• Voilà la seconde suite de la douzième page de la liste des personnages de Zipang. Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Professeur Leo Pasvolsky (PH)

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 33 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 35 : Supposé vivant.

    Sir Winston Churchill (PH)

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 33 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 35 : Supposé vivant.

    Franklin D. Roosevelt (PH)

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 33 : Supposé vivant.

    Volume 34

    Tandis que la bataille dans les Mariannes continue de faire rage, Roosevelt tient à la maison blanche une réunion extraordinaire sur l'énergie atomique et le projet Manhattan. Une fois que tout le monde est présent, le président demande à chacun de faire d'abord son rapport personnel. Durant la réunion, quelqu'un demande au général Leslie Richard Groves s'il a résolu le problème de la résistance à la corrosion de l'uranium enrichi. Le géénral répond que oui, grâce à la pose d'un tout nouveau genre de plastique dans la pompe et à l'intérieur des tuyaux. Celui-ci est extrêmement lisse et très lubrifié, il leur dispense de graisse. Un homme évoque le fait qu'il pourrait être utile en temps de paix pour les poêles à frire. La conversation continue, mais Roosevelt remarque que le bras droit de Groves, le capitaine Maclaury, semble préoccupé. Il interrompt la conversation pour demander au capitaine ce qu'il a. Mais celui-ci répond que tout va bien. La réunion reprend, et le général explique qu'il lui faut 2 milliards de dollars, et que le projet sera terminé dans 2 ans. La tension monte, et le président déclare qu'il y a de quoi s'interroger. Il ajoute qu'il faut une bonne dose d'ouverture d'esprit, et propose de faire une pause, ce que tous acceptent. C'est la dernière fois que Roosevelt apparaît dans ce tome.

    Volume 35

    Roosevelt reste seul dans la salle de réunion et se fait servir un café pendant que les autres sont à l'extérieur. Une fois que tout le monde est de retour, le président annonce qu'ils vont pouvoir passer à l'adoption des projets. Mais c'est à ce moment que le général Groves demande un report de la réunion. Tout le monde est surpris, et le général déclare qu'une situation d'urgence réclame le jugement du président, situation concernant cette réunion et la guerre menée par les Etats-Unis. Il ne peut pas parler de manière officielle, et comprenant la situation, Roosevelt annonce qu'ils reprendront la réunion plus tard. Le président se dirige vers le bureau ovale avec Maclaury et Groves, et ce dernier remet un papier avec des renseignements collectés par le capitaine Lemay, de l'ONI, et le capitaine Clark, qui se trouve à Kwajalein. Dans la bataille des Mariannes qui a toujours lieu, un important cuirassé japonais aurait fait route seul vers les troupes de débarquement américaines, se détachant ainsi de la flotte combinée. Le leader de la mutinerie à bord de ce navire déclare s'appeler Kusaka. Hors, ce nom est le même que celui d'un asiatique qui s'est procuré récemment de l'uranium enrichi à Copenhague. Groves et Maclaury pensent donc que ce japonais a réussi à confectionner la première bombe atomique de l'histoire, et qu'il compte en faire usage contre les américains. Le président remercie le général pour ces informations, et fait venir aussi Lemay dans son bureau. Roosevelt a même installer une ligne directe entre le bureau de Lemay et le sien, sans standardiste. Il annonce aux 3 personnes présentes que rien de ce que se dit dans cette pièce ne sera enregistré. Le président demande l'état de la situation, mais Lemay admet qu'ils n'ont encore rien trouvé. Roosevelt explique qu'il a gagné 3 élections présidentielles, ce qui est une première dans le pays, et probablement une dernière, et que celui qui ne peut pas faire de concessions ne peut pas faire de politique. Mais celui qui accepte les concessions ne deviendra jamais président des Etats-Unis. Il veut une victoire totale et rien d'autre, sinon il considérera cela comme une défaite. L'existence d'une bombe atomique autre qu'américaine les conduirait dans une situation déplaisante. Mais leurs soupçons peuvent encore disparaître. C'est pourquoi ils doivent couler ce cuirassé à tout prix, pour qu'il n'existe aucune preuve de cette bombe. Si elle explose en plein Pacifique avec de faibles dégâts et pertes, personne n'en saura jamais rien, et ils ne doivent donc pas hésiter à passer à l'offensive. Maclaury intervient alors car il estime qu'une nouvelle guerre est en train de se jouer. Ils ont mis en place le projet Manhattan par crainte d'une première bombe chez les nazis, puis, quand cela s'est calmé, ils ont craint des fuites d'informations des scientifiques de Los Alamos. Mais si une première bombe venait à exploser, l'éventualité d'une seconde bombe ne serait jamais à écarter. Roosevelt lui répond que si personne au monde n'est au courant de cela, lui l'a toujours su. C'est ensuite à Lemay de faire part d'une information. Il s'agit d'un croiseur japonais d'un type inconnu, qui s'appelle "Mirai", ce qui signifie "futur" ou "demain", et auquel s'intéresse un groupe d'ingénieurs dont le milliardaire Howard Hughes qui le finance. Ce navire a coulé un porte-avions avec une seule roquette, a tenu tête seul à des escadrilles de bombardiers ou à une flotte de navires américains. Lemay n'a pas communiqué ces informations car elles sont difficiles à croire. Il ignore cependant les liens entre le croiseur et le cuirassé. Le président annonce alors que désormais, toutes les informations sur ce croiseur devront lui être communiqués directement. Alors que Roosevelt réfléchi à la situation, le téléphone sonne, et Lemay va décrocher. Il rapporte au président qu'un appareil de reconnaissance de la cinquième flotte a, semble-t-il, repéré le croiseur à 30 miles du cuirassé. Lemay donne alors l'ordre de récolter un maximum d'informations sur ce navire. C'est la dernière apparition de Roosevelt dans ce tome.

    Volume 36

    Roosevelt se met à réfléchir longuement, laisser presque croire qu'il s'est endormi, mais tapote avec son index droit sur sa chaise roulante. Soudain, il s'arrête et ouvre les yeux. Il interpelle le capitaine Maclaury, qui pense qu'il faut reconsidérer l'idée d'une attaque simple sur le nouveau cuirassé japonais. Selon Maclaury, si le président apprend qu'une première bombe atomique a été utilisée, il aura la crainte de l'usage d'une seconde bombe. Mais Roosevelt estime que la menace de la bombe atomique est un fantôme, et donc que sa logique n'est pas celle de Maclaury. Il croit en Dieu mais pas aux fantômes parce qu'ils n'ont jamais été éclairés par la lumière de la vérité. Et donc, ce que la raison n'a pas prouvé doit être exclu. Pour le président, seules les illusions doivent disparaître, et il pense que la raison est un principe central qui fédère le pays. C'est ainsi que leurs ancêtres ont acquis l'indépendance et qu'ils ont fondé un état fédéral honorable. Il cite alors une phrase de Thomas Jefferson. Roosevelt veut mettre en lumière cette bombe atomique fabriquée par les japonais, ainsi que ce croiseur mystérieux, afin de comprend ce qu'ils sont. Ils vont ainsi prouver que les fantômes n'existent pas. Pour lui, la peur naît de l'inconnu et il est impardonnable que leur pays reste immobile face à elle. Ils vont aller de l'avant et doivent tout savoir sur eux. Maclaury se demande s'ils vont annuler l'ordre d'attaque, et le président questionne le capitaine pour savoir s'ils peuvent capturer ces 2 navires. Ils veut donc  une évaluation concrète de leurs chances d'y parvenir et quel sera le prix à payer pour cela. Il est impatient de savoir quel plan ses hommes vont lui soumettre. Il leur dit de prendre tout leur temps pour y réfléchir, et cite une nouvelle fois Jefferson qui disait que le retard est préférable à l'erreur. On ne voit plus Roosevelt par la suite dans ce tome.

    Volume 37

    Après un moment de réflexion, le général Groves parle et explique que pour parvenir à capturer les 2 navires, il faut d'abord qu'ils rendent les armes, et ils y parviendront par des négociations. Hors, ce n'est pas le point fort de leur armée et les cadres ne sauront pas définir les problèmes à traiter. Et d'où ils sont, à Washington, à 10.000 miles de la bataille, parvenir à faire appliquer leurs directives lui paraît concrètement irréalisable. Mais Roosevelt leur a déjà expliqué quel était leur spécialité. Mais Maclaury pense qu'il connaît quelqu'un qui mériterait d'être consulté. Il est dans les Mariannes, et pourrait mener les négociations. Le président se demande si c'est un militaire. Maclaury aimerait obtenir ses informations, et Lemay intervient pour demander l'autorisation d'utiliser le téléphone du président. Il appelle quelqu'un et demande à ce qu'on lui prépare quelque chose d'urgence. Cette personne lui amène un dossier à la maison blanche, que Lemay remet à Maclaury. Ce dernier, après en avoir lu le contenu, annonce que la personne à même de négocier est le capitaine Harry Kernel, du département stratégie de l'armée. Roosevelt envoie donc l'ordre de donner les pleins pouvoirs à ce Kernel, mais celui-ci répond que son grade soit gelé. Le président pense donc que cet homme est encore plus fort qu'il le pensait. Il donne donc son accord par message codé au cuirassé Iowa à bord duquel se trouve Kernel. Roosevelt n'apparaît plus ensuite dans ce tome.

    • Statut au volume 35 : Supposé vivant.

    Satoko

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 33 : Supposé vivante.
    • Statut au volume 35 : Supposé vivant.

    Mme Umezu

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 33 : Supposé vivante.
    • Statut au volume 35 : Supposé vivante.

    Général Hitoshi Imamura (PH)

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 33 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 35 : Supposé vivant.

    Michael

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 33 : Tué par un appareil japonais.
    • Statut au volume 35 : Tué par un appareil japonais.

    Smith

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 33 : Tué d'une balle par le capitaine Eiichirô Taki.
    • Statut au volume 35 : Tué d'une balle par le capitaine Eiichirô Taki.

    Noguchi

    Ce personnage n'apparaît pas dans ces tomes.

    • Statut au volume 33 : Vivant.

