• Voilà la suite de la cinquième page de la liste des personnages de Master Keaton. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Lord Swan

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : Supposé vivant.

    Al flare

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : Supposé vivant.

    Hayes McCoy

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : Supposé vivant.

    McNeil

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : Supposé vivant.

    Madame Fireman

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivante.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : Supposé vivante.

    Sir Charles Fireman

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : décédé d'une crise cardiaque en juillet 1988.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : décédé d'une crise cardiaque en juillet 1988.

    Brian Higgins (McDonnell)

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : Supposé vivant.

    Monsieur White

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : Supposé vivant.

    Pietro Rossellini (Hans Adler)

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Supposé vivant.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : Supposé vivant.

    Sergio

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 12 : Mort assassiné par la mafia.
    • Statut au volume Master Keaton remaster : Mort assassiné par la mafia.

    A suivre dans le prochain article.

    Cronos


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  • Voilà la treizième suite de la liste des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Liu

    Volume 16

    Il s'agit d'un révolutionnaire communiste chinois qui est l'une des personnes influentes du parti communiste chinois auprès de Mao Zedong. En 1943, la Chine est divisée en 3 parties : celle dirigée par l'armée japonaise et avec Nankin pour capitale, celle avec Chongqing comme capitale et sous la gouvernance du parti nationaliste de Tchang Kaï-Chek, et la partie communiste avec Yan'an comme capitale. A cette époque, il y a surtout des batailles entre les nationalistes et les communistes. C'est alors que ces derniers apprennent la venue du général Kanji Ishiwara, celui-là même qui est l'un des instigateurs de l'incident de Mandchourie et donc responsable de nombreux morts parmi les communistes chinois. Ce militaire aurait des informations sur les nationalistes qui seraient utiles pour Mao Zedong. Malgré de nombreuses réticences de certains camarades quant à la venue de ce général, le leader communiste pense que les ennemis de ses ennemis sont ses amis, et qu'ils devraient donc au moins écouter ce qu'Ishiwara a à dire. Ce dernier est donc capturé et mis en cellule, le temps d'analyser les informations qu'il est venu apporter. Une réunion a donc lieu entre Mao, Liu, Tse et Chô. Apparemment, les japonais comptent attaquer les anglais dans l'océan indien et couper ainsi la route des alliés vers Tchang Kaï-Chek. Chô reconnaît que c'est l'opération idéale pour asphyxier les nationalistes, mais Liu doute que cela soit vrai. En effet, il a du mal à croire qu'un ennemi donne ainsi des informations secrètes militaires sur ses opérations. Pour lui, il s'agit plutôt d'une manoeuvre visant à déstabiliser leur mouvement avec de fausses informations. Pourtant, pour Chô, cela est vrai car il y a d'autres moyens de créer le chaos, sans pour autant se mettre en danger en venant ainsi à Yan'an. Tse pense alors qu'Ishiwara viendrait pour négocier, mais Chô lui rétorque que personne n'abattrait ainsi ses cartes avant d'arriver à la table des négociations. Liu se demande alors ce que ferait les anglais et les américains s'ils apprenaient cela. Chô lui répond que les japonais subiraient alors de lourdes pertes, et Liu comprend que les nationalistes survivraient. Tse s'interroge sur ce que penserait l'Union Soviétique. Chô pense que Staline en verrait un atout précieux et s'en réjouira, mais il ne sait pas ce qu'il ferait. Tous se tournent alors vers Mao pour voir quelle décision il va prendre. Liu n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 16, dans le chapitre intitulé "Sillage 175 : Le général de Yan'an".
    • Statut au volume 17 : Supposé vivant.

    Amiral Mineichi Koga (PH)

    Volume 17

    Ce haut militaire japonais se retrouve à la tête de la flotte combinée suite au décès de l'amiral Isoroku Yamamoto, lors de la guerre du Pacifique. Peu après cette prise de fonction, les capitaines Takumi Kusaka et Eiichirô Taki sont parvenus à obtenir la collaboration du Mirai, un croiseur japonais venu du futur, une soixantaine d'années après la guerre, et qui a prédit que le Japon allait non seulement perdre la guerre, mais aussi accepté une reddition sans condition. Avec la réduction de la ligne de front, notamment avec l'évacuation de la Nouvelle-Guinée, le commandement de la flotte combinée se réunit à bord du navire Kongô. Lors de cette réunion, le capitaine Taki présente des photos qui ont été prises par l'armée impériale mais dont la résolution a été améliorée par la technologie du Mirai. Taki déclare que dans l'analyse d'informations, le croiseur les surclasse sans conteste. Sur les photos, tous constatent que l'armée américaine ne prépare pas d'offensive dans l'immédiat, mais fait plutôt des manoeuvres de transport. C'est pourquoi Taki et Kusaka souhaitent mettre en place leur opération YZ qui vise à attaquer les anglais dans l'océan indien, forçant ainsi Churchill à demander l'aide des américains, qui devront précipiter leur offensive dans les Mariannes en étant moins bien préparés. Les 2 capitaines demandent donc l'incorporation des divisions de porte-avions et de tous les navires de la troisième flotte, avec les porte-avions Shôkaku et Zuikaku, Junyô et Hiyô, Hôshô et Ryûhô, les navires Kongô, Haruna, Kumano, Suzuya, Tone, Chikuma, ainsi que la 15ème division, un croiseur léger et 15 destroyers. Avec ces navires et le Mirai, ils pourront rendre inoffensives les bases de Ceylan, Chittagong et Dacca. L'amiral Shigeru Fukudome intervient alors car pour lui, ces mouvements américains ne prouvent pas que les Mariannes sont une zone sûre pour le moment. Et s'ils subissent une contre-offensive pendant qu'ils quittent leurs positions, la marine japonaise connaîtra une cuisante défaite. De plus, s'il arrive quelque chose aux bases de Palau ou Saipan, la responsabilité du capitaine Taki sera mise en cause, encore plus lorsque l'amiral Yamamoto a été tué, alors qu'il se trouvait aux côtés du capitaine Taki. Et pour en rajouter, cette opération n'a rien de décisif face à la flotte américaine et ne servira qu'à soutenir leur armée de terre en coupant les routes du soutien à Tchang Kaï-Chek. Selon lui, ils ne peuvent se permettre d'envoyer la troisième flotte dans sa totalité. Il propose donc de réduire la liste des navires à la suivante : Les porte-avions Hiyô, Junyô, Hôshô, Ryûhô et Ryûjô, le destroyer lourd Ashigara, les destroyers légers Kashii et Kuma et la première flotte de soutien. Taki se lève alors et tape du poing sur la table car il n'est pas d'accord car les navires de la première division sont de vieux navires de seconde ligne et les porte-avions qui constituent leur force principale sont des navires de commerce convertis. Or, pour attaquer les bases britanniques en Inde simultanément, il leur manquera de nombreux navires. Ils ne peuvent se battre dans cette configuration, et si quelque chose se passe mal dans cette opération, c'est Fukudome qui en portera la responsabilité. Ce dernier se range derrière le choix de l'amiral Koga, à qui revient la décision. Celui-ci, muet jusque là, réfléchit, puis déclare qu'ils ne peuvent pas réduire les défenses de leurs bases pour soutenir l'armée de terre. Il décide donc d'accepter la proposition de l'amiral Fukudome. C'est la dernière apparition de Koga dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 17, dans le chapitre intitulé "Sillage 177 : Opération commune".
    • Statut au volume 17 : Vivant.

    Amiral Shigeru Fukudome (PH)

    Volume 17

    Il s'agit de l'un des membres de l'état-major de la flotte combinée japonaise, lors de la guerre du Pacifique, suite à la mort de l'amiral Isoroku Yamamoto, qui a été remplacé par l'amiral Mineichi Koga. Depuis la bataille de Midway, la flotte combinée a appris l'existence d'un croiseur japonais venu accidentellement du futur, le Mirai, qui leur a appris que le Japon allait accepter une capitulation sans condition à l'issue de la guerre. Du coup, la flotte combinée a tout tenté pour que le croiseur et sa technologie bien plus avancée se joignent à la marine japonaise. Mais ses membres ont jusque là toujours refusé, jusqu'au milieu de l'année 1943. C'est alors que les capitaines Eiichirô Taki et Takumi Kusaka réussissent à faire changer d'avis les membres du Mirai, après une mutinerie à bord. Lors d'une réunion à bord du navire Kongô, Taki présente des photos dont la résolution a été améliorée par la technologie du croiseur, ce qui montre sa supériorité dans le domaine de l'analyse d'informations. Sur ces photos, tous peuvent constater sans erreur possible que les navires américains sont occupés à des manoeuvres de transport et non à préparer une offensive imminente. Taki et Kusaka veulent donc mener l'opération YZ dans l'océan indien, comme ils l'ont planifié. Celle-ci vise à attaquer les positions anglaises et de bloquer ainsi l'aide à Tchang Kaï-Chek, poussant ainsi Churchill a demander l'aide des américains qui devront précipiter leur offensive dans les Mariannes sans être totalement prêts. Taki demande notamment l'incorporation de tous les navires de la 3ème flotte, les porte-avions Shôkaku et Zuikaku, Junyô et Hiyô, Hôshô et Ryûhô, les navires Kongô, Haruna, Kumano, Suzuya, Tone, Chikuma, ainsi que la 15ème division, un croiseur léger et 15 destroyers. Avec le Mirai, ils seront ainsi capables d'atteindre leur objectif. C'est alors que l'amiral Fukudome intervient pour dire que même si on voit des manoeuvres de transports sur les photos, il n'est pas dit que les Mariannes sont une zone sûre pour autant. Si jamais ils subissent une contre-offensive des alliés pendant qu'ils quittent leurs positions, ils connaîtront une défaite cuisante. Et s'ils devait arriver quelque chose aux bases de Palau et Saipan, la responsabilité de Taki sera mise en cause, encore plus que lorsqu'il a laissé l'amiral Yamamoto se faire tuer alors qu'il était à ses côtés. De plus, il s'agit d'une opération qui n'a rien de décisif avec la marine américaine, et qui ne sert qu'à aider l'armée de terre. En conséquence, Fukudome suggère de réduire la liste des navires. Il propose les porte-avions Hiyô, Junyô, Hôshô, Ryûhô et Ryûjô, le destroyer lourd Ashigara, les destroyers légers Kashii et Kuma et la première flotte de soutien. Taki s'insurge avec le poing sur la table, car il n'y a que des vieux navires de seconde ligne et des porte-avions, qui doivent constituer leur force principale, qui sont constitués de navires de commerce convertis. Pour lui, ils manqueront de navires pour attaquer simultanément les bases britanniques. Et si cette opération se termine mal, c'est Fukudome qui en portera la responsabilité. Mais ce dernier se range derrière la décision de l'amiral Koga. Celui-ci réfléchit un instant, puis annonce qu'ils ne peuvent pas réduire les défenses de leur bases pour soutenir l'armée de terre. Ils réduiront donc la liste des navires comme proposé par l'amiral Fukudome. Ce dernier n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 17, dans le chapitre intitulé "Sillage 177 : Opération commune".
    • Statut au volume 17 : Vivant.

