• Zipang : Personnages (2; Tomes 33 à 40)

    Voilà la quatrième suite de la seconde page des personnages de Zipang. Attention : ces fiches contiennents des spoilers.

     

    Capitaine de corvette Takumi Kusaka

    Volume 33

    Après avoir tiré à plusieurs reprises, l'autogire du Mirai fait d'abord mine de quitter la zone, puis prend la direction du Yamato et s'en approche à grande vitesse. Kusaka dit alors au pilote de l'hydravion qu'ils doivent aussi se diriger vers le cuirassé, en ayant une position qui ne risque pas de gêner les batteries antiaériennes du Yamato. Le pilote pense alors à passer par l'avant du navire. Alors que l'autogire arrive sur le cuirassé, celui-ci envoie un message à Kusaka pour lui demander de l'aide. Cependant, le capitaine ordonne à son pilote de ne rien faire pour l'instant. Soudain, le Yamato tire un obus éclairant, et le pilote de l'hydravion repère un appareil américain. Avant l'extinction de la lumière, l'autogire passe au-dessus du cuirassé, et descend vers la cheminée. Takumi voit alors que le pilote tremble légèrement et va donc tirer en direction de l'hélicoptère. Après une première salve, le capitaine lui rappelle qu'il n'a pas donné l'ordre de tirer. Le pilote répond qu'ils sont pris entre 2 feux et qu'il fallait tirer avant, mais Kusaka lui rétorque que ces 2 appareils ne sont pas du même bord. Puis le pilote annonce qu'il y a des mouvements suspects sur l'autogire, et veut s'approcher. Lors de leur passage près de l’hélicoptère, Kusaka voit que le capitaine Oguri est à son bord. Pour le pilote, l'autogire s’apprête à lâcher une bombe dans la cheminée du Yamato. Il refait un passage, et Takumi comprend qu'il va tirer. Il lui hurle de ne pas le faire mais c'est trop tard. Après leur passage, Kusaka voit le chef navigateur du Mirai qui tombe après avoir été touché. Ensuite, l'autogire tire une dernière fois sur le cuirassé, et fait exploser la cheminée, ce qui oblige le Yamato à arrêter ses moteurs. En écoutant les communications radio, Takumi comprend que l'appareil américain a prévenu sa flotte de la situation. Le capitaine annonce alors à son pilote qu'il doit faire un amerrissage car il va monter à bord du cuirassé. Kusaka envoie donc un message lumineux au Yamato pour leur faire part de son intention. L'amerrissage se fait sans incident, et une embarcation vient prendre Kusaka et son pilote...

    Volume 34

    Kusaka dit au pilote de l'hydravion d'aller à la poupe du Yamato où une grue le fera monter à bord. Une fois sur le cuirassé, le capitaine rencontre le lieutenant Nojiri et demande à voir Kôgami. Nojiri explique que Kôgami est gravement blessé à l'abdomen, et cache la gravité de sa blessure avec de la morphine, mais aussi qu'il faudra une demi-journée pour remettre les moteurs du Yamato en état de marche, les faisant renoncer à une attaque de nuit. Dans la salle des machines, Kôgami déclare qu'ils ont échoué car les effets du phénobarbital vont bientôt s'estomper, et le reste de l’équipage du cuirassé va agir contre les 300 mutins. Mais Takumi lui répond de s'occuper des réparations, tandis qu'il se charge des 2.800 membres d’équipage. Kusaka part alors négocier avec l'amiral Ôno et le docteur Shimazu. Ce dernier va s'occuper des blessés, pendant que le capitaine montre à l'amiral la bombe atomique, et explique son intention. Il lui explique aussi que les effets du phénobarbital vont disparaître, mais qu'un appareil de reconnaissance américain a donné leur position à sa flotte principale, ce qui signifie que le Yamato sera une cible facile et sera capturé ou coulé. Kusaka va donc remettre à Ôno des canots de sauvetage et une radio, et les 2.800 membres d’équipage quitteront le navire. L'amiral accepte, un peu contraint et forcé, mais pense qu'il n'y aura pas assez de canots. Le capitaine le rassure car il a prévu 300 canots de sauvetage en caoutchouc dans la section des machines. Il est en effet impossible de savoir tout ce qui se passe sur un si grand navire. Takumi se rend ensuite sur le pont où il retrouve la dépouille d'Oguri. Ensuite, Nojiri appelle Kusaka en salle des communications, car il a intercepté plusieurs messages américains codés, notamment de la base de Kwajalein et du continent américain. Le capitaine décide alors de donner du travail aux personnes chargées de la communication. Il envoie un message non codé à toutes les flottes, décrivant la puissance du Yamato, que ses moteurs sont à l’arrêt, et que 2.800 membres d’équipage seront libérés et quitteront le navire au lever du soleil. Un message américain lui demande pourquoi il se bat, et Kusaka répond que c'est pour les mêmes raisons qu'eux. L’américain demande alors le nom de son interlocuteur, et Takumi répond sans rien cacher. C'est la dernière apparition de Kusaka dans ce tome.

    Volume 35

    Kusaka observe les manoeuvres d’évacuation qui se préparent, et l'amiral Ôno vient le voir pour lui dire que les canons principaux et les canons à grand angle, ainsi que les mitrailleuses, ne fonctionnent pas correctement, comme le voulait le capitaine. Celui-ci tient d'ailleurs à ce que Ôno rapporte la situation à l’état-major de la flotte combinée. Plus tard, Kusaka remet la radio promise, et constate qu'Ôno est resté à bord en tant que commandant du Yamato, pour attendre l’évacuation des 2.800 hommes sous ses ordres, au lieu de rapidement embarquer sur un canot pour informer au plus vite l'état-major. Plus tard, après l'évacuation au lever du soleil, les mutins aperçoivent une escadrille américaine d'une cinquantaine d'appareils en approche. Le lieutenant Nojiri ordonne de ne pas tirer avant qu'ils ne soient à 5.000 mètres, et Kusaka lui dit d'avoir confiance en eux-mêmes et en tout ce qu'ils ont accompli jusqu'ici. Ensuite, le capitaine se retire et laisse le commandement au lieutenant. En se déplaçant, Takumi constate qu'un cuirassé géant de 60.000 tonnes, manoeuvré par seulement 360 hommes d'équipage, est si silencieux. Il arrive dans la salle du commandant, qui est complètement vide. Il sort alors la pièce de 100 yens venant du futur, et se dit qu'ils se rencontreront bientôt, alors que les premiers coups de canon se font entendre...