    Volume 34

    Le Mirai se dirige vers le lieu de la bataille, qui commence le 12 décembre 1943, très tôt le matin. Durant la journée, les flottes américaines et japonaises découvrent chacune la position de la flotte adverse et envoient plusieurs offensives pour tenter de prendre l'avantage. Tout se calme à la tombée de la nuit, et la flotte japonaise décide de mener une attaque navale nocturne. Grâce aux connaissances de Kusaka, ils pallient à leurs faiblesses et sont à égalité avec les américains. La bataille navale est un vrai chaos, et c'est dans cette confusion que la mutinerie préparée par Kusaka se met en marche à bord du Yamato, qui transporte la bombe atomique. Après avoir pris le contrôle du cuirassé, les mutins quittent le lieu de la bataille et se dirigent droit vers le nord, là où se trouvent les navires de transport des troupes américaines. Ils sont suivis par le croiseur du futur, qui brouille les communications et empêche les appareils de reconnaissance de transmettre la position exacte de la flotte de transport américaine. Apprenant cela, Kusaka prend place à bord d'un zéro de reconnaissance et quitte le Musashi pour rejoindre le Yamato. Celui-ci doit se défendre contre le Mirai, qui lui ordonne de s'arrêter et qui détruit la tour de contrôle des tirs quant le cuirassé refuse d'obtempérer. Kusaka arrive alors et dit au Yamato d'utiliser les bombes sanshikis, mises au point pour contrer les appareils américains, et qui sera très efficace contre le croiseur qui n'a qu'un faible blindage. Alors que le Mirai parvient à détruire la tour de contrôle arrière, il est lui aussi touché, et ses radars et l'ECM deviennent inutilisables. Il se retire pour préparer un autre plan, et c'est finalement le capitaine Oguri et le chef Ôme qui embarquent à bord du SH60J avec des roquettes hand arrow pour tirer sur les cheminées du Yamato. La destruction de celles-ci bloquera la fumée, ce qui forcera l'arrêt des machines et du cuirassé. Ils réussissent, mais durant l'opération, le chef navigateur est touché par le zéro dans lequel a embarqué Kusaka, et tombent sur le pont du Yamato. Tout l'équipage du croiseur est choqué par ce décès. Kadomatsu écoute le briefing d'Ôme, de Hayashibara et de son copilote, pour savoir ce qu'il compte faire. Comprenant que Kusaka n'a pas voulu tuer Oguri mais que c'est le pilote du zéro qui a choisi de tirer, et qu'en plus, Kusaka compte évacuer les 2800 hommes d'équipage du cuirassé qui n'ont pas participé à la mutinerie, le commandant en second du Mirai annonce qu'il va mener une opération d'abordage du Yamato. A cause de la capacité de l'hélicoptère, seulement 8 personnes pourront accompagner Kadomatsu, et Noguchi se retrouvent avec d'autres dans la cafeteria pour discuter de ces personnes. Sugimoto demande au chef Asô si cela se fera sur base volontaire, mais ce dernier répond que c'est le capitaine qui fera une sélection. Selon lui, la moitié de l'équipe sera composée d'artilleurs et de mécaniciens de bord. Quant au reste, leur rôle sera sans doute un soutien armé. Asô ajoute que ce sera leur quatrième affrontement armé et que l'expérience sur le terrain sera  un critère irremplaçable. Noguchi n'intervient pas, se contentant d'écouter, et c'est la seule fois qu'on le voit dans ce tome.

    • Statut au volume 35 : Vivant.

    Lieutenant Kirino

    Volume 30

    Soudain, 2 appareils décollent du cuirassé A, ce qui surprend Kirino, et Oguri se demande si l'un des 2 ne transporte pas la bombe atomique. Mais Yanagi lui répond que c'est impossible à cause du poids de la bombe. Pour Kadomatsu, il s'agit d'appareils de repérage, qui doivent chercher les navires de transport des troupes américaines. Le Mirai s'approche maintenant de la zone de combat, et le cuirassé A ne s'éloigne toujours pas du lieu des combats. Pour le commandant en second du croiseur, ils doivent d'abord vérifier qu'il s'agit bien du Yamato. Il ordonne de renforcer l'état d'alerte, et au chef navigateur et ses hommes de sortir pour confirmer visuellement l'identité du cuirassé A. Kirino reste à l'intérieur du CIC, sans intervenir, et Oguri confirme effectivement que le cuirassé A est bien le Yamato. D'un coup, le Yamato cesse ses manoeuvres d'esquives et se dirige droit vers le nord, se détachant du reste de la flotte combinée. Kadomatsu ordonne de le suivre à pleine vitesse. Un peu plus loin, un destroyer américain à la dérive est sur le chemin du Yamato, mais ce dernier ne change pas de trajectoire. Kirino est stupéfait, les mots lui venant à peine à la bouche, et le cuirassé percute le destroyer de plein fouet. Ce dernier coule en quelques instants, sous les yeux incrédules de Kirino et des autres membres du Mirai. Peu après, les 2 hydravions de reconnaissance s'approchent de la flotte de débarquement américaine, et Kirino se rend compte que ceux-ci vont guider le Yamato vers ces navires. C'est la dernière apparition de Kirino dans ce tome.

    Volume 31

    L'hydravion japonais de reconnaissance qui vient de trouver la flotte de débarquement américaine s'éloigne de celle-ci avant d'envoyer son message, et Kirino se demande si c'est par peur que ce message soit intercepté. Kadomatsu pense que c'est le cas, mais qu'il ne va pas non plus retourner sur le Yamato. Il ordonne à Kirino de préparer l'ECM, et le lieutenant aimerait savoir s'il compte paralyser tous les systèmes de communication des flottes japonaises et américaines. Le commandant en second du Mirai lui répond que couper les communications entre l'hydravion et le Yamato sera suffisant, car sans position précise des troupes américaines, le cuirassé ne pourra pas lancer un assaut à distance rapprochée. Kirino dit avoir compris et ordonne l'activation de l'ECM. Après avoir envoyé son message, l'hydravion tente un amerrissage et s'abîme en mer. La réaction de Kusaka ne se fait pas attendre car un hydravion décolle du Musashi. Kirino sait qu'il va informer le Yamato, mais se demande si Kusaka va y aller lui-même. Kadomatsu préfère suivre le plan initial et ordonne d'envoyer un message lumineux au Yamato, lui intimant l'ordre de s'arrêter. Pour seule réponse, les tourelles du cuirassé changent de direction et vise le croiseur, et Kirino sait que cela n'a rien d'une simple mise en garde. Le mirai esquive les obus, et le commandant en second demande à Yonekura s'ils ont la possibilité de stopper le cuirassé. Celui-ci explique qu'il pourraient utiliser des missiles anti-navires mais ils ne pourraient pas viser uniquement le gouvernail. Et l'emploi de missiles asroc anti-sous-marins est impossible avec la faible profondeur des eaux. Quant aux 2 tomahawks et 4 harpoon qui leur reste, ils enverraient le Yamato par le fond, ce qui signifierait leur défaite car cela provoquerait la mort de ses passagers. Kirino sourit car il est d'accord avec ce raisonnement, et le commandant en second du croiseur décide de continuer à esquiver et de mettre le cuirassé à portée de tir pour pouvoir riposter. Alors qu'ils manoeuvrent entre les obus, Kadomatsu demande à Kirino s'il leur est possible de viser le télémètre avec leur canon principal. Le lieutenant répond que oui, mais qu'ils doivent s'approcher davantage afin d'empêcher toute erreur de tir. Dans l'action, le sonar est touché et l'équipage entame des travaux d'étanchéité. Kirino évoque le fait que s'ils perdent le sonar, il leur sera difficile de résister à des attaques sous-marines. Mais à la surprise de Kirino, cela importe peu au commandant en second du navire car leur objectif premier est de stopper le Yamato. Kirino comprend car c'est effectivement leur dernière bataille. Le Mirai tire et détruit le télémètre du cuirassé du premier coup. Celui-ci continue à se défendre, et c'est à ce moment que l'hydravion qui a décollé du Musashi apparaît. Celui-ci envoie un message signé de Kusaka lui-même et donnant la position de la flotte de débarquement américaine. Kirino n'imaginait pas que Kusaka ferait ce trajet lui-même juste pour donner cette information. Mais Kadomatsu doute que ce soit son seul but. C'est alors que Kusaka dit au cuirassé de se préparer à une bataille antiaérienne, ce qui étonne Kirino et d'autres membres du croiseur. Le commandant en second du Mirai, lui, ordonne à tous les hommes qui sont à l'extérieur de se mettre à l'abri à l'intérieur...

