique donc son affaire. Runge lui répond qu'il a travaillé sur une affaire similaire récemment et Nepela remarque que le commissaire fait toujours bouger ses doigts instinctivement. Ensuite, l'agent du BKA demande un service à son collègue. Il veut qu'on lui traduise un livre d'image pour enfants écrit en tchèque. Les 2 hommes se quittent et on ne voit plus Nepela dans ce tome.
- Première apparition : Volume 11, dans le chapitre intitulé "Chapitre 2. L'image du monstre".
- Statut au volume 14 : Supposé vivant.
Ranke est l'un des boss de l'ancienne police secrète tchécoslovaque. Il a disparu après la chute du régime communiste. C'est lui qui a envoyé ses hommes auprès de Michael Ivanovich Pedroff, alias Reinhart Biaman, afin d'obtenir une cassette contenant les origines du "monstre". Plusieurs de ses hommes se font tuer et l'inspecteur Yan Suk, de la police de Prague, et le journaliste indépendant allemand Wolfgang Grimmer s'emparent de la fameuse cassette. Tous les 2 poursuivis pour meurtres, les hommes de Ranke tentent de faire pression sur eux mais ils se retrouvent tous à l'hôpital. Fort heureusement pour le colonel, Suk est aussi blessé. Il le transfère donc dans un établissement ayant des liens avec l'ancienne police secrète tchécoslovaque et quand Grimmer, accompagné de Kenzô Tenma, un chirurgien japonais recherché en Allemagne pour meurtres, viennent voir le jeune inspecteur, Ranke envoie quelqu'un les chercher. Il les attend dans un restaurant et se présente en victime d'une terrible méprise. Il dit n'avoir tué personne et ne pas connaître la jeune fille qui a été aperçue sur les lieux des meurtres. Il explique vouloir avoir la cassette pour un ami allemand mais le journaliste ne veut pas qu'une horreur comme le 511 kinderheim, un orphelinat est-allemand qui pratiquait le lavage de cerveaux, ne se reproduise. Il ajoute y avoir également séjourné. A ce moment, le colonel parle de son neveu qu'il a envoyé au 511 kinderheim, après que celui-ci ait perdu ses parents. Grimmer dit ne pas s'en souvenir mais au moment de partir, il se rappelle du nom de ce garçon. Le lendemain, Ranke se rend là où logent les 2 hommes mais ceux-ci ne veulent pas échanger la cassette contre Suk. Par contre, ils sont prêts à laisser le colonel écouter le contenu de la cassette. L'asiatique, lui, raconte tout ce qui lui est arrivé et tous les meutres commis par Johann. Mais Ranke ne connaît pas la mère des jumeaux, mais sait qu'il n'avait pas le contrôle d'une personne qui écrivait des livres d'images pour enfants sous différents pseudonymes, Franz Bonaparta. Finalement, le colonel accepte le marché mais en écoutant la cassette qui avait été confiée à la mère du jeune inspecteur, les 3 hommes se rendent compte que Johann a effacé une partie du contenu et qui déclare à Tenma qu'il sait maintenant où il doit aller...
Volume 12
Peu après avoir écouté la cassette dans la banque, le commissaire Runge du BKA, la police fédérale allemande, parvient à retrouver Suk dans un hôpital ayant des liens avec l'ancienne police secrète tchécoslovaque. Là-bas, il demande à pouvoir parler à Ranke de la "villa des roses", un bâtiment ayant appartenu à Bonaparta. Le colonel s'est informé sur cet excellent policier qui est en vacances et qui, après avoir poussé un secrétaire d'homme politique au suicide, a perdu de sa crédibilité. Mais il est encore assez doué pour savoir que la peur de la police secrète tchécoslovaque n'est qu'une illusion. Il fait maintenant des recherches sur la vraie terreur et s'est déjà rendu à la "villa des roses". Il cherche à savoir qui est Franz Bonaparta et ce qui se passait dans la villa. Mais il s'agit de quelque chose que Ranke s'est forcé à oublier. Des chercheurs et des criminels politiques y ont par exemple disparu. Mais Runge parle d'un mur qui a été construit dans la précipitation, comme pour essayer de cacher quelque chose. Le colonel lui répond alors qu'il y découvrira peut-être la véritable terreur s'il abat le mur. C'est la dernière apparition de Ranke dans ce tome.
- Première apparition : Volume 11, dans le chapitre intitulé "Chapitre 3. Playback".
- Statut au volume 14 : Supposé vivant.