    Volume 36

    Toujours dans la cabine du commandant, Takumi entend une explosion qui a probablement eu lieu à la passerelle. Un soldat vient lui confirmer que la passerelle a été gravement touchée. Le poste de commande des canons principaux, le poste de défense aérienne et le pont de jour sont eux aussi endommagés. Seul le pont de nuit est intact, mais le lieutenant Nojiri a été tué. Ensuite, le soldat s'effondre et décède, fortement blessé dans le dos. Le capitaine lui ferme les yeux, puis se rend sur le pont pour voir les dégâts. Soudain, un autre soldat avertit Kusaka qu'une bombe arrive sur le pont central. Takumi court pour se mettre à l'abri, mais le souffle le projette à terre. Le soldat s’inquiète de son état, mais le capitaine lui répond que tout va bien. Malgré tout, Takumi remarque qu'il a perdu l'usage de son oeil gauche. Kusaka va ensuite voir Kôgami qui lui annonce que sur les 12 chaudières, 6 sont détruites et 4 ont pu éviter un impact direct. En les remettant en marche, ils pourront avancer à 10 noeuds. Ensuite, le capitaine dévoile le décès de Nojiri et le fait qu'il reprend la direction des opérations. Mais Kôgami remarque le problème de vue de Kusaka, et lui donne son sabre émoussé pour qu'il s'en serve comme canne. Plus tard, dans un couloir, Takumi entend l'autogire du Mirai qui est près du Yamato. En arrivant sur le pont de nuit, Le capitaine dit au soldats que ces intrus ne sont pas là pour se battre mais pour s'occuper de leur colis. Kusaka ordonne de barricader le hangar et de placer 30 hommes devant, les autres devant se charger des réparations ou se préparer à la seconde vague américaine. Takumi inspecte ensuite son arme de poing et il n'apparaît plus par la suite dans ce tome.
    • Statut au volume 36 : Vivant.

    Volume 37

    Sachant à peu près où se trouve l’équipe du Mirai, Kusaka utilise la radio interne pour leur parler, limitant cette communication au secteur du navire où ils doivent être. Il leur dit que le capitaine Oguri est tombé sur le pont supérieur, et que son corps se trouve maintenant dans la cabine du commandant, qui ne doit pas être loin de la position de l'escouade du croiseur. Un peu après, Kusaka appelle la cabine du commandant, et c'est Kadomatsu qui décroche. Kusaka l'informe que l'homme du Mirai qui était resté en arrière s'est fait sauter avec des grenades, emportant avec lui 7 soldats du Yamato. Le second du croiseur remercie Kusaka pour sa sollicitude, mais il déclare être déterminé à faire échouer son plan, quitte à tuer Kusaka. Plus tard, la seconde vague offensive américaine arrive, mais un soldat constate qu'il y a moins d'appareils qu'attendu. Le capitaine ordonne de préparer la riposte antiaérienne. Les canons tirent, mais les avions américains changent de cap. Ensuite, un navire américain envoie un message directement au Mirai, lui demandant de collaborer avec eux s'ils ne veulent pas être attaqués par l'escadrille, sachant que le croiseur est fort endommagé et incapable de lancer des missiles. Si ce n'est pas le cas, ils n'ont qu'à balancer leur "flèche du Sagittaire" pour montrer leur puissance. Takumi comprend que dans le camp américain aussi, il y a un très bon stratège pour avoir deviné l’état du Mirai. On ne voit plus Kusaka ensuite dans ce tome.

    Volume 38

    Takumi apprend, grâce aux messages radio des américains, que l'autogire du Mirai a tiré sur des appareils américains. Il pense que c'est le sens des responsabilités qui a poussé le pilote à ouvrir le feu. De plus ses décisions vont le rapprocher de la mort et il le sait très bien. Plus tard, Kusaka apprend que le hangar où se trouve la bombe atomique a subi une coupure totale d'électricité. Les soldats qui s'y trouvent demandent ce qu'ils doivent faire, pensant à un dysfonctionnement du générateur. Le capitaine qu'il s'agit d'une action de Kadomatsu et ses hommes. On apprend ensuite que Kusaka a fait remplir d'eau le hangar principal contenant la bombe, grâce aux pompes à injection. Le capitaine apprend ensuite qu'il y a eu une explosion dans le hangar annexe, suivi d'un bruit d’écoulement. Comprenant que l’équipe du Mirai a fait sauter la paroi entre les hangars, et sachant pourtant que la mort par noyade est très douloureuse, il ordonne au lieutenant Sakai de redémarrer les pompes à injection d'eau. Peu après, Kusaka reçoit un message de la salle de commande des machines, déclarant que les hélices 3 et 4 peuvent à nouveau tourner. Le capitaine ordonne de mettre les moteurs à pleine puissance en maintenant le cap. C'est la dernière apparition de Kusaka dans ce tome.

    Volume 39

    L'équipage du Yamato fait remarquer que le navire tire vers la gauche car les rotations de la quatrième hélice sont instables. Kusaka ordonne de corriger le cap, et n’espérait pas tout arranger avec des réparations d'urgence. Puis un message provenant des hangars de la machinerie annonce que les intrus ont réussi à forcer la soudure de la porte. L'eau a maintenant envahi le couloir. Le capitaine ordonne de stopper l'injection d'eau, et d'envoyer 2 autres escouades de 12 hommes sur place pour éliminer les intrus. Takumi est tout de même légèrement contrarié que Kadomatsu et ses hommes continuent à lui causer des problèmes. Le maître Sakai demande si le "colis" ne risque rien, et pour Kusaka, il n'y a pas à s’inquiéter. Takumi sait que pour ceux qui savent quel genre de bombe c'est, il est impossible de s'approcher sans appréhension, comme marcher sur un pont de verre suspendu. Un autre appel vient des hangars de la machinerie, et signale que les intrus se sont retranchés derrière la bombe. Mais il y a aussi un message radio provenant de la marine américaine, disant que leur flotte de 48 navires s'approche d'eux pour les stopper. Kusaka pense alors qu'ils doivent se dépêcher de reprendre le contrôle du hangar. Il remercie les hommes présents de l'avoir suivi jusque là, et ordonne le débuts des préparatifs d’évacuation, grâce à des canots encore en réserve. Ensuite, le capitaine dit se rendre au hangar, et ajoute au maître Sakai de poursuivre l’évacuation, même s'il ne revient pas à temps. Quand il arrive dans le couloir du hangar, Takumi voit une grenade exploser. Les hommes du cuirassé se replient, mais Kusaka leur dit qu'il n'est pas nécessaire de maîtriser les intrus, mais juste de leur montrer qu'ils n'abandonnent pas. Takumi sait que le dispositif de la bombe est piégé par une machine à coder "Enigma". Les fils de raccordement sauteront quand l'escouade de Kadomatsu ouvrira la boîte, et le compte à rebours se mettra en route. Et c'est effectivement ce qui se produit quand Kusaka entend une sirène résonner dans le navire. L’équipe du Mirai a donc 99 minutes pour remettre les câbles aux bons emplacements. Kusaka appelle alors Kadomatsu pour lui dire que si lui et ses hommes veulent s'en sortir vivants, ils n'ont qu'à quitter le navire en même temps que lui et son équipage...