    Volume 32

    Yanagi explique que pour contrer l'aviation américaine, les japonais ont mis au point les bombes sanshikis. Celles-ci, contenant des boules de caoutchouc et un détonateur devait exploser en plein vol et projeter des boules à 3.000 degrés dans un rayon de 224 mètres. Cependant, la vitesse des avions ennemis restait un problème pour le réglage du détonateur. Par contre, pour un navire n'ayant qu'un fin blindage comme le Mirai, cela devrait se révéler très efficace. Pourtant, Kadomatsu ne veut pas abandonner et veut détruire la tour de contrôle suppléante, située à l'arrière du Yamato. Ils devront manoeuvrer et riposter. Tous sont d'accord, dont Kirino, et le navire se met en route. Mais Kirino est étonné car le cuirassé se dirige vers eux. Il comprend dès lors qu'ils se repositionne pour protéger le tour de contrôle arrière. Tout en tirant avec le canon principal et le CIWS pour détruire les sanshikis, le croiseur manoeuvre pour que la tour de contrôle arrière soit à portée de tir. Une fois que c'est le cas, le Mirai tire avec son canon et détruit la tour. Mais dans l'instant d'après, une bombe sanshiki explose à proximité du Mirai et toutes les lumières du CIC s'éteignent. Kirino est stupéfait car tous les radars et l'ECM sont hors service. Comme ils sont dans l'impossibilité de tout réparer, le commandant en second du navire décide de s'éloigner temporairement du Yamato pour réfléchir à une nouvelle stratégie. C'est alors que peu après, le lieutenant Hayashibara débarque dans le CIC, et demande à pouvoir faire décoller le SH60J. Oguri arrive lui aussi, et Hayashibara dit que pour lui, il faut tirer depuis l'hélicoptère. Le chef navigateur le prévient que c'est très dangereux, mais Hayashibara pense qu'avec la mutinerie à bord du cuirassé, les tourelles secondaires ne tireront pas et qu'il pourra s'approcher plus facilement du navire. Mais selon Oguri, ce ne sont que des hypothèses. Kadomatsu, lui, refuse de laisser le Yamato naviguer avec la bombe atomique à son bord. Le chef navigateur demande alors à Hayashibara son avis sur le lieutenant Satake. Hayashibara répond que son choix était idiot, même si c'était la seule chose à faire. Oguri impose donc sa présence à bord du SH60J pour accepter la mission. Le commandant en second du croiseur est d'accord, mais veut encore quelqu'un pour l'accompagner. Le chef Ôme, qui n'a plus grand chose à faire avec la destruction des radars, se porte volontaire. Durant la conversation, Kirino n'intervient pas et se contente d'écouter, parfois avec surprise. L'équipage charge des roquettes hand arrow à bord de l'hélicoptère et installe une antenne provisoire afin de pouvoir communiquer avec le SH60J durant la mission. Kirino va ensuite prévenir Kadomatsu que c'est fait et qu'ils sont à 45 kilomètres du cuirassé. L'appareil décolle, puis, une fois que la communication est établie, le chef navigateur demande au commandant en second du navire de parler pour éviter les silences. Les 2 capitaines parlent de dettes, puis, peu après, l'assaut débute. Pour Kirino, avec le détecteur de chaleur, il est impossible que les roquettes ratent leur cible. Quand elles auront détruit les cheminées, la fumée retournera dans les machines, les rendant inutilisables. Cependant, à l'entrée des conduits de cheminées, il y a une protection importante, une plaque en acier de plus de 30 cm d'épaisseur. Il trouve qu'Oguri présente le plan avec légèreté alors que ce n'est pas aussi simple. Mais Kadomatsu sait que son ami est au courant. Après 3 tirs, Hayashibara explique que la riposte du cuirassé est imprécise et qu'il n'a aucun mal à éviter les tirs. Cependant, le chef navigateur prévient que le zéro de reconnaissance avec Kusaka à son bord se trouve à proximité de l'hélicoptère. Pour le commandant en second du Mirai, ils doivent pourtant se concentrer sur l'attaque pour stopper le Yamato. Mais si l'avion attaque, ils peuvent riposter sans hésiter. Kirino n'intervient plus et on ne le voit plus ensuite dans ce tome.

    Volume 33

    Après un certain temps, Oguri rappelle le Mirai et annonce que jusqu'à présent, ils n'ont pas réussi à atteindre leur objectif. De plus, un appareil de reconnaissance américain est apparu, ce qui signifie que l'armée américaine va bientôt s'en mêler. Le chef navigateur demande donc l'autorisation d'abattre leur dernière carte, c'est-à-dire lâcher le réservoir annexe du SH60J juste au dessus la la cheminée du Yamato et le faire exploser avec une roquette hand arrow. Kadomatsu refuse car il leur reste d'autres possibilité et que c'est de la folie, Mais son ami lui répond que par manque de temps, il leur reste à lancer un tomahawk sur le cuirassé. Le commandant en second du croiseur accepte donc, mais veut que l'opération réussisse à coup sûr. Kirino n'intervient pas, mais peu après, il regarde sa montre, et annonce que l'hélicoptère doit être maintenant à 2 ou 3 minutes du dessus des cheminées du Yamato. Le temps passe, et Hayashibara déclare que le zéro japonais a ouvert le feu sur eux. Kirino pense que c'est un coup de Kusaka, mais Kadomatsu reste stoïque. Ensuite, Hayashibara fait un appel d'urgence pour annoncer qu'Oguri a été touché et est tombé du SH60J. Kirino est sans voix, tandis que le commandant en second du Mirai demande si son ami est tombé dans l'eau. Hayashibara répond qu'il n'est pas sûr à cause de l'obscurité, mais que le chef navigateur est sans doute tombé sur le pont du cuirassé. Kadomatsu demande à Ôme de poursuivre la mission. Après le dernier tir d'Ôme, Hayashibara déclare que les machines du Yamato se sont arrêtés, et demande l'autorisation de partir à la recherche du capitaine Oguri. Kirino et les autres regardent le commandant en second du navire, mais celui-ci, après avoir eu connaissance des blessures de son ami et de l'altitude à laquelle se trouvait l'hélicoptère, refuse car les chances que le chef navigateur soit encore en vie sont nulles. Tout le monde est sous le choc, et Kadomatsu demande alors à Kirino de le remplacer car il s'absente 5 minutes. Le lieutenant obéit sans rien ajouter, mais s'imagine que le commandant en second du navire est sous le choc de la mort de son ami. Durant l'absence du capitaine, Kirino reçoit un appel du SH60J annonçant que le zéro de reconnaissance s'est posé près du Yamato, Kusaka se préparant à monter à bord du cuirassé. Kirino transmet donc le message à Kadomatsu, et il n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 33 : Vivant.

    Volume 34

    Une fois de retour sur le Mirai, Kadomatsu prend les passagers du SH60J en privé pour un briefing en présence de Kirino. En effet, même si le Yamato est à l'arrêt, la bombe atomique est toujours utilisable et ils doivent penser à leur prochaine action afin de détruire la bombe. Le commandant en second du croiseur souhaite donc savoir s'ils peuvent monter à bord afin de se débarrasser de la bombe. Hayashibara explique qu'il ne peut transporter que 9 personnes à bord de l'hélicoptère, mais pour Ôme, le problème est de localiser la bombe car ils manqueront d'hommes. Le capitaine évoque le fait qu'il sera difficile de faire la différence entre les mutins du cuirassé et les autres. Pour le moment, donc, il ne préfère pas agir. C'est alors qu'un message non codé est envoyé depuis le Yamato. Kadomatsu comprend rapidement que celui-ci est envoyé par Kusaka, et celui-ci donne certaines caractéristiques du cuirassé avant de dire qu'il ne compte pas utiliser la puissance de ce navire. Il admet que les machines du Yamato sont à l'arrêt, et annonce qu'il compte faire évacuer les membres de l'équipage qui n'ont pas participé à la mutinerie. Kirino montre alors au commandant en second du Mirai les données du flight data recorder du Sh60J, ainsi que les enregistrements sonores du vol. Hayashibara explique ce qu'il s'est passé quand ils sont passés au-dessus du cuirassé, et qu'Oguri a reconnu Kusaka en tentant de faire tomber le réservoir annexe de l'hélicoptère. Kirino trouve très étrange que le zéro n'ai ouvert le feu que 2 fois, alors que le SH60J était immobilisé en vol. Kadomatsu demande de rebobiner un peu la vidéo car il a remarqué que Kusaka disait quelque chose au pilote alors que celui-ci tirait sur l'hélicoptère. Kirino ne comprend pas ce qu'il dit, mais le commandant en second du navire annonce qu'il hurle au pilote de ne pas tirer. Kadomatsu se dit rassuré car ainsi, il pourra lui casser la gueule quand il l'aura en face de lui. Il a effectivement l'intention de mener une opération d'abordage, ce qui semble plaire à son équipage, dont Kirino. Peu après, le capitaine annonce le nom des personnes qui vont l'accompagner. Ensuite, il va parler au chef Asô, qui n'a pas été choisi malgré son expérience du terrain, et lui explique qu'il compte laisser le commandement du navire à Kirino, mais qu'à cause de son manque d'expérience à ce poste, il aura besoin d'un second expérimenté et que c'est à Asô qu'incombe ce rôle. C'est la dernière apparition de Kirino dans ce tome.

    Volume 35

     Tandis que l'escouade d'intervention se prépare, le SH60J a redécollé pour voir si les membres du Yamato qui n'ont pas participé à la mutinerie sont bien évacués. Kirino constate qu'il ne reste que 40 minutes avant le lever du soleil, et le Mirai observe les appareils américains qui ont décollé des portes-avions pour attaquer le cuirassé japonais à l'arrêt. Kirino se dit que le Yamato va peut-être être coulé avant qu'ils n'interviennent, mais Kadomatsu en doute car Kusaka a certainement un plan pour l'éviter. Mais si leur navire est découvert par les américains, ils risquent bien plus car le CIC est toujours hors d'usage et leur blindage est très fin par rapport aux navires de cette époque. Ils ne tiendront donc pas face à une escadrille. Enfin, les premiers canots de sauvetage du Yamato sont mis à l'eau, mais soudain, l'hélicoptère signale un appareil de reconnaissance tout proche du croiseur. Kirino se doute qu'il s'agit d'un éclaireur. Hayashibara explique qu'il lui a échappé car il volait sûrement à une altitude plus haute que la leur. Kirino pense que c'est le même avenger qui avait déjà survolé le cuirassé japonais, et il demande au capitaine ce qu'ils vont faire. Si l'avenger donne leur position à sa flotte, les escadrilles américaines vont fondre sur eux. Le commandant en second du navire sait que le message n'a pas encore été envoyé et qu'ils doivent l'en empêcher. Il ordonne de l'identifier et de l'abattre si c'est bien un appareil américain. Le SH60J arrive pour attaquer l'avion américain, mais celui-ci parvient malgré tout à donner la position du Mirai à sa flotte, ce qui semble terrifié Kirino. Comme il est trop tard, Kadomatsu ordonne à l'hélicoptère de cesser le feu et d'observer les mouvements de l'escadrille américaine. Effectivement, celle-ci se divise en 2, 12 appareils se dirigeant vers le croiseur, arrivant sur place dans 15 minutes. Kirino pense qu'ils doivent s'éloigner de cette zone temporairement car cela pourrait leur permettre d'éviter le contact. Mais pour le capitaine, c'est une occasion à saisir car le cuirassé sera pris par l'escadrille américaine et ce sera le chaos. Ce sera donc une opportunité pour eux de monter à bord. Kirino est surpris par cette décision, mais ne s'y oppose pas. Le commandant en second du navire rappelle le SH60J pour embarquer rapidement l'escouade d'intervention. On ne voit plus Kirino par la suite dans ce tome.