    Commandant Sin

    Volume 17

    Sin est un pilote de la royal indian air force, travaillant dans la base de Chittagong, dans l'actuel Bangladesh. Durant l'été 1943, Subhash Chandra Bose, un ami de Sin, avec qui il a joué au tennis, déclare par radio depuis Singapour qu'il a mis en place le gouvernement provisoire de l'Inde libre, dont il est le premier ministre et commandant suprême de l'armée nationale, et qu'il compte libérer l'Inde avec l'aide du Japon. Le soir venu, les soldats parlent de cette intervention à la radio, et se demandent s'ils pourront se battre contre leurs frères. Soudain, une coupure de courant fait griller plusieurs ampoules, et le nombre fait croire à certains à un mauvais présage. Sin intervient, donne une explication rationnelle et ajoute qu'il n'y a aucun lien avec le destin. Il ne doivent pas se laisser impressionner et sont les seuls pilotes de leurs appareils. Il terminent en disant que c'est parce qu'ils s'en sont remis à de tels signes que l'Inde a perdu son indépendance. Un autre soldat annonce que Sin est attendu par le colonel Langley. Avant de partir, Sin recommande de changer les ampoules grillées. Dans le bureau du colonel, ce dernier demande au commandant comment va son appareil. Sin répond que comparé à son ancien appareil qui pourrait être un âne, il a maintenant un pur-sang. Langley se souvient que Sin est originaire de Calcutta et que fidèle au rang de sa famille, il est allé à la Prince of Wales military academy. Sin acquiesce, et le colonel évoque alors Bose, demandant au commandant ce qu'il pense de lui. Sin répond qu'il est aujourd'hui son ennemi, et rien d'autre. Langley demande si c'est parce qu'il s'est allié aux fascistes, et Sin rétorque que c'est parce qu'il s'est positionné en ennemi de leur royal indian air force. Le colonel admire cette intégrité et cela ne l'étonne pas. Ensuite, Sin se rend dans un hangar où il remercie un soldat d'avoir fait les préparatifs. Il admire alors son appareil, un Spitfire, témoignage de reconnaissance de l'empire britannique. Il sait que lui et son ami Subhash ont pris des chemins différents, mais Sin se sent avant tout comme un soldat de l'empire britannique. Quelques temps plus tard, ceux de Chittagong apprennent que les 2 bases de Ceylan ont été détruites par l'armée japonaise. Du coup, après chaque averse, ils assèchent la piste le plus rapidement possible. Sin demande à son subalterne s'il écoute les émissions de radio diffusées depuis Singapour. L'homme répond que oui, mais que depuis une semaine, on ne l'entend plus. Sin se demande si en répondant à la force par la force, Subhash compte offrir ainsi une véritable dignité et un honneur au peuple. Par la suite, Sin est appelé chez Langley, qui lui explique que les patrouilles de détection ennemie ont été multipliées par 3 dans chaque base, mais il n'ont toujours aucune information sur la force aéronavale des japonais. Il a cependant quelque chose d'intéressant et remet un dossier au commandant, que l'amirauté s'est procurée auprès des américains, après un rapport sur la situation à Ceylan. Ce dossier et top secret et ne doit pas sortir du bureau. Il explique qu'en Nouvelle-Guinée, il y a eu des bombardements avec des conditions similaires à l'attaque sur Ceylan, c'est-à-dire des radars et des radios qui ne fonctionnent plus, et des attaques surprises avec une victoire écrasante à la clé. Ces opérations japonaises sont très limitées et les premières attaques de ce type ont eu lieu il y a plus d'un an. Toutes ces opérations sont liées à un navire de type croiseur, dont un dessin se trouve dans le dossier. Sin comprend que ces informations n'ont pas pu arriver si vite. Il s'interroge donc si celles-ci dormaient dans les tiroirs de l'état-major de la flotte d'Inde orientale ou si Langley l'aurait caché jusque là sachant qu'il n'est pas anglais. Il penche pour la seconde hypothèse mais dit au colonel que s'ils parviennent à couler ce croiseur, ce que même les Etats-Unis n'ont pas réussi à faire, leur royal indian air force sera probablement reconnue comme armée d'élite de l'empire britannique. Langley lui répond qu'ils ont déjà conscience de leurs qualités. Sin comprend que si les radars et radios s'arrêtent de fonctionner, ils devront faire décoller les appareils, éviter les bombardements et lancer une riposte. Le 25 juillet, les pilotes sont sur les nerfs à rester ainsi en alerte permanente. Pour les calmer, Sin leur demande si le ciel appartient aux japonais ou aux britanniques, pour leur répondre ensuite que le ciel leur appartient. Soudain, l'alarme résonne, et Sin ordonne de réfugier les bombardiers à 4000 mètres d'altitude. Sin décolle le premier, suivi par ses frères d'arme. Les japonais arrivent et bombardent plusieurs appareils encore au sol, mais Sin contre-attaque et abat un appareil japonais. On ne voit plus Sin par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 17, dans le chapitre intitulé "Sillage 178 : La fierté du commandant Sin".
    • Statut au volume 17 : Vivant.

    Colonel Langley

    Volume 17

    Ce militaire britannique est le commandant de la base de Chittagong, dans l'actuel Bangladesh, lors de la seconde guerre mondiale. La plupart des hommes sous ses ordres sont des indiens, faisant partie de la Royal indian air force. Parmi eux se trouve le commandant Sin, à qui l'empire britannique a donné un Spitfire à piloter, en remerciement de la loyauté de Sin. Malgré cela, en juin 1943, Subhash Chandra Bose, un indépendantiste qui prône de réagir à la force par la force pour libérer l'Inde, diffuse depuis Singapour un message important. Il déclare qu'il a mis en place le gouvernement provisoire de l'Inde libre, dont il est le premier ministre et le commandant suprême de l'armée nationale, et qu'il compte se rendre en Inde pour affronter les britanniques. Inquiet de ces mouvements nationalistes, Langley appelle Sin et lui demande comment va son appareil. Le commandant répond que s'il compare l'Hurricane à un âne, il a maintenant un pur-sang. Le colonel se rappelle que Sin est originaire de Calcutta et que fidèle à son rang de famille, il a intégré la Prince of Wales military academy. De plus, il a entendu que les membres de sa famille étaient connus dans les clubs de société. L'indien répond qu'il joue au billard et au tennis. Concernant ce dernier sport, Langley dit que Bose y joue aussi. Sin admet qu'il a souvent joué contre lui. Le colonel en profite pour lui demander ce qu'il pense de lui. Le commandant déclare qu'il est son ennemi et rien de plus. Langley s'interroge si c'est parce qu'il s'est allié aux fascistes, et Sin rétorque que c'est parce qu'il s'est positionnée en ennemi de leur royal indian air force. Le colonel dit admirer son intégrité, et que cela ne l'étonne pas. Plus tard, début juillet, les anglais apprennent que les 2 bases de Ceylan ont été attaquées et détruites par la marine japonaise. Inquiet, Langley décide de révéler à Sin des informations qu'il gardait pour lui et qu'il a reçu des américains concernant un mystérieux croiseur japonais qu'ils n'arrivent pas à couler. Le colonel explique d'abord au commandant qu'ils ont triplé les patrouilles de détection mais qu'ils n'ont encore aucune information sur la flotte ennemie. Il confie ensuite le dossier, précisant qu'il est top secret et qu'il ne doit pas sortir du bureau. Il explique ensuite qu'en Nouvelle-Guinée, il y a eu des bombardements avec des conditions similaires à l'attaque sur Ceylan. Les radars et la radio ne fonctionnaient plus, et les offensives surprises parfaitement menées ont conduit à des victoires éclatantes. Ces opérations où ce navire est impliqué sont très limitées. Langley donne aussi un dessin compris dans le dossier et ajoute que l'information vient d'OSS mais dit penser que les américains ne leur disent pas tout. Après avoir regardé le dossier, Sin se demande si la royal indian air force sera considérée comme une arme d'élite par l'empire britannique s'ils parviennent à détruire ce croiseur que même les américains n'ont pas réussi à couler. Le colonel lui répond qu'il ont déjà conscience de leurs grandes qualités. En se levant, le commandant dit alors que ce sera un honneur pour eux de combattre ce navire. Le 25 juillet, un soldat vient signaler que depuis 6h40, leurs systèmes de communication sont perturbés. Langley ordonne alors de lancer l'alerte générale pour faire décoller un maximum d'appareils le plus rapidement possible. A 7h25, l'attaque débute, et le colonel se trouve dans un bunker. Un soldat qui a en ligne la base de Dacca lui dit qu'ils ont été attaqués à 7h20. Avec ces indices sur une attaque simultanée, sachant que les avions japonais ont dû décoller à l'aube et qu'ils ont une autonomie d'environ 800 km, Langley trace des cercles autour des bases de Dacca et de Chittagong. Il en déduit alors que la flotte japonaise se trouve à 300 km au sud-ouest de leur base, à environ 15° de longitude nord et 90° de latitude est...

    • Première apparition : Volume 17, dans le chapitre intitulé "Sillage 177 : La fierté du commandant Sin".
    • Statut au volume 17 : Vivant.