    Volume 40

    N'ayant pas de réponse, Kusaka interpelle à nouveau Kadomatsu, mais celui-ci demande pourquoi Kusaka est prêt à le sauver, lui et ses hommes, alors qu'il pourrait partir tranquille. Kusaka répond qu'il s'est toujours senti redevable du fait que le second du Mirai lui a sauvé le vie. Mais Kadomatsu lui rétorque qu'il ment car il veut juste s'assurer que personne ne va arrêter le compte à rebours. Le second du croiseur révèle alors qu'ils ont placé un dispositif sur le Yamato et que le Mirai, qui suit leur mouvements, peut lancer des missiles qui couleront le cuirassé, s'il en reçoit l'ordre. Kadomatsu propose donc de ne pas couler le Yamato si Kusaka arrête le compte à rebours et qu'il laisse partir sains et saufs les autres membres de l'escouade du Mirai. Kusaka est d'accord, à condition que ces hommes prennent leurs armes et leurs radios avec eux. Une fois seul avec Kadomatsu, Kusaka lui demande pourquoi il cherche à arrêter le dispositif. Le second du Mirai dit savoir que c'est la seule bombe fabriquée par Kusaka, car il est resté sur le Yamato malgré les difficultés. Il explique ensuite qu'il y a moyen d'avoir la paix en laissant les américains s'emparer de la bombe et leur faire donc savoir que le Japon a les moyens de fabriquer cette arme nucléaire. Mais Kusaka lui rétorque qu'il connaît bien mal les Etats-Unis et qu'un état aussi fragile ne pourra jamais dominer le monde. Ensuite, Takumi entre dans le hangar où le second du croiseur le menace de son arme. Kusaka se rappelle quand ils étaient tous les 2 dans la péninsule malaise, et la fois où ils se sont battus. Kadomatsu admet s’être trompé et qu'ils sont effectivement des fantômes. Il dévoile avoir été rendre visite à celui qui devait devenir son père, mais a découvert que celui-ci, qui a 9 ans, est décédé dans un accident de la circulation. Kadomatsu ne naîtra donc jamais et c'est donc un fantôme qui a sauvé le capitaine de la marine impériale, faisant de lui aussi un fantôme. Leurs 2 mondes sont donc séparés et la bombe n'aura pas d'influence sur le futur que connaît Kadomatsu. Pourtant, il veut arrêter cette bombe car une vie reste une vie. Kusaka demande à Kadomatsu de lui tenir son sabre, mais quand celui-ci le tient en main, Kusaka le bouscule et lui tire dessus, en le loupant volontairement. Comme Kadomatsu ne riposte pas avec son arme, cela signifie qu'il veut vraiment que Kusaka arrête la bombe, et que le Mirai tirera probablement à une heure fixée si Kadomatsu ne les contacte pas. Kusaka cède donc, et commence à replacer les câbles. Entendant les canons de la flotte américaine qui se rapproche, Takumi laisse volontairement tomber un câble dans l'eau, et s'attache le pied à une anse au sol. Ainsi, quand le navire est déstabilisé par un impact d'obus, Kusaka reste stable, tandis que Kadomatsu perd l’équilibre. De plus, une caisse qui se déplace vient lui broyer la jambe droite. Takumi en profite pour le désarmer et lui prendre sa radio. Il contacte le Mirai et met ses membres sous pression en leur disant que la vie de leur capitaine, incapable de se déplacer mais vivant, est entre leurs mains...
    • Statut au volume 40 : Vivant.

    Lieutenant Kashiwabara

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 36 : Vivant.

    Volume 38

    La bataille s'engage entre américains et japonais, et durant la première journée, c'est surtout l'aviation qui est utilisée. Une fois la nuit tombée, la flotte combinée choisit de faire une attaque nocturne. Grâce aux informations collectées par Kusaka sur le Mirai, les japonais compensent leurs défauts et les 2 flottes font jeu égal. C'est en profitant du chaos qui règne que le Yamato en profite pour s’échapper et filer au nord où se trouvent les troupes américaines de débarquement, la cible de Kusaka. Le Mirai se lance à la poursuite du cuirassé et tente de le forcer à s’arrêter, détruisant le télémètre et la tour arrière de contrôle des tirs. Mais grâce à Kusaka, qui est venu du Musashi à bord d'un hydravion de reconnaissance, le Yamato est parvenu à détruire les systèmes radars du croiseur, ce qui fait que le seul radar restant est celui du SH60J. Ensuite, pour stopper le cuirassé, Oguri et Ôme montent à bord de l’hélicoptère et tirent des hand arrow dans la cheminée du Yamato. Cela n’étant pas suffisant, ils décident de larguer le réservoir de secours dans la cheminée et de le faire exploser. Ils réussissent, mais le chef navigateur perd la vie dans l’opération. Alors que le SH60J retourne sur le Mirai, Kusaka annonce dans un message non codé qu'il compte libérer au lever du soleil les membres de l’équipage du cuirassé qui n'ont pas participé à la mutinerie. Pour Kadomatsu, ce sera l'occasion de faire un abordage avec une escouade, pour aller désamorcer la bombe atomique. C'est alors qu'un appareil de reconnaissance américaine repère le Mirai et donne sa position à sa flotte. Après le décollage de l’hélicoptère, le croiseur se fait attaquer par une partie de l'escadrille américaine qui tente de couler le Yamato. Mais alors que la seconde vague se dirige vers le cuirassé, elle change de trajectoire et prend la direction du Mirai. Un message d'un navire américain leur fait comprendre qu'ils savent que le croiseur est en mauvais état. Pour leur faire croire le contraire, le SH60J tire des hand arrow, mais il finit par se faire repérer par les avions américains. Il parvient à revenir sur le croiseur, mais l’hélicoptère ne peut plus voler, et ses 2 pilotes perdent la vie dans l'action. Le lieutenant Kashiwabara vient voir l'appareil avec le chef Asô, qui dit que les hommes de l'aviation sont déprimés. Kashiwabara comprend car les pilotes et les mécanos n'ont plus rien à faire. Il avoue redouter qu'aujourd'hui une tempête ne les ramène dans leur époque, et cette idée lui est insupportable. Il ajoute qu'ils ont fait courir beaucoup de risques à l'aviation, et que désormais, ils ont beaucoup de choses à accomplir. C'est la seule apparition de Kashiwabara dans ce tome.