    Volume 36

    Une fois l'escouade d'intervention à bord du SH60J, celui-ci décolle et fait un virage autour du Mirai, ce qui étonne un peu l'équipage, dont Kirino. Une fois que c'est fait, le lieutenant ordonne de maintenir le cap à vitesse maximum pour tenter d'échapper à l'escadrille américaine. Ensuite, le sonar détecte des bruits d'explosions dans l'eau, ce qui signifie que le Yamato est torpillé par les américains. Kirino semble anxieux mais continue sa mission. Ils sont finalement quand même rattrapé par les appareils américains, qui lancent leur attaque. Le lieutenant parvient à garder son sang-froid, et quand 3 sillages de torpilles sont repérés, il ordonne de mettre la barre toute pour les esquiver. Puis, quand les avions attaquent à la mitrailleuse, il ordonne de riposter avec le CIWS en proue, et l'appareil est abattu. Kirino n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    Volume 37

    Après le départ de la première vague, les membres de la passerelle font leur rapport, évoquant 4 blessés, dont un grave, conduit à l'infirmerie, ainsi que des dégâts mineurs à cause des mitrailleuses. Kirino leur ordonne de commencer les opérations de remise en état, ajoutant qu'il va envoyer des vigiles antiaériens en renforts, tout en poursuivant sans relâche les observations. C'est alors qu'ils reçoivent un appel de Kadomatsu. Celui-ci explique que le système de transmission et le dispositif de guidage des missiles a été mis en place. Le lieutenant fait son rapport sur la situation, puis le capitaine dit d'attendre leur prochain appel. Dans un flashback, Kadomatsu explique à Asô et Kirino que quoi qu'il arrive il ne laissera pas la bombe nucléaire exploser. Malgré cela, il peut y avoir des imprévus et s'ils venaient à échouer sur le Yamato, ils devront déclencher un assaut de missiles pour couler le cuirassé et envoyer la bombe par le fond. Il explique où sera posé le dispositif de guidage, et que les harpoons, une fois qu'ils auront atteint leur cible, provoquera une réaction en chaîne qui coulera le Yamato. Le lieutenant veut s'assurer que ce ne sera qu'en dernier recours, et le capitaine répond que oui. Asô se demande ce qu'il adviendra de l'équipe d'intervention, et Kadomatsu répond qu'il ne devra pas y penser. Les missiles devront être lancés si l'équipe d'assaut échoue, si après 60 minutes, le capitaine n'a pas fait d'appel, ou si le Mirai serait dans une situation telle que le naufrage serait inévitable. Dans ces 3 cas, ils ne devraient pas avoir d'hésitation. Par la suite, le SH60J revient pour un ravitaillement, et Hayashibara explique à Kirino que la deuxième vague américaine de 60 appareils comme la première passe à 80 km au nord-est du Mirai. Kirino suppose que la vague va se séparer en 2, une vingtaine d'appareils devant arriver dans environ 20 minutes. Hayashibara dit qu'il décollera aussitôt le ravitaillement terminé, mais il aimerait emporter aussi les hand arrow restants. Kirino lui demande s'il est sérieux, car l'hélicoptère est 2 fois moins rapide que les appareils américains. Il rappelle aussi à Hayashibara que le SH60J possède leur dernier radar et qu'en cas de perte, cela sera très grave. Sa mission consiste surtout à ramener l'équipe de Kadomatsu à bord. Hayashibara en est conscient, mais veut pouvoir assurer la protection du croiseur si nécessaire, car sans navire, la capitaine n'aura nulle part où aller. Kirino comprend alors et ordonne le chargement des hand arrow. Sakurai monte lui aussi à bord de l'hélicoptère, qui décolle dès qu'il est prêt. Mais à la surprise de tous, 42 appareils américains font demi-tour, tandis que les 18 restants changent de direction à l'approche du cuirassé et se dirigent vers le Mirai. Comme c'est déjà de trop pour eux, Kirino ordonne une surveillance accrue sur le pont, et à se préparer à une défense aérienne. Soudain, un message des américains leur parvient, s'adressant directement au croiseur, et révélant connaître son nom. Kirino est stupéfait, mais ordonne de faire suivre le message à Kadomatsu. Les américains disent savoir que leur objectif est le Yamato mais se demandent pourquoi ils n'utilisent pas leur "flèche du Sagittaire", comme à Guadalcanal. Ils en ont conclu que le Mirai est endommagé, et défient ses membres d'envoyer contre eux une de leurs roquettes. Dans le cas où ils ont raison, les américains donnent au croiseur 3 minutes pour collaborer avec eux. Alors que les appareils américains sont repérés, Kirino ne sait pas quoi répondre...

    • Statut au volume 35 : Vivant.

    A suivre dans le prochain article.

    Cronos


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  • Voilà la neuvième suite de la liste des personnages de 20th century boys.  Ceux-ci sont toujours par ordre d'apparition.

     

    Tomoko

    Volume 7

    Cette élève du lycée municipal de Shin-Okubo est la meilleure amie de Kyôko Koizumi. Elle est aussi une survivante du grand bain de sang de l'an 2000. En effet, le soir du 31 décembre 2000, un robot géant est apparu en plein Tokyo, répandant un virus mortel qui vide ses victimes de leur sang, et créant ainsi la panique dans la ville. Ce même virus fut diffusé partout à travers le monde en même temps par des terroristes qui étaient tous liés à un certain Kenji Endô. Cependant, les dirigeants du parti de l'amitié, et leur leader masqué Ami, viennent prévenir le gouvernement qu'ils ont trouvé en secret un vaccin au virus, qui avait déjà fait des ravages en 1997. Ami lui-même risqua sa vie en faisant face au robot géant qui finit par exploser. En 2014, le professeur de Tomoko et Kyôko demande à ses élèves de préparer pour leur dossier d'histoire du Japon. Il aimerait donc savoir ce qu'ils ont choisi et interroge d'abord Inoue, qui souhaite travailler sur Musashi Miyamoto. Le professeur lui dit de se pencher sur son époque puis passe à Egawa, qui va travailler sur la guerre russo-japonaise et le conseiller Akiyama. Ensuite, Okano dit qu'elle veut prendre Abe no Seimei, et le professeur lui dit de bien montrer comment il s'est implanté dans la capitale. Le professeur appelle alors Kyôko, qui était en train d'essayer de se faufiler en douce à l'intérieur de la classe. Celle-ci prétend qu'elle a perdu une lentille, et se penche ensuite vers Tomoko quand l'enseignant lui parle de son choix. Tomoko souffle à son amie de quoi il est question, et Kyôko annonce fièrement qu'elle s'intéresse à Hitler. Le professeur lui demande le lien avec l'histoire du Japon et, paniquée, Kyôko s'empare du livre d'histoire de Tomoko. Tombant par hasard sur le bain de sang de l'an 2000, Kyôko dit qu'elle voudrait travailler sur Kenji Endô. L'enseignant lui dit de laisser tomber car cela ne sort jamais aux examens et que c'est compliqué, mais Kyôko insiste car c'est un sujet libre. Le professeur se souvient qu'il était lycéen à cette époque. Mais Kyôko trouve bizarre que sur la photo qui montre le groupe terroriste de Kenji, aucun ne possède une télécommande. L'enseignant finit par laisser tomber et donne son accord à Koizumi. Après les cours, celle-ci s'écroule, et Tomoko vient lui dire qu'elle a voulu planquer son retard et qu'elle s'est fait avoir. Tomoko sait que son amie a encore suivi le groupe de musique qui se déguise en démons. Kyôko révèle que Goblin Katô et Creepshow, c'est fini, et qu'elle suit maintenant Eloïm Essaïm. Elle les a suivi d'Aomori à Sendai et vient juste de rentrer. Elle trouve Damien Yoshida, le guitariste, trop craquant. Tomoko se rend compte que son amie est dingue des guitaristes. Kyôko annonce qu'elle repart avec eux cette semaine de mercredi à dimanche, et qu'elle compte sur sa copine. Mais celle-ci dit que le devoir est pour lundi prochain. De plus, Kyôko a manqué trop de cours, et si elle ne rend pas ce devoir, ce sera mauvais pour elle. Kyôko compte sur l'aide de son amie, mais celle-ci ne peut rien pour elle. Elle trouve que le professeur avait raison et que sa copine aurait dû renoncer. Elle parle alors d'une fenêtre dans le couloir qui est cassée, et explique que auqnd un professeur de la classe d'à côté a parlé du grand bain de sang et de Kenji Endô, une fille s'est énervée, a explosé la classe et a cogné un prof avant d'être maîtrisée. Cette élève ne vient plus en cours, mais qui sait ce qu'elle fera si Kyôko fait un dossier sur Kenji Endô. Kyôko demande son nom, et Tomoko répond qu'elle s'appelle Kanna Endô, disant à son amie de faire attention car son nom signifie la fille de la poisse. C'est la dernière apparition de Tomoko dans ce tome.