    Vice-amiral Kakuji Kakuta (PH)

    Volume 17

    Il s'agit du commandant en chef de la deuxième flotte aéronavale de l'empire du Japon durant la seconde guerre mondial. au milieu de l'année 1943, il a pour mission d'aller attaquer les bases britanniques de l'Inde pour forcer Churchill à demander l'aide des américains, qui devront ainsi précipiter leur offensive dans les Mariannes sans être totalement prêts. Les capitaines Eiichirô Taki et Takumi Kusaka, qui sont à la base de ce plan, l'accompagnent d'ailleurs à bord du porte-avions Junyô. Le 16 juillet, la flotte arrive au détroit de Malacca, et Kakuta ordonne à tous les navires de couper les communications radio. Par la suite, une fois qu'ils sont à 230 miles au sud de Ceylan, ils se préparent à lancer la première offensive. Le vice-amiral se rend compte que par rapport à Pearl Harbor, leur puissance est bien moindre, et si l'attaque ne fonctionne pas correctement, cela peut conduire à un échec cuisant. Taki le rassure en disant qu'un navire les précédant va anéantir tous les moyens de communications et de détection des britanniques. Le vice-amiral lui répond que les hommes ne le savent pas et sont inquiets. Il se demande s'il peut se fier au capitaine, qui lui répond que ce navire a déjà fait ses preuves en Nouvelles-Guinée. Les appareils décollent alors à 5h20, et Kakuta dit qu'il va prier pour leur réussite. A 9 heures, la première vague revient et seuls 2 appareils sont manquants. Le chef d'escadrille fait son rapport et dit qu'aucun appareil ennemi n'était dans le ciel. Quelques temps plus tard, Taki vient voir le vice-amiral car les pertes dans la seconde vague, ce qui pourrait compromettre la suite de la mission. Il envisage donc un changement de plan. Kusaka demande des explications, et Taki lui répond qu'ils ne doivent pas oublier l'objectif de l'opération. Donc, s'ils subissent des pertes trop importantes, toute la flotte devra aller à l'est, à Dacca et Chittagong, en oubliant Bombay. Il estime que s'ils perdent un sixième de leurs forces, c'est-à-dire 30 de leurs 177 appareils, l'attaque sur Bombay devra être annulée. Kusaka essaie de le reprendre, mais Taki lui rétorque directement que ce n'est pas la couardise qui le pousse à agir ainsi, et que c'est une décision difficile. A 11 heures, la seconde vague est de retour, et tous regardent si 50 appareils au moins sont de retour. Cependant, une heure et demie plus tard, 49 appareils ont été rangés dans les hangars. Taki regarde directement à l'horizon, et Kakuta lui dit de se résigner et de s'estimer heureux que 49 appareils soient revenus d'une telle bataille. Ils ont atteint leur objectif qui était de détruire les bases britanniques de Ceylan et ils maîtrisent maintenant le passage dans l'océan indien. Donc, comme l'a dit Taki, l'opération en mer d'Oman doit être annulée. Soudain, un dernier appareil revient, ce qui fait qu'ils peuvent attaquer Bombay comme prévu. Le 20 juillet, la flotte se sépare en 2, et le vice-amiral part à l'ouest, dans la mer d'Oman, avec Kusaka, tandis que Taki part à l'est avec l'autre partie de la flotte. Lors de la séparation, tous les militaires, dont Kakuta, sont sur le pont de leur navire pour saluer leurs camarades. Le 25 juillet, les appareils s'apprêtent à décoller. Le vice-amiral sait qu'il y a une heure de décalage avec le golfe du Bengale. La 50ème flotte doit donc voir le jour se lever et prendre son envol en ce moment. On ne voit plus Kakuta par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 17, dans le chapitre intitulé "Sillage 179 : La ligne à franchir".
    • Statut au volume 17 : Vivant.

    Capitaine Akiyama

    Volume 17

    Akiyama est un pilote de la marine impériale. Durant la bataille de Midway, en juin 1942, il était à bord du porte-avion Akagi. Malheureusement, tous les appareils ont été détruits sur le pont, et l'Akagi a fini par couler. De nombreux pilotes sont morts. Par la suite, en juillet 1943, Akiyama participe à une opération dans l'océan indien, qui vise à attaquer plusieurs bases britanniques en Inde pour pousser Churchill a demandé l'assistance des américains, qui devront précipiter leur offensive dans les Mariannes sans être totalement prêts. Akiyama se trouve à bord du porte-avions Junyô. C'est alors qu'il reconnaît le capitaine Kusaka, qui était à bord de l'Akagi durant la bataille de Midway, et qu'il croyait mort. Celui-ci reconnaît Akiyama et dit avoir eu de la chance. Akiyama répond qu'il considère sa vie actuelle comme un sursis. Mais Kusaka lui rétorque que s'il a survécu, c'est plutôt pour faire face à une nouvelle peur. Akiyama le trouve curieux et pense qu'il a changé. L'appareil d'Akiyama fait partie de la seconde vague qui doit attaquer Ceylan, et il vole avec Tamura et Sugawara. En croisant la première vague, ils constatent qu'ils n'ont subit que peu de pertes. Mais sur place, ils s'aperçoivent que le feu ennemi s'est intensifié. Ils bombardent un navire de transport, mais Tamura est touché par une mitrailleuse. Akiyama constate qu'ils perdent du carburant, et il ferme l'alimentation pour stopper la fuite. Ensuite, il voit que l'avion de Murakami a été touché. Il demande des nouvelles de Tamura, mais Sugawara dit qu'il ne répond pas. A cause de leur problème de carburant, ils doivent retourner au navire. Sugawara demande si l'appareil va tenir, et le capitaine lui répond que oui. Soudain, Sugawara signale l'approche d'un bimoteur mosquito, qui attaque l'appareil de Yoshikawa. Akiyama décide d'attirer l'attention du mosquito sur lui, et il y parvient car l'appareil anglais se lance à sa poursuite. Le mosquito se rapproche, et Akiyama choisit d'entrer dans les nuages. Le capitaine sait cependant que s'ils n'échappent pas à ce mosquito, ils ne pourront pas retourner au navire. Et sans mitrailleuse arrière, ils sont à la merci de l'appareil anglais. Il demande des nouvelles de Tamura, et Sugawara répond qu'il a l'air de tenir le coup. Malgré tout, il estime que la situation est du gâteau par rapport à Midway car il n'est pas cloué au sol. Sugawara se demande si le mosquito n'a pas abandonné, mais Akiyama pense que c'est un bon pilote qui est toujours là. Comme il n'attaque pas, il espère sans doute les suivre jusqu'à la position de leur porte-avion et ne se fait donc pas remarquer. Sugawara comprend qu'ils ne pourront peut-être pas rentrer. Ils aperçoivent la sortie des nuages. Ils virent à l'est, mais le mosquito est juste au-dessus d'eux. Ils pénètrent à nouveau dans un nuage, et Akiyama sait que les anglais ont dû comprendre que leur mitrailleuse est HS. Sugawara pense que c'est foutu, mais pour Akiyama, s'arrêter de réfléchir, c'est mourir. Ils vont donc s'approcher de la surface de l'eau pour empêcher le mosquito de faire un piqué. Ensuite, ils voleront en zigzag. Une fois hors des nuages, Akiyama fait ce qu'il a dit. L'aile droite touche la surface de l'eau, mais l'appareil tient le coup. Soudain, un navire à l'horizon fait feu de son canon et abat en un seul tir le mosquito, ce qui surprend Sugawara qui se demande d'où vient ce navire. Akiyama l'ignore mais ils voient sur son pont arrière le drapeau japonais. Akiyama ne peut pas faire un second passage pour les saluer à cause du manque de carburant, mais l'appareil parvient à regagner le porte-avions juste à temps car il tombe à court de carburant. Suite à la réussite de l'offensive sur Ceylan, la flotte japonaise se sépare en 2, une partie allant à Bombay avec Kusaka notamment, l'autre partie se dirigeant vers Dacca et Chittagong avec notamment Akiyama et Sugawara. Sur le pont du porte-avions Ryûjô, Akiyama et les autres saluent ceux qui partent pour Bombay. Par la suite, il apprend que Tamura est tiré d'affaire. Sugawara pense qu'ils ont été exclus de l'attaque principale, mais Akiyama lui répond que c'est ainsi car leur équipe n'est pas complète, et que le gros des forces indo-britanniques sont à Dacca et Chittagong. Akiyama constate alors que le navire ralentit pour faire monter des mécaniciens, et que le capitaine Taki vient saluer un officier inconnu en personne. Le 25 juillet, Akiyama salue la première vague offensive sur Dacca et Chittagong, mais peu après, on lui signale que la seconde vague doit décoller en urgence pour aller en soutien de la première. Sugawara est prêt à aller au bout de l'enfer avec le capitaine, mais celui-ci rétorque qu'il n'y a rien de plus difficile qu'une situation d'urgence. Akiyama n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 17, dans le chapitre intitulé "Sillage 181 : Le bombardement de l'île de Ceylan".
    • Statut au volume 17 : Vivant.

    Première classe Tamura

    Volume 17

    Ce militaire de la marine impériale japonaise fait partie en juillet 1943 d'une mission dans l'océan indien, sous les ordres du vice-amiral Kakuji Kakuta. Leur objectif est d'attaquer les bases britanniques afin de pousser Churchill à demander le soutien des américains, qui devront lancer leur offensive dans les Mariannes sans être totalement prêts. Les premières cibles sont les bases de l'île de Ceylan. Tamura fait partie de la seconde vague d'attaque, et vole à bord d'un tenzan, en charge de la mitrailleuse, en compagnie de Sugawara et du capitaine Akiyama. C'est d'ailleurs ce dernier qui pilote l'appareil. En croisant la première vague, Sugawara constate qu'ils n'ont subi que peu de pertes et les félicite, ajoutant qu'ils s'occupent de la suite. Mais une fois à Colombo, Akiyama s'aperçoit que le feu ennemi s'est accentué. Ensuite, comme la fumée des explosions gêne leur visibilité, le capitaine réduit l'altitude au maximum. Ils foncent vers un navire de transport, et Sugawara le touche sévèrement avec une bombe qu'il largue. Mais juste après, une mitrailleuse britannique blesse grièvement Tamura, qui perd conscience. De plus, l'appareil a une fuite de carburant et doit donc rentrer au porte-avions. Cependant, ils se font prendre en chasse par un mosquito et ne peuvent donc pas regagner le navire immédiatement. Alors qu'ils se cachent dans les nuages, Tamura gémit pour signaler qu'il tient le coup, malgré le sang qu'il a perdu. Sugawara l'invite à tenir encore un peu, et finalement, le mosquito est abattu par un navire japonais inconnu. L'appareil peut alors rejoindre le porte-avions et Tamura est directement pris en charge par l'équipe médicale. Par la suite, on apprend que Tamura a été tiré d'affaire, mais il n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 17, dans le chapitre intitulé "Sillage 181 : Le bombardement de l'île de Ceylan".
    • Statut au volume 17 : Vivant, bien que grièvement blessé par des tirs britanniques.