    Volume 40

    L'escouade du capitaine Kadomatsu a réussi à pénétrer dans le Yamato et s'est mise à la recherche de la bombe atomique. Pendant ce temps, le radar du SH60J, qui a été récupéré intact, indique que le cuirassé s'est remis en route. Par la suite, le commandant en second les contacte pour leur dire que le chef Ôme, ainsi que le lieutenant Yonekura et le chef Katsuragi ont tous les 3 perdu la vie. Ils sont parvenus toutefois à trouver la bombe mais ont déclenché le compte à rebours à cause d'un piège de Kusaka. Il ne leurs reste donc que 97 minutes et 30 secondes pour arrêter la bombe. L’équipage du Mirai apprend ensuite que Kadomatsu a négocié avec Kusaka pour qu'ils soient les 2 seules personnes restantes sur le navire. Le radar repère donc la mise à l'eau des canots de sauvetage, et le lieutenant Kirino veut se dépêcher d'aller secourir leurs collègues. Kashiwabara demande donc ce qu'ils vont faire des mutins du Yamato. Le chef Asô lui dit que ces personnes ont accepté le plan de Kusaka et qu'ils sont animés d'une grande motivation. Pour lui, ces personnes méritent le respect pour leur volonté. Alors que le croiseur se dirige vers le cuirassé, ses membres reçoivent un appel radio, mais celui-ci provient de Kusaka, et non de Kadomatsu. Kusaka déclare que le second du Mirai est blessé à la jambe et incapable de se déplacer. Kirino ne veut pas prendre ces déclarations pour un fait, et Kusaka dit alors que si Kadomatsu a quitté le Yamato, le Mirai peut lancer ses missiles, mais il se pourrait aussi que le second du croiseur est déjà mort, et le Mirai peut la aussi lancer ses tomahawk. Kashiwabara écoute silencieusement la conversation, laissant Kirino parler à Kusaka, mais avec une certaine inquiétude. On ne voit plus Kashiwabara par la suite dans ce tome.
    • Statut au volume 40 : Vivant.

    Lieutenant Yonekura

    Volume 33

    Le SH60J décolle donc avec à son bord le capitaine Oguri et le chef Ôme, qui vont tenter de stopper le Yamato en tirant des roquettes terre-air dans la cheminée du cuirassé. Ils coupent la communication le temps de l'attaque, et quand le chef navigateur entre à nouveau en contact avec le Mirai, tous ses passagers, dont Yonekura sont contents de l'entendre. Mais Oguri explique qu'un appareil de reconnaissance, provenant sans doute de la flotte de débarquement américaine, est en approche, ce qui inquiète tout le monde. N'ayant plus le temps, le chef navigateur demande l'autorisation de faire une approche par l’arrière du Yamato, pour balancer le réservoir de secours dans la cheminée et le faire exploser. Kadomatsu ne veut pas qu'ils prennent tant de risques, mais leur seule autre solution est de balancer un tomahawk sur le cuirassé. Le second du croiseur autorise alors le changement du plan, et Yanagi, à côté de Yonekura, se demande comment ils vont éviter les mitrailleuses synchronisées sur la queue du navire. Hayashibara déclare alors que c'est l'appareil de Kusaka qui leur tire dessus avec un petit calibre, ce qui effraie Yonekura et ses collègues à bord du Mirai. Puis, quelques instants après, Hayashibara fait un appel d'urgence pour dire qu'Oguri a été touché par une seconde attaque de l'hydravion, et qu'il est tombé de l’hélicoptère. C'est nouvelle pétrifie Yonekura et les autres. De plus, le chef navigateur serait tombé sur le Yamato. Pourtant, Ôme tire avec le lance-roquette, et fait exploser le réservoir de secours qu'Oguri avait réussi à faire tomber dans la cheminée du cuirassé, forçant l’équipage de celui-ci à arrêter les machines. Ôme demande ensuite l'autorisation de lancer les recherches du corps du chef navigateur. Yonekura et les autres membres du Mirai écoutent avec grande attention la réponse du commandant en second qui, après avoir appris que son ami a été touché à plus de 2 reprises, refuse car les chances qu'il soit en vie sont nulles. Il ordonne au SH60J de revenir à bord du croiseur. C'est la dernière apparition de Yonekura dans ce tome.

    Volume 34

    Au retour du SH60J sur le Mirai, Kadomatsu va d'abord parler avec son équipage. Il choisit de ne pas lancer un abordage sur le Yamato, et aller déminer la bombe, pour ne pas risquer la vie des soldats qui n'ont pas pris part à la mutinerie. Mais c'est alors que Kusaka ouvre les communications et annonce à tous qu'il va justement libérer tous ceux qui ne font pas partie des mutins, évoquant aussi la puissance du cuirassé. En sachant cela, le second du croiseur écoute encore une fois les enregistrements sonores de l’hélicoptère, ainsi que les explications d'Hayashibara sur ce qu'il s'est passé. Yonekura écoute attentivement, et Kadomatsu comprend que Kusaka n'avait pas l'intention de tuer Oguri, le pilote de l'hydravion ayant décidé seul de tirer. Le commandant en second choisit alors de lancer l’opération d'abordage du Yamato, ce qui semble satisfaire l’équipage du Mirai qui a un nouvel objectif. Après un petit moment de réflexion, Kadomatsu annonce le nom des 8 personnes qui vont l'accompagner à bord du SH60J. Et il prononce le nom de Yonekura en premier, qui répond à l'appel. Yonekura n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 35

    Yonekura reçoit l'arme qu'il va devoir utiliser durant l'opération, et on demande à tous les membres de l'escouade de contrôler leurs armes. A un moment, le SH60J, une nouvelle fois en vol, signale qu'il aperçoit la confirmation du début de l'évacuation du Yamato. Les membres de l'escouade se disent alors que l'heure est venue pour eux. Mais l'hélicoptère repère aussi un appareil américain qui se dirige vers le Mirai. Ils tentent de l'abattre mais l'avion réussit à envoyer à sa flotte le détail de la position du croiseur, ce qui effraie assez Yonekura et ses collègues, qui se sentent dès lors en danger. Kadomatsu ordonne de laisser l'appareil américain tranquille, car il n'y a plus de raison de l'abattre, et un peu plus tard, le SH60J annonce qu'une escadrille de 50 appareils se dirige vers le cuirassé, alors que Yonekura et les autres membres de l'escouade continuent à se préparer. Pour le commandant en second, ce sera l'occasion de lancer leur abordage car ce sera le chaos à bord du Yamato. Mais Katagiri vient demander à l'escouade de pouvoir les accompagner. Mais Sugimoto refuse, car ils ne vont pas à un pique-nique, et qu'en cas de place supplémentaire, il préférerait un mitrailleur. Kadomatsu est d'accord, mais Katagiri insiste car tous les membres du Mirai veulent voir à quoi ressemble la première bombe atomique de l'histoire qu'ils cherchent à désamorcer. Un silence s'installe dans la salle, puis le journaliste finit par céder, demandant en échange que l'un des membres de l'escouade prenne un petit appareil photo qu'il leur tend. Personne ne répond, et le commandant en second ordonne le rassemblement dans le hangar. L'hélicoptère décolle avec l'escouade à son bord, et ses membres semblent nerveux. On ne voit plus Yonekura par la suite dans ce tome.