    Volume 10

    Suite à son sujet sur Kenji Endô, Kyôko est choisie par le gouvernement pour aller à Ami-Land, un parc d'attraction spécial où les adolescents apprennent à lutter contre ceux qui ont déclenché le grand bain de sang de l'an 2000. Tomoko devient jalouse de son amie car il est reconnu qu'un séjour dans ce camp permet d'avoir plus tard un bon poste. Pourtant, Kyôko revient au lycée avec une sale tête, et Tomoko pense que son amie a abusé des tournées. Cependant, Kyôko demande à sa copine si elle ne trouve pas cela bizarre que le professeur ne lui a rien dit alors qu'elle est arrivée en retard ce matin. Tomoko lui répond qu'elle est toujours en retard, et Kyôko continue en disant que le prof de gymnastique lui a souri étrangement. Pour Tomoko, c'est parce qu'il vient de se fiancer. Kyôko n'est pas convaincue, et Tomoko lui dit d'arrêter de dire n'importe quoi. Du coup, son amie la trouve elle aussi louche. Tomoko admet alors être jalouse de sa copine, et dit vouloir aussi aller à Ami-Land. Kyôko s'affole alors et dit que ce n'est pas une bonne idée, alors que Tomoko trouve cela cool. Kyôko se met alors à regarder tout autour d'elle pour voir s'il y a des caméras. Cela rappelle alors à Tomoko que le professeur principal de la classe d'à côté, leur professeur d'anglais, a été arrêté car il filmait en cachette les filles dans les toilettes. Cela l'énerve car elle a peut-être été filmée, mais elle espère que le nouveau prof sera mignon et pas un vieux pervers. Et aussi, à propos de l'autre classe, Tomoko dit que la terreur est revenue, celle qui a cassé une fenêtre. Elle la voit d'ailleurs arriver et le signale à Kyôko. Cette dernière interpelle la jeune fille, mais quand celle-ci se retourne, Kyôko commence à balbutier. Kanna Endô ne comprend rien, et Kyôko parle d'un gamin avec un masque, de grands yeux, une grande bouche et des spirales sur les joues. Tomoko tente d'arrêter son amie qui débloque, s'excusant auprès de Kanna. Cette dernière s'en va, et Tomoko dit à Kyôko de laisser tomber et qu'il ne vaut mieux pas avoir affaire avec elle. Quelques temps plus tard, Kyôko ne vient aux cours que pour l'après-midi, et Tomoko lui signale que ses retards sont de plus en plus graves, trouvant que son amie a une sale tête. A ce moment, le nouveau professeur entre dans la classe, et Tomoko s'écroule sur sa table car il n'est même pas beau. Soudain, Kyôko se met à hurler de peur et finit par s'évanouir. Ses camarades de classe l'emmène à l'infirmerie et on ne voit plus Tomoko dans ce tome.

    Volume 13

    Quelques temps plus tard, le premier jour de l'an 2015, les médias informent au monde entier qu'Ami a été tué dans une école déserte, en pleine nuit. Tomoko poursuit néanmoins sa vie de lycéenne, avec notamment le retour de Kyôko. Elle a rencontré un jeune garçon, Mamoru, qui étudie dans une petite université. Mais alors qu'ils ont un rencard, le jeune homme envoie à Tomoko une photo de lui en disant qu'il a de la fièvre. Tomoko ne le croit pas et lors qu'elle est dans un café avec ses 3 amies, elle leur demande leur avis. Deux d'entre elles trouvent qu'il a une sale tête, qu'il est pâle et qu'il a l'air fauché. Par contre, Tomoko est obligée de hurler pour attirer l'attention de Kyôko, plus intéressée par les informations à la télévision. Les 3 filles la trouvent bizarre, et pour Kyôko, le garçon a l'air fiévreux. Mais Tomoko pense que c'est un mensonge. Les 2 autres filles demandent où il étudie, et Tomoko répond que c'est à Yûmei. Pour les filles, c'est une fac de nuls. Tomoko leur rétorque qu'il veut devenir journaliste ou pilote, mais les filles trouvent quand même que c'est un nul. Tomoko ne veut pas le plaquer, mais elle est sûre que Mamoru la trompe. Elle montre pour cela la fille en maillot de bain à l'arrière de la photo, mais ses amies lui rétorquent que c'est un poster. Tomoko insiste, mais remarque que Kyôko est de nouveau distraite par la télévision au lieu de s'intéresser à ses problèmes de coeur. Les 2 filles évoquent d'ailleurs le groupe que suivait toujours Kyôko, Eloïm Essaïm. En effet, ceux-ci sont passés à la télévision, mais dans une émission comique, ce qui déçoit Kyôko. De son côté, Tomoko est décidée à aller voir Mamoru, et s'il la trompe, il va lui payer. Kyôko se lève d'un coup et annonce qu'elle s'en va car elle ne veut plus voir de télévision. Elle accepte donc d'accompagner Tomoko. Celle-ci s'excuse car Kyôko voulait sûrement aller faire les soldes, mais cette dernière ne voulait pas être dans la foule. En tout cas, Tomoko saura ce que Mamoru fabrique, et Kyôko la prévient qu'il vaut mieux ne pas toujours savoir. Arrivée à l'adresse, Tomoko dit à son amie de l'accompagner pour la retenir quand elle s'énervera. Tomoko frappe à la porte et sonne, mais personne ne répond. La porte étant ouverte, elle déboule dans le studio en colère et s'arrête net. Elle découvre avec horreur que Mamoru est allongé à terre, baignant dans son sang. Elle commence à paniquer, hurlant de peur, tandis que Kyôko essaie de trouver un téléphone pour appeler une ambulance. Mais elle découvre aussi un voisin dans le même état. Kyôko appelle donc les autorités, mais en restant anonyme, avant de quitter les lieux discrètement. Peu après, le quartier de Setagaya où habitait Mamoru est mis en quarantaine car il s'agirait d'une nouvelle version du virus mortel du grand bain de sang de l'an 2000. De retour chez elle, Tomoko téléphone à Kyôko car elle se sent seule et triste. Kyôko lui dit de prendre une douche et de brûler ses vêtements, mais les larmes aux yeux, Tomoko dit qu'elle pense à lui. Il était dans une fac de troisième zone, mais il était très gentil. Elle montre à son amie une vidéo de la soirée qu'il a passé avec des amis juste avant de mourir. Il fait beaucoup la fête et picole pas mal. Tomoko regrette de l'avoir soupçonné, alors qu'il ne faisait que boire avec des amis. Soudain, on sonne à sa porte, et Tomoko va ouvrir car c'est sans doute un coursier qui amène du poisson. C'est effectivement un homme qui amène un saumon frais. Tomoko entend cependant Kyôko au téléphone, et elle lui dit qu'elle est avec le livreur. Kyôko lui demande de lui montrer ce livreur, et Tomoko s'exécute. Soudain, Kyôko dit à son amie de fermer la porte car c'est l'assassin de Mamoru. Mais l'homme empêche Tomoko de fermer la porte, et la frappe avec le poisson. Tomoko chute, mais Kyôko menace l'homme d'aller à la police car elle a la vidéo donnée par Tomoko de Mamoru et ses amis, mais aussi de cet homme en train de nettoyer en combinaison de protection le virus qu'il avait amené. L'homme trouve le nom de Kyôko dans l'annuaire du lycée, puis détruit le téléphone de Tomoko. Cependant, un autre homme intervient et sauve Tomoko de l'assassin, avant d'emmener cette dernière en sécurité. Il travaille pour un certain Yoshitsune et un de ses collègues est d'ailleurs allé chercher Kyôko. Tomoko n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 7, dans le chapitre intitulé "Chapitre 5. Koizumi".
    • Statut au volume 14 : Supposé vivante.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    Mme Yamakura

    Volume 11

    Mme Yamakura est une habitante de Naruhama, une petite ville de campagne sans grand intérêt. Cette ville est toujours triste, mais vers 1994, un grand hôpital a été construit sur la falaise, près de la mer. La population a grandi, mais une maladie vidant ses victimes de leur sang a tout arrêté. Il y a eu 3 morts, et une femme médecin, Kiriko Endô, a réussi à soigner les malades. Après ces événements, le maire a étouffé l'affaire, et le projet de faire passer l'autoroute par la ville a été oublié. Par la suite, le soir du 31 décembre 2000, le virus a été diffusé partout dans le monde par des terroristes, faisant 150.000 morts. Le monde a été sauvé par le parti de l’amitié, dirigé par son leader masqué Ami, qui a distribué un vaccin qu'ils avaient développé en secret. Mme Yamakura a survécu à cet événement, appelé le grand bain de sang de l'an 2000. Ensuite, durant l’été 2002, a lieu à Naruhama un festival du film. Pour l'occasion, plusieurs habitants ont été filmés pour délivrer un message à un proche. Mme Yamakura a été filmée, mais elle disait en rigolant qu'elle n'avait rien à dire à son mari, et qu'elle avait honte, tout en rougissant. C'est tout ce que l'on apprend sur Mme Yamakura dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 11, dans le chapitre intitulé "Chapitre 10. Le message d'une mère".
    • Statut au volume 14 : Inconnu.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    Mr Shiodani

    Volume 11

    Il s'agit d'un habitant de la petite ville de Naruhama. Celle-ci a toujours été morose, sauf en 1994, lorsqu'un grand hôpital a été construit sur la falaise, près de la mer. Dès lors, la population s'est agrandie jusqu'à ce qu'un virus ne tue 3 personnes, les vidant de leur sang. C'est grâce à une femme médecin, Kiriko Endô, que la maladie a pu être stoppée. Par la suite, le maire a étouffé l'affaire, mais le projet de faire passer l'autoroute par la ville a été abandonné. Ensuite, le soir du 31 décembre 2000, le même virus a été diffusé partout à travers le monde par des terroristes, causant la mort de 150.000 personnes. Heureusement, cela a été arrêté par le parti de l'amitié, et son leader masque Ami, qui ont trouvé en secret un vaccin à ce virus et qui l'ont distribué. Mr Shiodani fut l'un des survivants de ce qui fut appelé le grand bain de sang de l'an 2000, puis la ville de Naruhama organisa durant l'été 2002 un festival du film. Pour cette occasion, plusieurs habitants de la région ont été filmés pour leur permettre de faire passer un message à leurs proches. Mr Shiodani fut l'un d'eux, mais les cameramen furent surpris que le vieil homme ne parle pas et ne bouge pas. Ils se sont alors rendus compte que le monsieur s'était endormi. C'est tout ce que l'on saura sur Mr Shiodani dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 11, dans le chapitre intitulé "Chapitre 10. Le message d'une mère".
    • Statut au volume 14 : Inconnu.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    Dokura