    Sugawara

    Volume 17

    Il s'agit d'un membre de la marine impériale japonaise, durant la seconde guerre mondiale. En juillet 1943, il fait partie d'une opération visant à attaquer les bases britanniques dans l'océan indien, et ce, afin que Churchill demande l'aide de Roosevelt, qui devra précipiter son offensive dans les Mariannes. Les japonais commencent donc par les bases de Ceylan, et Sugawara, ainsi que Tamura, montent à bord d'un appareil piloté par le capitaine Akiyama, et qui fait partie de la second vague. En vol, ils croisent la première vague, et en voyant qu'ils volent toujours en formation, Sugawara comprend qu'ils n'ont subi que peu de pertes. Il les félicite et leur dit qu'ils prennent la suite. Ils arrivent à Colombo et constatent que le feu s'est intensifié. La fumée des explosions gêne leur visibilité, et Akiyama doit réduire leur altitude au maximum. Sugawara vise alors un grand navire de transport et largue une bombe qui détruit une bonne partie du navire. Cependant, une mitrailleuse touche gravement Tamura, et Akiyama s'aperçoit que le 3ème réservoir de l'aile gauche est touché. Comme ils perdent du carburant, le capitaine coupe l'alimentation. Akiyama constate ensuite que l'avion de Murakami est touché. Il demande des nouvelles de Tamura, et Sugawara lui répond que Tamura ne répond pas. A cause de leur problème de carburant, ils doivent retourner au navire, mais le capitaine demande à Sugawara de continuer à appeler Tamura. Sugawara demande si l'avion va tenir, et Akiyama lui répond qu'ils devraient tenir jusqu'au porte-avions. Mais Sugawara constate l'approche d'un bimoteur mosquito britannique, qui prend en chasse l'appareil de Yoshikawa. Akiyama décide d'attirer l'attention de ce mosquito sur lui, et il y parvient. Le mosquito s'approchant, le capitaine choisit d'entrer dans les nuages. Peu après, Akiyama interroge Sugawara sur l'état de Tamura, et Sugawara répond qu'il a gémi, qu'il a perdu beaucoup de sang mais qu'il a l'air de tenir le coup. Il leur faudrait cependant rentrer au plus vite pour le soigner. Par la suite, Sugawara se demande si le mosquito les suit encore. D'après le capitaine, le pilote britannique doit être bon et comme il a disparu depuis qu'ils sont entrés dans les nuages, il en déduit que son objectif n'est pas de les abattre mais de trouver la position de la flotte japonaise. Sugawara comprend alors que s'ils continuent à aller vers le sud, ils ne pourront pas rentrer. Pour Akiyama, avec les 30 minutes de vol qu'il leur reste, ils devraient y arriver. En voyant la sortie des nuages, le capitaine dit qu'il va virer à l'est. Mais en sortant, ils aperçoivent le mosquito juste au-dessus d'eux. Ils pénètrent à nouveau dans les nuages, et Akiyama sait que le mosquito a dû remarqué que leur mitrailleuse est hors d'usage. Le mosquito va donc essayer de les abattre. Sugawara pense que tout est terminé, mais le capitaine lui rétorque que s'arrêter de réfléchir, c'est mourir. Ils vont plonger pour arriver à la surface de l'eau puis voler en S pour ne pas rester dans la ligne de mire. Une fois hors des nuages, Akiyama s'exécute. L'aile droite touche l'eau mais le capitaine parvient à maintenir l'appareil. Soudain, un navire au loin fait feu de son canon et détruit d'un coup le mosquito, ce qui stupéfait Sugawara. Ils n'ont jamais vu ce type de navire, mais Sugawara aperçoit le drapeau japonais sur le pont arrière. Il veut faire un second passage pour les saluer, mais Akiyama lui répond qu'ils n'ont pas assez de carburant pour cela. L'appareil parvient juste à temps sur le porte-avions, sa jauge étant tombée à 0. La flotte se sépare ensuite en 2, une partie allant à Bombay, l'autre, avec Akiyama et Sugawara notamment, va en direction de Dacca et Chittagong. A bord du porte-avion Ryûjô, Akiyama et Sugawara apprennent que Tamura a pu être sauvé. Sugawara pense que comme ils sont considérés comme des préparateurs mécaniques, ils ont été exclus de l'opération à Bombay. Le capitaine répond que c'est parce que leur équipe est incomplète et qu'ils n'y peuvent rien. Il y aura pourtant à faire dans le golfe du Bengale, où se trouve le gros des forces indo-britanniques. Le duo croise alors le capitaine Eiichirô Taki, à l'origine de cette opération dans l'océan indien, venu accueillir en personne un autre officier totalement inconnu. Le 25 juillet, la première vague décolle pour attaquer Dacca et Chittagong, mais un officier vient avertir Akiyama qu'il doit décoller en urgence pour venir en aide à la première vague car beaucoup d'appareils ennemis ont décollé et la première vague va être décimée. Sugawara dit être prêt à aller au bout de l'enfer avec le capitaine, mais celui-ci rétorque qu'il n'y a rien de plus difficile qu'une mission d'urgence. On ne voit plus Sugawara par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 17, dans le chapitre intitulé "Sillage 181 : Le bombardement de l'île de Ceylan".
    • Statut au volume 17 : Vivant.

    Commandant Epstein

    Volume 17

    Il s'agit d'un pilote britannique en poste à la base de Colombo, sur l'île de Ceylan, lors de la guerre du Pacifique. Son appareil est un bimoteur mosquito, et son copilote est Harrison. Mais en juillet 1943, à l'aube, les radars et communications tombent en panne, et peu après, une escadrille japonaise apparaît dans le ciel et commence son attaque surprise. Epstein et Harrison parviennent néanmoins à faire décoller leur appareil, et ils se mettent à attaquer les avions japonais. Mais à un moment, un tenzan arrive par l'arrière, semblant vouloir en découdre avec lui. Epstein décide de s'occuper d'abord de cet appareil et le prend en chasse, sachant qu'en vitesse pure, un monomoteur ne fait pas le poids. Le tenzan esquive les tirs puis pénètre dans les nuages, ce qui fait qu'Epstein les perd de vue. Il doit donc rester vigilant, mais refuse de tirer pour ne pas se faire repérer. En effet, il cherche aussi à découvrir la position de la flotte japonaise d'où venaient ces appareils. Un peu plus tard, le mosquito sort des nuages et Epstein aperçoit juste en dessous de lui le tenzan qui manoeuvre vers la gauche, à l'est. Il a aussi le temps de se rendre compte que la personne chargée de la mitrailleuse arrière du tenzan est blessée, et que l'arme est donc hors d'usage. Il en fait part à Harrison, puis, sachant que les passagers du tenzan les ont vus, Epstein comprend qu'ils ne rentreront pas à leur porte-avions. Il décide donc de l'abattre alors que le tenzan pénètre à nouveau dans un nuage. A la sortie de celui-ci, Harrison prévient Epstein que le tenzan fait une descente rapide en virant à gauche. Epstein choisit de le suivre et ouvre le tir. Mais même si l'aile droite du tenzan touche l'eau, l'appareil parvient à se redresser. Epstein comprend que le pilote ne veut pas se résigner. Le tenzan continue à esquiver les tirs et c'est alors que Harrison alerte Epstein de la présence d'un navire sur la ligne d'horizon, sur la gauche. Ils ne savent pas si c'est un navire japonais, mais Harrison préfère l'éviter. Pourtant, Epstein sait que ce n'est pas un porte-avions, et qu'ils sont trop loin pour qu'un canon les atteigne. Il décide d'en terminer d'abord avec le tenzan. Cependant, au moment où Epstein a l'appareil japonais dans sa ligne de mire, le canon du navire fait feu et détruit le mosquito d'un seul coup, tuant Epstein et Harrison sur le coup.

    • Première apparition : Volume 17, dans le chapitre intitulé "Sillage 182 : Deuxième offensive".
    • Statut au volume 17 : Tué dans la destruction de son appareil par un coup de canon tiré par le Mirai.

    A suivre...

    Cronos


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  • Voilà la quatrième suite de la liste des personnages de Master Keaton. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Lord Swan

    Volume 1

    Il s'agit d'un noble britannique qui possède une résidence secondaire sur l'île de Majorque, et qui s'adonne au trafic de drogues, spécialement d'héroïne. En effet, il sert de "sponsor" à des trafiquants et utilise son yacht privé pour acheminer l'héroïne de Turquie en Angleterre, échappant ainsi aux contrôles douaniers. Swan investit dans le trafic de drogues comme il le ferait pour des actions en bourse. Les 2 personnes que Swan aide sont 2 anciens agents du SAS, les services spéciaux britanniques. Il s'agit de Paul Sparrow et de James Wolf. Mais comme leur trafic est insignifiant par rapport à celui du syndicat corse, ces derniers les laissent tranquilles. Cependant, comme ils veulent gagner gros, Wolf a alors l'idée de ramener de la cocaïne d'Amérique du sud. En effet, cette drogue qui excite au lieu d'endormir comme l'héroïne est très populaire chez les junkies. Mais le syndicat corse n'ayant pas de route directe vers l'Amérique du sud pour cette drogue voit d'un très mauvais oeil l'arrivée de ce concurrent. Et au lieu de s'opposer au syndicat, Swan et Sparrow acceptent de s'associer avec eux, sacrifiant au passage Wolf qu'ils soupçonnent de vouloir venger la mort de sa fille, ancienne junkie que Sparrow fournissait en drogue. Cependant, cela se passe mal et Wolf, spécialiste du maniement du couteau, tue Sparrow dans une chambre d'hôtel. Swan, qui s'attend à être attaqué par Wolf, décide alors de s'entourer d'hommes du syndicat dans sa villa d'Ilford, en Angleterre. Là, il reçoit la visite du commissaire Otter, qui enquête sur la mort de Sparrow, et de Taichi Keaton, un ancien élève de Wolf au SAS. Le lord prétend ne pas connaître Wolf, et ignorer pourquoi il en aurait après lui. Ces 2 hommes veulent assurer sa protection, mais Swan les prévient qu'il a des obligations le lendemain et qu'il doit sortir. Il leur demande donc de ses retirer pour aujourd'hui. Otter lui dit d'être prudent puis ils s'en vont. Alors qu'il les observe par la fenêtre, Swan reçoit un appel d'un certain Leo Haniha. Un des corses lui explique qu'un "sponsor" de son envergure ne sait surement pas qui est Leo Haniha, mais que c'est quelqu'un d'un réseau de drogues et de prostitution. Celui-ci aurait des informations pour le lord. En fait, Wolf, dans sa fuite, a aussi tué l'un des hommes de Haniha en protégeant une de ses prostituées qui s'enfuyait. Haniha propose donc de livrer Wolf en capturant la prostituée et s'en servant comme appât dans la demeure de Swan. Ce dernier accepte, et le jour suivant, il s'en va vers son yacht. Cependant, lorsqu'il arrive à Douvres, dans le Kent, il est accueilli par Otter et de nombreux policiers, qui ont été informés par Wolf et qui vont l'accompagner sur le yacht où se trouve de la drogue. Swan est donc piégé et arrêté par la police. C'est sa dernière apparition dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 1, dans le chapitre intitulé "Chapitre 10 - La saison des chasseurs".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Al flare