    Volume 36

    Alors qu'ils font un passage au-dessus du Mirai, Yonekura remarque que c'est la première fois qu'il le voit depuis un hélicoptère. et il s'imagine que 230 personnes vivent sur un si petit bateau. Sugimoto raconte qu’étant petit, son père a reconstruit leur maison, et qu'il a aussi vu qu'ils vivaient à 6 dans un endroit si petit. Pour lui, vivre les uns contre les autres a quelque chose de très attendrissant. Puis le SH60J prend la direction du Yamato, et tous espèrent ramener de bonnes nouvelles quand ils reverront le croiseur. Mais Yonekura imagine que la bombe atomique pourrait sauter à leur arrivée près du cuirassé. Ôme lui répond que Kusaka n'appuiera sur le détonateur que si le Yamato venait à couler. Mais pour Yanagi, cela n'arrivera pas facilement car, contrairement à leur histoire où le Musashi a déjà été coulé, les américains n'ont pas encore collecté des données sur les points faibles des 2 cuirassés. Grâce à sa radio, Hayashibara apprend à ses collègues que le Yamato a été torpillé, et avec son radar, il annonce que l'escadrille américaine s'approche du Mirai. Pour Kadomatsu, leur occasion de monter à bord du cuirassé sera entre les 2 vagues offensives américaines. Une fois le Yamato en vue, Hayashibara signale une colonne de fumée venant de la poupe du navire. Mais à la surprise générale, le capitaine demande au pilote d'atterrir sur le pont avant. Là, il y a des trappes à proximité qu'ils devront rapidement prendre pour pénétrer dans le cuirassé. Yonekura s’inquiète des mitrailleuses de 25mm, mais Yanagi le rassure car celles-ci ont été bridées pour éviter les tirs amis, et Kadomatsu déclare que l’équipage du Yamato sera occupé aux réparations. Pour Ôme, peu importe où on le dépose, du moment qu'il peut partir à la recherche du corps d'Oguri, ce que tout le monde acquiesce avec un sourire. Ils passent au-dessus du cuirassé, puis Sugimoto détruit des câbles gênants avec la mitrailleuse du SH60J, et les hommes peuvent descendre de l’hélicoptère. Ils se mettent à l'abri, puis pénètrent par les trappes en 2 groupes. Celui de Yonekura apprend par la radio qu'Ôme a été touché, et ils ne savent pas que faire. Le commandant en second arrive très vite avec Yanagi, et il demande à ce dernier de leur dire où ils sont. Les autres s’inquiètent pour Ôme, mais Kadomatsu leur répond qu'il couvre leurs arrières. Ils décident donc de continuer l’opération et s'engagent plus profondément dans le Yamato. C'est la dernière apparition de Yonekura dans ce tome.
    • Statut au volume 36 : Vivant.

    Volume 37

    L'escouade parvient à la porte blindée séparant les parties vitales du Yamato des salles des machines. Le groupe sait qu'une fois à l'intérieur, ils ne pourront plus communiquer avec le SH60J ou même Ôme. Mais ils n'ont pas le choix car ils ne savent pas où se trouve la bombe atomique et ils vont devoir donc capturer des soldats du cuirassé et les faire parler. Alors qu'ils ouvrent la porte, ils entendent dans leur radio une conversation entre soldats du Yamato, et comprennent qu'Ôme a laissé sa radio ouverte. Ils apprennent ainsi que la bombe se trouve dans un hangar de la machinerie, à la poupe, ce qui réduit énormément leur zone de recherche. Mais peu après, ils entendent une explosion et pensent directement à Ôme. Ils font ensuite un rapport à l'hélicoptère, qui, lui, n'a pas retrouvé le corps d'Oguri. C'est à ce moment que l'équipe entend la voix de Kusaka par la radio interne du navire. Celui-ci déclare que la dépouille du chef navigateur se trouve dans la cabine du commandant, et que cette communication a été limitée au secteur où se situe l'équipe de Kadomatsu. Sugimoto pense directement à un piège, mais Yonekura pense que Kusaka ne dispersera pas ses forces. Et le commandant en second tranche en disant que Kusaka est un salaud mais n'est pas un menteur. En arrivant dans la cabine du commandant qui est tout près, ils trouvent effectivement le corps d'Oguri. C'est alors que le téléphone sonne, et Kadomatsu décroche, disant que Kusaka veut uniquement parler. Celui-ci informe l'escouade du décès d'Ôme et le second du Mirai le remercie pour sa considération. Mais Kadomatsu ajoute qu'il fera tout pour faire échouer le plan de Kusaka, même s'il doit le tuer pour cela. Après avoir raccroché, le capitaine ordonne que soit installé le système de guidage pour les tomahawk, en cas d'échec de leur opération. Ils en informent le croiseur puis, un peu plus tard, ils apprennent du SH60J que de la fumée sort à nouveau des cheminées du Yamato. Pour Yanagi, il faudra une heure au cuirassé pour se remettre à naviguer. L'escouade poursuit sa route et inspecte avec précaution les hangars de la machinerie. Mais soudain, ils entendent qu'un navire américain s'est adressé directement au Mirai pour leur demander leur collaboration s'ils ne veulent pas être détruits, car il sait que le croiseur est fortement endommagé. Et si ce n'est pas le cas, il n'a qu'à prouver sa puissance en lançant un missile. Yonekura sait que le Mirai ne peut envoyer de missile antiaérien, mais ils ne peuvent pas obéir aux américains. Il s'agit donc d'une demande de reddition camouflée. Yonekura n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 38

    L'escouade apprend que le SH60J a commencé à tirer sur les appareils américains avec des hand arrow. Yonekura sait que les américains ne sauront pas faire la différence entre ces hand arrow et des missiles antiaériens, et ainsi, la vérité sur l’état du Mirai ne sera pas révélée. Pourtant, selon Yanagi, la portée des hand arrow n'est que de 5 kilomètres, et Hayashibara devra s'approcher de la flotte américaine pour pouvoir leur tirer dessus. Mais Kadomatsu sait qu'Hayashibara ramènera l’hélicoptère sur le croiseur. L’équipe apprend plus qu'en effet, le SH60J est revenu sur le Mirai, mais que celui-ci ne pourra plus voler et que ses pilotes sont décédés. Les membres de l'escouade s’inquiètent de savoir comment ils vont quitter le cuirassé, mais le capitaine demande où en est l’écoute des échos. Des bruits de pas indiquent qu'ils ont enfin trouvé le hangar contenant la bombe atomique. Mais c'est une vraie forteresse qu'ils découvrent en observant avec une mini-caméra. Pourtant, Kadomatsu n'en attendait pas moins de Kusaka, et il veut agir comme prévu en utilisant des feintes. Une fois prêts, ils synchronisent leurs montres et Yonekura sort des téléphones portables qu'ils programment. Ensuite, Yonekura fait sauter le courant, et dans le noir, l'escouade balance les téléphones qui se mettent à diffuser des messages audios faisant croire à un assaut. Grâce à des lunettes de vision nocturne, l’équipe se faufile dans le hangar annexe sans avoir de blessés. Ils font une écoute du hangar principal et n'entendent absolument rien. Le capitaine demande à ses hommes de rester prudents, tandis que Yonekura place de l'explosif sur la paroi. Après le compte à rebours, le lieutenant appuie sur le détonateur. Il se lève pour regarder le résultat, mais il reçoit quelques gouttes d'eau avant qu'une trombe d'eau ne le projette violemment en arrière. Yonekura percute une caisse et perd conscience. A son réveil, il est allongé sur une planche en bois dans le hangar contenant la bombe. Il crache du sang et a à peine le temps de dire qu'ils ont réussi qu'il décède de ses blessures.
    • Statut au volume 40 : Mort des suites de ses blessures après avoir été violemment projeté contre des caisses par une trombe d'eau.