    Volume 11

    Cet homme est un scientifique qui a commencé à travailler pour la société pharmaceutique Daifuku à la fin du 20ème siècle. Il était alors l'assistant du docteur Yamane, qui a dirigé les laboratoires durant 14 ans. Avant cela, il travaillait dans un hôpital de la petite ville de Naruhama avant d'être trouvés, lui et Yamane, par les chasseurs de têtes de Daifuku. Dans cette petite ville, un virus mortel, vidant ses victimes de leur sang, était apparu en 1994. Par la suite, une organisation sectaire, dirigé par un mystérieux leader masqué, Ami, a décidé d'utiliser ce virus pour faire des attaques bactériologiques à travers le monde en 1997. Cette organisation est devenue ensuite le parti de l'amitié, et les laboratoires Daifuku avaient déjà un vaccin au virus. C'est alors que le soir du 31 décembre 2000, le parti de l'amitié a répandu le virus dans toutes les grandes villes du monde, en faisant passer cela pour une attaque terroriste dirigée par un certain Kenji Endô. A Tokyo, ils ont même fait apparaître un robot géant qui a semé la panique dans la capitale japonaise. C'est alors que le parti de l'amitié est arrivé en sauveur, disant qu'ils avaient développé en secret un vaccin au virus à partir de 1997. Ils ont ainsi sauvé tout le monde de cette nuit sanglante qui a été surnommée le grand bain de sang de l'an 2000, et ses dirigeants sont devenus les sauveurs de l'humanité. Ils sont ensuite devenus les dirigeants du Japon, qu'ils ont transformé en régime autoritaire. Dans le même temps, les laboratoires Daifuku ont fait fortune et sont devenus les premiers laboratoires pharmaceutiques du monde. Yamane a continué à diriger les laboratoires jusqu'en 2003, où il a disparu. Dokura a continué à diriger la société, ne rentrant presque plus chez lui. Un soir de la fin de l'année 2014, alors qu'il quitte en voiture les laboratoires, il dit à son interlocuteur au téléphone qu'il n'a pas pris de vacances cette année, apprenant que le parti de l'amitié sera inactif pour le nouvel an. Il espère pouvoir compter sur son interlocuteur pour l'année prochaine, qui apparemment sera très importante, notamment à cause de l'apparition d'un nouveau virus mortel, plus virulent que le précédent. Dokura en saura plus quand son équipe reviendra d'Afrique où le nouveau virus est apparu. Les rapports son encourageants mais il ne vaut pas s'avancer. Il pense que l'année 2015 sera riche en événements avant de raccrocher. Ensuite, en constatant que son chauffeur tousse, il lui donne un médicament qui n'est pas encore ne vente mais qui est efficace. Il constate alors qu'ils n'ont pas pris la route A, et la chauffeur répond qu'il y a des travaux. Dokura se dit que même les travaux de fin d'année ont survécu au changement de siècle. Puis, ils doivent s'arrêter car il y a un barrage pour des travaux, mais le chauffeur n'a pas vu de signalisation. Soudain, l'employé des travaux mets une laisse avec une chaîne au chauffeur avant de s'enfuir. Les gardes du corps de Dokura sortent de la voiture mais se font mettre au tapis par un homme barbu armé d'une barre de métal. Celui-ci menace Dokura en lui demandant où se trouve Yamane. N'ayant aucune adresse sur lui, Dokura emmène l'inconnu chez lui, où sa femme se montre embarrassée car son mari ne l'a pas prévenu de sa venue pour le repas. Dokura présente l'inconnu comme un ami qui a retrouvé, et celui-ci dit s'appeler Ochiai. Dokura dit qu'ils n'ont besoin de rien et qu'ils vont dans son bureau. En s'y dirigeant, Dokura entend son fils qui joue encore aux jeux vidéos, et dit à Ochiai qu'il a 25 ans et qu'il est toujours là. Il n'était pas rentré depuis 2 semaines et c'est ainsi qu'il est accueilli. Une fois dans le bureau, Dokura allume une lampe à alcool et dit que sa flamme le détend. Dans un coffre-fort, il trouve une liste des employés du laboratoire de 2003, avec l'adresse de Yamane à l'époque, et la donne à Ochiai. Ochiai demande quelles relations ils avaient, et Dokura répond qu'ils n'étaient pas proches. Ochiai que la situation des laboratoires est semblable à celle d'avant le grand bain de sang, et il demande ce qu'il va se passer. Mais Dokura n'en sait rien. Ochiai sait pourtant qu'ils ont travaillé ensemble durant 14 ans, et Dokura explique que Yamane ne parlait que de ses recherches, et qu'il ne sait rien de lui, à part que c'était un génie et que la flamme d'une lampe à alcool le détendait aussi. Yamane a aussi dit qu'il avait un ami en primaire qui était mort la veille d'une dissection qu'il aurait adoré faire, et qu'il s'était donc introduit de nuit dans l'école pour faire la dissection avec le fantôme de son ami. Dokura et Yamane aimaient beaucoup ces endroit-là. Dokura n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 11, dans le chapitre intitulé "Chapitre 11. Yamane".
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    Yamane

    Volume 11

    Dans ce tome, on apprend que Yamane est un docteur qui a travaillé dans le début des années 90 dans l'hôpital de la petite ville de Naruhama, avec Kiriko Endô. Mais en 1994, un virus mortel est apparu et a vidé ses victimes de leur sang. Kiriko Endô est parvenue à soigner les malades mais l'hôpital a fermé peu après, malgré les tentatives du maire pour étouffer l'affaire. Yamane et son bras droit, Dokura, avaient alors été repérés par les chasseurs de têtes des laboratoires Daifuku, et engagés. Ensuite, en 1997, le même virus mortel a été diffusé dans plusieurs villes dans le monde, avant de disparaître à nouveau. C'est le soir du 31 décembre 2000 qu'il réapparaît, propagé par des organisations terroristes, cette fois-ci partout sur la planète, et dont le maître d'oeuvre semble être un certain Kenji Endô. Cependant, depuis 1997, les dirigeants du parti de l'amitié, une ancienne organisation sectaire dont le leader est un homme masqué qui se fait appeler Ami, ont secrètement mis en oeuvre un vaccin au virus et c'est les laboratoires Daifuku qui sont chargés de sa production. Ceux-ci deviennent d'un coup très riches, et cette nuit porte ensuite le nom de grand bain de sang de l'an 2000. Les dirigeants du parti de l'amitié deviennent les sauveurs de l'humanité et instaure un régime autoritaire au Japon. Cependant, Yamane disparaît en 2002, laissant la direction à Dokura. On apprend aussi qu'en primaire, Yamane était dans la même classe qu'Ami et Sadakiyo, mais aussi de Kenji Endô et ses amis, Otcho, Yoshitsune, Maruo et les autres, accusés d'être les instigateurs du grand bain de sang. Il était très intelligent, et la flamme d'une lampe à alcool l'apaisait. Il a évoqué à Dokura qu'en primaire, l'un de ses amis, qui adorait la biologie, était décédé la veille d'une dissection qu'il aurait adoré faire. Yamane s'est alors introduit la nuit dans l'école et a fait la dissection avec le fantôme de son ami dans la salle de biologie. Durant cette période, Yamane était aussi le seul membre du club de biologie, et alors que Yukiji venait chercher un mouchoir dans la salle, Yamane lui a demandé tout en regardant les poissons de l'aquarium si elle voulait faire partie de ce club. Yukiji refuse, et Yamane lui a dit qu'il voulait créer un homme-poisson car la terre va bientôt être inondée. Il a demandé à Yukiji si elle connaissait le nom du poisson qu'il regardait, et Yukiji a répondu que c'était un poisson-clown. Mais Yamane ne voulait pas connaître son espèce mais son nom. Il a alors dit à Yukiji que le nom de ce poisson était Kiriko...

    Volume 12

    Dans ce tome, on apprend que vers 2010, 2011, Yamane a déménagé suite au décès de son père. Dans un flashback datant de son enfance, Yamane se retrouve à l'école en même temps qu'Otcho et trouve injuste qu'ils doivent être là un samedi après-midi, ajoutant qu'il n'aime pas le club de science. Il demande ensuite à Otcho ce qu'il a pensé du supplément de "sciences et recherches", sur lequel il est resté sur sa faim. En effet, il trouvait les expériences inintéressantes. Pour Otcho, les expériences de CM1 doivent être trop facile, à moins qu'il ne soit pas celui que Yamane croyait. Il a de plus appris que Kenji, Otcho et leurs amis avaient une base secrète dans le champ en friche, et qu'ils ont fait un "cahier de prédictions". Otcho se demande comment il le sait, et Yamane répond juste qu'un ami le lui a dit. Par contre, ce n'est pas avec ce qu'il y a dedans que la terre disparaîtra, car il n'y aura jamais de robot géant. Il se doute que c'est une idée de Kenji et pense qu'Otcho ne devrait pas traîner avec eux. Yamane et ses 2 camarades pensent qu'il devrait y avoir une attaque bactériologique. Otcho fait semblant de l'ignorer, et Yamane déclare qu'ils font un "nouveau cahier de prédictions", bien meilleur que celui du groupe de Kenji. Si cela intéresse Otcho, ils ont un livre dans la bibliothèque de l'école, qui n'est jamais emprunté, et dans lequel ils se passent des messages secrets. A ce moment, on comprend que Yamane est complice d'Ami, qui est le réel organisateur du grand bain de sang de l'an 2000. On apprend ensuite que les 3 complices s'étaient donné rendez-vous dans la salle de biologie le soir du nouvel an 2014. Ce même soir, Yamane est le premier présent, Sadakiyo ayant été tué par les dreamnavigators d'Ami, chargés de laver le cerveau des opposants au régime, ou de les tuer. C'est alors qu'Otcho le rejoint avec un jeune dessinateur de mangas, avec qui il s'est évadé de prison peu auparavant. Yamane allume une lampe à alcool et explique que le soir de l'été 1971 durant lequel il était dans la salle de biologie, Donkey, un autre ami de Kenji qui a été tué par les adorateurs d'Ami, est entré dans la salle et a vu quelque chose qu'il n'aurait pas dû voir. Otcho a trouvé le message du rendez-vous dans le second tome signé d'un livre dont le premier tome n'est pas dans la bibliothèque. Yamane dit ensuite qu'Ami est né dans cette salle, ou plutôt qu'il y est mort. Il explique ensuite qu'Ami va venir le tuer. Alors qu'ils entendent des bruits de pas, Yamane dit qu'il n'est qu'un chercheur qui trouve un vaccin puis un virus plus virulent et ainsi de suite. Cependant, en 2003, Kiriko, la soeur de Kenji, est venu le voir. Il a pris peur et a voulu échapper à Ami. Mais il a reçu une lettre lui rappelant le rendez-vous et il est venu. Ami entre dans la pièce, toujours masqué, et Otcho cherche à savoir qui il est. Ami parle de la base secrète et des prédictions, puis des cuillères qu'il avait tordu, mais que personne ne le regardait. Yamane admet qu'ils ont créé le "nouveau cahier de prédictions", mais pour lui, c'est un faux. Ami parlait de pouvoirs surnaturels, et ils avaient leur propre code secret, dont "rompre" signifiait "tuer". Mais Yamane savait qu'Ami n'était qu'un menteur, à un tel point qu'il ne savait même plus lui-même ce qui était vrai. Et c'est pour cacher ce qu'ils s'est passé en 1971 qu'il a fait tuer Donkey, surtout que celui-ci avait démoli son mensonge à l'époque. Ami déclare que ses hommes ont encerclé la salle, mais Yamane ne le croit pas. Agacé, il sort une arme et tire sur Ami. Pour Yamane, Ami va maintenant réellement mourir. L'homme tente de se relever, avant de s'écrouler. Apaisé, Yamane dit que c'est terminé et quitte la pièce. Mais un autre coup de feu retentit et Yamane s'effondre, mort, tué par les hommes d'Ami qui étaient réellement là.