Volume 11
Il s'agit du neveu du colonel Karl Ranke. Au début des années 60, celui-ci était chargé du service des renseignements de l'ambassade de Tchécoslovaquie à Berlin. Sa soeur avait épousé un allemand mais tous les 2 ont été tués en essayant de franchir le mur de Berlin. Devenu responsable d'Adolf, Ranke le plaça au 511 kinderheim, un orphelinat dont l'environnement devait être parfait et être à la base de l'élite future du communisme. Cependant, il s'agissait surtout d'un horrible endroit où des expériences sur le lavage de cerveau était pratiquée sur les enfants. Cet enfant a fait là-bas la connaissance de Grimmer et ils furent des amis. Adolf adorait le chocolat qu'ils recevaient une fois par semaine, mais apporta tout de même le sien à son ami quand celui-ci fut coincé à l'infirmerie pour de la fièvre. Le garçon demanda à Grimmer de ne surtout pas l'oublier, ce qui était dur dans cet établissement où les enfants oubliaient tout, jusqu'à leur propre nom. Adolf aimait les dessins et les insectes et laissait échapper les papillons qu'il avait capturé quand il allait dans la forêt avec ses parents. Il voulait devenir entomologiste. On ne sait pas ce qu'il est devenu.
- Première apparition : Volume 11, dans le chapitre intitulé "Chapitre 7. Souvenirs de chocolat".
- Statut au volume 14 : Inconnu.
Jusqu'à présent, on avait juste appris de la bouche de Hans Georg Schuwald, un riche vieil homme allemand, que la mère de Johann et Nina serait peut-être en vie à Prague, en République Tchèque. Dans les éditions Moravia de la capitale tchèque, le commissaire Runge du BKA, la police fédérale allemande, découvre un carton appartenant à Franz Bonaparta, un mystérieux personnage qui écrit des livres d'images pou enfants sous différents pseudonymes. Dans ce carton, se trouve des croquis des jumeaux mais aussi de leur mère, enceinte. Dans la "villa des roses", appartenant aussi à Bonaparta, le policer découvre aussi, dans la salle camouflée par un mur fait à la va-vite, un tableau représentant la mère des jumeaux. En 1980, Schuwald est allé à Prague à la recherche de Margotte Langer, alias, Helenka Novakova, la femme qu'il aime. Il se trouve qu'elle est la mailleure amie de la mère des jumeaux. Les parents participaient à des mouvements démocratiques en Tchécoslovaquie d'où elles sont originaires. La mère des jumeaux a été arrêtée quand elle ont essayé à 15 ans de franchir la frontière avec l'Allemagne. A l'appartement des "3 grenouilles" où Schuwald pense trouve Margotte, c'est la mère des jumeaux qui lui a ouvert la porte. Durant toute la discussion, les 2 jumeaux se trouvaient derrière leur mère, à écouter attentivement. On n'en apprendra pas plus sur la mère des jumeaux pour l'instant.
Volume 13
Au début de ce tome, on découvre le nom de la mère des jumeaux, Anna, car on suppose que la lettre d'amour trouvée par Runge dans la "villa des roses" est une lettre écrite par Bonaparta à la mère des jumeaux et il y est écrit ce nom. C'est cependant tout ce que l'on apprendra sur elle pour le moment.
- Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 1. Longues vacances".
- Statut au volume 14 : Inconnu.
Milosh est l'un des orphelins qui fut recueilli par Michael Ivanovich Pedroff, alias Reinhart Biaman, pour ses expériences sur l'éducation des enfants. Tout comme ses amis, il a fait la connaissance de Wolgang Grimmer, un journaliste allemand indépendant, avec qui ilsont joué au football. En rentrant chez eux, ils ont vu une belle jeune fille sortir de l'immeuble et leur grand-père a été assassiné. Ils sont tous persuadés que Grimmer est innocent et tentent de le prouver. Tous les garçons sont séparés par groupes de 3 ou 4, et placés dans des centres d'accueil. Milosh traîne beaucoup dans la rue et ne respecte pas les heures de fermeture de son centre, ce qui lui vaut d'etre enguirlandé à chaque fois par la responsable. Un jour, il aperçoit la jeune fille mais ne la suit pas jusque chez elle. Ses amis décident alors d'élaborer une stratégie pour savoir où elle loge. Pour prévenir les autres, les enfants doivent siffler. Pourtant, quand il revoit la fille, Milosh ne parvient pas à siffler. Ils courent dans les rues pour retrouver ses copains mais se heurte à la fille. Celle-ci, très gentille, dit s'appeler Anna. Milosh, lui, prétend être à la recherche de sa mère. Il n'a pourtant pas de photo d'elle et ne sait pas à quoi elle ressemble, et malgré tout, il est certain qu'il la reconnaîtrait s'il la voyait, ou si elle le voyait. Mais Anna évoque la possibilité qu'elle puisse feindre de ne pas le reconnaître et que la raison pour laquelle elle l'a abandonné est qu'elle ne l'aime pas et qu'elle ne l'a pas