    Volume 1

    Al Flare est un ancien instructeur du SAS, les forces spéciales britanniques. Plusieurs rumeurs circulent à son propos à Hereford, le centre d'entraînement du SAS. Notamment le fait qu'il aurait encore dans le crâne un fragment d'une balle tirée par un terroriste de l'IRA. Ou alors certains de ses camarades ont été brûlés vifs par l'IRA, alors que son escouade était commandée par un officier sans expérience qui venait de sortir de l'université. Ce serait pour cette raison que ce spécialiste des arts martiaux se montre particulièrement sévère envers les élèves fraîchement sortis de l'université. Et parmi les nouvelles recrues du SAS, les fractures des bras ou des jambes étaient fréquentes. Ce sadique s'occupe d'ailleurs un jour de Taichi Keaton, un métis anglo-japonais, qui sort lui aussi de l'université. Flare bloque le jeune homme à la carotide, et alors que celui-ci s'étouffe, Flare dit aux autres élèves qu'ainsi, l'homme devrait perdre connaissance au bout de 7 secondes, trouvant cela jouissif. Il ajoute que s'il relâche un peu la pression, la victime va ressentir une douleur infernale avant de s'évanouir. Mais quelqu'un vient le tapoter sur l'épaule avec des feuilles de papier et le prévient qu'il va le tuer s'il continue ainsi. Il s'agit de James Wolf, surnommé le professor, titre honorifique, un spécialiste des couteaux. Flare relâche Keaton qui tousse, mais se sent insulté par Wolf, et le défie à mains nues devant les élèves pour une démonstration, sachant Wolf aussi très doué dans ce domaine. Wolf demande si c'est un exercice, mais Flare lui répond que c'est un vrai duel. C'est alors que Wolf surprend son adversaire en le maîtrisant directement, lui rappelant qu'il devrait penser à frapper le premier, avant que son adversaire soit prêt. Flare dirige à ce moment sa main droite vers l'arrière de son pantalon, là où tout le monde sait qu'il met toujours son Chiefs Special, une arme à feu. Se sentant menacé, Wolf relâche Flare et se met en position pour riposter. Il interroge Flare pour savoir s'il est persuadé qu'il sera plus rapide que lui avec son couteau et l'avertit qu'à cette distance, il n'a aucune chance et qu'il ferait mieux d'arrêter. Mais Flare fait fi de cet avertissement, et Wolf dégaine alors son couteau et entaille la main de Flare en un seul geste, très rapide. Après cet incident, Flare prétend qu'il n'avait justement pas son arme sur lui ce jour-là. Quant à Wolf, il a juste été réformé grâce à ses états de service. On ne par contre pas ce qu'il est advenu de Flare, à part qu'il n'a sans doute plus pu enseigner au SAS.

    • Première apparition : Volume 1, dans le chapitre intitulé "Chapitre 11 - La saison des proies".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Hayes McCoy

    Volume 2

    Ce jeune homme de 19 ans en 1988 est un cambrioleur, mais aussi un ancien jeune coureur prometteur. Il détient en effet le record d'Irlande sur 50 mètres, qu'il a établit à l'âge de 16 ans. Malheureusement, il n'est pas resté sur le droit chemin et se contente de voler en échappant à la police grâce à sa vitesse. Un jour, il vole une médaille d'or des jeux olympiques de Tokyo de 1964, détenue par Brian Higgins, un homme qui enseigne l'athlétisme à des voyous des bas quartiers. Après ce vol, il donne rendez-vous en pleine nuit et en pleine rue à McNeil, un marchand d'art, pour recéler la médaille. Cependant, lorsqu'il arrive, la police les encercle. McCoy parvient néanmoins à s'échapper, et pour éviter de se faire rattraper par l'un des hommes qui le poursuit plus facilement que les autres, il lui jette son sac à dos contenant la médaille. Les jours suivants, il parvient encore une fois à échapper à la police, mais un soir, celui qui parvenait presque à le rattraper utilise des bolas, un outil constitué de pierres reliées par une corde et qui sert à attraper les animaux vivants. McCoy tombe à terre, et Higgins fonce sur le jeune homme pour l'empêcher de se relever et de repartir. Il lui dit de ne pas gâcher son talent, qu'il utilise mal ses bras et qu'il estime un gâchis d'être aussi doué et de se contenter d'être un vulgaire voleur. L'autre homme, Taichi Keaton, dit alors à Higgins que c'est en effet un sacrilège envers Dieu, surnommant Higgins Iceman. On ne voit plus McCoy par la suite dans ce tome et on ne sait pas ce qu'il devient.

    • Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 1 - Fire & ice".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    McNeil

    Volume 2

    McNeil est un marchand d'art irlandais qui semble travailler à Dublin. Un jour, Hayes McCoy, un jeune homme de 19 ans, le contacte. Ce garçon est un ancien coureur prometteur qui, depuis quelques temps, se détourne du droit chemin et se met à voler, échappant à la police grâce à sa vitesse. Il fait comprendre à McNeil qu'il aurait une médaille olympique des jeux de Tokyo, en 1964, à lui vendre. Comme le marchand d'art est intéressé, ils se donnent rendez-vous un soir, en pleine Mary street de Dublin. McNeil arrive le premier avec sa voiture et attend McCoy. Celui-ci arrive en courant et présente son sac à dos à McNeil. Mais soudain, de nombreux policiers encerclent les 2 hommes, très surpris. Le marchand d'art est rapidement maîtrisé, mais le jeune homme parvient à s'enfuir en courant. McNeil n'apparaît plus par la suite dans ce tome et on ne sait pas ce qu'il lui arrive.

    • Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 1 - Fire & ice".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Madame Fireman

    Volume 2

    Il s'agit de l'épouse du champion olympique sir Charles Fireman, vainqueur et médaillé d'or sur 10.000 mètres lors des jeux de Tokyo, en 1964. Cet homme fut fort apprécié en déclarant lorsqu'il reçu sa médaille d'or qu'il courait pour l'Angleterre mais qu'il était irlandais, faisait référence aux attentats de l'IRA. Il ne voulait plus voir de tueries sanglantes. A son retour à Dublin, il prit sa retraite sportive alors qu'il avait le potentiel pour continuer, et participa activement aux échanges sportifs entre Angleterre et Irlande. Cependant, il meurt d'une crise cardiaque en juillet 1988. En triant les affaires de son défunt mari, Mme Fireman ne retrouve pas la médaille d'or. Son époux s'intéressait peu aux médailles, trophées et photos, mais elle a besoin de ces souvenirs. C'est pourquoi elle fait appel à Taichi Keaton, un enquêteur en assurances. Mme Fireman ne sait pas si la médaille a été perdue ou volée, et explique que son mari était beaucoup plus fier de son rôle d'administrateur à l'association d'athlétisme que des trophées. Pourtant, il gardait toujours cette médaille sur lui. Keaton constate sur une photo que l'invincible Fireman a un jour connu la défaite. La veuve raconte que cette photo représentait aussi quelque chose pour son mari, Elle a été prise l'année précédant les jeux de Tokyo, lors d'une compétition dans le Yorkshire. Pour retrouver la médaille, Mme Fireman explique que son époux a gravé à l'arrière de celle-ci l'inscription "Fire & ice". Keaton parvient à découvrir que la médaille a été volée par un jeune homme de 19 ans, Hayes McCoy. Il réussit aussi à la récupérer quand McCoy tente de vendre la médaille, mais la police refuse pour le moment de la restituer car une autre personne, Brian Higgins, a rempli une déclaration de vol pour cette médaille. Mais Mme Fireman ne connaît pas cet homme. Elle sait par contre que son mari nourrissait des regrets à l'égard de quelque chose, et à l'hôpital, avant de décéder, il a dit qu'il avait autrefois fait pression sur un homme en se servant de Dieu. Soudain, Keaton reconnaît Higgins sur la photo de la compétition dans le Yorkshire. Mais pour Mme Fireman, il s'agit de Brian McDonnell, un coureur en concurrence avec son époux à l'époque. En tant que prêtre catholique d'Irlande du Nord, il bénéficiait du soutien des classes populaires. Il avait été présélectionné pour les jeux de Tokyo mais 4 mois avant le début de la compétition, une interview réalisée par un journaliste a révélé qu'il avait participé à des courses rémunérées, ce qui était interdit à l'époque. Il fut donc radié à vie de l'association d'athlétisme. Mme Fireman veut connaître la vérité, quelle qu'elle soit, et Keaton continue son enquête. Lorsqu'il revient auprès de la veuve, il révèle que Fireman et Higgins, qui était surnommé Iceman, d'où l'inscription à l'arrière de la médaille, remettaient en jeu la médaille entre eux 2 tous les 4 ans, alors que Higgins avait quitté l'église. Quatre mois avant le décès de Fireman, c'est son rival qui a remporté la course, d'où le fait que la médaille était en sa possession lors du vol. Mais Mme Fireman sent que Keaton ne lui dit pas toute la vérité. Lors des scandales sur les courses rémunérées, son époux était lui aussi soupçonné, et elle suppose qu'il est allé voir Higgins dans le confessionnal en se faisant passer pour un croyant. Ainsi tenu par son serment religieux, Higgins ne pouvait rien révéler. Keaton déclare qu'il lui a posé la question, et que Higgins lui a répondu que Fireman avait une véritable grandeur d'âme, qu'il n'avait jamais participé à des courses rémunérées et qu'il n'avait pas pu du coup faire un mauvais usage de sa confession. Pour Higgins, c'était un coureur exceptionnel et son seul ami. C'est la dernière apparition de Mme Fireman dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 1 - Fire & ice".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivante.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivante.