    Capitaine Chris Evans

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 36 : Tué par le CIWS du Mirai.
    • Statut au volume 40 : Tué par le CIWS du Mirai.

    Sugimoto

    Volume 33

    Le lieutenant Hayashibara vient demander l'autorisation à Kadomatsu de pouvoir décoller avec le Sh60J, et attaquer le Yamato depuis l’hélicoptère. D'abord réticent, le second du Mirai finit par accepter car il ne trouve pas d'autre alternative, et qu'Oguri se porte volontaire pour l'accompagner et mener l’opération depuis le SH60J. Cependant, les roquettes terre-air ne sont pas suffisantes pour arrêter le cuirassé, et un appareil de reconnaissance américain est en approche. Manquant de temps, les passagers de l’hélicoptère décident donc de larguer le réservoir de secours dans la cheminée du Yamato, et de le faire exploser avec une roquette. Malheureusement, ils sont attaqués par l'hydravion de Kusaka, et Hayashibara annonce soudainement que le chef navigateur a été touché et est tombé du SH60J. Tout le monde est stupéfait, Sugimoto y compris, et Kadomatsu demande s'il a chuté dans l'eau. Le lieutenant ne sait pas car l'obus éclairant tiré par le cuirassé s'est éteint, mais il pense qu'Oguri est tombé sur le Yamato. Pourtant, le chef Ôme, qui était aussi à bord de l’hélicoptère, continue la mission et fait exploser le réservoir de secours que le chef navigateur avait réussi à faire tomber dans la cheminée du cuirassé, ce qui oblige son équipage à stopper les machines. Puis Kadomatsu refuse que le SH60J tente de secourir Oguri car les chances qu'il soit vivant sont nulles, et il ordonne à Hayashibara de revenir à bord du croiseur. Sugimoto énonce alors tous les officiers qui ont perdu la vie depuis qu'ils ont voyagé dans le temps, rappelant que certains avaient une famille. Il était persuadé que rien ne pourrait arriver au capitaine Oguri, même si la terre s'ouvrait en 2. Un de ses collègues lui demande de se taire et Sugimoto s'excuse car le corps du chef navigateur n'a même pas encore été retrouvé. Il se met alors à pleurer, et on ne le voit plus par la suite dans ce tome.

    Volume 34

    Après le retour du SH60J à bord du Mirai, Kadomatsu part parler avec ceux qui étaient à son bord pour savoir ce qu'il s'est passé. Le second du croiseur envisage un abordage mais renonce car il ne pourra pas faire la différence entre les mutins du Yamato et le reste de son équipage. Cependant, c'est à ce moment que Kusaka annonce, dans un message adressé à toutes les flottes, qu'il va libérer les 2.800 membres d’équipage du cuirassé qui n'ont pas pris part à la mutinerie. A ce moment Kadomatsu écoute les enregistrements sonores de l’hélicoptère, et avec les explications des événements par Hayashibara, il comprend que Kusaka n'avait pas l'intention de tuer Oguri. En sachant cela, le commandant en second décide de lancer l’opération d'abordage du Yamato. Il se retire pour choisir les 8 personnes qui vont l'accompagner à bord du SH60J, et pendant ce temps, Sugimoto et plusieurs autres hommes vont sonder le chef Asô pour avoir son avis. Sugimoto s'interroge pour savoir si le choix se fera d'abord parmi les volontaires, mais Asô lui répond que Kadomatsu va faire une sélection. Il assumera la responsabilité, même si l’échec n'est pas permis. Sugimoto demande alors sur quels critères va se baser le capitaine. Asô explique que comme le but est le déminage de la bombe, la moitié de l’équipe sera composée d'artilleurs et de mécaniciens de bord. Sugimoto pense que le reste aura un rôle de soutien armé, et il dit se défendre au revolver. Mais pour Asô, l’expérience sur le terrain aura un poids. Au moment de l'annonce de la composition de l'escouade, après les techniciens, Kadomatsu prononce le nom de Sugimoto, qui est surpris dans un premier temps, mais qui répond positivement à l'appel. Le second du Mirai demande ensuite au 8 personnes de se rendre en salle d'attente. Sugimoto n'apparaît plus ensuite dans ce tome.

    Volume 35

    Plusieurs hommes donnent des armes à Sugimoto et aux autres membres de l'escouade, leur rappelant de les contrôler. Sugimoto sait que sans arme, ils n'ont pas à s'en servir, mais ici, c'est le contraire. Puis, alors que le soleil est en train de se lever, le SH60J déclare qu'il observe des manoeuvres d’évacuation sur le Yamato. Les membres de l'escouade savent que l'heure est venue. Cependant, l’hélicoptère annonce qu'il y a un autre signal qu'il n'avait pas repéré avant, et qui se dirige vers le Mirai. Il s'agit d'un appareil de reconnaissance américain. Le croiseur et le SH60J tentent de l'abattre avant qu'il ne donne la position du Mirai à sa flotte, mais ils échouent. Sugimoto est plus nerveux en entendant la nouvelle, et Kadomatsu décide de laisser l'avion américain s'en aller car il n'y a plus de raison de l'abattre. Ensuite, l’hélicoptère signale qu'une escadrille américaine de 50 appareils est en approche du cuirassé, et Sugimoto écoute tout en continuant à se préparer. Le commandant en second pense que c'est l'occasion pour tenter l'abordage, car les batteries antiaériennes du Yamato seront occupées à se défendre contre les appareils américains. Puis, Katagiri vient auprès de l'escouade, et demande à pouvoir les accompagner pour pouvoir photographier la première bombe atomique de l'histoire. Sugimoto refuse car ils ne vont pas à un pique-nique, et qu'il préférerait un mitrailleur s'il y avait de la place. Katagiri insiste auprès de Kadomatsu, car tout l’équipage du croiseur veut voir à quoi ressemble la bombe qu'ils veulent désamorcer. Un silence s'installe, et Katagiri renonce, à condition que quelqu'un prenne l'appareil photo qu'il leur tend. Personne ne réagit, et le commandant en second ordonne le rassemblement dans le hangar. Ensuite, l'escouade embarque à bord du SH60J, qui décolle. C'est la dernière apparition de Sugimoto dans ce tome.