souhaité. Pour savoir qui a raison, la jeune fille emmène le petit garçon à la frontière allemande, près d'un endroit très animé où devrait être la mère de Milosh. Et si personne ne le reconnaît, cela voudrait dire que personne n'aurait souhaité l'existence de l'orphelin et qu'il n'aurait pas de raison de vivre. Cette ville frontalière est un quartier chaud et Milosh s'y rend seul. Sur place, il trouve un rabatteur qui accueille des japonais et qui annonce au petit garçon qu'il doit bien avoir une cinquantaine de femmes qui pourrait être sa mère. Ensuite, une prostituée le prend dans ses bras mais déclare directement ne pas être sa mère. Dans le coin d'une rue, il croise un client en plein action qui lui demande de rester pour regarder. C'est un professeur allemand qui prétend être très gentil et qui donne de l'argent à Milosh. Cet argent, il le donne à une autre prostituée qui semble en manque. A ce moment, l'orphelin comprend que personne n'a voulu de lui et part se jeter du pont dans la rivière. Mais il est arrêté par Grimmer, accompagné de Tenma, un japonais. Le journaliste, voyant l'état de choc dans lequel se trouve le garçon, le prend dans ses bras et lui dit que sa vie a quand même un sens, tout en versant des larmes. De retour au centre, Milosh retrouve la joie de vivre, malgré qu'il soit toujours aussi mauvais en calcul. Il arrête même un tir avec sa tête lors d'un match de football dans la cour de récréation. Il n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 2. La bande des petits détectives".
- Statut au volume 14 : Supposé vivant.
Ce monsieur fut autrefois le responsable éditorial, aux éditions Moravia, de Franz Bonaparta, un homme mystérieux sur lequel enquête Tenma. C'est pour cela que ce dernier se rend chez Mr Zobak qui lui sert un café. Celui-ci s'occupait de Bonaparta lorsqu'il écrivait sous le nom de Klaus Poppe. Aujourd'hui, retraité et habitant la place Schweig, il écrit des petits articles sur les journaux du monde entier. Bonaparta venait chez Zobak pour les réunions de travail et montrait ses premières idées et ses croquis. Il s'asseyait toujours dans le fauteuil qu'occupe aujourd'hui le japonais. Il allait aussi jouer dans le jardin avec la fille de Zobak. Celle-ci disait avoir peur de Bonaparta. Zobak supposait que l'écrivain faisait partie de la machine politique en place, sans en être sûr. Pourtant, il était raffiné et élégant. Cet homme avait un doctorat en Psychologie, était psychiatre et docteur en médecine, spécialisé en neurochirurgie. La dernière fois que Zobak l'a vu, c'était durant l'été 1981 ou 1982. Il était passé en coup de vent pour parler de son nouveau livre. Zobal l'avait trouvé étrangement très serein ce jour-là. L'histoire s'intitulait "Le monstre qui tombait amoureux" mais Zobak ne l'avait pas acceptée. Juste avant de partir, il a parlé d'une histoire où il y avait une porte qu'il ne fallait jamais ouvrir, avant de rire et de s'en aller. Après le départ de l'asiatique, Zobak se souvient avoir déjà vu son visage et en parcourant les journaux, il se rappelle qu'il s'agit de l'homme recherché pour plusieurs meurtres en Allemagne. Il téléphone alors directement à la police. On ne le voit plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 6. La porte refermée".
- Statut au volume 14 : Supposé vivant.
Il s'agit de l'un des patients du docteur Leichwein. Il va chez lui pour essayer de guérir de son alcoolisme. Il raconte qu'il a vendu ses actions Reiser-Berger pharmaceuticals juste avant qu'on ne découvre que ceux-ci ont mis un produit sans licence. Il a ensuite acheté des actions des laboratoires Knutter et a gagné un gros pactole. Durant la fête qui a suivi cet exploit, Mr Thalbach a un petit peu bu, ce qui rend Leichwein mécontent. Celui-ci répète que pour l'alcoolisme, la quantité n'a aucune importance. Le patient lui reproche alors que la clinique est restée fermée longtemps et Leichwein lui rétorque de ne pas rejeter la faute sur autrui. Il ajoute qu'il a appris que Thalbach n'est pas allé aux séances des alcooliques anonymes. Celui-ci trouve comme excuse qu'il ne veut pas qu'on le voit là-bas mais le psychiatre sait que cet alcoolisme n'est pas un secret dans le milieu des affaires. Le patient demande alors à Leichwein de recevoir une femme pour quelques instants. Il ne s'agit pas d'une maîtresse mais d'une alcoolique profonde. Cependant, le psychiatre est attendu ailleurs par un patient important et doit refuser. Il suggère à Thalbach que cette femme prenne rendez-vous auprès de la secrétaire. Thalbach n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
- Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 8. A la recherche d'Helenka".