    Sir Charles Fireman

    Volume 2

    Ce coureur de fond de haut niveau est né à Belfast d'un propriétaire anglais déchu. Enfant, il courait très vite et a reçu une éducation très stricte de son père. En 1963, lors d'une compétition dans le Yorkshire, il a perdu face à son rival de toujours, Brian McDonnell, lui aussi d'Irlande du Nord, mais des classes populaires. Ce dernier, prêtre catholique, fut lui aussi présélectionné pour les jeux olympiques de Tokyo, en 1964. Mais 4 mois avant le début des jeux, lors d'une interview, McDonnell révéla avoir participé à des courses rémunérées, ce qui était interdit à l'époque, et il fut radié à vie de l'association d'athlétisme. Lors des jeux olympiques, Fireman gagna la course des 10.000 mètres mais le jour suivant, le 17 octobre, alors qu'il allait courir le 5.000 mètres, l'IRA commis un attentat sanglant en Irlande du Nord. Du coup, lorsqu'il reçut la médaille d'or, il déclara pendant la cérémonie : "Je cours pour l'Angleterre mais je suis irlandais", avant d'ajouter "Arrêtons les tueries insensées !", ce qui émut le monde entier. Par la suite, en revenant au pays, il décida de prendre sa retraite sportive alors qu'il avait largement le potentiel pour continuer. Il participa aux échanges sportifs entre l'Angleterre et l'Irlande en tant qu'administrateur de la fédération d'athlétisme. Dans le même temps, 4 ans après les jeux olympiques, Fireman remit sa médaille d'or en jeu face à son rival, McDonnell, qui était surnommé "Iceman" pour son sang-froid. Du coup, tous les 4 ans, ils couraient tous les 2 pour savoir qui garderait la médaille. En 1988, pour ce qui serait la dernière course pour Fireman, celui-ci grava à l'arrière de la médaille l'inscription "fire & ice". Fireman perdit la course et déclara à son ami qu'il pourrait garder la médaille car il ne serait plus en état de courir 4 ans plus tard. Avant de décéder, alors qu'il était à l'hôpital, Fireman révéla à sa femme qu'il avait autrefois fait pression sur un homme en se servant de Dieu. On peut penser qu'il se serait confessé à McDonnell en révélant avoir participé lui aussi à des courses rémunérées avant les jeux olympiques de Tokyo, mais McDonnell dit que Fireman n'a jamais participé à ce type de course illégale. On ne sait donc pas ce que voulait dire Fireman. Ce dernier finit par mourir d'une crise cardiaque en juillet 1988.

    • Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 1 - Fire & ice".
    • Statut au volume 4 : décédé d'une crise cardiaque en juillet 1988.
    • Statut au volume 8 : décédé d'une crise cardiaque en juillet 1988.

    Brian Higgins (McDonnell)

    Volume 2

    Il s'agit d'un coureur de fond d'Irlande du Nord, issu des quartiers populaires, mais qui était aussi prêtre catholique. Dans les années soixante, il était le rival de sir Charles Fireman, lui aussi d'Irlande du Nord. Pour son sang-froid et sa précision, McDonnell était surnommé "Iceman". En 1964, lors d'une compétition dans le Yorkshire, il a battu Fireman, et par la suite, il a été présélectionné pour les jeux olympiques de Tokyo de 1964. Cependant, 4 mois avant le début de la compétition, il révéla lors d'une interview faite par Monsieur White qu'il avait participé à des courses rémunérées, ce qui était interdit à l'époque, et il fut radié à vie de l'association d'athlétisme. Convoqué au parlement, il a déclaré qu'il courait pour Dieu, et que la moitié des sommes gagnées servait  sa paroisse, tandis que l'autre moitié était pour son entraînement, car le sport de haut niveau coûte cher. Par la suite, il refusa de révéler d'autres noms de participants à ces courses illégales. Lors des jeux olympiques, Fireman remporta la médaille d'or sur le 10.000 mètres, et 4 ans plus tard, il alla vers McDonnell, qui avait quitté l'église et qui voulait faire une course à 2 pour savoir qui était le meilleur et qui garderait la médaille pour les 4 années à venir. Du coup, les 2 hommes se retrouvèrent ainsi tous les 4 ans. En 1988, après la victoire de Higgins, Fireman lui remit la médaille en disant qu'il pouvait la garder car il ne sera plus en état de courir 4 ans plus tard. De plus, il a gravé à l'arrière de la médaille l'inscription "Fire & ice". Avant de se quitter, Higgins prévint Fireman d'y aller doucement sur le vin et de plutôt boire du jus de pamplemousse frais. En juillet 1988, Fireman décède d'une crise cardiaque. Higgins, lui, tente toujours d'enseigner l'athlétisme aux voyous des bas quartiers, mais un jour, il se fait voler la médaille d'or. Il porte plainte à la police et un mois plus tard, un policier et un enquêteur d'assurance, Taichi Keaton, viennent le voir alors qu'il sermonne de jeunes gens. Il set du jus de pamplemousse à ses invités, leur disant que celui-ci assouplit les muscles et permet d'éviter les crampes aux mollets. Keaton lui demande s'il n'est pas prêtre car il a connu un prêtre qui parlait ainsi. En fait, ces 2 hommes sont là car la veuve de Fireman a elle aussi déclaré le vol de la médaille, croyant qu'elle appartenait toujours à son défunt époux. Higgins déclare que la médaille est à lui, sans préciser pour quelle raison. Le policier souhaite capturer le voleur, Hayes McCoy, qui détient le record d'Irlande sur 50 mètres établi à l'âge de 16 ans. Malheureusement, il a mal tourné et fait maintenant des cambriolages. Le policier souhaite donc que Higgins se renseigne auprès des jeunes délinquants afin de capturer McCoy, mais le vieil homme refuse catégoriquement. Plus tard, après s'être réveillé en sursaut suite à un rêve avec Fireman, Higgins entend des sifflets de police et va regarder par la fenêtre. Il aperçoit McCoy en train de courir pour échapper aux policiers, et trouve qu'il a un gros potentiel. Il entre alors en contact avec Keaton, qui a appris par où devrait passer McCoy des enfants du quartier. Mais Higgins veut le capturer sans le blesser car le jeune garçon a le potentiel pour obtenir une médaille à Barcelone. L'enquêteur lui dit qu'il a pris avec lui des bolas, qui servent normalement à capturer des animaux vivants. Lorsque McCoy arrive, Keaton lance les bolas, qui s'emmêlent dans les jambes de McCoy et qui le font tomber. Higgins lui fait une clé de bras et lui dit qu'il utilise mal ses bras. Il trouve aussi que c'est du gâchis de faire le vulgaire voleur. Keaton déclare que c'est un sacrilège envers Dieu, et utilise le surnom d'Iceman. Higgins accepte alors d'expliquer pourquoi la médaille était en sa possession. L'enquêteur pense aussi qu'en 1964, Fireman était venu se confesser chez Higgins pour dire qu'il avait lui aussi participé à des courses rémunérées, et ainsi faire pression sur le prêtre de l'époque qui devait garder le secret de la confession. Mais Higgins répond que Fireman avait une véritable grandeur d'âme, qu'il ne l'a jamais affronté qu'avec de bonnes intentions. En fait, Fireman n'avait jamais participé à des courses rémunérées à l'époque, et Higgins ne pouvait donc pas faire mauvais usage de sa confession. Il ajoute les larmes aux yeux que Fireman était un coureur exceptionnel et son seul ami. On ne voit plus Higgins par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 1 - Fire & ice".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Monsieur White

    Volume 2

    Ce monsieur fut un journaliste sportif qui interviewa en 1964 Brian McDonnell. Ce dernier était un coureur de fond nord-irlandais qui exerçait la profession de prêtre catholique, ce qui fait qu'il était très apprécié parmi les classe populaires. Il était aussi le rival de Sir Charles Fireman, qu'il avait battu lors d'une compétition dans le yorkshire en 1964. Tous les 2 avaient été présélectionnés pour les jeux olympiques de Tokyo, mais 4 mois avant la compétition, l'interview de Monsieur White changea la donne. En effet, lors de celle-ci, il révéla avoir participé à des courses rémunérées, ce qui était interdit à l'époque. A cause de cela, il fut radié à vie de l'association d'athlétisme. Beaucoup plus tard, en 1988, alors que Fireman est récemment décédé, un enquêteur d'assurance, Taichi Keaton, vient interroger White sur cette interview, alors que l'ancien journaliste s'occupe de roses dans le comté du Surrey, au sud de Londres. White dit regretter cette interview, car McDonnell était prêtre et ne pouvait pas mentir. Il raconte que lorsque McDonnell a été convoqué au parlement, il a déclaré sans hésiter qu'il courait pour Dieu, et que la moitié des sommes gagnées étaient pour sa paroisse, tandis que l'autre moitié était pour ses entraînements, car le sport de haut niveau coûtait cher. Par la suite, l'association d'athlétisme a mis la pression sur McDonnell pour connaître les noms des autres participants à ces courses interdites, ce qui aurait permis de lui pardonner s'il avait collaboré. Mais il refusa et paya pour les autres. Selon les rumeurs, s'il avait parlé, il aurait probablement mentionné le nom de Fireman, mais pour White, Fireman n'était rien comparé à "Iceman". Keaton est surpris par ce nom, et White explique que c'était le surnom de McDonnell, qui courait avec sang-froid et précision, contrairement au bouillonnant Fireman. Après avoir obtenu les réponses qu'il souhaitait, Keaton s'en va et White n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 1 - Fire & ice".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Pietro Rossellini (Hans Adler)