    Volume 13

    Dans ce tome, on apprend qu'en 2003, Kiriko Endô, la soeur de Kenji, est venu rendre visite à Yamane qui travaillait toujours chez Daifuku. Pour Yamane, cela faisait longtemps et il demande si le café de laboratoire lui a manqué, car il vient d'en faire. Mais la jeune femme veut lui parler de quelque chose d'important. Yamane lui aussi veut lui montrer le résultats de ces travaux durant 3 mois dans un labo souterrain, qu'il a expérimenté sur des chimpanzés. Mais Kiriko lui demande s'ouvrir les rideaux. Devant le ton étonné de Yamane, Kiriko lui demande quelle heure il est. Yamane répond 2 heures, même s'il ignore si c'est le matin ou l'après-midi. Kiriko veut ouvrir elle-même les rideaux mais Yamane la prévient qu'il faut une télécommande, mais qu'elle doit arrêter car la lumière gêne ses expériences. Kiriko aimerait qu'il voit le monde extérieur, mais pour le chercheur, le monde est sous la lentille de son microscope. Kiriko lui dit de lever la tête, de regarder dehors et de réfléchir un peu, car ils ont créé le virus du bain de sang de l'an 2000. Pour Yamane, c'est Kenji qui l'a diffusé, mais Kiriko sait que son frère en aurait été incapable car il n'aurait pas franchi le système de sécurité. Pour Yamane, c'est quelqu'un de l'intérieur qui le lui a fourni, et que grâce à eux, il n'y a eu que 150.000 victimes. Kiriko pense qu'il ne se rend pas compte de ce que ce chiffre représente. Mais Yamane veut lui montrer ses expériences. Dès qu'il améliore le virus, Kiriko améliore son vaccin, et ainsi de suite. Avec ce qu'il a trouvé, ils vont pouvoir continuer. Mais en lisant les notes de Yamane, Kiriko est horrifiée, et Yamane dit qu'il va lui falloir 10 ans pour trouver un vaccin. Kiriko lui demande s'il veut détruire l'humanité, mais Yamane lui répond que non puisqu'elle va trouver un vaccin. Ami lui a demandé de s'arrêter là, mais Yamane veut continuer, et sans un vaccin, il ne peut pas. Kiriko n'est pas sûre de pouvoir y parvenir, et Yamane trouve que cela ne lui ressemble pas. Kiriko évoque le fait que 1% de l'humanité survivra à tout virus, et Yamane se montre donc rassurant. Kiriko lui demande donc s'il connaît bien le nouveau cahier de prédictions. Yamane répond que oui, et Kiriko le questionne pour savoir avec combien de voix le président du monde sera élu. Yamane sait que c'est 60 millions de voix pour et pas une contre. Ce qui fait exactement 1% de la population mondiale selon Kiriko. Elle s'énerve en disant qu'ils ont tué 5.900.000 personnes avec leur jeu. Elle a les larmes aux yeux, prend les notes de Yamane, et annonce qu'elle va tenter de trouver un vaccin avant de s'en aller. Yamane est pris de court, et se dit que c'est impossible, que cela ne peut être vrai. En trouvant la télécommande, il ouvre les rideaux et observe le monde extérieur. C'est juste après cela qu'il a fui les laboratoires Daifuku. C'est la dernière apparition de Yamane dans ce tome.

    Volume 14

    Dans ce tome, on retrouve Yamane dans la simulation d'Ami-land, un simulateur créé dans un parc d'attraction onsacré à Ami, et visant à laver le cerveau des jeunes qui doutent des dires du leader masqué du Japon. Dans cette simulation, on revient en 1971, un nuit d'été, quand Donkey, un ami de Kenji, a pénétré en pleine nuit dans l'école pour rallumer la pompe de l'aquarium que Mon-chan avait oublié de mettre en marche après son nettoyage. Allumant un lampe à huile, Donkey découvre que Sadakiyo et Yamane se trouvent dans la salle de sciences, et qu'ils regardent sans bouger Fukube, qui s'est révélé être Ami, pendu au bout d'une corde. Donkey demande à Yamane et Sadakiyo pourquoi ils ne bougent pas et n'aident pas Fukube, mais Yamane répond qu'il va y avoir un miracle. Donkey hurle qu'il faut vite le descendre de là, mais Yamane rétorque qu'il le dérange et empêche le miracle de se produire. C'est à ce moment que Fukube ouvre les yeux, ce qui épate Yamane. Fukube dit qu'ils sont tous les témoins d'un miracle et qu'ils doivent le raconter à tout le monde. Mais Donkey ne le croit pas. Yamane est surpris, et Donkey dit qu'il y a un truc. Sadakiyo est plutôt d'accord avec lui, mais Fukube ne veut pas laisser dire cela. Il annonce que Donkey doit rompre, c'est-à-dire mourir, et Sadakiyo et Yamane s'approche de lui de manière menaçante. Donkey, en panique, saute alors du premier étage de l'immeuble et s'enfuit. C'est alors que les Yoshitsune et Kyôko Koizumi de 2015 entrent dans la salle de sciences, suivis par le Manjûme Inshû de 2015, le bras droit d'Ami. Un homme masqué entre lui aussi dans la pièce, et prétend être Ami, alors qu'en 2015, il est censé être mort. Ils parlent ensembles avant de disparaître de la simulation, et on ne voit plus Yamane par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 11, dans le chapitre intitulé "Chapitre 11. Yamane".
    • Statut au volume 14 : Tué d'une balle.

    Volume 16

    Dans ce tome, on retrouve Yamane dans un nouveau flashback datant de peu après l'exposition universelle de Osaka, en 1970. Yamane, qui est allé à cette exposition grâce à une partie de sa famille habitant là-bas, est de retour à l'école et croise un vendeur ambulant, qui n'est autre que Manjûme Inshû, jeune, et qui prétend vendre des objets provenant de la NASA. Yamane lui demande s'il est au courant que l'alunissage d'Apollo 11 est du flan et que les pierres de l'exposition sont des fausses. C'est alors que Fukube intervient. Yamane espérait le voir à l'exposition, mais Fukube n'a pas pu s'y rendre. Yamane l'appelle déjà Ami, et il lui demande de lever sa rupture pour avoir parlé à Otcho de l'attaque bactériologique que ce dernier a utilisé dans le cahier de prédictions. Mais Fukube a plus intéressant à lui raconter, et lui raconte l'histoire d'un méchant représentant qui transporte son virus dans une mallette. Yamane trouve cela marrant et pense que Fukube est le meilleur, que les discussions avec lui sont plus intéressantes qu'avec les autres. Fukube trouve que Yamane parle trop, et celui-ci promet de tenir sa langue désormais. Mais Fukube croit qu'il ne croit pas en lui, qu'il ne fait que des tours de passe-passe. Yamane essaie de se justifier, et Fukube l'avertit que la prochaine fois, ce sera une rupture pour de vrai. Il demande ensuite à Manjûme de lui montrer les cuillères qu'il vend. En en prenant une, Fukube parvient à la tordre juste entre son pouce et son index, ce qui fait rire Yamane. Les 2 gamins s'en vont ensuite et continuent de parler de virus et de vaccin, Fukube promettant que ses prédictions vont se réaliser, et Yamane promettant d'étudier les virus à la fac. Selon lui, grâce à eux, ce ne sera pas la fin du monde. Fukube pense ne pas être normal, et Yamane approuve, surtout qu'il a eu des frissons quand Fukube a tordu toutes les cuillères de la cantine. Fukube déclare alors qu'il peut faire encore mieux, juste avant que n'entre dans la salle Sadakiyo. Fukube comprend qu'il veut revenir avec eux car il est son seul ami. Quand Fukube révèle ce qu'il compte faire, c'est-à-dire mourir et revenir à la vie, Yamane estime que cela n'est pas nécessaire. Fukube annonce qu'il va le faire le dernier jour des vacances d'été. Yamane apporte la corde, et sur le chemin, ils croisent Manjûme, qui leur donne sa carte, proposant de s'associer à lui. Mais Fukube l'ignore et continue son chemin, suivi par Yamane et Sadakiyo. Le soir-même, dans la salle de sciences, Fukube réalise son tour, à la vue aussi de Donkey, qui saute par la fenêtre, menacé par Sadakiyo et Yamane. Ce dernier dit que Donkey est bête de ne pas croire aux miracles. Puis, Fukube bouge et ne semble ne pas être bien et le flashback se termine. Yamane n'apparaît plus par la suite dans ce tome.

    • Statut au volume 18 : Tué d'une balle.