- Statut au volume 14 : Supposé vivant.
Mr Kieffer est un scénariste allemand qui a eu le privilège d'être appellé par Hollywood. Il fut autrefois l'un des patients du docteur Tenma et il lui en est infiniment reconnaissant. Aussi, quand le japonais est accusé de meurtres en séries, Franz ne peut y croire. Alors qu'il est en fuite, l'asiatique est finalement arrêté à Prague. Dès ce moment, plusieurs des anciens patients du docteur Tenma se rassemblent pour aider leur bienfaiteur commun. Dans un café près de l'hôpital de Düsseldorf, Kieffer arrive en retard pour la réunion. Tous se félicitent les uns les autres de leur bonne mine et une dame admet se vanter de connaître une célébrité. Franz essaye de se montrer modeste mais reconnaît avoir beaucoup d'idées pour un nouveau script. Tous parlent ensuite de la chance qu'ils ont et se tournent vers la place qu'occupait le japonais pour boire son thé. Ils sont tous persuadés que l'asiatique n'a pas pu commettre ces crimes dont on l'accuse. Kieffer suggère de d'abord faire appel à un bon avocat, tandis que la dame pense que pour l'argent, chacun y contribuera. Hubert, lui, propose de faire une pétition à l'université. Cependant, quand Mr Hesse dit souhaiter la collaboration de l'hôpital, le docteur Becker, un ancien collègue de Tenma qui écoutait la conversation, leur rétorque que l'hôpital ne s'impliquera jamais dans une telle affaire car il y a de trop nombreuses preuves contre le japonais. Il trouve pourtant cela dommage pour un chirurgien si talentueux...
Volume 13
Dans ce tome, on ne voit pas Mr Kieffer, mais maître Verdeman, un avocat, prononce son nom parmi la liste des personnes qui veulent que celui-ci défende Tenma au tribunal. Par contre, c'est tout ce que nous apprendrons sur Mr Kieffer dans ce volume.
- Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 9. Ceux qui restent".
- Statut au volume 14 : Supposé vivant.
Il s'agit de l'un des anciens patients de Tenma, à Düsseldorf. Ce jeune homme est maintenant en dernière année à l'université. Apprennant que le japonais, accusé de nombreux meurtres, a été arrêté à Prague, Rudolf décide de se réunir avec d'autres anciens patients du chirurgien pour essayer d'aider celui qui les a sauvé. Dans une café juste derrière le Eisler Memorial hospital, un groupe se retrouve et Mr Kieffer, un scénariste remarqué par Hollywood, arrive le dernier. Tous parlent de leur bonne santé et du fait qu'ils profitent de la vie. Pensant ensuite à l'asiatique, Hubert se dit que la terminale serait sans doute encore loin devant si le jeune homme ne l'avait pas rencontré. Ensuite, tous se tournent vers la place où Tenma prenait son thé, saluant les gens de la main. Aucun des anciens patients ne peut se résoudre à croire que le japonais aurait commis des actes aussi horribles. Tandis que Mr Kieffer propose de trouver un bon avocat, une dame suggère à chacun une contribution pour l'argent, et Rudolf annonce qu'il va faire une pétition sur le campus. Pour ces gens, l'union fera la force. Cependant, quand Mr Hesse propose de demander la collaboration de l'hôpital, le docteur, un ancien collègue de l'asiatique qui écoutait le débat, leur prédit que l'hôpital ne se mêlera jamais de cette affaire car les preuves contre Tenma sont bien trop nombreuses. Il trouve pourtant cela dommage pour un si bon chirurgien...
Volume 13
Afin d'aider Tenma, ses anciens patients ont choisi de demander à maître Verdeman, un célèbre avocat, de le défendre. Celui-ci rend visite au japonais et lui cite la liste des personnes qui veulent que cet homme soit l'avocat de l'asiatique. Dans cette liste, il prononce le nom de Hubert. On ne verra cependant pas ce personnage dans ce tome et on n'en apprendra pas plus sur lui.
- Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 9. Ceux qui restent".
- Statut au volume 14 : Supposé vivant.
A suivre dans le prochain article.
Cronos
Tags : monster, personnage
-
Commentaires