    Volume 2

    Pietro est un homme originaire d'un petit village pauvre du sud de l'Italie. Lorsqu'il avait faim, il partait avec son cousin Sergio pour aller chasser avec les arcs qu'ils avaient fabriqué eux-même. Dans l'église où il allait tous les dimanches, il y avait une statue de la vierge Marie avec un enfant dans les bras, et dont Pietro trouvait qu'il lui ressemblait. Dès lors, il s'est promis de faire un jour un acte totalement désintéressé. Par la suite, il est devenu l'enfant prodige du village, a eu une bourse d'études, est allé à l'université, a gravi les échelons de la société et a fini par être à 2 doigts de diriger une banque. Mais c'est à ce moment que sa femme et sa fille sont mortes dans un accident d'avion. Pietro s'est alors remis en question par rapport à son rêve et c'est alors que Scarlatti, un parrain de la mafia connu pour trafic de drogues, prostitution et assassinats, entra dans la banque Moravia où Rossellini travaillait. Il prétendit être un grand entrepreneur qui voulait placer son argent. Pietro voulut alors en profiter pour accomplir son rêve. Il mit au point un plan avec son cousin Sergio. En novembre 1985, à 11h20, dans un chalet qui se trouvait au bord du lac Lugano, qui établit la frontière avec la Suisse, Scarlatti confia un chèque de 5 milliards de lires à Rossellini, qui demanda à pouvoir aller aux toilettes. Là, il sortit une arbalète qu'il cachait dans un sac normalement prévu pour une canne à pêche et envoya le chèque de l'autre côté du lac, à 1,5 km de distance, où Sergio attendait pour récupérer le chèque et l'encaisser dans une banque suisse, à 11h45. Pietro alla ensuite pêcher en compagnie de Scarlatti, et peu après, il simula sa mort dans le torrent Orco. Le soir de Noël, plusieurs villages du sud de l'Italie reçurent de l'argent pour un montant total de 5 milliards de lires. L'affaire éclate au grand jour lors du procès de Scarlatti pour fraude fiscale, lors duquel Sergio témoigne. Malheureusement, ce dernier est assassiné. Pietro vit désormais à Bâle, en Suisse, sous le nom de Hans Adler. Mais en 1988, Taichi Keaton, enquêteur pour la compagnie d'assurances toscane, parvient à le retrouver. Pietro lui explique qu'il n'avait pas l'intention d'arnaquer une compagnie d'assurance, mais que pour qu'on le croie vraiment mort, il fallait qu'un membre de sa famille touche le capital de son contrat d'assurance. Rossellini craint d'être attaqué en justice, mais pour Keaton, il est surtout recherché par des hommes bien plus dangereux que lui. L'enquêteur remarque les photos de la femme et de la fille de Pietro, ainsi qu'une photo de Sergio. Il aperçoit aussi l'étui de canne à pêche qui contient l'arbalète. Keaton révèle qu'il a mis 3 jours pour retrouver Rossellini, ce qui effraie ce dernier. Il accepte néanmoins de rendre l'argent de l'assurance le lendemain, ce qui convient à l'enquêteur. Celui-ci se demande toutefois comment Pietro est parvenu à faire l'aller et le retour sur le lac Lugano, et pourquoi avoir fait cela. Rossellini dévoile que c'était un rêve mais pense que Keaton trouvera lui-même comment il a envoyé le chèque de Scarlatti. Le jour suivant, Pietro rentre après avoir fait ses courses, mais aperçoit 2 hommes de la mafia devant son immeuble. Rossellini appelle discrètement Keaton qui revenait le voir, et tous les 2 vont à la bibliothèque, où Pietro remarque que l'enquêteur essai d'en apprendre plus sur Guillaume Tell. Rossellini apprend alors que Keaton est un archéologue à la base mais qu'il risque de perdre son poste d'enseignant dans une petite université. Il joue les enquêteurs pour gagner de l'argent, mais il rêve de faire des fouilles dans la région du Danube pour prouver l'existence d'une civilisation antérieure aux civilisations latines et grecques. Pietro explique alors que Guillaume Tell est aussi un rêve pour les suisses, qui doivent leur indépendance à leur territoire composé de montagnes, mais qui ont toujours un profond respect pour Tell. Les 2 hommes vont ensuite dans un bistrot où Rossellini raconte son rêve et la raison de celui-ci. Durant la conversation, Keaton chercher toujours à savoir comment Pietro a fait avec le chèque de Scarlatti, et semble finalement comprendre. Le lendemain matin, ils retournent éméchés chez Rossellini, mais les mafieux sont là aux aussi. Keaton suggère à Pietro de fuir vers le France, mais ce dernier ne peut pas partir sans les photos de sa femme, sa fille et Sergio. Keaton lui dit d'aller à Alto Quill, à 1,5 km de là, où il recevra les photos rapidement. Rossellini s'exécute, et près d'un grand sapin, il reçoit les photos grâce au même stratagème qu'il a utilisé avec le chèque de Scarlatti. d'un signe de la main, il remercie Keaton et on ne sait pas ce qu'il devient par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 2 - la vie en rose".
    • Statut au volume 4 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 8 : Supposé vivant.

    Sergio

    Volume 2

    Il s'agit d'un italien provenant d'un petit village pauvre d'Italie du sud. A l'époque de sa jeunesse, avec son cousin Pietro, quand ils avaient faim, ils partaient chasser avec les arcs qu'ils avaient fabriqué aux-même. Par la suite, Pietro est devenu "l'élu" du village et a fait des études, a obtenu une bourse et a gravi les échelons de la société pour arriver à 2 doigts de diriger une banque. Mais c'est à ce moment, en 1985, qu'il a perdu sa femme et sa fille dans un accident d'avion. Revenant à des valeurs simples, il a voulu faire un acte désintéressé et c'est à ce moment que Scarlatti, un parrain de la mafia, est entré dans sa banque en prétendant être un entrepreneur venu placer son argent. Pietro mis alors en place un plan avec son cousin pour subtiliser cet argent sale et le redistribuer aux villages pauvres du sud de l'Italie. Un jour, Pietro fut invité dans un chalet de Scarlatti, au bord du lac Lugano, frontière naturelle entre l'Italie et la Suisse, pour signer un accord de financement et reçu un chèque de 5 milliards de lires des mains de Scarlatti. Pietro prétendit devoir aller aux toilettes, et c'est là qu'il utilisa une arbalète cachée dans un sac prévu pour une canne à pêche, pour envoyer le chèque à 2 kilomètres au nord, de l'autre côté du lac, où se trouvait Sergio. Ensuite, pendant que Pietro était parti à la pêche avec Scarlatti, Sergio a récupéré le chèque à 11h25 et l'a encaissé à 11h45 à la banque Publican de Lugano. Un mois plus tard, le soir de Noël, le chèque fut redistribué dans plusieurs villages pauvres du sud de l'Italie. Pietro, lui, fait croire à sa mort, disparu dans le courant Orco. Ensuite, Scarlatti est accusé de fraude fiscale, et Sergio comparaît devant le parlement en tant que témoin. Ce parlement tente de faire éclater la vérité, mais malheureusement, Sergio est assassiné par les hommes de Scarlatti.

    • Première apparition : Volume 2, dans le chapitre intitulé "Chapitre 2 - la vie en rose".
    • Statut au volume 4 : Mort assassiné par la mafia.
    • Statut au volume 8 : Mort assassiné par la mafia.

    A suivre dans le prochain article.

    Cronos

     


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  • Voilà la suite de la douzième page de la liste des personnages de 20th century boys.  Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Père Luciano

    Volume 2 de 21st century boys

    On ne sait pas très bien ce qu'il se passe dans la tour du soleil, mais à l'extérieur, Ami se lève de son cercueil et se dirige vers le pape. Et quand l'assassin d'Ami tire depuis la tour du soleil, Ami plonge sur le souverain pontife pour le protéger et prend la balle dans l'épaule. Suite à cet événement, Ami montre au public, stupéfait, qu'il est bien vivant. Peu après, des représentants portant mallette et masque à gaz diffusent le nouveau virus à travers le monde, décimant la population mondiale. Dans le même temps, avec sa résurrection, Ami devient le président du monde et l'ère chrétienne prend fin pour devenir l'ère d'Ami. Par la suite, Ami fait ériger un mur géant autour de Tokyo pour soi-disant protéger la ville contre le virus. Trois ans plus tard, en l'an 3 après Ami, le pape, qui a compris qu'Ami était un imposteur, est annoncé comme étant malade. En réalité, le cardinal Manuel, complice d'Ami, se prépare à remplacer le souverain pontife, ce que tente d'empêcher le père Nitani. Peu après, à la télévision officielle japonaise, Ami déclare qu'il est en fait l'auteur des 2 virus, du grand bain de sang de l'an 2000, que tout n'était que mensonges, et que ses prédictions étaient montées de toutes pièces. Il annonce aussi qu'il va détruire l'humanité en une semaine. Après des manifestations durement réprimées à Tokyo, les gens se cloîtrent chez eux, et c'est alors qu'à la radio officielle, le DJ passe une curieuse chanson, et qu'une jeune femme, Kanna, annonce la tenue d'un concert géant gratuit sur le site de l'exposition universelle. Le soir même, les soucoupes volantes censées diffuser le virus ultime d'Ami sont abattues, notamment par un robot géant qui semait de nouveau la panique en ville, et le faux prophète est tué. Le chanteur de la chanson se révèle être l'oncle de Kanna, disparu lors du grand bain de sang de l'an 2000, Kenji Endô, celui-ci ayant connu Ami dans son enfance. Après ces événements, Luciano et Nitani peuvent retrouver le pape, Manuel ayant probablement été arrêté, et tous les 2 sont heureux de voir le souverain pontife guéri. Ce dernier les remercie mais un cardinal vient les avertir que le robot géant à Tokyo s'est remis en mouvement et qu'ils sont peut-être encore en danger. Le pape demande alors à Nitani s'il y a au Japon des gens qui ont combattu à leurs côtés. Nitani répond que oui, et Luciano ajoute qu'ils ont combattu de tout leur coeur pour défendre la paix. Le souverain pontife dit qu'ils vont prier pour eux. Finalement, Kenji et ses amis réussissent à sauver le monde mais on ne voit plus Luciano par la suite.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Vivant.

    Père Peline

    Ce Personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Décédé, probablement tué par des hommes du cardinal Manuel ou d'Ami.

    Mr Colani

    Ce Personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Inconnu.

    Cardinal Manuel

    Ce Personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Supposé vivant.

    Inspecteur Asagawa

    Ce Personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Inconnu.

    Yakkun

    Ce Personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Inconnu.

    Docteur Nakahata

    Volume 22

    Lors de la cérémonie d'ouverture de l'exposition universelle, le pape fait un discours face au cercueil d'Ami. C'est alors qu'à la surprise générale, l'homme masqué se lève de son cercueil et se dirige vers le souverain pontife. Soudain, un coup de feu retentit et Ami plonge sur le pape pour le protéger d'une balle qui lui était apparemment destiné. Blessé, Ami montre néanmoins au public, ébahi, qu'il est encore en vie. Peu après, des représentants portant des masques à gaz diffusent le nouveau virus partout à travers le monde, décimant la population mondiale. C'est à ce moment que l'ère chrétienne prend fin pour devenir l'ère d'Ami, ce dernier devenant le président du monde. Le docteur Nakahata, lui, parvient à survivre. En l'an 3 après Ami, le médecin continue de tenter de guérir des gens infectés par le virus mortel, sans réel succès. Par la suite, en l'an 3 après Ami, alors qu'un nouveau virus fait son apparition, le président du monde fait une allocution à la télévision officielle. Il dévoile à ce moment qu'il a en fait toujours menti, avouant qu'il est à l'origine des différents virus mortel, du bain de sang de l'an 2000 et que ses prédictions sont en réalité son oeuvre. Il déclare alors qu'il va détruire l'humanité en une semaine. Toujours dans son hôpital de campagne, Nakahat pleure devant un énième patient, qui le remercie malgré tout pour son aide car ainsi, il a pu vivre plus longtemps que prévu. L'homme décède et le médecin fond en larmes dans son costume de protection. Peu après, dans le couloir, il dit à l'infirmière Yasuda qu'il y a eu un décès de plus, la femme tentant de le consoler. Nakahata se sent nul et ne veut plus voir personne mourir. Il dit à l'infirmière d'aller se reposer, mais celle-ci signale au médecin que des gens sont là. Nakahata reconnaît Maruo, qui a pu venir à Saitama grâce à la carte de voeux envoyée par le médecin. Maruo présente ensuite ceux qui l'accompagnent, Kiriko Endô, Croa-croa, et le fils de ce dernier. La femme demande alors directement à Nakahata de la guider car elle a entendu que cet hôpital appartenait à un laboratoire pharmaceutique et elle veut voir ce qu'il y a comme équipements et médicaments. Devant l'hésitation du médecin, elle dit de se dépêcher car ils doivent faire un vaccin. Surpris, Nakahata la suit. Dans le laboratoire, elle demande des produits sanguins, de la pénicilline, du GGPR et du ribavirine. Ensuite, elle dit au médecin de s'inoculer un vaccin déjà prêt. Mais Nakahata refuse les larmes aux yeux car il ne pourrait pas se vacciner avant les patients, qui meurent les uns après les autres. Kiriko lui hurle d'arrêter de gémir car des dizaines de milliers de gens vont mourir, et s'il veut sauver de nombreuses vies, il doit commencer par rester en vie. Nakahata reprend espoir et se met au travail. On ne voit plus Nakahata par la suite dans ce tome.