    Kawano

    Volume 12

    Kawano est un présentateur de télévision qui a survécu au grand bain de sang de l'an 2000. En effet, le soir du 31 décembre 2000, des terroristes ont propagé partout à travers le monde un virus mortel qui vide ses victimes de leur sang. De plus, à Tokyo, un robot géant est apparu, répandant le virus, et sémant la panique dans la capitale japonaise. Cependant, les dirigeants du parti de l'amitié sont intervenus. Ce parti, qui était auparavant une organisation se rapprochant d'une secte, avait mis au point un vaccin car le virus était déjà apparu en 1997. De plus, son dirigeant, Ami, qui apparaît toujours masqué, avait fait face au robot géant tandis que les dirigeants du parti ont distribué le fameux vaccin. Finalement, le robot géant a explosé, et l'endroit de la déflagration est devenu la place d'Ami. Depuis, les dirigeants du parti de l'amitié sont devenus les dirigeants du Japon, et à la veille de l'année 2015, Kawano se trouve en direct de la place d'Ami. Il annonce aux téléspectateurs que la place se couvre de fleurs pour une quatorzième cérémonie du souvenir. Et le cercle de ceux qui viennent prier pour que cela ne recommence pas s'agrandit. Kawano passe ensuite le relais à ses collègues qui se trouvent ailleurs pour cette soirée du nouvel an, et on ne le voit plus par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 1. Un autre bain de sang ?".
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    Jôji Natsuki

    Volume 12

    Jôji est, en 2014, un jeune chanteur dont l'oncle est le célèbre Namio Haru. Le soir du 31 décembre 2000, il a survécu au grand bain de sang de l'an 2000, lorsqu'un robot géant est apparu en plein Tokyo, diffusant un virus mortel qui vide ses victimes de leur sang en quelques instants. Ce virus fut répandu partout à travers le monde ce même soir pour des terroristes du monde entier, et dont le lien était un certain Kenji Endô. Cependant, Ami, le mystérieux dirigeant masqué d'une organisation qui était devenu le parti de l'amitié, a fait face au robot géant, pendant que les membres de son parti ont distribué un vaccin qu'ils avaient mis au point en secret, le virus étant déjà apparu en 1997. Par la suite, Ami est devenu le sauveur de l'humanité, et depuis, son parti est à la tête du Japon. Alors que le nouvel an 2015 arrive. Jôji va chez son oncle pour les étrennes. Il s'adresse au manager de Namio Haru, Marukobashi, mais celui-ci, dans ses pensées, ne répond que quand on l'appelle Maruo, son surnom. Jôji lui souhaite bonne année, et le remercie de rester le manager de son oncle. Il va d'ailleurs saluer celui-ci, qui est arrivé. Namio demande qu'on applaudisse Jôji, vainqueur des Gramy Awards japonais. Le jeune homme se sent gêné, et Maruo amène une bouteille de champagne. Tout le monde félicite les disciples de Namio Haru, qui dit que ses disciples ont chanté avec toute leur âme. Il leur donne leurs étrennes et tous les 3 sont surpris par le montant. Jôji se rappelle que quand il est arrivé, Namio à dit à ses parents qu'il aurait de belles étrennes pour décorer leur maison. C'est exactement ce qu'il compte faire et les donnant à ses parents, et tous les 3 tombent en pleurs dans les bras de Namio Haru. Tout le monde les applaudit, et c'est la dernière apparition de Jôji dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 2. Visite de courtoisie".
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    Harold Akiyama

    Volume 12

    Il s'agit de l'un des disciples du chanteur populaire Namio Haru. De plus, il a survécu à ce qui a été appelé le grand bain de sang de l'an 2000, le soir du 31 décembre 2000. Cette nuit-là, un virus mortel qui vide ses victimes de leur sang a été répandu partout à travers le monde par des terroristes. De plus, à Tokyo, un robot géant est apparu, semant la panique totale dans la ville. Hors, Ami, le leader masqué d'une organisation qui est devenu plus tard le parti de l'amitié, a choisi de faire face au robot avec la tour du soleil de l'exposition universelle d'Osaka. Pendant ce temps, les dirigeants du parti ont distribué un vaccin au virus qu'ils avaient mis au point en secret, car le virus avait déjà sévi en 1997 dans plusieurs villes du monde. Après ces événements, Ami est devenu le sauveur de l'humanité, et son parti dirige depuis le Japon. Le premier jour de l'an 2015, Harold est invité par Namio Haru, tout comme Jôji Natsuki et Fuyumi Hama, pour recevoir ses étrennes. Namio félicite Jôji pour son gramy award japonais, puis dit que ses disciples enchaînent les succès, surtout qu'ils chantent avec leur âme. En recevant leurs étrennes, les 3 jeunes gens sont surpris par le montant élevé, et Jôji dit en pleurant que ses parents pourront décorer leur maison avec cet argent. Tous les 3 tombent en pleurant dans les bras de Namio Haru, qui leur dit qu'ils ont bien travaillé, qu'ils doivent continuer à aider ceux des maisons de disques, et qu'ils ne doivent surtout pas oublier qu'ils sont là grâce à leurs fans. Tout le monde les applaudit, et on ne voit plus Harold par la suite dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 2. Visite de courtoisie".
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    Fuyumi Hama

    Volume 12

    Fuyumi est une jeune chanteuse qui fait partie des disciples de Namio Haru. Elle a survécu à la nuit du 31 décembre 2000, aussi appelé le grand bain de sang de l'an 2000. Effectivement, ce soir-là, un robot géant est apparu en plein Tokyo, semant la terreur, notamment à cause d'un virus mortel qu'il diffusait et qui vidait ses victimes de leur sang. Ce même virus fut d'ailleurs répandu partout à travers le monde par des organisations terroristes dans le même moment. Fort heureusement, les dirigeants du parti de l'amitié, autrefois une organisation sectaire, déclarent qu'ils ont mis au point en secret un vaccin à ce virus. Son leader, le mystérieux et masqué Ami, s'est opposé lui-même au robot géant, qui a fini par exploser. Ami fut considéré donc comme le sauveur de l'humanité, et le parti de l'amitié dirige depuis le Japon. Le premier jour de l'an 2015, Fuyumi est invitée au même titre que Jôji Natsuki et Harold Akiyama, par Namio Haru pour recevoir leurs étrennes. Namio félicite Jôji pour son gramy award japonais, disant que ses disciples enchaînent les succès. Il ajoute ne pas y être pour grand chose, ses disciples chantant avec leur âme. Quand les 3 jeunes chanteurs reçoivent leurs étrennes, ils sont surpris par le montant, et Jôji dit, les larmes aux yeux, que ses parents vont pouvoir décorer la maison avec cet argent. Tous les 3 tombent en pleurs dans les bras de Namio Haru, qui leur dit de ne pas s'arrêter là et de continuer à aider ceux des maisons de disques, sans surtout oublier leurs fans grâce à qui ils sont là. C'est la seule apparition de Fuyumi dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 12, dans le chapitre intitulé "Chapitre 2. Visite de courtoisie".
    • Statut au volume 14 : Supposé vivante.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    Kurabashi

    Volume 13

    Cet homme est un journaliste japonais qui a survécu au grand bain de sang de l'an 2000. En effet, le soir du 31 décembre 2000, un virus mortel vidant ses victimes de leur sang a été propagé partout à travers le monde par des terroristes. A Tokyo, un robot géant est même apparu, provoquant la panique parmi la population. Mais Ami, le mystérieux leader masqué d'une organisation qui était devenu le parti de l'amitié, a alors décidé de s'opposer au robot avec la tour du soleil de l'exposition universelle de Osaka. Pendant ce temps, les dirigeants de son parti ont commencé à distribuer un vaccin au virus qu'ils avaient mis au point en secret, le virus ayant déjà fait des dégâts en 1997. Suite à cela, Ami est devenu le sauveur de l'humanité et il dirige depuis le Japon avec son parti. Mais le soir du premier jour de l'an 2015, les autorités annoncent qu'Ami a été assassiné dans une école déserte en pleine nuit. Kurabashi est envoyé au siège du parti de l'amitié, et le présentateur lui demande s'il y a du nouveau. Kurabashi explique que le bâtiment est assiégé de journalistes, mais que pour l'instant, le parti de l'amitié n'a fait aucune déclaration. Il veut évoquer l'état d'Ami quand il est interrompu par le présentateur, qui a un autre journaliste en direct à l'hôpital où a été emporté Ami. C'est la seule fois que l'on voit Kurabashi dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 13, dans le chapitre intitulé "Chapitre 2. La mort d'Ami".
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    Naïtô

    Volume 13

    Naïtô est un journaliste japonais qui a survécu à la nuit du 31 décembre 2000. En effet, lors de cette soirée, un robot géant est apparu en plein Tokyo, semant la panique car il diffusait un virus mortel qui vide ses victimes de leur sang. Ce même virus a été répandu au même moment partout à travers le monde par des organisations terroristes. Le parti de l'amitié, une ancienne organisation sectaire dirigée par un certain Ami, un homme mystérieux au visage masqué, est alors intervenu en distribuant un vaccin au virus qu'ils avaient mis au point en secret, le virus étant déjà apparu en 1997. Pendant ce temps, Ami a fait face au robot, qui a fini par exploser. Cet homme est devenu le sauveur de l'humanité, et les dirigeants du parti de l'amitié sont depuis à la tête du Japon. Cependant, le premier soir de l'an 2015, Ami se fait tirer dessus dans une école déserte. Il est transporté à l'hôpital où est envoyé aussi Naïtô. Après avoir été recueillir des informations sur l'état d'Ami, il sort de l'hôpital en courant vers ses collègues qui lui tendent un micro. Naïtô demande s'ils sont en direct et ses collègues lui disent de se dépêcher. Comprenant qu'ils sont en direct, Naïtô dit que les médecins ont fait une annonce, déclarant que le coeur d'Ami s'était arrêté. C'est la seule fois que Naïtô apparaît dans ce tome.

    • Première apparition : Volume 13, dans le chapitre intitulé "Chapitre 2. La mort d'Ami".
    • Statut au volume 14 : Supposé vivant.
    • Statut au volume 18 : Inconnu.

    A suivre...

    Cronos

     


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