    Volume 36

    En vol, Yonekura remarque que le Mirai est finalement assez petit. Sugimoto explique que quand il était petit, son père a reconstruit leur maison et ils ont vu qu'ils vivaient à 6 dans un endroit très petit. Il trouve qu'il y a quelque chose de très attendrissant dans le fait de vivre les uns contre les autres. Puis le SH60J se dirige vers le Yamato et ses passagers espèrent amener des bonnes nouvelles quand ils reverront le croiseur. Yonekura s'inquiète du fait que la bombe pourrait exploser à n'importe quel moment, mais Ôme lui répond que Kusaka n'appuiera sur le détonateur que si le cuirassé venait à couler. Cependant, Yanagi leur explique que le Yamato ne coulera pas aussi facilement face aux escadrilles américaines, car contrairement à leur histoire, les Etats-Unis n'ont pas encore coulé le Musashi et n'ont pas les renseignement suffisants pour couler ce cuirassé rapidement. Sur le chemin, les passagers de l'hélicoptère apprennent que le Yamato a été torpillé, puis qu'une partie de l'escadrille américaine s'approche du Mirai. Pour Kadomatsu, l'occasion d'aborder le cuirassé sera après le départ de la première vague offensive américaine. Le Yamato est en vue, et Hayashibara voit une colonne de fumée noire venant de la poupe. Puis le capitaine demande au pilote d'atterrir sur le pont avant du cuirassé. Ils pénétreront ensuite dans le Yamato par la porte la plus proche et se mettront à la recherche de la bombe. Yonekura et Sugimoto s'inquiètent des mitrailleuses, mais Yanagi les rassure car ces armes ont été bridées pour éviter les tirs amis. Kadomatsu ajoute que l'équipage du cuirassé sera occupé aux réparations. Ôme, lui, veut retrouver le corps d'Oguri, et peu lui importe où le SH60J le dépose. Sugimoto et les autres semblent être plus motivés que jamais. L'hélicoptère arrive au-dessus du pont avant du Yamato, et Sugimoto utilise la mitrailleuse pour détruire les câbles qui sont dans le chemin. L'équipe descend ensuite du SH60J, et se mettent rapidement à l'abri pour ne pas être une cible pour l'équipage du cuirassé qui vient dans leur direction. Puis Sugimoto ouvre une trappe et pénètre dans le navire, suivi par une partie de ses collègues. Le groupe de 6 hommes apprend alors qu'Ôme a été touché juste avant de rentrer dans le cuirassé. Ils sont tendus mais sont rapidement rejoints par Kadomatsu et Yanagi. Tous s'inquiètent pour Ôme, alors que Yanagi décrit où ils sont, mais le commandant en second leur dit que le chef protège leurs arrières. ils ouvrent alors une seconde trappe, Sugimoto ne voit personne, et l'équipe s'engouffre plus profondément dans le Yamato. On ne voit plus Sugimoto par la suite dans ce tome.
    • Statut au volume 36 : Vivant.

    Volume 37

    L'escouade arrive à la porte des salles des machines, et ils savent qu'une fois à l’intérieur, les communications avec le SH60J et Ôme seront impossibles. Cependant, ils doivent capturer plusieurs hommes afin de les faire parler et de savoir où se trouve la bombe atomique. Hors, juste après avoir ouvert la porte, les membres de l'escouade entendent une conversation entre soldats du Yamato, et comprennent qu'Ôme a laissé sa radio ouverte. Ils apprennent ainsi que la bombe se trouve au hangar de la machinerie à la poupe, réduisant considérablement la zone de recherche. Mais peu après, l'escouade entend une explosion, et tous pensent à Ôme. Kadomatsu fait ensuite un rapport de la situation à l’hélicoptère, qui n'a pas encore trouvé le corps d'Oguri. Soudain, la voix de Kusaka se fait entendre par la radio interne. Celui-ci dévoile que la dépouille du chef navigateur se trouve dans la cabine du commandant, tout près de là où ils sont. De plus, cette communication a été limitée à la section où se trouve l'escouade de Kadomatsu. Sugimoto pense directement à un piège, et que Kusaka veut les capturer au plus vite. Mais pour le capitaine, Kusaka n'est pas un menteur. Dans la cabine du commandant, ils retrouvent le corps d'Oguri, puis le téléphone de la cabine sonne. Sugimoto ne veut pas que le capitaine réponde, mais celui-ci sait que Kusaka veut juste parler. Ce dernier annonce le décès d'Ôme, qui a emporté 7 soldats du cuirassé avec lui. Kadomatsu le remercie, mais déclare qu'il est déterminé à faire échouer le plan de Kusaka, quitte à le tuer. Après avoir raccroché, le capitaine ordonne que soit installé le système de guidage pour les tomahawk, dans le cas où ils échoueraient. Ensuite, ils font un rapport au Mirai et se remettent en route. Puis, il reçoivent un message du SH60J, qui leur indique que de la fumée sort des cheminées du Yamato. Yanagi explique qu'il faut une heure au cuirassé pour se remettre à naviguer. L'escouade poursuit ses recherches dans les hangars de la machinerie, en restant prudents. Mais à un moment, un navire américain s'adresse directement au croiseur, et lui demande de collaborer car il sait que le Mirai est en mauvais état. Ou sinon, ils peuvent envoyer un missile pour prouver leur force. Sugimoto sait que, dans son état, le croiseur ne pourra rien faire. Cette déclaration est donc une demande reddition cachée. Sugimoto n'apparaît plus ensuite dans ce tome.

    Volume 38

    Les membres de l'escouade craignent pour le Mirai, mais ils apprennent que le SH60J a tiré des hand arrow et abattu 3 appareils américains. Pour Yonekura, les américains ne feront pas la différence entre les hand arrow et les missiles antiaériens. Mais Yanagi dit que la portée des hand arrow n'est que de 5 kilomètres. Et si Hayashibara veut toucher les navire américains, il devra s'approcher de leur flotte. Il craint donc que le pilote n'en fasse trop. Mais Kadomatsu est sûr qu'Hayashibara ramènera l’hélicoptère sur le croiseur. Mais les membres de l’équipe apprennent que le SH60J a été repéré par les avions américains, et pris en chasse par ceux-ci. Les 2 pilotes ont réussi à ramener l’hélicoptère sur le Mirai, mais en perdant la vie dans l'action. Sugimoto, un peu déprimé, se demande comment ils vont pouvoir quitter le Yamato. Mais le capitaine ordonne de continuer l’écoute des échos, et on lui confirme des bruits de pas, ce qui signifie qu'ils ont trouvé la localisation de la bombe atomique. Grâce à une mini-caméra, Sugimoto constate que l’entrée du hangar est une véritable forteresse. Kadomatsu n'est pas étonné d'une telle défense, et il annonce qu'ils utiliseront des feintes comme prévu. Une fois prêts, ils synchronisent leurs montres et règlent des téléphones portables. Après avoir coupé le courant, ils lancent les téléphones allumés dans le couloir, et ceux-ci diffusent des messages préenregistrés faisant croire à une attaque, tandis que les membres de l'escouade se faufilent dans le hangar annexe grâce à leurs lunettes de vision nocturne. Aucun blessé n'est à signaler. Ils font une écoute du hangar principal où se trouve la bombe, mais n'entendent absolument rien. Le capitaine leur demande de rester très prudents, tandis qu'ils placent des explosifs pour faire une brèche dans le mur. Yonekura déclenche l'explosion, mais quand il se place devant pour observer le résultat, il est violemment projeté en arrière par une trombe d'eau avant de percuter une caisse. Avec toute cette eau, Yanagi comprend que le hangar principal était rempli d'eau et que c'est pour cette raison qu'ils n'entendaient rien. Kadomatsu pense qu'ils doivent aller dans le hangar principal par le trou pour ne pas mourir noyés, et il confie Yonekura à Sugimoto. Ils parviennent dans le hangar et montent sur une planche, mais Yonekura décède de ses blessures après quelques mots. Ensuite, l'escouade voit enfin la bombe, mais les pompes à injection d'eau se remettent en marche. Puis, ils sentent que le Yamato reprend sa navigation. Le capitaine ordonne à Sugimoto de le suivre sous l'eau avec une lampe. Il tente d'ouvrir la porte avec un pied de biche, mais celle-ci est soudée de l’extérieur. Pourtant, Sugimoto refuse d'abandonner et replonge pour forcer la porte...