    Volume 2 de 21st century boys

    Pendant que le docteur Nakahata et Kiriko Endô s'occupent des vaccins, à Tokyo, un concert géant gratuit est organisé sur le site de l'exposition universelle par la fille de Kiriko, Kanna, qui l'annonce à la radio officielle. Le soir venu, un robot géant sème à nouveau la panique en ville, tandis que des soucoupes volantes apparaissent, tout comme dans la dernière "prédiction" d'Ami qui disait que des extraterrestres allaient diffuser un nouveau virus mortel sur terre. Cependant, ces soucoupes sont abattues, notamment par le robot géant qui est immobilisé par Maruo et ses amis, dont le frère de Kiriko, Kenji. Dans l'action, Ami est tué lui aussi. Par la suite, les casques bleus de l'ONU arrivent à Tokyo pour rétablir la paix. Cependant, le robot géant se remet en mouvement et menace la sécurité de la planète entière. Heureusement, encore une fois, Maruo et ses amis sont là pour arrêter le robot géant qui est neutralisé définitivement. Plus tard, Nakahata décide de suivre Kiriko, qui part en Afrique pour soigner les gens sur place. Là-bas, un jour, Kanna arrive avec un ami, Chôno, et sa grand-mère, pour revoir Kiriko que les 2 femmes n'avaient pas vu depuis des années. Nakahata explique que Kiriko enchaîne les consultations tous les jours, et que grâce au vaccin qu'elle a conçu, la tribu dont elle s'occupe a échappé à l'extinction. Le médecin la trouve extraordinaire, mais il sait que s'il ne pleut pas, ils vont manquer d'eau. C'est alors que Kanna a la sensation bizarre qu'il y a une nappe phréatique pas loin. On ne sait pas si c'est vrai, mais c'est la dernière apparition de Nakahata.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Vivant.

    Joe Yabuki

    Voir la fiche de Kenji Endô.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Vivant.

    Katsuo

    Volume 22

    Lors d'une allocution télévisée, Ami révèle qu'il est la personne à l'origine du grand bain de sang de l'an 2000, et qu'en plus, il est celui qui a fait diffuser le second virus en 2015, décimant ainsi la population mondiale. Tous ces méfaits sont son oeuvre et il déclare qu'il va maintenant détruire l'humanité en une semaine. La population de Tokyo est donc prise de panique, et après plusieurs manifestations réprimées dans le sang, ils se barricade chez eux, obstruant la moindre ouverture pour ne pas être affecté par le nouveau virus mortel qui sera lâché par Ami. Pendant que le père de Latsuo et Sanae pleure sur son sort, que leur mère tente de gérer celui-ci, ainsi que leur grand-père qui demande à pouvoir manger, la jeune fille veut mettre les baffles de sa radio à l'extérieur pour diffuser la chanson spéciale qui, selon elle, va redonner espoir aux gens. Katsuo tente de l'aider mais il constate que le fil est trop court. Le grand-père arrive alors, et Sanae lui demande s'il n'a pas une rallonge. Mais le vieil homme pense que c'est la fin du monde sans le légendaire Great Antonio. Sanae lui répond qu'elle veut passer la chanson d'un homme légendaire. Le grand-père se dirige alors vers ses affaires, tout en disant que s'il remonte sur le ring, ils pourront à nouveau manger du beefsteak, ce qui remplit de joie Katsuo, qui rêve d'y goûter. Après avoir fouillé dans ses affaires, le vieil homme sort une rallonge, et les 2 enfants ouvrent les volets de la maison malgré les avertissements de leur mère. Sanae dit à son frère de mettre la musique dès qu'elle aura sorti le haut-parleur. Pendant que la jeune fille se dispute avec sa mère, Katsuo entend une chanson à l'extérieur. Il interpelle sa mère et Sanae, disant à cette dernière qu'ils ont réussi, sous le regard incrédule de leur mère. Sanae explique alors à sa mère que ça fait des mois qu'ils copient la chanson sur des cassettes et qu'ils la distribuent dans toute la ville. La jeune fille part alors courir dans les rues pour bien voir que tout le monde écoute la chanson, poursuivie par sa mère. Pendant ce temps, Katsuo constate que la radio fonctionne à nouveau et qu'elle diffuse elle aussi la chanson. Avec sa radio portative, le garçon court prévenir sa soeur, qui comprend que quelqu'un est en train de diffuser cette version de la chanson avec les "la la ! Cha la la la !". Par la suite, le DJ, qui dit s'appeler Konchi, et une jeune femme, annoncent qu'il y aura très bientôt un concert géant gratuit sur le site de l'exposition universelle, avec de nombreux artistes, ainsi que l'auteur de la chanson qui est diffusée. Les enfants parviennent alors à convaincre leurs parents et leur grand-père de se rendre sur place, comme beaucoup d'autres personnes de la ville. Alors qu'un nouveau robot géant sème la panique en ville et que la nuit est tombée, ils arrivent en vue su site de l'exposition. Mais le vieil homme dit qu'il n'a plus la force d'avancer. Pour le motiver, Sanae lui dit qu'une légende va venir. Le grand-père lui demande si Great Antonio va faire un combat, et la jeune fille lui répond que non mais que c'est un peu ça. Voulant voir Great Antonio, le vieil homme est remotivé et la famille peut reprendre la route. Mais les gens crient car une lumière est apparue dans la nuit, et pensent à l'arrivée d'une soucoupe volante contenant le virus. Heureusement, il ne s'agit que d'un hélicoptère qui passe au-dessus d'eux sans s'arrêter. C'est la dernière apparition de Katsuo dans ce tome.

    Volume 1 de 21st century boys

    Finalement, les soucoupes volantes d'Ami sont abattues, dont l'une est percutée par l'hélicoptère. Au concert, ce n'est qu'avec le lever du soleil que le fameux chanteur de la chanson de Sanae fait son apparition. Pourtant, avec son groupe, il fait plusieurs autres chansons mais pas celle attendue par tout le public présent, fort nombreux. Par la suite, ayant eu connaissance des événements qui se sont produits à Tokyo, les soldats de l'ONU débarque en ville. Deux garçons courent et disent qu'ils ont réussi à obtenir du chocolat des militaires américains. Katsuo demande à sa mère s'il peut lui aussi aller en chercher mais sa mère lui répond que non. Sanae, elle , est contente de pouvoir écouter la musique qu'elle souhaite. Elle pourra ainsi écouter la chanson de Kenji en boucle. Son frère, lui, va pouvoir manger des steaks, et en parle à son grand-père. Le vieil homme, par contre, trouve que les militaires font un peu trop les fiers, et qu'il leur filerait bien un coup du tranchant de la main. Katsuo trouve qu'il se prend pour Rising Sun. Katsuo n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 2 de 21st century boys

    Alors que le calme semble revenu à Tokyo, le robot géant se remet en mouvement et se dirige vers le quartier où habite la famille de Katsuo, pour apparemment déclencher une bombe surpuissante. L'alerte résonne dans le quartier, invitant ses habitants à évacuer. Le garçon va prévenir sa soeur et son grand-père que tout le monde s'enfuit, mais la jeune fille est au téléphone. Le vieil homme dit que c'est une prise électrique, mais comme Katsuo ne comprend pas, Sanae précise que c'est une dédicace spéciale. Elle appelle en fait le DJ Konchi pour lui dire que c'est la panique en ville et qu'il faut passer la chanson de Kenji. Konchi s'exécute avec plaisir, et la chanson résonne dans tout la ville, grâce aux hauts-parleurs. La ville est finalement sauvée mais on ne voit plus Katsuo par la suite.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Vivant.

    Rising Sun

    Ce Personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 2 de 21st century boys : Supposé vivant.

    A suivre dans le prochain article.

    Cronos


    5 commentaires
  • News relayée depuis le site de Manga-news :

    Bonjour à tous,

    Je sais que l'actualité est assez flippante et étrange, alors que nous sommes en train de vivre quelque chose d'historique avec ce virus qui se répand rapidement dans le monde. Du coup, j'espère que votre confinement se passe bien. J'en profite pour saluer et remercier toutes les personnes qui sont obligées de sortir pour aller travailler et qui font face de plein fouet avec la pandémie, notamment en s'occupant des malades. Afin de n'oublier personne, je préfère ne pas citer de fonctions ou de métier particulier. Courage à tous, nous parviendrons à passer cette épreuve.

    Mais assez parlé de choses sombres, si j'écris cet article, c'est donc pour parler d'une adaptation en série live d'une oeuvre du regretté Jirô Taniguchi. Et je ne parle pas de n'importe laquelle car il s'agit de L'homme qui marche (Araku Hito en version originale), cette oeuvre contemplative qui voyait un homme, dont le nom n'a finalement pas d'importance, se promener et sa balader à divers endroits, s'émerveillant parfois de son environnement. C'est d'ailleurs le manga qui a fait connaître Taniguchi en français. Je trouvais ce manga fascinant et voilà que la chaîne japonaise NHK BS4K a choisi d'en faire une série live avec dans le rôle principal Arata Iura. Cette série débutera ce 5 avril au pays du soleil levant, à 19h, heure locale.

    Je serais très curieux de voir cette série, tout comme celle adaptée du manga Le gourmet solitaire, que je n'ai toujours pas vu, toujours de Taniguchi. Ce sera sans nulle doute une très bonne expérience. 

    Sur ce, bonne vision, bonne lecture (et bon confinement).

    Cronos


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