    Volume 39

    Sugimoto est rapidement rejoint par ses collègues. Quand Kadomatsu vient à son tour, il a une chaîne avec un crochet, liée à une poulie. Grâce à cela, ils démultiplient leurs forces et tous tirent sur la chaîne. Alors que le Yamato vire de bord, la soudure finit par céder. Le courant qui se crée emporte alors plusieurs des hommes de l'escouade, dont Sugimoto. Celui-ci se relève à l’extérieur du hangar, avec un soldat du cuirassé entre lui et la porte. Sugimoto lui dit de s’écarter car ils ne sont pas là pour se battre mais pour s'occuper de la bombe. Le soldat remarque dans le regard de Sugimoto que celui-ci n'a jamais tiré sur personne. Mais quand le soldat menace Sugimoto de son arme, ce dernier ouvre le feu et abat le soldat. Ensuite, Sugimoto entend le capitaine lui dire de rassembler tout le monde dans le hangar, où ils vont se mettre derrière la bombe et commencer leur travail. Sugimoto retrouve Fujinaga, mais Katsuragi, lui, est décédé. Une fois dans le hangar, ils préviennent le Mirai de la situation. Le chef Asô pense alors à un changement de plan. Le Yamato étant de nouveau en route, le plan de Kusaka reprend son cours. Il va se servir d'un détonateur avec un compte à rebours et quitter le cuirassé avec ses hommes. L'escouade peut donc elle aussi quitter le Yamato, et le croiseur peut couler le navire avec un tomahawk. Mais pour Kadomatsu, cela repose sur une hypothèse et ils ne peuvent s'en contenter. Il refuse donc la proposition d'Asô, mais cela lui fait penser que Kusaka a sans doute prévu des canots de sauvetage pour son équipage. Il ordonne donc à Sugimoto d'aller vérifier avec quelqu'un d'autre. Sugimoto prend alors Fujinaga avec lui, et pour ne pas être repérés, ils sortent du hangar en restant sous l'eau. Ils sortent discrètement de la zone dangereuse et dans le hangar à canots, ils en trouvent de 50 a 60, prêts à l'emploi. C'est alors justement à ce moment que les 2 hommes voient que les soldats du Yamato s'activent et sortent les canots. Sugimoto prévient le capitaine et c'est sa dernière apparition dans ce tome.

    Volume 40

    Soudain, une alarme résonne dans tout le navire, et Sugimoto et Fujinaga apprennent par la radio que Kadomatsu et les autres ont malencontreusement déclenché le compte à rebours de la bombe atomique. Ils sont incapables pour le moment d'arrêter ce dispositif et il ne leur reste que 97 minutes et 30 secondes. Par la suite, Sugimoto et Fujinaga retrouvent les autres membres de l'escouade, à l'exception du capitaine, sur le pont du Yamato. Kadomatsu leur a ordonné de quitter le navire en même temps que l'équipage du cuirassé, tandis qu'il resterait en arrière en compagnie de Kusaka. Le commandant en second du Mirai veut que Kusaka arrête le dispositif, s'il ne veut pas que le croiseur lance ses missiles sur le Yamato. Sugimoto demande si Kusaka avait une arme, mais à part le sabre qui lui sert de canne, Sasamoto n'a pas vu d'autre arme visible. C'est alors que des soldats du cuirassé arrivent et déposent la dépouille d'Oguri auprès des membres de l'escouade. L'un d'eux donne aussi le casque du chef Ôme à Sugimoto, car c'est tout ce qu'il reste de lui. Le groupe saute à l'eau puis monte sur le canot. Sasamoto se demande si Kadomatsu est prêt à mourir avec Kusaka, mais selon Sugimoto, ce n'est pas dans son tempérament. Il connaît ses responsabilités, veut que Kusaka survive et se débarrasse lui-même de la bombe. Et le second du Mirai ne mourra pas avant cela. Alors que le Yamato continue sa route, Sugimoto donne des rames pour qu'ils s'éloignent le plus possible, car c'est ce que veut Kadomatsu. Ils doivent emboîter le pas à l'équipage du cuirassé. De plus avec l'appareil américain qui tourne autour du Yamato, ils risquent d'être une cible si ils sont isolés. Par la radio, ils apprennent que le Mirai vient à leur secours, mais qu'avec leur radar, ils ne peuvent pas faire la différence entre les canots. Ils disent aussi à l'escouade de tenir bon. En entendant cela, les membres de l'équipe se mettent à pleurer. Peu après, ils entendent des coups de canon, qui proviennent sans doute de navires américains. Les obus déplacent beaucoup d'eau qui retombe sur les membres de l'escouade, qui continuent à pagayer. On ne voit plus Sugimoto par la suite dans ce tome.
    • Statut au volume 40 : Vivant.

    Lieutenant Kazuma Tsuda

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 36 : Décédé de ses blessures après une chute depuis Kehlsteinhaus.
    • Statut au volume 40 : Décédé de ses blessures après une chute depuis Kehlsteinhaus.

    Amiral Isoroku Yamamoto (PH)

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 36 : Tué d'une balle dans le coeur par un soldat américain.
    • Statut au volume 40 : Tué d'une balle dans le coeur par un soldat américain.

    Sous-lieutenant Mori

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 36 : Tué par les tirs d'un hydravion chasseur japonais.
    • Statut au volume 40 : Tué par les tirs d'un hydravion chasseur japonais.

    Yô Bungen (Hideo Yamamoto)

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 36 : Supposé décédé par suicide.
    • Statut au volume 40 : Supposé décédé par suicide.

    Teruko

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 36 : Supposé vivante.
    • Statut au volume 40 : Supposé vivante.

    A suivre...

    Cronos


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